Ce sujet a été résolu
Sérénissime république de Venise @TjrsVivant43
Dirigeant : Leonardo Loredan (71)
Possessions : Vénétie ; Dalmatie ; Istrie ; Tinos ; Royaume de Candie ; Duché d'Archipelago ; Îles ioniennes ; Chypre
Revendications : Morée
Guerre : Empire Ottoman
Budget : 25K d'or (+) -12k/9a -12k/10a
Population : 1 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 190 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 50/100 ; Tradition militaire : 13 ; Capacité terrestre : 11k /25 - 100 /100 ; Capacité navale : 72 /80 ; Corruption : 5
Après la défaite et la perte de la Dalmatie, le Doge doit assumer ses paroles.
Les compagnies de Poméraniens sont en fin de contrat et repartiront si elles ne sont pas renouvelées.
Le commerce Vénitien va certainement souffrir de la perte de la Dalmatie, mais les terres riches des Borgia permettent d'équilibrer la balance. De son côté, le Pape part en campagne à Naples contre la France. Il demande de l'aide à Venise et, si la guerre est gagnée, la Sérénissime pourra y établir de nouveaux comptoirs.
Après les deux défaites contre l'Empire Ottoman, les élites vénitiennes se posent la question : Venise devrait-elle continuer d'être une thalassocratie ou devrait-elle progressivement se concentrer sur la terre ?

Dirigeant : Leonardo Loredan (71)
Possessions : Vénétie ; Dalmatie ; Istrie ; Tinos ; Royaume de Candie ; Duché d'Archipelago ; Îles ioniennes ; Chypre
Revendications : Morée
Guerre : Empire Ottoman
Budget : 25K d'or (+) -12k/9a -12k/10a
Population : 1 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 190 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 50/100 ; Tradition militaire : 13 ; Capacité terrestre : 11k /25 - 100 /100 ; Capacité navale : 72 /80 ; Corruption : 5
Après la défaite et la perte de la Dalmatie, le Doge doit assumer ses paroles.
Les compagnies de Poméraniens sont en fin de contrat et repartiront si elles ne sont pas renouvelées.
Le commerce Vénitien va certainement souffrir de la perte de la Dalmatie, mais les terres riches des Borgia permettent d'équilibrer la balance. De son côté, le Pape part en campagne à Naples contre la France. Il demande de l'aide à Venise et, si la guerre est gagnée, la Sérénissime pourra y établir de nouveaux comptoirs.
Après les deux défaites contre l'Empire Ottoman, les élites vénitiennes se posent la question : Venise devrait-elle continuer d'être une thalassocratie ou devrait-elle progressivement se concentrer sur la terre ?
il y a 8 jours
Royaume d'Écosse @Alexia
Dirigeant : Jacques IV Stuart (33)
Possessions : Royaume d'Ecosse
Revendications : Royaume d'Angleterre
Guerre : Royaume d'Angleterre
Budget : 8K d'or (+)
Population : 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 130 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 50/100 ; Tradition militaire : 15 ; Capacité terrestre : 8.5k /12 - 20 /50 ; Capacité navale : 4 /16 ; Corruption : 5
Le peuple est fatigué des levées.
S'il remporte la guerre, Jacques IV se dit qu'il pourrait devenir Roi d'Angleterre et unir les couronnes Ecossaises et Anglaises.

Dirigeant : Jacques IV Stuart (33)
Possessions : Royaume d'Ecosse
Revendications : Royaume d'Angleterre
Guerre : Royaume d'Angleterre
Budget : 8K d'or (+)
Population : 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 130 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 50/100 ; Tradition militaire : 15 ; Capacité terrestre : 8.5k /12 - 20 /50 ; Capacité navale : 4 /16 ; Corruption : 5
Le peuple est fatigué des levées.
S'il remporte la guerre, Jacques IV se dit qu'il pourrait devenir Roi d'Angleterre et unir les couronnes Ecossaises et Anglaises.
il y a 8 jours
Armouare
8j
Grande Principauté de Moscou @Ordivomi
Vassili III Riourikides (27)
Possessions : Moscovie ; Duché de Smolensk ; Principauté de Tchernigov
Revendications : "Toutes les Russies"
Guerre : Royaume de Pologne ; Grand-Duché de Lituanie ; Khanat de Kazan ; Margraviat de Brandebourg
Budget : 19K d'or (+)
Population : 5 900 000 ; Stabilité : 60 ; Point d'Autorité : 130 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 20/100 ; Tradition militaire : 33 ; Capacité terrestre : 13.5k /38 - 30 /150 ; Capacité navale : 0 /3 ; Corruption : 36
La corruption gangrène les finances du pays.
Les conseillers militaires préviennent Vassili que l'armée est composée par trop de cavaliers comparé à l'infanterie.
Finalement, les frères du prince ne complotaient pas contre lui. Ils sont énervés de se savoir espionnés.
La nouvelle loi passe très mal au sein de la noblesse et du peuple. Personne n'envisage de voir une femme prendre les armes.

Vassili III Riourikides (27)
Possessions : Moscovie ; Duché de Smolensk ; Principauté de Tchernigov
Revendications : "Toutes les Russies"
Guerre : Royaume de Pologne ; Grand-Duché de Lituanie ; Khanat de Kazan ; Margraviat de Brandebourg
Budget : 19K d'or (+)
Population : 5 900 000 ; Stabilité : 60 ; Point d'Autorité : 130 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 20/100 ; Tradition militaire : 33 ; Capacité terrestre : 13.5k /38 - 30 /150 ; Capacité navale : 0 /3 ; Corruption : 36
La corruption gangrène les finances du pays.
Les conseillers militaires préviennent Vassili que l'armée est composée par trop de cavaliers comparé à l'infanterie.
Finalement, les frères du prince ne complotaient pas contre lui. Ils sont énervés de se savoir espionnés.
La nouvelle loi passe très mal au sein de la noblesse et du peuple. Personne n'envisage de voir une femme prendre les armes.
ok je recruterai un max de fantassins
Je dirait pardon à mes frères
et pour la loi qu'ils se fassent foutre ils raleront moins quand elles aideront à défendre les frontières
Je dirait pardon à mes frères
et pour la loi qu'ils se fassent foutre ils raleront moins quand elles aideront à défendre les frontières
il y a 8 jours
Petite timelapse des progression des territoires pour ceux que ça intéresse
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il y a 8 jours
Armouare
8j
Royaume du Danemark - Union de Kalmar @Cody_Rhodes
Dirigeant : Jean Ier d'Oldenbourg (51)
Possessions : Royaume du Danemark ; Royaume de Suède ; Royaume de Norvège ; Schleswig-Holstein
Revendications :
Guerre : Royaume de Pologne ; Grand-Duché de Lituanie ; Margraviat de Brandebourg
Budget : 15K d'or (+)
Population : 1 650 000 ; Stabilité : 60 ; Point d'Autorité : 140 ; Légitimité : moyenne ; Centralisation : 10/100 ; Tradition militaire : 25 ; Capacité terrestre : 15k /20 - 30/100; Capacité navale : 28 /45 ; Corruption : 18
Jean Ier est un gros forceur et demande des responsabilités "maintenant !" auprès de son père.
Des chantiers navals sont construits en Suède.

Dirigeant : Jean Ier d'Oldenbourg (51)
Possessions : Royaume du Danemark ; Royaume de Suède ; Royaume de Norvège ; Schleswig-Holstein
Revendications :
Guerre : Royaume de Pologne ; Grand-Duché de Lituanie ; Margraviat de Brandebourg
Budget : 15K d'or (+)
Population : 1 650 000 ; Stabilité : 60 ; Point d'Autorité : 140 ; Légitimité : moyenne ; Centralisation : 10/100 ; Tradition militaire : 25 ; Capacité terrestre : 15k /20 - 30/100; Capacité navale : 28 /45 ; Corruption : 18
Jean Ier est un gros forceur et demande des responsabilités "maintenant !" auprès de son père.
Des chantiers navals sont construits en Suède.
@Cody_Rhodes si tu veux je le met en charge de pskov pour l'occuper ce petit merdeux
il y a 8 jours
Armouare
8j
Royaumes de Castille et d'Aragon @LaggronDeter
Dirigeants : Jeanne de Castille (27)
Possessions : Royaume d'Aragon ; Royaume de Castille ; Royaume des Deux-Siciles
Revendications : Royaume de Naples
Guerre :
Budget : 30K d'or (+)
Population : 9 000 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 400 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 20/100 ; Tradition militaire : 28 ; Capacité terrestre : 25k /36 - 80/150 ; Capacité navale : 44/60 ; Corruption : 14
Cette année, le parlement va trancher si Jeanne la folle peut diriger ou non.

Dirigeants : Jeanne de Castille (27)
Possessions : Royaume d'Aragon ; Royaume de Castille ; Royaume des Deux-Siciles
Revendications : Royaume de Naples
Guerre :
Budget : 30K d'or (+)
Population : 9 000 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 400 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 20/100 ; Tradition militaire : 28 ; Capacité terrestre : 25k /36 - 80/150 ; Capacité navale : 44/60 ; Corruption : 14
Cette année, le parlement va trancher si Jeanne la folle peut diriger ou non.
Je suis super bien
J'aime le Christ Et l'argent
il y a 8 jours
Alor comme ça brandebourg nous trahit ?
@Dopel @Cody_Rhodes Nous nous retrouvons à trois mais ensemble nous gagnerons
Et ensuite nous montrerons à brandebourg qu'il aurait mieux fait de ne pas suivre le sens du vent
@Dopel @Cody_Rhodes Nous nous retrouvons à trois mais ensemble nous gagnerons
Et ensuite nous montrerons à brandebourg qu'il aurait mieux fait de ne pas suivre le sens du vent
il y a 8 jours
@Cody_Rhodes si tu veux je le met en charge de pskov pour l'occuper ce petit merdeux
il y a 8 jours
Parfait, il apprendra les responsabilités comme ça
ça sera plus long mais on y arrivera il suffit d'augmenter nos troupes les entrainer et avoir une bonne stratégie
Et surtout si on voit que ça stagne on ne tente pas l'impossible
Et surtout si on voit que ça stagne on ne tente pas l'impossible
il y a 8 jours
ça sera plus long mais on y arrivera il suffit d'augmenter nos troupes les entrainer et avoir une bonne stratégie
Et surtout si on voit que ça stagne on ne tente pas l'impossible
Et surtout si on voit que ça stagne on ne tente pas l'impossible
il y a 8 jours
Non je parlais du fils de mon dirigeant
il y a 8 jours
Ouais si vous voulez, ça restera sous ta juridiction par contre, il sera juste gouverneur
il y a 8 jours
Ouais si vous voulez, ça restera sous ta juridiction par contre, il sera juste gouverneur
il y a 8 jours
moi ça me va @Cody_Rhodes ça te va aussi ?
il y a 8 jours
Ça me convient parfaitement
il y a 8 jours
(narration , description du tour en fin de journée)
Au matin blême, quand la mer encore grise respirait lentement contre le rivage, le roi du Portugal écarta le pan de sa tente.
Le tissu sanglé claqua dans le vent d’Est, apportant avec lui l’odeur mêlée de sel, de poudre et de fatigue humaine. Ses yeux rougis scrutèrent la côte d’Alger, cette longue muraille blanche hérissée de bastions d’où montait déjà la fumée des premières batteries mahometanes.
Cela faisait des semaines qu’il était là, dans ce recoin du monde où le soleil semblait vouloir le punir. Sa cuirasse n’était plus qu’une chape lourde, polie par la sueur et les nuits trop courtes, hantée par la mort infâme de son ami. Chaque pas lui rappelait les chevauchées interminables des jours précédents, et son esprit, d’ordinaire ferme, se trouvait brouillé, comme si les jours se mélangeaient les uns aux autres dans une poussière brûlante.
Le siège d’Alger débutait — vraiment débutait — ce matin-là. Jusqu’ici, ce n’étaient que éclats, escarmouches, reconnaissances, un jeu d’ombres et de piques. Mais à l’aube, l’ordre avait été donné : les galions portugais alignés en arc au large commencèrent à déployer leurs voiles réduites. Les canons de proue, humides de rosée, attendaient la première étincelle. Au-dessus, les marins, silhouettes fines contre la lumière montante, nouaient des cordages d’un geste mécanique, trop habitué pour trahir l’inquiétude.
Le roi inspira profondément et ordonna la disposition des canons. Il sentait dans sa poitrine la tension de tous ses hommes — mais aussi leur espoir. Alger était réputée imprenable, protégée par les murailles des bouffeurs de couscous et leurs renforts barbaresques.
Mais lui, souverain de mer et de sang, ne pouvait reculer. Le Portugal s’était fait un nom par les vagues, et un roi qui ne conquérait plus n’était qu’un roi d’hiver.
En contrebas, l’armée rampait comme une bête d’acier et de tissus. Les piquiers plantaient leurs hampes dans le sable pour former une barrière en attente. Les artilleurs ajustaient des couleuvrines trop lourdes pour leurs bras amaigris. Les arquebusiers, le visage noirci, vérifiaient les mèches qui s’effilochaient sous l’humidité du matin. Chacun menait sa lutte, non seulement contre l’ennemi, mais contre la lassitude qui leur rongeait les os.
Le roi descendit lentement le talus vers son état-major. Chaque pas levait un peu de sable, chaque grain semblait lui peser autant qu’un souvenir. Il pensa à Lisbonne, à la pierre claire du monastère des Hiéronymites, à la brise fraîche du Tage qui n’existait plus ici. Il pensa à ses nuits sans sommeil, hantées par les vagues que les hommes ne pouvaient dompter. Le fardeau d’un royaume s’était fait poids de chaînes.
« Sire, les batteries sont prêtes », dit un capitaine, la voix trop tendue pour dissimuler l’appréhension.
Le roi hocha la tête. Il regarda la ville encore lointaine : les minarets, immobiles comme des lances plantées dans le ciel, les murs couleur d’os, et derrière eux, une population invisible, mais qui observait sûrement, silencieuse.
Il savait que ce siège serait une épreuve. Pour ses hommes, pour lui, pour le Portugal tout entier. Il savait que la chaleur tuerait autant que les lames. Que la côte, avec ses récifs déchirés, engloutirait plus d’âmes qu’aucune bataille terrestre. Que l’ennemi, aguerri et retors, connaissait chaque pierre de ses remparts.
Mais il savait aussi que les grandes entreprises ne se mènent jamais avec un cœur léger.
Il leva la main. Le signal fut lancé. Les premiers coups de canon jaillirent, brisant le silence du matin. L’air trembla, la mer se replia comme par réflexe, et Alger s’embrasa de fumée et de poussière.
Le siège d’Alger venait de commencer.
Au matin blême, quand la mer encore grise respirait lentement contre le rivage, le roi du Portugal écarta le pan de sa tente.
Le tissu sanglé claqua dans le vent d’Est, apportant avec lui l’odeur mêlée de sel, de poudre et de fatigue humaine. Ses yeux rougis scrutèrent la côte d’Alger, cette longue muraille blanche hérissée de bastions d’où montait déjà la fumée des premières batteries mahometanes.
Cela faisait des semaines qu’il était là, dans ce recoin du monde où le soleil semblait vouloir le punir. Sa cuirasse n’était plus qu’une chape lourde, polie par la sueur et les nuits trop courtes, hantée par la mort infâme de son ami. Chaque pas lui rappelait les chevauchées interminables des jours précédents, et son esprit, d’ordinaire ferme, se trouvait brouillé, comme si les jours se mélangeaient les uns aux autres dans une poussière brûlante.
Le siège d’Alger débutait — vraiment débutait — ce matin-là. Jusqu’ici, ce n’étaient que éclats, escarmouches, reconnaissances, un jeu d’ombres et de piques. Mais à l’aube, l’ordre avait été donné : les galions portugais alignés en arc au large commencèrent à déployer leurs voiles réduites. Les canons de proue, humides de rosée, attendaient la première étincelle. Au-dessus, les marins, silhouettes fines contre la lumière montante, nouaient des cordages d’un geste mécanique, trop habitué pour trahir l’inquiétude.
Le roi inspira profondément et ordonna la disposition des canons. Il sentait dans sa poitrine la tension de tous ses hommes — mais aussi leur espoir. Alger était réputée imprenable, protégée par les murailles des bouffeurs de couscous et leurs renforts barbaresques.
Mais lui, souverain de mer et de sang, ne pouvait reculer. Le Portugal s’était fait un nom par les vagues, et un roi qui ne conquérait plus n’était qu’un roi d’hiver.
En contrebas, l’armée rampait comme une bête d’acier et de tissus. Les piquiers plantaient leurs hampes dans le sable pour former une barrière en attente. Les artilleurs ajustaient des couleuvrines trop lourdes pour leurs bras amaigris. Les arquebusiers, le visage noirci, vérifiaient les mèches qui s’effilochaient sous l’humidité du matin. Chacun menait sa lutte, non seulement contre l’ennemi, mais contre la lassitude qui leur rongeait les os.
Le roi descendit lentement le talus vers son état-major. Chaque pas levait un peu de sable, chaque grain semblait lui peser autant qu’un souvenir. Il pensa à Lisbonne, à la pierre claire du monastère des Hiéronymites, à la brise fraîche du Tage qui n’existait plus ici. Il pensa à ses nuits sans sommeil, hantées par les vagues que les hommes ne pouvaient dompter. Le fardeau d’un royaume s’était fait poids de chaînes.
« Sire, les batteries sont prêtes », dit un capitaine, la voix trop tendue pour dissimuler l’appréhension.
Le roi hocha la tête. Il regarda la ville encore lointaine : les minarets, immobiles comme des lances plantées dans le ciel, les murs couleur d’os, et derrière eux, une population invisible, mais qui observait sûrement, silencieuse.
Il savait que ce siège serait une épreuve. Pour ses hommes, pour lui, pour le Portugal tout entier. Il savait que la chaleur tuerait autant que les lames. Que la côte, avec ses récifs déchirés, engloutirait plus d’âmes qu’aucune bataille terrestre. Que l’ennemi, aguerri et retors, connaissait chaque pierre de ses remparts.
Mais il savait aussi que les grandes entreprises ne se mènent jamais avec un cœur léger.
Il leva la main. Le signal fut lancé. Les premiers coups de canon jaillirent, brisant le silence du matin. L’air trembla, la mer se replia comme par réflexe, et Alger s’embrasa de fumée et de poussière.
Le siège d’Alger venait de commencer.
il y a 8 jours
Ca se fait juste comme ça c'est que du RP
il y a 8 jours
Ca se fait juste comme ça c'est que du RP
Ok en espérant que ça le calmera
il y a 8 jours
Ok en espérant que ça le calmera
Ca je sais pas
il y a 8 jours
















