[FIC] Tout donne raison à ERIC ZEMMOUR 🇫🇷

Dommage pour toi

@Madmax
@Zardoz
@Meego

J'attends les avions de Remigration Airlines.

Et les sanglots longs des cités.

✈️ Chanson d’envol

Les sanglots longs
Des cités sombres
S’en vont, sans ombre.

Dans l’air du soir,
Un charter noir
Tourne l’espoir.

La France chante,
Fière et vivante,
Libre enfin d’eux.

N'oublie pas les sanglots des associations immigrationnistes, la fureur de la CEDH, les condamnations courroucées au nom du Droit des Autres. Le sourire esquissé par Trump, le sourcil levé de Poutine. Le lent retour vers la normalité où les rues sont propres et les pompiers en sécurité. Une police qui peut enfin s'occuper des colis perdus par Chronopost. Des salles de classes qui ne sont pas un zoo. Peut-être même envisager le retour de la civilité et de la confiance, avec des gens qui parlent un français intelligible. Je te laisse broder.

Topic qualitatif

Je te remercie

Je me permettrai de te quoter de temps en temps

Tu sais qu’il ne s’agit que d’une fiction unichronique ?

Paris, le jeudi 10 juillet, 9h49

Minsitre d'Etat, Ministre des Armées et des Anciens combattants: LOUIS ALIOT (RN)



Louis Aliot, maire de Perpignan, au Rassemblement National depuis 1990, compagnon de Marine Le Pen pendant dix ans, amateur de rugby à XV qu’il a pratiqué pendant plus de dix ans au club de Tarascon-sur-Ariège, a été nommé ministre d’État, ministre des Armées et des Anciens combattants, au sein du gouvernement conduit par Sarah Knafo. Figure singulière du Rassemblement national, proche des milieux nostalgiques de l’Algérie française et partisan d’un réarmement stratégique, Louis Aliot prend les rênes du ministère des Armées dans un contexte de rupture idéologique complètement assumée par l’exécutif.

Louis Aliot était un des premiers du RN à refaire un pas vers Zemmour en le faisant applaudir et acclamer lors d'un meeting du RN début avril dernier à la suite de la condamnation de Marine Le Pen. Il a publiquement nommé des soutiens que l’on n’avait plus l’habitude d’entendre dans la bouche d’un haut responsable du RN. Devant la dizaine de milliers de manifestants présents, le maire de Perpignan a souhaité remercier un certain nombre de personnalités françaises, au-delà d’Éric Ciotti qui était présent. Il a jeté alors avec triomphe ces noms : « Philippe de Villiers ! Nicolas Dupont-Aignan ! Éric Zemmour et Marion Maréchal ! », faisant grincer des dents quelques cadres du parti.



Fils d’une mère pied-noire et d’un père appelé en Algérie, Aliot n’a jamais caché sa sensibilité à la cause des rapatriés et à l’histoire de la guerre d’Algérie. Il l’a démontré à maintes reprises, notamment en tant que maire de Perpignan, en versant en 2022 une subvention record de 100 000 euros au Cercle algérianiste. Le congrès ainsi financé célébrait l’œuvre coloniale et civilisatrice de la France et rendait hommage à d’anciens membres de l’OAS et à des généraux putschistes. Lors d’un meeting à Perpignan, Louis Aliot avait même osé faire ovationner Bastien-Thiry, le cerveau de l’attentat du Petit-Clamart contre le général de Gaulle. Ce geste, largement critiqué, fut vu comme un signe de fidélité à une mémoire refoulée mais persistante dans une frange de l’opinion française. Il a déjà annoncé sa présence au congrès de la Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie.

Au ministère des Armées, Louis Aliot entend incarner une doctrine de puissance et de réarmement. Pour Louis Aliot, il faut restituer à la France son statut de puissance. Il promet de redonner à la France les mains libres et joue sur la fibre de la filiation gaulliste sur le thème de la défense de la France aux Français. Non seulement il ne croit pas à la construction d'une défense européenne, mais il se targue d'imposer une diplomatie de la défense autonome.

Le Quay d'Orsay arrive

Paris, le jeudi 10 juillet 2025, 10h01

Ministre d'Etat, Ministre des Affaires étrangères: PHILIPPE DE VILLIERS (Reconquête)

Philippe de Villiers prend les rênes du Quai d’Orsay dans un contexte diplomatique tendu. C’est une figure singulière de la vie politique française qui fait son grand retour au sommet de l’État. À 76 ans, Philippe de Villiers a été nommé ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, dans le gouvernement de Sarah Knafo, sous la présidence d’Éric Zemmour. Soutien de la première heure d’Éric Zemmour en 2022, Philippe de Villiers avait appelé dès décembre 2021 à son élection. Depuis, leur proximité intellectuelle ne s’est jamais démentie. L’Elysée a dans la foulée salué la « profondeur historique » et la « hauteur de vue stratégique » du nouveau ministre d’État.



L’annonce marque un signal clair du nouveau pouvoir : affirmer une politique étrangère axée sur la souveraineté nationale, les racines chrétiennes de l’Europe et un dialogue renouvelé avec l’Est. Ancien secrétaire d’État à la Culture sous Jacques Chirac, député européen pendant une décennie, écrivain à succès et fondateur du Puy du Fou, Philippe de Villiers revient en politique après plusieurs années d’engagement culturel et médiatique. Il animait jusqu’à récemment une émission hebdomadaire sur CNews qui battait des records d’audience chaque vendredi. Connu pour ses prises de position tranchées, il fut l’un des principaux artisans du « non » au référendum européen de 2005. Depuis les années 1990, il n’a cessé de défendre une vision de l’Europe fondée sur la coopération intergouvernementale, dénonçant à maintes reprises les dérives fédéralistes de Bruxelles.



Philippe de Villiers a toujours défendu une « Europe des nations » et une diplomatie fondée sur les intérêts civilisationnels. Il plaide pour un rapprochement stratégique avec les pays du groupe de Visegrád (Hongrie, Pologne, Tchéquie, Slovaquie), avec l’Italie de Giorgia Meloni, et un dialogue « pragmatique » avec la Russie. Proche du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, dont il partage la méfiance à l’égard des institutions européennes, il s’est rendu à plusieurs reprises à Moscou et en Crimée dans le cadre de projets culturels. Sa nomination envoie un message clair : la diplomatie française entend désormais faire entendre une voix singulière au sein de l’UE, plus ferme sur les frontières, plus libre sur les alliances.

Sur la guerre en Ukraine, il plaide pour une « conférence internationale de paix » avec les États-Unis, la Russie, l’Ukraine et l’Union européenne, quitte à entériner des frontières de fait. Dans un contexte d’escalade militaire entre Israël et l’Iran, Philippe de Villiers affiche une ligne ferme. Il s’inquiète particulièrement du programme nucléaire iranien, qu’il juge à haut risque pour la stabilité régionale et mondiale. Pour lui, si l’Iran a la bombe, l’Iran s’en servira. Le nouveau ministre des Affaires étrangères voit dans la République islamique d’Iran un régime idéologique ayant pour objectif d’imposer au monde la charia et de renverser l’ordre des nations libres. Il plaide ainsi pour une politique de dissuasion renforcée, en lien avec les États-Unis, Israël, mais aussi les puissances arabes qui partagent cette crainte. Il ne s’agit pas seulement d’un enjeu nucléaire, mais d’un combat pour la civilisation, la jeunesse et les femmes iraniennes.

Souvent critique de l’impérialisme américain, la réélection de Donald Trump à la Maison Blanche en novembre 2024 a ouvert un boulevard pour une convergence diplomatique forte entre Paris et Washington. Philippe de Villiers, qui a toujours salué la vision de Trump en matière de souveraineté nationale, défend une alliance civilisationnelle transatlantique sur les grands enjeux : immigration, protection des frontières, lutte contre l’islamisme, croisade anti-woke.



Si ses admirateurs louent sa culture, sa fidélité à la France éternelle et sa verve oratoire, ses détracteurs lui reprochent des propos jugés excessifs sur l’islam, l’Union européenne ou encore la crise sanitaire. Ses critiques contre le pass sanitaire ou ses références au groupe Bilderberg ont alimenté la controverse. Mais pour ses soutiens, ce sont justement ces positions non-conformistes qui font de lui l’homme de la situation dans une époque en quête de rupture.

Paris, le jeudi 10 juillet 2025, 10h13

Ministre d'Etat, Ministre des Finances, de l'économie et de la Simplification: LAURENT WAUQUIEZ (LR)

C’est une nomination qui en dit long sur les ambitions économiques du nouveau gouvernement dirigé par Sarah Knafo : Laurent Wauquiez est nommé ministre d’État, ministre des Finances, de l’Économie, du Travail et de la Simplification, un portefeuille XXL qui entend réconcilier rigueur budgétaire, souveraineté économique et efficacité administrative. Longtemps vu comme le gardien d’une droite conservatrice et sociale, l’ancien président d’Auvergne-Rhône-Alpes opère un retour remarqué au niveau national, après avoir observé en retrait l’effondrement de sa famille politique traditionnelle, Les Républicains. Défait par Bruno Retailleau lors du dernier congrès des LR, il avait surpris en appelant à dépasser les clivages artificiels et en prônant une forme d’ouverture aux zemmouristes, à rebours de la ligne officielle du parti. Mais c’est surtout son éloge de Sarah Knafo qui avait marqué les esprits la qualifiant de talentueuse et intelligente.



En s’assurant les compétences et l’expérience d’un homme salué pour sa gestion régionale, Sarah Knafo veut envoyer un message aux marchés et aux électeurs modérés. En 2017, la région qu’il présidait avait vu sa note relevée à AA+ par Standard & Poor’s, une première. La Cour des comptes l’avait également salué pour les économies de fonctionnement réalisées, et sa politique de réduction des indemnités des élus avait marqué les esprits. Wauquiez incarne aussi une droite budgétaire stricte, attachée à la baisse de la dépense publique. Son objectif : ramener le déficit sous les 3 % du PIB d’ici 2027. Un virage nécessaire, selon lui, après la gabegie et l’échec du “Mozart de la finance” et son bras droit Bruno Lemaire qui devait mettre à genoux l’économie russe.



Sa nomination intervient dans un contexte politique inédit : Reconquête (160 députés) et le RN (156) se partagent les deux premières forces à l’Assemblée nationale. Si les divergences idéologiques sont nombreuses, notamment sur le terrain économique, Laurent Wauquiez aurait reçu de Jordan Bardella des garanties. Le Rassemblement national a infléchi son programme économique, abandonnant une partie de ses mesures les plus coûteuses et une conversion à la rigueur budgétaire. Une condition sine qua non pour l’arrivée de Wauquiez au gouvernement. Respecter un objectif de baisse de déficit public, ce n’est pas pour faire plaisir à Bruxelles, c’est pour la France.

Au-delà du budget, le ministère pilotera aussi une réforme ambitieuse de l’appareil administratif. Inspiré du Department of Government Efficiency (DOGE) lancé par Elon Musk aux États-Unis, Wauquiez aura la main sur une vaste opération de simplification des normes, de réduction du millefeuille administratif et de fluidification de l’action publique. Avec la reprise du portefeuille du Travail au sein de son ministère élargi, Laurent Wauquiez affiche une priorité claire : restaurer la valeur travail, lutter contre l’assistanat et tourner la page d’un modèle social obsolète qui récompense l’inaction. Soutenu par Sarah Knafo et Eric Zemmour, le ministre d’État entend engager une réforme structurelle de l’État-providence. Le cancer de l’assistanat a détruit l’effort, a fragilisé les classes moyennes, et a encouragé une immigration d’appel. Il faut rompre. Enfin, il défend la mise en place d’une retraite par capitalisation, soutenue par l’UDR d’Éric Ciotti.

Laurent Wauquiez n’a jamais renié ni ses origines industrielles, ni sa fibre conservatrice. Wauquiez croit au mérite, à la transmission, et à une forme d’aristocratie républicaine du travail.

(Marque page)

Un gouvernement qui serait incroyable.