[FIC] Tout donne raison à ERIC ZEMMOUR 🇫🇷

Je me doutais que ça allait te plaire

Que penses-tu du choix de Tégner ?

Palu +

Et ?

+ Merci

Paris, le jeudi 10 juillet 2025, 10h45

Ministre de la Santé et de la Famille: LAURE LAVALETTE (RN)

Dans un signal fort envoyé à l’électorat conservateur, Laure Lavalette est nommée ministre de la Santé. Députée du Var depuis 2022 et figure montante du Rassemblement national, elle hérite d’un portefeuille mêlant politique de santé publique, protection sociale, bioéthique et handicap.

Âgée de 50 ans, Laure Lavalette revendique un enracinement catholique fort. Fidèle au rite tridentin, elle assiste chaque dimanche à la messe en latin. Mère de cinq enfants, dont une fille atteinte de trisomie 21, elle incarne une ligne conservatrice mêlant convictions familiales, engagement social et refus de certains dogmes du progressisme contemporain. Durant ses années universitaires à Bordeaux dans les années 1990, elle milite activement au sein du Renouveau étudiant, un mouvement nationaliste et identitaire proche du Front national de la jeunesse et du GUD (Groupe union défense).

À l’Assemblée nationale, où elle siégeait depuis juin 2022 au sein de la commission des Affaires sociales, elle s’est illustrée par ses prises de position sans ambiguïté sur les sujets de bioéthique, d’avortement ou encore de parentalité. Elle s’est opposée à la suppression de la « détresse » comme condition du recours à l’IVG, a signé en 2014 un appel à abroger le droit à l’avortement à terme, et a soutenu la suppression des subventions au planning familial dans le cadre des régionales de 2015, aux côtés de Marion Maréchal. Favorable à l’émergence de structures d’accueil alternatives à l’IVG, elle plaide pour un accompagnement renforcé des mères en difficulté souhaitant poursuivre leur grossesse. Elle rejette fermement la PMA, la GPA, ainsi que ce qu’elle qualifie de propagande LGBT.

Paris, le jeudi 10 juillet 2025 à 10h54

Ministre de l’Information, des Médias et de la Liberté d’expression: CHRISTINE KELLY



La Première Ministre Sarah Knafo a dévoilé le retour du ministère de l’Information qui reprendra les locaux du ministère de la Culture (désormais rattachée à l’Education nationale) rue de Valois.

Ce ministère élargi aux médias couvre les organes de presse écrite, audiovisuelle, numérique (TV, radio, web, podcasts...) mais aussi la liberté d’expression, y compris sur les réseaux sociaux, qui est la clef de voûte idéologique de ce ministère et garant de la liberté de la presse — un engagement fort dans votre ligne gouvernementale pour protéger la parole libre, lutter contre la censure idéologique, et rétablir un équilibre des voix dans le débat public. La liberté de la presse ne peut être confisquée par une minorité d’éditocrates ou d’activistes culturels. Ce nouveau ministère incarne l’équilibre, la vérité et la diversité réelle des sensibilités françaises.

Le choix de Christine Kelly semble être une évidence. Ancienne membre du CSA, travaillant dans le secteur des médias depuis 1992, d'abord en Guadeloupe où elle est née puis en métropole, elle est membre du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) de 2009 à 2015, sur CNews, elle anime depuis 2019 Face à l'info, une des émissions-phares de la chaîne, adoptant une posture de droite dure. C’est ici qu’elle s’est également rapprochée de Eric Zemmour. Auteure d’essais sur l’information et ses dérives, Christine Kelly s’est imposée depuis plusieurs années comme une figure de rigueur, d’écoute et d’équilibre. Son calme et son sérieux lui ont valu le respect d’un large spectre politique.



Dans l’architecture du gouvernement Knafo, le ministère de Christine Kelly joue un rôle transversal : il répond à l’aspiration profonde exprimée par les électeurs à une réinformation nationale, et il s’inscrit dans un projet civilisationnel de réappropriation de la parole publique par les citoyens. Christine Kelly, entourée d’une équipe de jeunes conseillers mêlant anciens journalistes, juristes et stratèges numériques, promet déjà des décisions fortes. Parmi les dossiers attendus : la refonte des règles de pluralisme à l’Arcom, la privatisation partielle ou totale de France Télévisions et Radio France, élargir et sanctuarisé la liberté d’expression en France et la mise en place d’un statut juridique du lanceur d’alerte.

Il ne reste plus que deux ministères et on aura fait le tour du gouvernement KNAFO I

Paris, le jeudi 10 juillet à 11h00

Ministre de l’Industrie, des Manufactures et de l’Energie: JULIEN AUBERT (LR/OLF)

Julien Aubert, ancien député LR du Vaucluse, proche de la ligne séguiniste, est nommé ministre de l’Industrie, des Manufactures et de l’Énergie. Un portefeuille taillé sur mesure pour cet ancien haut fonctionnaire à la Cour des comptes, formé aux arcanes budgétaires et à la stratégie énergétique, qui incarne une certaine idée du redressement productif à droite. Son passage par la commission développement durable de l’Assemblée, son travail sur la stratégie énergétique et son plaidoyer constant pour le nucléaire lui donnent une légitimité précieuse pour conduire une politique de réindustrialisation appuyée sur la souveraineté énergétique.

Marseillais d’origine, élu du Vaucluse, fils d’un pharmacien et petit-fils de résistant, Aubert a toujours affiché un ancrage local fort et une vision industrielle fondée sur la souveraineté énergétique. À l’Assemblée, il s’était illustré en défenseur acharné de la filière nucléaire et en pourfendeur des « prophètes de l’écologie punitive », n’hésitant pas à moquer Greta Thunberg qu’il qualifia de « prix Nobel de la peur ».



Débarqué en 2021 de la liste Muselier pour avoir refusé toute alliance avec LREM, Julien Aubert n’a jamais caché sa proximité avec les lignes nationales-souverainistes. Dès 2021, il appelait à un rapprochement entre LR et Éric Zemmour, dans une logique de recomposition à droite.

Sous l’impulsion de la Première ministre Sarah Knafo, le gouvernement a donc souhaité confier les rênes de la réindustrialisation du pays à une personnalité alliant compétence économique, enracinement territorial et fibre souverainiste. Sa mission: relancer l’industrie tricolore, du nucléaire à la production de biens manufacturés, en passant par la rénovation des grands sites industriels. Certains n’hésitent pas à le comparer à un Arnaud Montebourg de droite. Comme l’ancien ministre socialiste du redressement productif, Julien Aubert entend défendre le Made in France bec et ongles. Julien Aubert assume son gaullisme industriel et son protectionnisme raisonné. Il s’est lui-même présenté comme le héritier de la ligne Séguin–Pasqua–de Villiers, un courant souvent marginalisé mais en phase avec la demande actuelle de relocalisation et de made in France.

Bmg ya une photo de jean marie lepen jeune

La classe

Il ne reste plus qu’un ministère: LE MINISTÈRE DE LA CONSTRUCTION qui englobera principalement le logement, les transports, l’urbanisme, etc.

Paris, le jeudi 10 juillet à 11h07

Ministre de la Construction: STÉPHANE RAVIER (MDA/REC)



L’ancien sénateur et maire du 7e secteur de Marseille, Stéphane Ravier, a été nommé ministre de la Construction. Ce portefeuille regroupe des compétences aussi stratégiques que le logement, les transports, les travaux publics et l’urbanisme — un domaine dans lequel Ravier revendique une expertise forgée dans la rudesse politique des quartiers nord de Marseille.

Ravier, 55 ans, s'est fait connaître comme visage marseillais du Front national, avant de rallier Éric Zemmour lors de la présidentielle de 2022. Élu municipal depuis 2014, ancien maire d’arrondissement, il a toujours revendiqué un ancrage local fort, en rupture avec les élites parisiennes. En 2024, il quitte Reconquête en bon terme, pour fonder son propre mouvement, Marseille d’abord, avec un objectif assumé : conquérir l’Hôtel de Ville de la deuxième ville de France en 2026. Mais le récent accord entre le Rassemblement National et Reconquête place Franck Allisio (RN) en tête de liste pour les municipales. Dans un geste de réconciliation stratégique, Stéphane Ravier accepte de revenir dans le giron Reconquête et de participer à l’exécutif national.

Mais cette nomination suscite déjà la controverse. Libération rappelle que Ravier est soupçonné de proximité avec des groupuscules d’extrême droite, notamment le Bastion social, et qu’il a fondé en 2022 le mouvement de jeunesse radical « Défends Marseille ». Il est également connu pour ses propos très durs sur l’immigration, sa défense du concept de « grand remplacement », et sa condamnation explicite des accords d’Évian.

Béziers, le jeudi 10 juillet à 12h01

Ménard écarté : une décision d’Eric Zemmour



L’annonce est tombée sans détour : Robert Ménard, maire de Béziers, ne sera pas intégré au gouvernement de Sarah Knafo. Malgré ses appels du pied insistants, notamment pour briguer un portefeuille comme celui du Logement (devenu le ministère de la Construction), le Président de la République a décidé de demander à sa conjointe et Première Ministre de ne pas céder à ses sollicitations.

« Avec des amis comme lui, on n’a pas besoin d’ennemis », a-t-eil déclaré sèchement dans une interview exclusive.

La girouette biterroise



Eric Zemmour justifie ce choix par le caractère inconstant de Robert Ménard, connu pour ses nombreuses voltefaces. Il s’est d’abord engagé à gauche chez les socialistes, puis avec Marine Le Pen mais sans jamais rejoindre officiellement le FN/RN, puis a fait des appels de pieds à Macron, de se rallier à Éric Zemmour avant de retourner sa veste une nouvelle fois et appeler à voter Marine le Pen. C’est une girouette qui manque cruellement de loyauté. En effet, Ménard, a soutenu Marine Le Pen en 2017, et avait ensuite vivement critiqué la candidate en 2022 avant d’essayer de rentrer dans le gouvernement d’Emmanuel Macron quelques mois plus tard pour aider au niveau national. Son positionnement flottant et ses critiques acerbes envers la présidente du RN puis d’Eric Zemmour ont laissé des traces.

Des représailles politiques à Béziers et dans le Gard



Eric Zemmour ne s’arrête pas là. Reconquête avec l’aval du Rassemblement National entend présenter un candidat contre Robert Ménard aux municipales à Béziers, qu’il dirige depuis 2014. Une démarche qui, selon plusieurs proches du Président, s’inscrit dans une stratégie d’affirmation politique.

Un Judas isolé



L’attitude fluctuante de Robert Ménard lui vaut d’être comparé à Judas politique par certains cadres du RN et de Reconquête. Ses allers-retours entre différents courants sont incompatibles avec la rigueur et la fidélité nécessaires à la ligne que défend le gouvernement, a confié un proche de Sarah Knafo. La décision de l’exclure du cercle rapproché illustre la volonté du Chef de l’Etat de trancher avec les profils ambigus, au profit de figures ancrées dans une loyauté sans faille.

Premier voyage présidentiel:

🇮🇹 Italie ?
🇭🇺 Hongrie ?
🇵🇱 Pologne ?

Ce n’est pas mieux de sucer l’Iran et l’islam comme des prostituées en plein syndrome de Stockholm

https://x.com/ZemmourEric/status/1492965057520619533

1:45

Suite ?

J'hésite à reco avec Bardellax

C'est a dire ?

Une fic similaire mais plus crédible avec Bardella Président