[FIC] Tout donne raison à ERIC ZEMMOUR 🇫🇷

Oui ?

Vous nous gonflez avec votre gargamel de poche.

Quel niveau de golemerie il faut avoir pour vouloir de ça comme dirigeant de la France, bordel.

Encore

Please

Ma dose

Je pense qu’on est aux antipodes des golems en fait

Encore un donut de Asselineau ?

Palais-Royal, Paris, le dimanche 6 juillet 2025

C’est une première dans l’histoire de la Ve République depuis Charles de Gaulle : Eric Zemmour, Président de la République, a décidé de dépasser les réserves juridiques et institutionnelles pour proposer un double référendum portant sur la primauté des lois françaises et l’immigration. Ce scrutin, prévu ce jour, se tiendra en même temps que les élections législatives. Une décision audacieuse et controversée, mais soutenue par une majorité écrasante de Français.

Article 11 vs. Article 89



Modifier l'article 55 de la Constitution touche directement à la hiérarchie des normes et à la place des traités dans le droit interne français, ce qui est plutôt une réforme de nature constitutionnelle nécessitant l'application de l'article 89. Ce dernier impose un processus impliquant un vote conforme des deux chambres du Parlement et, selon le cas, une ratification par référendum ou par le Congrès (réuni à Versailles). Pour contourner l’opposition du Sénat, contrôlé par les Républicains « canal historique », et l’impossibilité de réunir une majorité parlementaire en l’état, Eric Zemmour avait donc décidé de recourir à l’article 11 de la Constitution.

L'article 11 est souvent critiqué pour son ambiguïté. Certains juristes estiment qu’il ne peut pas être utilisé pour modifier la Constitution, mais l’interprétation de De Gaulle en 1962 a créé un précédent. Eric Zemmour n’a pas besoin d’un vote formel des parlementaires pour organiser son référendum via l'article 11 et peut utiliser son pouvoir exécutif avec le soutien du gouvernement.

L’article 11, qui ne prévoit pas explicitement la possibilité d’une réforme de ce type par référendum, est donc quand même utilisé, comme en 1962, lorsque de Gaulle avait fait approuver l’élection présidentielle au suffrage universel direct. Pour justifier cette décision, Eric Zemmour affirme que la souveraineté appartient au peuple, et c’est au peuple qu’il revient de trancher sur les grandes questions qui engagent l’avenir de la nation. La légitimité politique et populaire est invoquée par la Présidente pour contourner l'interprétation stricte des textes.

Zemmour face au Conseil constitutionnel



Une semaine de manifestations sans précédent dans toute la France a abouti à un événement historique cet après-midi : le Conseil constitutionnel a enfin cédé et validé l’organisation du référendum d’initiative présidentielle proposé par Eric Zemmour.

Les manifestations de la semaine, culminant ce samedi avec plus de 5 millions de personnes dans les rues de tout le pays, ont secoué les institutions. Des rassemblements d’ampleur exceptionnelle ont eu lieu dans les grandes villes, les petits villages, mais c’est surtout un gigantesque sit-in qui a marqué la journée. Plus de 2,5 millions de Français se sont rassemblés devant le Conseil constitutionnel, à Paris, dérivant en manifestations sauvages dans les rues de la capitale, pour exiger que le référendum soit validé. Les manifestants, venus de toutes les régions, ont exprimé leur soutien massif à Zemmour et à la révision des politiques migratoires. Ce mouvement populaire, d’une ampleur jamais vue, a clairement mis sous pression les membres du Conseil constitutionnel déconnectés de la volonté du peuple.



Une victoire pour la démocratie

En toute fin de journée, une déclaration officielle a été lue par Richard Ferrand, président du Conseil constitutionnel, devant un parterre de journalistes, sous haute sécurité, protégé par des centaines de CRS autour du Louvre. Dans un discours tendu et sous les projectiles qui pleuvaient, Richard Ferrand a tenu à souligner que la Constitution et la jurisprudence de notre pays doivent être respectées, mais que la souveraineté populaire a aussi son mot à dire. Les Français ont clairement exprimé leur souhait de voir ce référendum se tenir. Il est du devoir des institutions de respecter cette volonté.

Pour Eric Zemmour, cette victoire représente un moment historique : il a réussi à imposer sa vision face aux obstacles institutionnels. Le Conseil constitutionnel, sous pression, a finalement validé ce référendum, à la veille du scrutin et après une semaine de manifestations et une mobilisation sans précédent. Si le référendum est validé par les Français, ce sera un signal fort pour la démocratie directe en France et un tournant dans la politique migratoire du pays.

Paris, le dimanche 6 juillet 2025, 23h47

Une victoire sans appel

Les Français se sont exprimés massivement lors du double référendum organisé par Eric Zemmour. Avec un taux de participation estimé à 74 %, le « oui » l’emporte largement sur les deux questions soumises au vote. La première question, portant sur la réforme de la politique migratoire, a recueilli 69 % des suffrages favorables. Ce résultat, sans appel, valide une série de mesures phares comme la suppression du droit du sol, le rétablissement du délit de séjour irrégulier ou encore la fin du regroupement familial. Sur la seconde question, relative à la modification de l’article 55 de la Constitution pour établir la primauté des lois françaises sur les normes européennes, le « oui » l’a emporté avec 57 % des suffrages. Un résultat plus serré mais néanmoins suffisant pour permettre à Eric Zemmour et Sarah Knafo de lancer cette réforme majeure.

Ces résultats marquent un succès incontestable pour le nouveau président Eric Zemmour, qui avaient fait de ce référendum un symbole de leur politique souverainiste et sécuritaire. Sarah Knafo, Première ministre qui a mené la campagne des législatives pour Reconquête et forcément figure de proue de la campagne pour le « oui », a salué un moment historique où le peuple a repris le contrôle de son destin. Face à ce plébiscite, les partis d’opposition peinent à trouver une ligne commune. Manon Aubry (LFI) a dénoncé un référendum de la honte. Raphaël Glucksmann (PS-Place Publique) a pointé une dérive autoritaire et anti-européenne, tout en reconnaissant que la gauche n’a pas su convaincre. Prisca Thevenot (Ensemble) a elle regretté le recul de la France dans l’Europe.



Des violences après la victoire du « oui »

Ce dimanche soir, la France a donc plébiscité le « Oui » à 70 % lors du référendum sur l’immigration proposé par Éric Ciotti. Si cette victoire marque un tournant politique majeur, elle a également été marquée par des scènes de chaos dans plusieurs villes, orchestrées par l’extrême gauche et des collectifs antifascistes. Paris, Nantes et Rennes ont été le théâtre d’émeutes violentes avant que l’ordre ne soit rétabli dans la nuit grâce à une mobilisation exemplaire des forces de l’ordre. Pour le Ministre de l’Intérieur, Jordan Bardella, mobilisé jusqu’au petit matin, « Le peuple a tranché. Nous appliquerons, sans trembler, la volonté exprimée dans les urnes. ». Il a annoncé le retour au calme à 4 heures du matin et l’interpellation de 557 émeutiers. Le ministre, présent au centre opérationnel à Paris, a supervisé les opérations et salué le professionnalisme et le courage des forces de l’ordre qui ont su rétablir l’ordre avec fermeté.

Ces émeutes ont mis en lumière le refus de l’extrême gauche d’accepter les résultats démocratiques. Jean-Luc Mélenchon a dénoncé sur le plateau de TF1 un référendum de la haine et une insurrection citoyenne légitime. Cependant, ses propos ont été largement critiqués, y compris au sein de son alliance du Nouveau Front Populaire par Bernard Cazeneuve, pour leur caractère incendiaire.



Une victoire populaire

Avec 69 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 74%, les Français ont massivement soutenu les propositions sur l’immigration. Cette approbation marque un tournant dans la politique migratoire française et valide les choix du gouvernement de Reconquête soutenu par le RN. Ce référendum ouvre désormais la voie à des réformes drastiques. Pour une large majorité de Français, cette soirée restera celle où la République a repris le contrôle de sa souveraineté. Mais elle marque aussi une fracture profonde dans une société française plus divisée que jamais.

Le visage de la France est redessinée avec ça et le Centre est en difficulté

Par la rédaction politique – Le Figaro, jeudi 10 juillet 2025, 8h03

Après des semaines d’attente, de consultations feutrées et de tractations politiques, Sarah Knafo s’apprête à annoncer la composition de son gouvernement ce jeudi 10 juillet à 10 heures. Devant une cinquantaine de journalistes accrédités, Sarah Knafo présentera un à un les membres de son gouvernement, en justifiant ses choix, en expliquant la cohérence de son équipe et en insistant sur la compétence sectorielle de chacun. Il ne s’agit pas d’un simple casting politique, dit-elle, mais d’une stratégie de redressement national, où chaque portefeuille a été confié à une personne qualifiée, expérimentée ou reconnue dans le domaine. Elle a écarté les logiques de quotas, de clans ou de partis pour composer son gouvernement.

Nommée le 12 juin dernier, juste après la victoire d’Éric Zemmour à la présidentielle anticipée, Sarah Knafo avait volontairement retardé la formation de son gouvernement, préférant attendre les résultats des élections législatives et ceux du double référendum, largement approuvé par les électeurs sur la primauté du droit français et l’immigration.

À 10 heures, Sarah Knafo apparaîtra face aux caméras dans le grand salon blanc de Matignon, parée – selon nos informations – d’une robe en soie émeraude à la coupe sobre, mais raffinée. Une couleur qui tranche avec les tons classiques de la politique française, et qui illustre la volonté d’incarner une nouvelle génération, ambitieuse mais déterminée. En attendant, Matignon se prépare. Les jardiniers ont brossé les graviers, les huissiers répètent le cérémonial, et les noms des futurs ministres, jalousement gardés dans les plis d’un dossier bleu, seront révélés à l’heure dite.

Hôtel de Matignon, Paris, le jeudi 10 juillet, 10h26

Porte-Parole du gouvernement: STANISLAS RIGAULT (Reconquête)



C’est un visage bien connu des plateaux télévisés et des réseaux sociaux, une figure de proue et fidèle de Reconquête : Stanislas Rigault, 26 ans, a été nommé porte-parole du gouvernement par la Première ministre Sarah Knafo. Il incarnera désormais, chaque jour, la parole officielle de l’exécutif.

Une ascension fulgurante pour ce jeune homme originaire d’Angers, fils d’un officier et d’une soignante, formé au lycée militaire du Prytanée de La Flèche, puis à l’Institut catholique de Vendée fondé par Philippe de Villiers. Très tôt engagé politiquement, Rigault fonde Génération Z, mouvement de jeunesse rallié à la candidature d’Éric Zemmour. Il entre dans l’arène médiatique en 2020, repéré par Sarah Knafo, qui le fait collaborer avec Zemmour sur CNews, bien avant l’officialisation de la campagne présidentielle de 2022.
Mais Rigault est aussi un des rares chez Reconquête à avoir compris l’impasse de l’hostilité systématique envers le Rassemblement national. En 2022, il est l’un des seuls chez reconquête à faire une vraie campagne médiatique pour Le Pen au second tour. Jordan Bardella, qui repère son potentiel, lui propose même de rejoindre le RN — une offre qu’il décline, par fidélité à Éric Zemmour. Cette capacité à tendre des ponts sans renier ses convictions a depuis fait de lui une figure pivot dans le paysage à droite. Moins véhément que d’autres envers les électeurs ou les cadres du RN, mais aussi des LR comme François-Xavier Bellamy, Rigault incarne la possibilité d’une véritable collaboration entre Reconquête et le Rassemblement National, voire la droite dite classique.

Inspirée par le modèle de la Maison-Blanche, Sarah Knafo a voulu faire de la fonction de porte-parole un poste-clé de l’architecture gouvernementale. Rigault ne se contentera pas de commenter le Conseil des ministres du mercredi : il sera le visage quotidien du pouvoir exécutif, chargé de présenter l’agenda du Président, de répondre aux journalistes accrédités, et de défendre la ligne gouvernementale sur tous les grands sujets — nationaux comme internationaux. Ce rôle renforcé reflète la volonté du Président de professionnaliser la communication politique et de centraliser l’information dans un contexte d’intense réforme. Rigault s’exprimera depuis Matignon, ou l’Élysée lors de grandes occasions, dans des points presse souvent télévisés.

Décrit par ses soutiens comme brillant, vif et discipliné, Rigault n’a jamais fui les controverses. En novembre 2023, après le meurtre du jeune Thomas Perotto à Crépol, il dénonce avec virulence la « racaille des cités » sur les réseaux sociaux, provoquant une tempête médiatique. À Perrine Storme sur BFM TV, il déclare : « Je vous prends le pari que les suspects auront des noms à connotation maghrébine, africaine, issus de l'immigration. » Les faits lui donneront raison.

Connu pour son verbe acéré mais discipliné, Rigault est aussi un stratège. Derrière son aisance médiatique se cache un militant rigoureux, obsédé par la conquête culturelle et politique. Il endosse aujourd’hui un rôle de haute responsabilité : donner un visage, une cohérence, une force de conviction à la parole gouvernementale, au service d’un pouvoir déterminé à renverser la table.

Hôtel de Matignon, Paris, le jeudi 10 juillet, 10h32

Secrétaire d'Etat chargée des relations avec le Parlement: HANANE MANSOURI (UDR)



Née le 24 novembre 2000 à Échirolles, Hanane Mansouri s’est rapidement investie dans la vie publique. Dès l’âge de 17 ans, elle rejoint l’UNI, le syndicat étudiant de droite, et milite pour les Jeunes Républicains de l’Isère, devenant rapidement responsable départementale sous l’impulsion de Yannick Neuder. Malgré des débuts marqués par des désaccords internes au parti, elle s’est imposée par sa ténacité et son sens politique, prenant à cœur de défendre des idées qu’elle juge essentielles pour redresser la France. Chargée de mission à la Région Auvergne-Rhône-Alpes à seulement 19 ans, elle a acquis une expérience administrative rare pour son âge. Elle rejoint l’Union des droites LR-RN prônée par Éric Ciotti à la suite de la dissolution de l’assemblée nationale par Emmanuel Macron en juin 2024, provoquant l’hostilité ouverte d’une partie de son ancien camp. Fidèle parmi les fidèles de l’ex-président des LR, elle l’a suivi dans son nouveau parti l’UDR qui veut le rassemblement des droites.



Née en novembre 2000, elle a grandi à Échirolles, dans l’Isère. Hanane Mansouri, issue d’une famille modeste venue du Maroc, se veut le symbole d’une France qui offre des opportunités à ceux qui s’en donnent les moyens. Refusant de se cacher derrière ses origines, elle incarne un modèle d’assimilation et d’ambition. Les jeunes doivent comprendre qu’ils s’en sortiront par le travail, pas par des excuses. En France, chacun est maître de son destin. Elle se présente comme une fervente défenseuse du mérite et du travail. Elle est là pour montrer qu’en France, tout le monde peut réussir, quels que soient ses origines ou son milieu social. Elle veut insuffler à la jeunesse un esprit de responsabilité et de dépassement de soi, loin des discours qu’elle juge victimaires ou fatalistes. Elle veut promouvoir le travail comme une voie d’émancipation.

Depuis sa nomination au poste de Secrétaire d'Etat chargée des relations avec le Parlement, Hanane Mansouri fait face à une vague d’insultes et d’attaques. Les réseaux sociaux se sont enflammés quelques minutes après l’annonce de sa nomination, donnant lieu à une avalanche d’insultes en provenance de l’extrême gauche et de la communauté arabe. Les termes injurieux adressés à Hanane Mansouri dépassent les simples désaccords politiques pour attaquer sa personne et ses origines. Parmi les insultes qui reviennent régulièrement :

« Arabe de service », pour dénigrer son engagement politique en l’accusant de trahir sa communauté au profit d’une droite perçue comme en réalité raciste et hostile aux immigrés.
« Beurette à blancs », une expression chargée de connotations sexuelles, sexistes et racistes.
« Traîtresse », pour avoir pris des positions qui rompent avec certaines attentes communautaires ou politiques alors qu’elle est issue d’une deuxième génération d’immigrés.
« Allah la punira », des attaques religieuses qui accusent Hanane Mansouri de renier sa foi en soutenant un gouvernement antiislamique.
« Serpillière », une insulte sexiste, utilisée pour minimiser son rôle politique et sa dignité personnelle, rappelant le rôle des femmes de ménages souvent d’origine immigrée chez les blancs.



Ces attaques, visent à la dépeindre comme une figure manipulée par la droite et l’extrême droite, incapable de penser ou d’agir par elle-même. Interrogée par le Dauphiné Libéré, Hanane Mansouri a pris connaissances des milliers de messages haineux :
« Ce n’est pas une surprise. J’ai toujours été pour l’union des droites, et cela a toujours attiré les foudres de la gauche et de ceux qui n’acceptent pas mes idées. Ce n’est pas nouveau. Ils veulent me faire taire, mais cela ne fait que renforcer ma détermination. J’ai refusé ces idées et choisi de croire au mérite et au travail. Je suis là pour montrer qu’en France, tout le monde peut réussir, quelles que soient ses origines ou son milieu social.»
Inspirée par des figures comme Margaret Thatcher et Marie-France Garaud, Mansouri s’inscrit dans une lignée d’engagement fort pour les idées souverainistes et conservatrices.



En nommant Hanane Mansouri secrétaire d’État chargée des Relations avec le Parlement, Sarah Knafo envoie un double message : la volonté de travailler avec une majorité composite, mais aussi de faire émerger une nouvelle génération de la droite française.
Au sein du gouvernement Knafo, le rôle de la jeune Hanane Mansouri sera hautement politique. Chargée de faire le lien entre le gouvernement et le Parlement, elle devra naviguer dans une Assemblée nationale dominée par les deux pôles d’extrême droite : Reconquête (160 députés) et le Rassemblement national (156 députés). Si les deux formations convergent sur de nombreux sujets, les désaccords sur l’économie pourraient vite ressurgir : plus libéraux du côté Knafo-Zemmour, plus sociaux-étatistes dans les rangs lepénistes, en particulier chez des figures comme Bruno Bilde ou Jean-Philippe Tanguy.
Le Sénat, autre terrain de combat, est toujours aux mains d’une majorité de droite classique, principalement LR. Là encore, Hanane Mansouri sera en première ligne pour obtenir des accords sur les textes clefs. Si l’Assemblée conserve le dernier mot, les freins du Sénat pourraient ralentir les ambitions du gouvernement.

Avec Stanislas Rigault comme porte-parole, et Hanane Mansouri à Matignon, le gouvernement Knafo place deux très jeunes figures de la droite nationale aux postes les plus visibles de la communication politique. L’un incarne la stratégie, l’autre l’ancrage parlementaire.
Son nom ne cesse de monter, et Éric Ciotti entend bien faire d’elle un des visages de son mouvement, et du rassemblement des droites. Avec un poste aussi stratégique que les relations avec le Parlement, l’UDR compte bien faire figure de passerelle entre Reconquête et le RN.

Hôtel de Matignon, Paris, le jeudi 10 juillet, 10h41

Ministre d'Etat, Ministre de la Sécurité intérieure: JEAN MESSIHA (Reconquête)



C’est une nomination qui va faire parler. En plaçant Jean Messiha à la tête d’un Ministère d’État élargi à la Sécurité intérieure, Sarah Knafo marque un tournant sécuritaire affirmé, assumé, et sans ambiguïté.

Né en Égypte, arrivé en France dans son enfance, ancien haut fonctionnaire, passé par l’ENA et les cabinets ministériels sous la droite classique, Jean Messiha a rompu depuis longtemps avec les codes de la technocratie. Porte-voix du camp identitaire, il s’est imposé depuis 2020 comme un idéologue offensif, partisan de la théorie du « grand remplacement », convaincu que la France fait face à une submersion migratoire et civilisationnelle. Jean Messiha se présente comme un patriote assimilé, opposé à toute forme de communautarisme. Mais ses positions fracassantes sur l’islam – qu’il juge « incompatible avec la République » – et son usage décomplexé de concepts d’extrême droite en ont fait l’un des personnages les plus décriés de la vie politique récente.



Dès la semaine prochaine, Jean Messiha réunira les préfets, les responsables des forces de l’ordre et les chefs d’administration pénitentiaire autour d’un plan de Reconquête de l’ordre public. Son ambition : identifier 150 zones de non-France, et y déployer des unités mixtes police/armée, sur le modèle salvadorien de Nayib Bukele, devenu une référence pour le nouveau ministre.
En juillet 2023, il avait fait scandale en lançant, via GoFundMe, une cagnotte en soutien à la famille du policier ayant tué Nahel Merzouk. Plus d’un million d’euros avaient été collectés en quelques jours, suscitant la stupeur à gauche. Selon nos informations, il devrait rapidement mettre en place durant l’été une présomption de légitime défense pour les forces de l’ordre et l’instauration d’une défense excusable pour les citoyens victimes d’agressions.

Jean Messiha incarne sans détour la doctrine zemmourienne d'autorité et d'identité. Il a promis la fin du laxisme, la restauration de la souveraineté intérieure et un traitement sans complaisance ni excuse sociologique ou raciale des violences urbaines, des trafics, et de la criminalité. Il a également indiqué être prêt à déployer l’armée ponctuellement en appui aux forces de l’ordre dans certains quartiers sensibles, en invoquant l’article 36 de la Constitution en cas de menace grave à l’ordre public.

Tu peux dire "juif" le cuck pro-palestine néo nazi

Et à tous les coups il soutient le régime des terroristes islamistes iraniens

Je suis pour aucun camp et le nazism est juif donc c'est toi le toi le cuck pro zemmour avec @Springbok

Nazi = juif pour toi ?

Adolf Jacob Hitler et la république weimar ont utilisé "l'antisemitsm" pour manipuler les allemands et je rappel que la ww2 en Europe a été créer pour détruite et déstabiliser l'Europe et la majorité des victimes été des goys européen