[FIC] Tout donne raison à ERIC ZEMMOUR 🇫🇷

J’ai tout lu la suite putain !!!!!

T’en penses quoi ?

Que j’en veux encore plus putain !

Laisse moi le droit de rêver à cette France

Faut que tu lâches plusieurs blocs là. Pas au compte goutte

C’est cool d’avoir des retours

Demain résultat des législatives ça va swinguer

Oh shit.

J’ai lancé la fic il y a deux jours ça avance pas mal pour le liement quand même

Je découvre que maintenant. Autant te dire que je suis sur ma faim là

N’hésite pas à passer et commenter.

Que penser sinon du duo Zemmour à l’Élysée et Knafo à Matignon ?

Et des différentes alliances ?

Ba moi je rêve d’un parti comme ça qui dirige la France. Sans courbette aux europeistes et à la gauche

Une police a l’américaine qui peut protect and serve sans avoir peur de finir en taule.

Des prisons qui ressemblent à des vrais prisons. L’impression de se lever le matin en allant bosser en ayant l’impression d’être dans un pays qui se relève et qui se reconstruit.

Je bois du petit lait.

Du Bukelo-Trumpisme en soit

🏛️ Elections législatives 29 juin et 6 juillet 2025 – Résultats





Reconquête (160 sièges) et le Rassemblement National (156 sièges)



C’est une grande victoire pour l’extrême droite qui cumule 316 députés mais la répartition quasiment égalitaire des sièges au Palais Bourbon va forcément conduire à une entente entre deux formations rivales depuis l’apparition de Reconquête en 2021. Zemmour dispose des moyens pour gouverner sans coalition, avec une majorité disciplinée. Mais les rivalités internes (Knafo vs Bardella, technos vs populistes, RN vs Reconquête, Nord vs Sud, Identitaire vs Populiste) pourraient ressurgir dans les mois à venir.

Fort de la victoire présidentielle et des accords de Matignon entre Knafo et Bardella, Reconquête rentre pour la première fois à l’Assemblée, et pas qu’un peu. Avec 160 sièges, ils remportent les élections législatives avec le RN. Beaucoup d’inconnus mais aussi des figures plus médiatiques rentrent sous l'étiquette Reconquête: Jean-Eudes Gannat (44), Stanislas Rigault (84), Xavier Lemoine (93), Marie-Hélène Bompard (84), Hilaure Bouyé (78), Damien Rieu (69), le retour de Gilbert Collard au sein du parti (30) et surtout de Reine Thaïs d’Escufon (31).



Le RN progresse encore à l’Assemblée nationale, gagnant 17 sièges en douze mois. Avec Marine Le Pen inéligible, le groupe parlementaire devra se trouver un nouveau président de groupe alors que Sébastien Chenu est fortement pressenti pour être élu au perchoir.

L’UDR de Ciotti progresse lui aussi passant de 16 à 19 députés. Surtout, ils seront plus enclin que le RN à suivre la ligne économique portée par Sarah Knafo.

Jean-Philippe Tanguy est réélu comme député de la Somme alors que Marion Maréchal fait son retour à l’Assemblée nationale en remportant la deuxième circonscription des Hautes-Alpes à Briançon, haut point stratégique de passage des migrants.

Nouveau Front Populaire (138 sièges) — Une gauche résiliente, première opposition



Malgré un contexte défavorable (présidence Zemmour, dissolution surprise), le Nouveau Front Populaire résiste et confirme son ancrage dans les grandes villes, les banlieues populaires et une partie des outre-mer.

LFI (65) : Premier groupe de la gauche, Jean-Luc Mélenchon conserve sa capacité de nuisance parlementaire. Très implanté dans les métropoles et les zones à forte population immigrée.

PS (43) : Le PS se maintient, toujours sous perfusion de la France Insoumise, sinon il connaîtrait sans doute le même destin que les Républicains.

EELV (15) et PCF (6) : Marginalisés, mais présents dans certains territoires emblématiques (Grenoble, Montreuil, Ivry, Saint-Denis). Faible influence dans la recomposition à venir. L’échec de Marine Tondelier à l’élection présidentielle – 3,6 % des voix – a laissé des traces profondes dans le camp écologiste. Malgré leur participation au nouveau cartel du Front populaire, les Verts n’ont pas réussi à s’éviter une saignée électorale. Résultat : Les Écologistes obtiennent seulement 15 députés, de justesse le seuil nécessaire pour constituer un groupe parlementaire.

Outre-mer (9) : Des élus de gauche autonomistes, indépendantistes ou progressistes (Réunion, Guyane, Martinique) qui formeront un groupe parlementaire commun avec les communistes (Gauche Démocrate et Répulicaine).

Ensemble pour la République (103 sièges) — La déroute continue



L’ancien bloc présidentiel sauve les meubles, mais sort très affaibli. Le centre devient marginal passant de 250 députés en 2022 à 166 députés 2024 et désormais 103 députés en 2025.

Ensemble (64) : Gérald Darmanin, Gabriel Attal, Aurore Bergé, Charles Rodwell et Prisca Thevenot sont réélus, mais le groupe n’a plus d’élan. La Macronie se doit de trouver une nouvelle figure politique majeure pour continuer d’exister.

MoDem (19) et Horizons (20) : Ces groupes sauvent quelques places grâce à leur ancrage local (Bayrou à Pau, Philippe au Havre), mais à l’image de la coalition, ils perdent de nombreux députés.

Les Républicains (9 sièges) — L'effondrement



C’est une débâcle historique. Le parti gaulliste ne survit qu’en tant que relique.
Les rares rescapés viennent de fiefs locaux puissants (Loire, Yvelines, Ain) ou de circonscriptions rurales peu polarisées.
Les Républicains apparaissent comme laminés entre Reconquête et Renaissance.

Ils n’auront pas de groupe parlementaire seuls (il faut 15 députés), Gérard Larcher (Président des Républicains) et parmi les députés élus (Vincent Jeanbrun, Emilie Bonnevard, Philippe Gosselin) appellent à une coalition parlementaire avec Horizon de Edouard Philippe. Rejoindre un autre groupe est vital pour exister : temps de parole, amendements, questions au gouvernement, financement, etc. En rejoignant Horizons, ils évitent la relégation aux non-inscrits, véritable purgatoire.

Mais cela peut effectivement être vu comme la fin de l’autonomie politique des LR, surtout que certains cadres historiques (Wauquiez, Bellamy) ne veulent pas d’OPA philippiste. D’autres, comme Jean Rottner ou Xavier Bertrand, plus modérés, pourraient au contraire y voir un tremplin vers la reconstitution d’une grande droite de gouvernement avec en point de mire les élections municipales de 2026.

Ce groupe pourrait servir de laboratoire pour ce que certains rêvent de recréer : une sorte de nouvelle UMP, rassemblant les modérés de droite, post-macronistes et gaullistes républicains.

LIOT (11 sièges) — Territoires et Outre-mer



Le groupe LIOT, mêlant régionalistes, territoires ruraux, et outre-mer, reste vivant mais sans pouvoir d’influence réel n’ayant plus la capacité de former un groupe parlementaire alors qu’ils étaient 16 en 2022 et 21 en 2024.

Charles de Courson est battu dans sa circonscription de la Marne.

Des anciens Républicains se sont fait élire sous une autre étiquette : Aurélien Pradié (Lot) et Jean-Yves Bony (Cantal) siègeront au sein du groupe parlementaire LIOT.

Parmi les 11 députés LIOT, on retrouve 7 députés ultramarins, 1 Corse, 1 Breton, 1 Lotois et 1 Auvergnat.

Estelle Youssouffa est réélu à Mayotte sans candidat RN face à elle et se dit prête à travailler intelligemment avec le nouveau gouvernement si cela permet de sortir l’île hippocampe de la misère, de l’insécurité et de la submersion migratoire.

La suite !

J’ai posté les résultats des législatives

J'ai hâte

Au-dessus !

C'est très intéressant