Ce sujet a été résolu
Une fic similaire mais plus crédible avec Bardella Président
Oui j'ai vu
Mais celle la est crédible aussi avec Zemmour qui bat tout le monde en débat etc
Au pire tu avances dans le temps et tu trouves un moyen de mettre Bardella Président quel que soit le prix que la France de ce monde fictive subit
Mais celle la est crédible aussi avec Zemmour qui bat tout le monde en débat etc
Au pire tu avances dans le temps et tu trouves un moyen de mettre Bardella Président quel que soit le prix que la France de ce monde fictive subit
il y a 8 jours
đ«đ·đđș Ăric Zemmour effectuera son premier voyage prĂ©sidentiel en Hongrie pour 3 jours. Programme : accueil officiel Ă Budapest par Viktor Orban, visite du Parlement, dĂ©placements en province et inspection de la frontiĂšre serbe.
il y a 7 jours
Ălu le 8 juin 2025, Ăric Zemmour a promis Ă ses Ă©lecteurs un choc salutaire, une rupture assumĂ©e. Le 16 septembre marquera ses 100 premiers jours Ă lâĂlysĂ©eâŻ: un horizon quâil a fixĂ© comme premiĂšre Ă©chĂ©ance symbolique pour remettre la France sur les rails.
Un mois aprĂšs son investiture, le cap est dĂ©sormais fixĂ©. Son premier mois de mandat a Ă©tĂ© consacrĂ© Ă trois prioritĂ©sâŻ: la constitution de son cabinet prĂ©sidentiel, la nomination dâun gouvernement resserrĂ©, lâorganisation des Ă©lections lĂ©gislatives et surtout la prĂ©paration et la rĂ©daction du grand rĂ©fĂ©rendum sur lâimmigration, en pleine collaboration avec le Rassemblement National.

Le rĂ©fĂ©rendum historique sur lâimmigration, organisĂ© dĂšs le 6 juillet, a reçu une large validation populaire (69% des suffrages exprimĂ©s). Il fixe le cap dâune politique migratoire de rupture qui prĂ©voit notammentâŻ:
- Suppression du droit du sol,
- Restrictions drastiques au regroupement familial,
- Conditions dâintĂ©gration renforcĂ©es pour titres de sĂ©jour et nationalitĂ©,
- Moratoire immédiat sur les naturalisations,
- Retrait de la France du Pacte de Marrakech,
- Réinstauration du délit de séjour irrégulier,
- Fin du dispositif des «âŻmineurs isolĂ©sâŻÂ»,
- Suppression de lâAide MĂ©dicale dâĂtat (AME)
- Interdiction dĂ©finitive des rĂ©gularisations dâĂ©trangers entrĂ©s illĂ©galement.
Ce texte nâest plus une promesseâŻ: il est dĂ©sormais validĂ© par les Français, et le gouvernement doit le mettre en Ćuvre dans les 90 jours qui viennent.
En parallĂšle, il y avait un second rĂ©fĂ©rendum relatif Ă la modification de lâarticle 55 de la Constitution pour Ă©tablir la primautĂ© des lois françaises sur les normes europĂ©ennes, le « oui » lâa emportĂ© avec 57 % des suffrages. Eric Zemmour a prĂ©venuâŻ: «âŻLe peuple français a votĂ©, câest la loi suprĂȘmeâŻÂ». ConsĂ©quenceâŻ: des nĂ©gociations tendues sâouvrent avec Bruxelles sur la primautĂ© des lois françaises sur le droit europĂ©en. Sarah Knafo, PremiĂšre ministre, est chargĂ©e de piloter ces nĂ©gociations, tout en prĂ©parant la loi constitutionnelle affirmant la primautĂ© du droit national, sur le modĂšle polonais ou hongrois.

Dans le mĂȘme temps, Ăric Zemmour a ordonnĂ© Ă ses ministres de prĂ©parer six mesures urgentes, prioritĂ© absolue du gouvernement pour cet Ă©tĂ© et la rentrĂ©eâŻ:
1ïžâŁ RĂ©tablissement des frontiĂšres nationales avec contrĂŽles systĂ©matiques malgrĂ© la libertĂ© de circulation au sein de lâespace Schengen.
2ïžâŁ Allocation de solidaritĂ© nationale rĂ©servĂ©e aux FrançaisâŻ: RSA, APL et aides diverses seront strictement rĂ©servĂ©es aux nationaux.
3ïžâŁ Interdiction du voile dans lâespace public, mesure attendue et assumĂ©e qui promet dâalimenter la bataille juridique.
4ïžâŁ RĂ©duction de la CSG et du taux dâImpĂŽt sur les SociĂ©tĂ©sâŻ: de 25âŻ% Ă 15 ou 20âŻ% dans un premier temps, pour redonner de lâair Ă lâĂ©conomie.
5ïžâŁ Classes de niveau au collĂšge et au lycĂ©e dĂšs la rentrĂ©e, pour «âŻrĂ©tablir lâĂ©mulation et la disciplineâŻÂ» selon Marion MarĂ©chal, nouvelle ministre de lâĂducation.
6ïžâŁ Mener la guerre contre le wokisme, avec un plan interministĂ©riel pour extirper cette idĂ©ologie des programmes scolaires, des formations publiques et des subventions culturelles.
Pour Ăric Zemmour, la stratĂ©gie est claire. Dans ses motsâŻ: «âŻNous luttons contre trois maux qui dĂ©truisent notre paysâŻ: lâislam qui se rĂ©pand, les impĂŽts qui Ă©crasent et le niveau scolaire qui sâeffondre.âŻÂ» Son entourage ne cache pas quâil sâinspire des 100 premier jours du premier mandat de Donald Trump, avec une intensitĂ© de rĂ©formes et une communication de rupture. Ăric Zemmour veut que chaque promesse se traduise en actes dâici le 16 septembre. Sarah Knafo, en cheffe de gouvernement intraitable, a prĂ©venuâŻ: « Nous ferons en 100 jours ce que dâautres nâont pas osĂ© en 30 ans. » Ce premier mois nâĂ©tait quâun prĂ©ambuleâŻ: lâĂ©tĂ© sera brĂ»lant.
il y a 7 jours
Paris, Avenue des Champs Elysées, le 14 juillet 2025 à 17h15
Pour son premier 14 juillet en tant que prĂ©sident, Ăric Zemmour a imposĂ© sa vision dâune France fiĂšre et combative, portĂ©e par un dĂ©filĂ© militaire aux accents patriotiques et une diplomatie audacieuse. Ălu dans le sillage dâune crise politique majeure ayant secouĂ© le pays, il a transformĂ© cette fĂȘte nationale en un symbole de sa « reconquĂȘte » : hommage appuyĂ© aux anciens combattants dâAlgĂ©rie, mise Ă lâhonneur des soldats des opĂ©rations extĂ©rieures (OPEX), et un dĂ©jeuner dâĂtat cĂ©lĂ©brant le terroir français, en prĂ©sence dâinvitĂ©s internationaux soigneusement choisis.

Sous un ciel dâazur, les Champs-ĂlysĂ©es vibraient au rythme des tambours et des claquements de bottes. Le soleil faisait scintiller les baĂŻonnettes des lĂ©gionnaires et les casques des cadets de Saint-Cyr, tandis que la foule, massĂ©e derriĂšre les barriĂšres, agitait des drapeaux tricolores par centaine. Pour la premiĂšre fois, le dĂ©filĂ© sâouvrait sur un hommage solennel aux anciens combattants dâAlgĂ©rie, un geste inĂ©dit voulu par Zemmour pour rĂ©habiliter ceux quâil qualifie de « soldats trop longtemps oubliĂ©s ». En tĂȘte du cortĂšge, les reprĂ©sentants dâassociations dâanciens dâAlgĂ©rie, cheveux blanchis et mĂ©dailles Ă©pinglĂ©es, avançaient avec une dignitĂ© Ă©mouvante, leurs drapeaux claquant au vent.
Dans la tribune officielle, installĂ©e sous lâArc de Triomphe, Zemmour et ses invitĂ©s â dont Viktor OrbĂĄn, Giorgia Meloni, Donald Trump, Javier Milei, Nayib Bukele, le roi du Maroc Mohamed VI, et le chancelier allemand Friedrich Merz â se levĂšrent pour saluer leur passage. « Ils ont servi la France, ils ont droit Ă la reconnaissance et Ă lâhonneur », dĂ©clara Zemmour dans son allocution, sa voix rĂ©sonnant sur lâavenue.
La foule, Ă©lectrisĂ©e, rĂ©pondit par une ovation, bien que des sifflets isolĂ©s, vite Ă©touffĂ©s, se fissent entendre dans les rangs de spectateurs plus critiques. Un incident marqua le dĂ©filĂ© : alors que les unitĂ©s de la LĂ©gion Ă©trangĂšre dĂ©filaient, un groupe de manifestants, brandissant des pancartes dĂ©nonçant âle fascisme rampantâ, tenta de franchir les barriĂšres prĂšs de la place de lâĂtoile. Les forces de lâordre, dĂ©ployĂ©es en nombre, intervinrent rapidement, dispersant les protestataires sous les regards tendus des officiels. Zemmour, impassible, murmura Ă Meloni: « La France qui rĂ©siste nâaime pas quâon cĂ©lĂšbre sa grandeur. » Dans certaines tribunes, des cris de « Vive lâAlgĂ©rie française ! » et « OAS OAS OAS ! » fusĂšrent, sans intervention des forces de lâordre, des slogans controversĂ©s repris en boucle par BFM TV, suscitant un vif dĂ©bat mĂ©diatique.

Le dĂ©filĂ© mit Ă©galement en lumiĂšre les soldats et vĂ©tĂ©rans des opĂ©rations extĂ©rieures, des théùtres afghan, malien et centrafricain. Des dĂ©tachements symboliques, portant les couleurs des unitĂ©s dĂ©corĂ©es, dĂ©filĂšrent sous les applaudissements. Un char Leclerc, ramenĂ© du Sahel, roulait lentement, son blindage marquĂ© par les rigueurs du dĂ©sert, tandis que des pilotes de Rafale survolaient lâavenue dans un rugissement assourdissant, traĂźnant des fumĂ©es tricolores.
Dans son discours, Zemmour rendit hommage Ă ces hommes et femmes qui ont portĂ© lâhonneur de la France loin de ses frontiĂšres. Il annonça des mesures concrĂštes : une augmentation des soldes et des pensions, une meilleure prise en charge des blessĂ©s physiques et psychologiques, et un soutien renforcĂ© aux familles endeuillĂ©es. LâarmĂ©e est lâĂ©pine dorsale de la Nation, une Ă©cole de patriotisme, suscitant lâapprobation de Donald Trump, qui applaudit, et de Giorgia Meloni, assise Ă sa gauche. Le dĂ©filĂ© reflĂ©tait la nouvelle orientation diplomatique de Zemmour. Les armĂ©es hongroise et italienne, invitĂ©es en dĂ©lĂ©gation, dĂ©filĂšrent aux cĂŽtĂ©s des troupes françaises, symbolisant lâalliance avec les gouvernements souverainistes dâOrbĂĄn et de Meloni. Lâabsence notable de contingent allemand, malgrĂ© la prĂ©sence du chancelier Merz, soulignait la volontĂ© de privilĂ©gier un axe franco-italien et hongrois face Ă lâinfluence de Berlin.

AprĂšs le dĂ©filĂ©, Zemmour convia ses invitĂ©s, ses ministres et les hauts gradĂ©s Ă un dĂ©jeuner officiel Ă lâĂlysĂ©e, conçu comme une ode au terroir français. « Pas un plat, pas un verre de vin, pas une recette qui ne soit française », avait-il insistĂ©. Le menu, servi dans la salle des fĂȘtes sous les lustres de cristal, mettait Ă lâhonneur les saveurs nationales :
đ„ ApĂ©ritif : Champagne grand cru, gougĂšres au comtĂ©, tapenade noire dâolives de Nyons.
đ„ EntrĂ©e : PĂątĂ© en croĂ»te landais au foie gras, salade de haricots verts fins.
đ„© Plat : Filet de bĆuf limousin rĂŽti, sauce au vin de Bordeaux, gratin dauphinois, lĂ©gumes anciens.
đ§ Fromages AOP : Roquefort, ComtĂ© 24 mois, Crottin de Chavignol, Camembert fermier.
đ Dessert : Fraises de Carpentras au sucre, mille-feuille traditionnel.
đ· Vins : Sancerre blanc, MĂ©doc et Armagnac.
Les discussions, animĂ©es, portĂšrent sur la refonte de lâEurope et la sĂ©curitĂ© mondiale. Trump, levant son verre de MĂ©doc, plaisanta : « Ăric, cette France-lĂ , je lâaime ! » Bukele, impressionnĂ© par lâorganisation militaire, Ă©voqua une possible coopĂ©ration avec la France sur les questions sĂ©curitaires. Meloni, quant Ă elle, insista sur une rĂ©forme des traitĂ©s europĂ©ens, un point repris par Zemmour avec ferveur.
Dans son discours final, prononcĂ© depuis le perron de lâĂlysĂ©e, Zemmour rĂ©suma sa vision : « Ce 14 juillet, ce nâest pas seulement la fĂȘte de la RĂ©publiqueâŻ: câest la fĂȘte de la France combattanteâŻ, celle qui ne veut pas mourir, fiĂšre de son histoire et de sa civilisation. Notre armĂ©e nâest pas seulement une force de dĂ©fense, mais le creuset dâun patriotisme vivant, celui de Jeanne dâArc, de Bayard, de NapolĂ©on. Ensemble, nous ferons renaĂźtre cette France Ă©ternelle ! »
il y a 6 jours
đđș Budapest, le 20 juillet 2025 Ă 18h54
Eric Zemmour a embarquĂ© pour la premiĂšre fois Ă bord de lâavion prĂ©sidentiel de la RĂ©publique. Le rĂ©cent PrĂ©sident a optĂ© pour un long weekend de trois jours Ă Budapest en Hongrie, alors que la tradition diplomatique aurait voulu un premier voyage Ă Berlin ou Bruxelles. Ce choix sâinscrit dans une logique de cohĂ©rence avec son programme prĂ©sidentiel, qui promettait de redonner Ă la France sa souverainetĂ© et de sâattaquer aux dĂ©fis migratoires avec une fermetĂ© jamais vue depuis des dĂ©cennies. Il a Ă©tĂ© reçu avec tous les honneurs par le Premier Ministre hongrois Viktor OrbĂĄn qui lâattendait au bas des marches de la passerelle. Quand leurs mains se serrĂšrent, fermes, prolongĂ©es, les camĂ©ras crĂ©pitĂšrent. Dans ce geste, câĂ©tait un pacte qui se nouait : deux hommes, deux visions, un mĂȘme combat contre ce quâils nommaient la dissolution des nations.
« Bienvenue en Hongrie, Monsieur le Président », lança Orbån dans un français impeccable.
Zemmour esquissa un sourire. « Je suis ici chez un ami. »
Ils traversĂšrent Budapest sous escorte, la ville resplendissante de lumiĂšre et de toits rouges. Les ponts jetĂ©s sur le Danube semblaient porter le poids dâune histoire millĂ©naire. Le soir mĂȘme, un dĂźner officiel fut organisĂ© dans les salons nĂ©o-baroques du chĂąteau de Buda. Les dorures luisaient comme un avertissement adressĂ© Ă la modernitĂ© fade. Les toasts se succĂ©dĂšrentâŻ; OrbĂĄn parlait de lâEurope des nations, Zemmour de lâEurope des peuples libres. Le vin hongrois coulait dans les verres de cristal.

La route filait droit dans la campagne brĂ»lĂ©e par lâĂ©tĂ©. Le paysage s'aplanit Ă lâinfini, champs blonds, bosquets maigres, fermes isolĂ©es. Enfin, surgit la ligne froide et impitoyable du murâŻ: barbelĂ©s entremĂȘlĂ©s dâacier, camĂ©ras, miradors. Zemmour descendit du vĂ©hicule, mains croisĂ©es dans le dos, le visage sĂ©vĂšre. Ă ses cĂŽtĂ©s, OrbĂĄn sâanimait, montrait les dispositifs. Des policiers hongrois patrouillaient, fusils en bandouliĂšre, leurs bottes soulevant la poussiĂšre. Un officier hongrois exposa les chiffresâŻ: « Plus de 200âŻ000 tentatives stoppĂ©es. Câest ici quâon dĂ©cide qui entre en Europe. » Zemmour resta silencieux. Son esprit Ă©tait en FranceâŻ: Calais, Mayotte, Briançon, les citĂ©s bouillantes, les routes oĂč lâon parlait mille langues. Ce mur⊠pensa-t-il. Froid, efficace, haĂŻ. Mais il fonctionne.
Puis, presque sur commande, un cri retentitâŻ: « Mouvement dĂ©tectĂ©âŻ! »
Les projecteurs sâallumĂšrent, rĂ©vĂ©lant des silhouettes efflanquĂ©es, traquĂ©es. Les policiers encerclĂšrent sans violence excessive, mais sans mĂ©nagement. Les migrants, syriens et afghans pour la plupart, Ă©taient repoussĂ©s sans vergogne. Le colonel hongrois, satisfait, claqua les ordres. OrbĂĄn se tourna vers Zemmour, un sourire dâacier aux lĂšvres. « Vous voyezâŻ? La frontiĂšre nâest pas un concept, câest du bĂ©ton, du barbelĂ©, et des hommes prĂȘts Ă la dĂ©fendre. » Zemmour hocha la tĂȘte.

Loin des projecteurs, Zemmour et OrbĂĄn se retrouvĂšrent le lendemain matin dans lâintimitĂ© des thermes SzĂ©chenyi, lâun des joyaux de Budapest. Les vapeurs des bassins extĂ©rieurs, chauffĂ©s Ă 38°C, sâĂ©levaient dans lâair frais, enveloppant les deux hommes dans une brume apaisante. Les mosaĂŻques colorĂ©es et les statues nĂ©o-baroques du complexe donnaient une touche de grandeur Ă ce moment de dĂ©tente. Assis dans lâeau chaude, en maillots de bain, ils Ă©changeaient avec une camaraderie rare pour des chefs dâĂtat. « Câest ici, dans ces eaux, que lâon sent lâĂąme de Budapest », plaisanta OrbĂĄn, Ă©claboussant lĂ©gĂšrement Zemmour, qui rĂ©pondit par un sourire. Leur discussion, plus informelle, porta sur les stratĂ©gies pour contrer les pressions de Bruxelles et rallier dâautres nations Ă leur cause.
AprĂšs cette parenthĂšse, les deux dirigeants, entourĂ©s dâune discrĂšte escorte, entreprirent une promenade le long du Danube, sous le ciel clair de lâaprĂšs-midi. Le fleuve, scintillant sous les rayons du soleil, sĂ©parait Buda et Pest, avec le Parlement et le Pont des ChaĂźnes en toile de fond. Les passants, parfois surpris de reconnaĂźtre les deux hommes, chuchotaient avec curiositĂ©.

Le lendemain, dans la salle majestueuse du Parlement hongrois, sous les dorures et les fresques Ă©voquant la grandeur de lâEmpire austro-hongrois, Zemmour prit la parole face Ă une assemblĂ©e conquise.. Accueilli par des applaudissements nourris des dĂ©putĂ©s du Fidesz, il livra un discours vibrant, mĂȘlant rĂ©fĂ©rences historiques et vision dâavenir dont il a le secret.
« Mesdames et Messieurs, câest un honneur de mâexprimer dans ce lieu oĂč bat le cĆur de la Hongrie indomptable. Il y a un siĂšcle, lâEmpire austro-hongrois unissait nos peuples dans une mosaĂŻque de cultures, portĂ©e par une foi commune en la souverainetĂ© des nations. La France et la Hongrie, liĂ©es par des siĂšcles dâamitiĂ© â des croisades aux luttes contre lâEmpire ottoman â se retrouvent aujourdâhui pour dĂ©fendre un idĂ©al partagĂ©. Nous refusons que nos patries soient dissoutes dans le magma mondialiste imposĂ© par Bruxelles ! » Il marqua une pause, son regard balayant lâassemblĂ©e. « LâEurope nâest pas une bureaucratie sans Ăąme, mais un hĂ©ritage vivant, forgĂ© par des siĂšcles de foi chrĂ©tienne et de combats pour la libertĂ©. Sous votre conduite, Monsieur le Premier ministre, la Hongrie a montrĂ© la voie : protĂ©ger ses frontiĂšres, câest protĂ©ger son Ăąme. Ensemble, France et Hongrie, comme deux sĆurs dâarmes, bĂątirons une Europe des nations, libre et souveraine ! »
Les applaudissements Ă©clatĂšrent, certains dĂ©putĂ©s se levant pour ovationner Zemmour. OrbĂĄn, au premier rang, hocha la tĂȘte avec approbation, conscient que ce discours marquerait un tournant dans la diplomatie europĂ©enne.
il y a 6 jours
Mais ayaaa la description du déjeuner
Ăi chĂșa cá»§a tĂŽi, mon Capitaine, il a cassĂ©, n'a pas payĂ©.
il y a 5 jours
Belle uchronie clef, il y a un passage sur les associations gauchistes qui ce font tabasser par les CRS et chiale sur twitter ?
Ou un passage oĂč on coule les bateaux des ong puis on fou en prison ceux qui y bosser avec la diversitĂ© qu'ils aiment tant ?
Ou un passage oĂč on coule les bateaux des ong puis on fou en prison ceux qui y bosser avec la diversitĂ© qu'ils aiment tant ?
il y a 5 jours
Si seulement câĂ©tait vrai
On attend lâhomme providentiel
Ou que les Français se réveillent
Ou que les Français se réveillent
il y a 5 jours
DeLattre
5j
Mais ayaaa la description du déjeuner
Cela tâa donnĂ© faim de bon matin ? đ„© đ„Ź đ§ đ
il y a 5 jours
Springbok
1 mois
En hommage Ă Jean-Marie Le Pen, Charles Pasqua et Marie-France Garraud
Palais de lâElysĂ©e, Paris, le lundi 5 mai 2025
Câest un sĂ©isme politique qui secoue la France ce matin. Emmanuel Macron, PrĂ©sident de la RĂ©publique depuis 2017, a annoncĂ© sa dĂ©mission hier soir lors dâune allocution solennelle depuis lâĂlysĂ©e. En 2024, la France a connu une crise politique inĂ©dite sous la CinquiĂšme RĂ©publique qui survient sur fond de crise sociale et de forte inflation.
AprĂšs la victoire du Rassemblement National aux Ă©lections europĂ©ennes, la crise dĂ©bute par la dissolution de l'AssemblĂ©e nationale dĂ©cidĂ©e par Emmanuel Macron en juin, aussitĂŽt suivie par des Ă©lections lĂ©gislatives anticipĂ©es. Celles-ci ont pour rĂ©sultat un parlement minoritaire, soit une situation oĂč aucun des courants politiques n'a la majoritĂ© absolue. L'AssemblĂ©e nationale est ainsi inhabituellement Ă©clatĂ©e entre trois grands ensembles et deux autres groupes plus petits (LR et Liot).
à la suite de la démission du gouvernement Attal, une période de deux mois sans gouvernement a lieu, chose inédite depuis 1832. Début septembre, le président de la République nomme Michel Barnier Premier ministre. Celui-ci forme un gouvernement minoritaire soutenu par l'ancienne majorité macroniste et Les Républicains, qui chute au bout de trois mois aprÚs avoir engagé sa responsabilité sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Le 13 dĂ©cembre, dix jours aprĂšs le vote de la motion de censure, François Bayrou est nommĂ© Ă Matignon pour tenter de dĂ©nouer la crise politique. Au dĂ©but du mois dâavril, il annonce vouloir mettre en place une TVA sociale afin dâallĂ©ger les charges sociales pour les employeurs et les salariĂ©s. La gauche crie Ă lâinjustice. Le RN nâa pas traĂźnĂ© non plus: « Câest une trahison du pouvoir dâachat, une insulte aux classes moyennes et aux Français modestes. Ce nâest pas aux Français de faire des efforts. Il y a des Ă©conomies Ă faire ailleurs avant de demander encore des efforts aux Français. », tonne Marine Le Pen au 20 heures de TF1.
Le NFP et le RN votent ensemble la motion de censure le 21 avril et fait chuter le gouvernement Bayrou. C'est la deuxiĂšme fois en moins de six mois que le gouvernement est censurĂ©, ce qui Ă©tait arrivĂ© jusqu'Ă maintenant quâune seule fois en 1962 mais Emmanuel Macron refuse la panique. Il tente de reprendre la main. Pendant deux semaines, il consulte, parlemente, nĂ©gocie. Il reçoit de nouveau les socialistes, les centristes, les rĂ©publicains. Comme un air de dĂ©jĂ vu, un jour sans fin. Il cherche Ă constituer un gouvernement technique, dâunion ou de transition. Rien nâaboutit. Le 5 mai, Emmanuel Macron prend la parole depuis lâĂlysĂ©e et annonce sa dĂ©mission.
Il charge alors le PrĂ©sident du SĂ©nat GĂ©rard Larcher dâassurer lâintĂ©rim prĂ©sidentiel et dâorganiser de nouvelles Ă©lections prĂ©sidentielles. Une Ă©lection prĂ©sidentielle doit ĂȘtre organisĂ©e entre 20 et 35 jours aprĂšs la vacance. Le premier tour est fixĂ© au dimanche 25 mai, le second tour au 8 juin conformĂ©ment Ă la constitution.
đ 1er tour: le dimanche 25 mai 2025
đ 2nd tour: le dimanche 8 juin 2025
â ïž Avertissement : ceci est une fiction politique.
Parce que cette fois, ce sera la bonne. AprÚs plusieurs faux départs, plusieurs essais, cette fois-ci, je vais au bout.
Parce que je suis fan dâĂric Zemmour depuis On nâest pas couchĂ© et que j'ai dĂ©vorĂ© tous ses livres â et que je ne me reconnais de moins en moins dans un RN qui balance entre les « misikine » de Tanguy qui demande dans le mĂȘme temps la dissolution des groupes identitaires, les priĂšres islamiques de Rachline Ă FrĂ©jus, et le programme Ă©conomique socialisant de Le Pen-Bardella.
Parce que jâai besoin de libertĂ© pour Ă©crire. Et que cette fois, ça va vraiment swinguer.
Bienvenue dans lâuchronie oĂč Eric Zemmour va devenir PrĂ©sident.
PS: A noter que cette fiction sera appuyée par ma partie sur Geopolitical Simulator 4 (GPS4).
« Vive zemmour »
Les droitardĂ©s qui ont toujours pas compris que tout le monde est pilotĂ© depuis tel-Aviv putain câest fantastique
Les droitardĂ©s qui ont toujours pas compris que tout le monde est pilotĂ© depuis tel-Aviv putain câest fantastique
il y a 5 jours