[FIC] Tout donne raison à ERIC ZEMMOUR 🇫🇷

Qui va lire ça

Et ce n’est pas fini

Cet ennemi des blancs
Le souverainisme et ce nationalisme de restriction nous tueront

Malaise arrête ça fdp

Y a aucun ministre qui vient d'Onche ?

Je vois qu'il y a eu beaucoup d'avancement. Je lirai ça

Le roman de l'été

Bref juif

Disons que ça change des topics homo et trans de d'habitude

Une fic crédible on a dit

N'hésite pas à un faire un retour

Paris, le 10 juillet 2025, 10h10

Garde des Sceaux, Ministre de la Justice: GILLES-WILLIAM GOLDNADEL (CNIP)

Avocat pénaliste de renom, essayiste, chroniqueur régulier sur CNews, Goldnadel incarne une ligne néo-conservatrice affirmée, à la croisée du libéralisme juridique et de la fermeté pénale. Membre du CNIP (Centre national des indépendants et paysans), formation historique de la IVe République, avec René Coty et Antoine Pinay et aujourd’hui ressuscitée dans l’orbite présidentielle. En 1962, la rupture entre les indépendants et les gaullistes se fonde principalement sur trois points : l'Algérie française, le libéralisme économique et les institutions. Concernant l'Algérie, le CNIP n'adhère pas à l'évolution de la question vers un processus d'autodétermination. D'autre part, la politique économique libérale souhaitée par les indépendants se heurterait à l’interventionnisme gaulliste.



Gilles-William Goldnadel devient l’un des cinq piliers régaliens du nouveau gouvernement, aux côtés de Jean Messiha (Intérieur), Louis Aliot (Armées), Philippe de Villiers (Affaires étrangères), et Laurent Wauquiez (Économie et Finances). L’union des droites est réelle au sein des ministères régaliens avec 2 ministres Reconquête, 1 du Rassemblement National, 1 des Républicains et donc 1 au CNIP. En revanche, Gilles-William Goldnadel est le seul à ne pas être nommé Ministre d’Etat parmi les cinq. Peu importe, le chantier est immense en passant derrière les Christiane Taubira, Nicole Belloubet et Eric Dupont-Moretti.



Gilles-William Goldnadel s’est fait connaître par la défense de nombreuses personnalités controversées, mais aussi par ses prises de position tranchées sur les plateaux de télévision, notamment dans l’émission L’Heure des pros sur CNews. D'aussi loin qu'il se souvienne, Gilles-William Goldnadel a toujours été antiwoke. Il est un fervent défenseur de l'autorité judiciaire et critique assumé de ce qu’il appelle le « gouvernement des juges ». La nomination de Goldnadel laisse entrevoir plusieurs axes prioritaires du quinquennat : présomption de légitime défense pour les forces de l’ordre, accélération des procédures pénales, fermeté accrue à l’égard des délinquances violentes, peines planchers, réforme du statut du magistrat, responsabilisation des juges en matière de récidive et lutte renforcée contre les réseaux islamistes. Très engagé sur les questions de sécurité et de souveraineté, il a souvent dénoncé ce qu’il considère comme une forme de laxisme institutionnalisé. Il est également connu pour ses positions très critiques vis-à-vis du Syndicat de la magistrature, auquel il reproche une politisation excessive du pouvoir judiciaire.

On sait mais il peut toujours mettre Volutes ministre du numérique

Paris, le jeudi 10 juillet 2025, 10h17

Ministre de l’Instruction nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Culture: MARION MARECHAL (IDL)

C’est une scène que nul n’aurait imaginée il y a encore quelques mois. Marion Maréchal, désormais à la tête du parti Identité-Liberté, apparenté au RN, entre au gouvernement de Sarah Knafo, nommée ministre d’État, ministre de l’Instruction nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Culture. Un poste central dans le projet de recomposition idéologique porté par l’exécutif. Un retour au premier plan pour l’ancienne députée du Vaucluse, après une traversée du désert qui avait failli la marginaliser pour de bon dans la droite française.
Au sein du Rassemblement National, sa position était de plus en plus fragilisée ces dernières semaines. De nombreux cadres du RN n’avaient pas oublié sa première désertion de 2017, ni ses positions jugées trop libérales économiquement, et similaires à l’idéologie désormais portée par Eric Ciotti et ses députés UDR. En interne, plusieurs élus poussaient depuis quelques semaines à ce qu’Identité-Liberté soit exclue du giron du RN.



En juin 2024, Marion Maréchal quittait brutalement Reconquête, le parti d’Éric Zemmour, quelques jours après les élections européennes, pour se rallier au Rassemblement National lors des législatives anticipées. Le départ, qualifié à l’époque de trahison politique par Eric Zemmour, avait laissé des traces profondes, partant également avec trois des quatres autres députés européens élus, d’autant plus qu’elle est accusée d’avoir vidé les caisses du mouvement avant son départ.
Et pourtant, à peine un an plus tard, les lignes ont bougé. L’alliance de gouvernement entre Reconquête, le Rassemblement National et l’UDR d’Éric Ciotti a conduit à des rapprochements parfois inattendus. Marion Maréchal, forte d’un socle idéologique identitaire et d’une légitimité dans les milieux catholiques et familiaux, arrive rue de Grenelle avec un ministère élargi regroupant à la fois l'Éducation nationale (qui devient Instruction nationale) et l’Enseignement supérieur mais aussi la Culture.
Elle apporte en effet avec elle un relais dans les milieux catholiques, conservateurs, et identiaires qu’elle cultive depuis des années : Versailles, Lyon, la Provence... C’est un message politique fort aux catholiques traditionalistes, surtout dans un exécutif à composante juive (Sarah Knafo, Éric Zemmour, Gilles-William Goldnadel), où certains redoutaient un déséquilibre et une méfiance des milieux catholiques ou identitaires.



Sarah Knafo, désormais cheffe du gouvernement, a pesé dans cette décision malgré les rancœurs passées. Selon nos informations, c’est elle qui aurait convaincu Zemmour d’enterrer la hache de guerre. Elle lui aurait confié que le projet primait sur les rancunes personnelles et le Président aurait fini par reconnaître que sur l’éducation, personne ne porte mieux nos idées que Marion.
Selon nos informations, ​dans l’optique d’un gouvernement d’ouverture, François-Xavier Bellamy aurait aussi été contacté, mais le professeur agrégé de philosophie n’a pas souhaité entrer au gouvernement “pour le moment”.

Fondatrice de la fondation de l'Institut des sciences sociales, économiques et politiques (ISSEP), une école d'enseignement supérieur dont elle était la Directrice générale, elle dispose de la poigne nécessaire pour gérer la fronde (attendue) d’une partie du corps enseignant face au gouvernement d’extrême droite, pour endiguer la chute continue du système public français dans les classements éducatifs, pour reprendre le contrôle sur des établissements supérieurs idéologiquement gangrenés.
À 35 ans, la nièce de Marine Le Pen promet une refondation civilisationnelle de l’École, fondée sur le retour de l’autorité, la revalorisation de l’histoire de France, et une réforme de l’enseignement supérieur jugé trop idéologisé. Côté Culture, elle entend recentrer les financements publics vers la tradition, l’enracinement et la transmission du patrimoine français, loin des délires wokistes qu’elle dénonce.

Paris, le 10 juillet 2025, 10h21

Ministre des Outre-Mer: ESTELLE YOUSSOUPHA (DVD)

Estelle Youssouffa, députée de la 1re circonscription de Mayotte (Liot), a été nommée ministre des Outre-mer. Ce ministère, un temps évoqué comme ministère d’État par Marine Le Pen, ne sera finalement pas élevé à ce rang, malgré ses demandes répétées lors des négociations. Mais Sarah Knafo, artisane du compromis avec le Rassemblement national, a lâché du lest. Dans le programme initial d’Eric Zemmour, les Outre-mer devaient être rattachés au ministère de l’Intérieur. Le choix d’Estelle Youssoupha, Mahoraise, a été très appréciée et validée immédiatement par Marine Le Pen, qui voue un attachement particulier à Mayotte.



Depuis 2018, elle s’est imposée comme une figure majeure du combat contre l’immigration illégale et l’insécurité sur l’île. Youssouffa, qui a notamment dénoncé les Comores sur la scène internationale, a toujours prôné la suppression du droit du sol à Mayotte et un contrôle plus strict des titres de séjour. Elle se distingue par un discours droitier et une politique sans compromis sur la sécurité et l’identité locale. Elle avait appelé à ce que la France envoie aux Comores des fusiliers-commandos pour dynamiter les usines qui fabriquent les Kwassa kwassa, les canots de pêche utilisés pour se rendre sur l'île de Mayotte, de manière illégale. Elle se donne comme revendication de mettre un terme définitif à la coopération avec les Comores.



À Mayotte, on l’appelle “Poutou Mgowa”, le piment oiseau, en langue shimaoré. Le surnom claque, tout comme ses déclarations sans filtre. C’est une passionnée, elle respire, elle vit Mayotte. Estelle Youssouffa, 45 ans, est de celles que l’on n’achète pas. Avant même d’être élue, elle faisait trembler les ministres de passage. Le 22 octobre 2019, c’est elle qui interpelle, avec fermeté mais sans violence, Emmanuel Macron lors d’un déplacement dans l’île. Résultat : interpellée pour rébellion, relaxée définitivement deux ans plus tard.
Pas de quoi l’impressionner. Elle revendique l’héritage des Chatouilleuses, ces héroïnes locales surnommées sorodas wa Maore (« soldats de Mayotte » en français), sont des femmes de Mayotte qui se sont battues, dans les années 1960 et 1970, pour réduire l'influence des autres îles de l'archipel des Comores sur Mayotte et arrimer cette dernière à la République française. Sa propre grand-mère était de ce combat. Aujourd’hui, elle arbore leur châle fleuri, le kishali, sur son épaule gauche comme un étendard d'identité française et de fidélité à la République.



Son parrain politique fut Philippe Séguin, autre homme de caractère, gaulliste et républicain dans la veine sociale. C’est lui qui, le premier, lui tend la main. Youssouffa n’oublie rien : ni l’exigence, ni la probité, ni le sens de l’État. C’est une voix de droite exigeante, identitaire, mais pas caricaturale. Certains la disent radicale ? Elle sourit : « Par rapport aux Chatouilleuses, ce n’est rien. » Son franc-parler et sa défense acharnée de la souveraineté de la France à Mayotte lui valent l’estime… et la crainte.



De manière plus globale, elle veut faire de l’Outre-mer un moteur de croissance en développant les secteurs de l’économie de la mer, les productions agroalimentaires traditionnelles et le tourisme d’excellence ; elle veut aussi renforcer la souveraineté de la France en outre-mer, notamment des ingérences étrangères, en s’appuyant sur notre présence militaire et en renforçant la présence maritime par des patrouilles plus nombreuses et régulières.

Estelle Youssouffa, ministre des Outre-mer, incarne un choix d’ouverture du gouvernement Knafo. Connue pour son engagement sans faille envers les territoires ultramarins, elle a toujours refusé les clivages idéologiques. Le gouvernement conscient des enjeux spécifiques des Outre-mer, a confié à Mme Youssouffa un portefeuille dédié à ce que l’on appelait autrefois les DOM-TOM, lui permettant d’appliquer pleinement la politique qu’elle défend depuis toujours pour Mayotte et l’ensemble des territoires ultramarins.

Mayotte est la France. Et la France, c’est aussi Mayotte.

Paris, le jeudi 10 juillet 2025 à 10h31

Ministre de la Ruralité, de l'Agriculture et des Littoraux: GREGOIRE DE FOURNAS (RN)



Grégoire de Fournas, député Rassemblement national de la Gironde (2022-2024), vigneron et figure enracinée du Médoc, est nommé ministre de la Ruralité, de l’Agriculture et des Littoraux dans le gouvernement de Sarah Knafo. Ce ministère aux contours élargis regroupe désormais la ruralité, l’agriculture, la pêche, la forêt, la chasse, la biodiversité, ainsi que les littoraux. Une nouvelle concession au RN premier soutien des agriculteurs notamment lors du mouvement des agriculteurs débuté en 2024 face à la baisse de leurs revenus, à la hausse des charges, à la concurrence déloyale permise par les accords de libre-échange, à l'empilement des normes lié à une réglementation trop complexe, à la fiscalité, à certains aspects de la réglementation européenne en matière d'agriculture et aux contrôles de l'administration française.



Âgé de 40 ans, Grégoire de Fournas est viticulteur indépendant à Pauillac, dans le Médoc, à la tête du Château Vieux Cassan. Issu d’une lignée parlementaire du XIXe siècle, catholique pratiquant et père de cinq enfants, il incarne une droite rurale assumée, volontiers conservatrice et militant au Bloc Identitaire en tant que cadre de la section girondine. Il est également connu pour sa virulente opposition aux éoliennes et son soutien sans faille à la chasse.



À l’Assemblée, il s’est illustré par lors d’une séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale concernant les actions de l'ONG SOS Méditerranée pour secourir les migrants naufragés en mer. Grégoire de Fournas interrompt la prise de parole du député La France insoumise (LFI) Carlos Martens Bilongo en lançant : « qu'il retourne en Afrique », version transcrite par les huissiers de l'Assemblée dans le compte-rendu de séance. Le groupe RN déclare, plus tard, que la phrase aurait été dite au pluriel (« qu'ils retournent en Afrique »), visant les migrants et non le député. Les propos de Grégoire de Fournas sont jugés racistes notamment par la NUPES, la Première ministre Élisabeth Borne, de nombreux élus de la majorité et les médias.



De Fournas a fait de la défense du vin français un combat personnel. Dès sa nomination, il a annoncé la couleur : le vin n’est pas un produit comme les autres. C’est une part de l’âme française, un pilier de notre civilisation. Il souhaite lever toutes les entraves à sa production, à sa promotion, et mettre fin aux campagnes hygiénistes hostiles à sa consommation. Opposé au Dry January et aux discours culpabilisants portés par certains courants écologistes ou le ministère de la Santé, il prône une consommation responsable mais assumée, et un renversement du discours public sur l’alcool français. Il promet aussi un moratoire sur les éoliennes terrestres, qu’il qualifie de fléau paysager, environnementale et énergétique, et la sanctuarisation de la chasse traditionnelle.

MERCI

Paris, le jeudi 10 juillet 2025 à 10h36

Ministre de la Remigration: ERIK TEGNER

@Zardoz : pilote de ligne



C'était une promesse forte d'Éric Zemmour depuis la présidentielle de 2022 : créer un ministère de la Remigration, en rupture nette avec les positions plus prudentes du Rassemblement national sur l'immigration, qui a abandonné ses fondamentaux. Trois ans plus tard, ce projet se concrétise avec la nomination d'Erik Tegnér, 31 ans, fondateur et le directeur de la rédaction du média Frontières (anciennement Livre noir) et figure montante de la droite identitaire, à la tête de ce nouveau portefeuille qui a pour objectif de faire un repartir un million d’étrangers en cinq ans, au moins, grâce à des charters, et de voir avec les dirigeants de l’Algérie, du Maroc et de Tunisie comment on peut organiser cela rapidement, de gré ou de force . Les clandestins, délinquants et criminels étrangers et “fichés S” étrangers sont visés en priorité tandis que Sarah Knafo revendique une mesure de cohérence et de fermeté.



Né le 15 septembre 1993 à Paris, Erik Tegnér grandit à Quessoy (Côtes-d’Armor) dans une famille ancrée à l’extrême droite. Son prénom et son nom, d’origine scandinave, soulignent son attachement revendiqué à ses racines européennes. Très jeune, il s’intéresse à la politique : en 2011, il adhère au Front national, avant de s’en éloigner, déçu par ce qu’il appelle alors le virage social de Marine Le Pen.

En 2012, il soutient Nicolas Sarkozy, puis rejoint en 2014 l’UMP, rebaptisée Les Républicains. Lors du congrès LR de 2017, il observe une base militante favorable à une alliance avec le FN, mais bridée par la direction. C’est à ce moment-là qu’il devient un militant de l’union des droites, proche de Marion Maréchal, qu’il qualifie de seule chance de survie de LR.
Il est avec est avec Sarah Knafo et François de Voyer l’un des trois organisateurs de la « Convention de la droite » où s’expriment notamment Eric Zemmour et Marion Maréchal ce qu’il lui vaudra son exclusion des Républicains, qu’il dénonce comme une purge stalinienne.



En 2021 avec des proches de Marion Maréchal et Sarah Knafo, Erik Tegnér lance la chaîne YouTube Livre noir, média à la ligne éditoriale conservatrice et identitaire. Son nom fait référence à un ouvrage publié par Éric Zemmour : Le Livre noir de la droite. Il est par ailleurs rémunéré par le Danube Institute, un think tank conservateur hongrois proche de Viktor Orbán.

Tegnér revendique une vision de droite radicale, hostile à l’islamisation, favorable à la remigration, au retour de l’autorité, et à une défense intransigeante de l’identité française et européenne. « Il y a une urgence civilisationnelle », martelait-il en 2018. Il juge la démographie, l’immigration et l’islam comme les trois défis majeurs de la survie occidentale. Devenu ministre de la Remigration, il entend désormais traduire en actes son projet idéologique.
Ce ministère, en plus d’être une revendication symbolique de longue date, marque donc un tournant dans la politique migratoire française, assumée comme telle par Éric Zemmour, qui entend rompre avec 40 ans d’angélisme.




Je partira pas
Si, si, tu partiras
Comme t'es venu
Tu t'en iras
Je partira pas
Si, si, tu partiras
Tu partiras
Tu partiras avec ta Fatma
Pour toi, fini le RSA
Le bateau n'attend pas
Crois-moi, tu partiras

Je partira pas
Si, si, tu partiras
Et plus tôt que tu crois
On t'a assez donné
Maintenant tu peux te casser
Bon débarras
Et ne reviens pas

Wéééééééé !