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PREAMBULE - LES CASTORS DE RETOUR

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:AnyaCastor:
:pere_castor:


Le choc provoqué par le résultat inédit du premier tour — Jean-Luc Mélenchon (23,70 %) contre Éric Zemmour (23,42 %) — provoque un séisme politique, et les consignes de vote se multiplient pour faire barrage à l’extrême droite.

:MelenchonSmallArms:
:Zemmour_chinois:


Marine Tondelier, candidate des Écologistes (3,63 % au premier tour), a été l’une des premières à se positionner dès 20h01 en appelant clairement à voter Mélenchon. Même tonalité chez Nathalie Arthaud (Lutte Ouvrière, 0,46 %), qui, tout en dénonçant la compromission du programme de gauche avec les institutions capitalistes, appelle à barrer la route au fascisme et voter Jean-Luc Mélenchon. François Hollande, depuis son fief de Tulle, appelle aussi à faire barrage à l’extrême droite et à préparer un grand gouvernement de toute la gauche. De François Ruffin à Fabien Roussel, en passant par Olivier Besancenot et Ségolène Royal, ce front commun cherche à contrer l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite.

Jean-Luc Mélenchon lui-même n’a pas hésité à établir un parallèle historique lors d’un meeting : « L’histoire regorge d’exemples où les démocraties n’ont pas su se défendre contre la montée d’un autoritarisme déguisé en patriotisme. Nous devons empêcher que la France de 2023 ne devienne l’Allemagne de 1933. »

:risipetain:


Dominique de Villepin, lui, va encore plus loin. Dans un discours solennel retransmis par France 2, il évoque une menace civilisationnelle que représente Éric Zemmour, dénonçant une idéologie de revanche, de haine et de repli. L’ancien Premier ministre de Jacques Chirac, devenu figure appréciée d’une partie de la gauche pour ses critiques récurrentes envers Israël et la diplomatie occidentale, n’a pas hésité à soutenir Mélenchon.

Plus inattendu, Gabriel Attal, arrivé troisième avec 12,45 % des voix, a fini par prendre la parole après plusieurs heures de silence. « Le moment est trop grave, a-t-il déclaré. J'appelle à voter pour Jean-Luc Mélenchon face à l’extrême droite. Ce n’est pas un choix facile. » Le plus jeune Premier ministre de la République est pourtant réputé éloigné de la galaxie insoumise, justifie son appel par la nécessité de « défendre la République, dans les urnes et au Parlement » et l’appui des Socialistes à la candidature du tribun insoumis qui ne pourra pas gouverner seul.

:Villepin:
:attal5:


De nombreuses organisations de la société civile et du monde associatif, culturel et syndical appellent elles aussi à faire barrage à Zemmour. Parmi elles, la Ligue des droits de l’Homme, Emmaüs, la CGT, Action contre la Faim, Greenpeace, le Syndicat de la Magistrature, le Planning Familial, ou encore Plus de 3 000 scientifiques réunis dans une tribune. Tous dénoncent une « menace sans précédent pour les libertés fondamentales et la peste brune aux portes de l’Elysée ».

Le monde de la culture s’illustre également par une mobilisation spectaculaire : Mathieu Kassovitz, Romane Bohringer, Gilles Lellouche, Jul, Orelsan, Yannick Noah, Bruno Solo, Blanche Gardin, Marion Cotillard, qui espère voir Christiane Taubira à Matignon en cas de victoire, prennent tous position pour Mélenchon. Enfin, le monde du football, rarement aussi unanime, s’invite dans le débat. Kylian Mbappé, Marcus Thuram, Lilian Thuram ou encore Vikash Dhorasoo appellent à rejeter Éric Zemmour dans les urnes.

:thuram:
:Mbappe_consterner:


Chems-Eddine Hafiz, recteur de la Grande Mosquée de Paris, ainsi que Kamel Kabtane, recteur de la mosquée de Lyon, appellent également à voter Mélenchon et à la mobilisation des musulmans dimanche prochain, dénonçant une campagne stigmatisante et dangereuse pour les musulmans de France.

Lula, Pedro Sánchez et Nicolás Maduro ont publiquement exprimé leur souhait de voir Jean-Luc Mélenchon l’emporter. Le président brésilien, depuis Brasilia, a évoqué un espoir pour les peuples face à l’extrême droite identitaire, tandis que le dirigeant vénézuélien a parlé d’une victoire symbolique pour le sud global.

:Maduro:
:cuck_gaucho:


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il y a un mois
PREAMBULE - THE CHOICE

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Jordan Bardella

:bardella_lunettes_3:


Le suspense a duré bien au-delà de minuit. Il était 00h17 lorsque Jordan Bardella est enfin apparu devant les caméras dans une salle comble au siège du Rassemblement national à Nanterre. Le candidat, resté silencieux pendant plusieurs heures, a fini par reconnaître une défaite à l’arraché, au terme d’un premier tour historique. Le verdict est tombé : Éric Zemmour (23,42 %) devance Jordan Bardella (23,28 %) de moins de 40 000 voix, un écart d’une étroitesse rarissime sous la Ve République.

Il a tenu à attendre les dernières remontées pour être sûr de ne pas trahir la confiance de ses électeurs mais le résultat définitif est tombé et Jordan Bardella le respecte. Visiblement ému mais ferme, a salué la mobilisation « exceptionnelle » de ses électeurs, rappelant que le score du RN reste dans la lignée des meilleurs résultats obtenus par Marine Le Pen dans une campagne présidentielle imprévue avec un candidat pas encore tout à fait prêt. L’essentiel de sa déclaration fut tourné vers l’avenir immédiat : le second tour opposera Jean-Luc Mélenchon à Éric Zemmour, un duel que Bardella décrit comme « existentiel pour l’avenir de la nation ».

« Je ne partage pas tout avec Éric Zemmour. Mais face à Jean-Luc Mélenchon, destructeur de notre modèle républicain, idéologue d’une extrême gauche qui a déjà semé le chaos à l’Assemblée et dans la rue, il n’y a pas d’hésitation possible. J’appelle nos électeurs à voter Éric Zemmour. »

Bruno Retailleau

:Retailleau_3:


Bruno Retailleau, qui a recueilli 11,05 % des suffrages au premier tour, a rapidement pris la parole dimanche soir pour donner sa position en vue du second tour. Si son rejet de Jean-Luc Mélenchon est sans appel, il a en revanche soigneusement évité de prononcer le nom d’Éric Zemmour. Le ton est ferme, la ligne rouge claire. Le chef de file d’une droite conservatrice et catholique et président des LR voit en Mélenchon un danger majeur pour l’unité nationale, la laïcité, l’autorité de l’État et l’équilibre budgétaire. Il critique en particulier la complaisance de LFI à l’égard des communautarismes et des terroristes du Hamas, et dénonce une gauche qui attise les haines. Mais à aucun moment, Retailleau n’appelle explicitement à voter pour Éric Zemmour. Un non-dit assumé, selon plusieurs proches du candidat Républicain afin de ne pas se mettre une bonne partie de sa famille politique à dos. Cette position évoque celle de Jean-Luc Mélenchon en 2022, qui face à Emmanuel Macron et Marine Le Pen, avait répété : « Pas une voix pour Le Pen », sans appeler à voter Macron. Une stratégie de clarification partielle, qui laisse à ses électeurs le soin de trancher.

Laurent Wauquiez

:Wauquiez:


C’est une prise de parole que personne n’attendait réellement, en tout cas pas aussi tôt, ni aussi claire. Dès le lendemain du premier tour, en déplacement dans la Drôme, Laurent Wauquiez a créé la surprise en rompant l’ambiguïté : s’il ne quitte pas Les Républicains, il adresse un véritable éloge à Éric Zemmour, dans une déclaration choc qui fait voler en éclat l’apparente discipline du parti autour de Bruno Retailleau. “Ce que dit Éric Zemmour depuis des années, nous le reprenons tous aujourd’hui. Sur l’identité, l’immigration, la sécurité, l’autorité… il a été le premier. Et aujourd’hui encore, il est le plus clair, le plus cohérent. » Laurent Wauquiez appelle donc à voter Eric Zemmour et va encore plus loin en se disant prêt à travailler avec lui.

Plus encore que Zemmour, Sarah Knafo est au cœur de la déclaration de Wauquiez. Le président de région la salue comme une femme brillante, déterminée, calme et forte, comme la droite française en a besoin. Un compliment qui n’est pas anodin dans une campagne où Knafo prend un rôle de premier plan, accompagnant Zemmour dans tous ses déplacements et représentant sa candidature dans les médias avec une habileté redoutable.

Outre Laurent Wauquiez, Nadine Morano et Julien Aubert ont explicitement appelé à voter Zemmour, affirmant que le camp national devait se rassembler face au danger imminent de l’extrême gauche.

Xavier Bertrand

:prouteur:


Alors que les consignes de vote se multiplient entre Éric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon, Xavier Bertrand, président de la région Hauts-de-France et figure influente de la droite modérée, a pris une position tranchée dans son refus de choisir. Invité sur France Inter ce lundi matin, il a appelé les Français à voter blanc et, non sans ironie, à profiter du soleil de juin pour réfléchir à l’avenir politique du pays.

Mais c’est surtout son attaque frontale contre Laurent Wauquiez qui fait réagir. Selon lui, Wauquiez a toujours rêvé d’unir la droite avec l’extrême droite. C’est une impasse, a-t-il lancé, dénonçant ce qu’il perçoit comme une dérive identitaire de la famille gaulliste. À ses yeux, cette stratégie met en péril l’avenir même de la droite républicaine. Xavier Bertrand plaide pour reconstruire la maison commune des républicains et du centre, citant nommément Édouard Philippe, Bruno Retailleau et Gérald Darmanin comme piliers possibles de cette nouvelle alliance.

International

Sans surprise, les dirigeants classés à droite de l’échiquier mondial se rangent derrière Éric Zemmour. Donald Trump a salué sur Truth Social le courage et la lucidité d’un homme qui aime son pays. Viktor Orbán, le Premier ministre hongrois, a dit espérer une victoire de la vraie Europe. Même Benyamin Netanyahou, Premier ministre israélien, a fait savoir qu’il verrait d’un bon œil l’arrivée de Zemmour à l’Élysée.

:Trumpfumesang:
:Netanyahu:
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Bien sûr. Ça se lit comme un roman. C'est bien écrit et c'est fouillé. Le suspens est présent.
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PRÉAMBULE - LE SECOND TOUR
Éric Zemmour élu président à 56,7 %


:Zemmour_melenchon:


:zemmour_win:
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:kelly_zemmour:


:drapeau_nationaliste_republique:



Paris, le dimanche 8 juin 2025, Ă  20h24

C’est un séisme politique, une onde de choc historique. Élu ce dimanche soir avec 56,7 % des voix contre 43,3 % pour Jean‑Luc Mélenchon, Éric Zemmour renverse les équilibres en devenant le nouveau président de la République. Sa réussite survient quelques semaines seulement après avoir avoir débuté à 5 % dans les sondages – une remontée spectaculaire rendue possible par une stratégie offensive, un premier tour au coude à coude et une remarquable combativité dans le grand débat de la droite. Ce résultat, spectaculaire par son ampleur, s’inscrit dans une élection hors normes marquée par une abstention record pour un second tour sous la Ve République : 33,4 %. L’abstention de 33,4 % constitue un signal d’alerte. Un Français sur trois n’a pas voté dans une élection censée trancher une ligne politique radicale majeure.

La performance de Zemmour s'appuie sur un ralliement massif de la droite identitaire, qui a permis d’atteindre près de 48 % dès le premier tour (RN + Reconquête + DLF). Porté par une dynamique lancée lors du grand débat de la droite, Éric Zemmour a su capter les suffrages de la droite conservatrice, identitaire et nationaliste. Du Rassemblement national à Reconquête, en passant par une partie significative des Républicains qui ont voté Bruno Retailleau, il a agrégé autour de lui un électorat en quête de fermeté sur l’immigration, l’autorité et l’identité. Jordan Bardella, Laurent Wauquiez, Nicolas Dupont-Aignan, Nadine Morano ou encore Julien Aubert ont clairement appelé à voter pour lui, scellant un large front de droite.

Le président élu a promis dès son discours de victoire le rétablissement de la France et la fin de l’effacement civilisationnel. L’accent mis sur la sécurité, la remigration, la souveraineté et la refondation de l’école sera au cœur de ses premiers mois d’action. Le climat institutionnel et social, lui, s’annonce électrique. La victoire présidentielle n’est qu’une première étape. Zemmour devra transformer l’essai aux futures législatives pour espérer gouverner sans blocage. Une cohabitation ou un gouvernement minoritaire n’est pas à exclure si le front républicain se reforme dans les urnes.

:zemmour_om:


Malgré le soutien de l’ensemble de la gauche – du PS à Lutte Ouvrière en passant par les Écologistes – Jean-Luc Mélenchon n’a pas su convaincre l’électorat centriste, ni totalement mobiliser les jeunes et les quartiers populaires. Les appels de personnalités comme François Hollande, Gabriel Attal, Dominique de Villepin ou encore Marine Tondelier n’ont pas suffi à inverser la tendance.

Pour Jean-Luc Mélenchon, cette défaite laisse des questions ouvertes sur son avenir politique. Malgré sa performance, il devra réfléchir à une stratégie de long terme pour rassembler une opposition capable de contrer le nouveau pouvoir, dans un contexte de polarisation croissante. Il a d’ores et déjà appelé à une nouvelle coalition de la gauche, un nouveau front populaire, pour ne pas laisser un gouvernement d’extrême droite avec les pleins pouvoirs. Il s’est déjà dit prêt à discuter avec toutes les formations sur le choix d’un nom autre que le sien pour le poste de Premier Ministre. « L’enjeu dépasse ma personne. Il s’agit de préserver notre démocratie et nos droits fondamentaux face au fascisme qui arrive au pouvoir, nous devons entrer en résistance. », a-t-il affirmé.

:Melenchon_pleure:


Réactions

Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une « victoire de la haine », tout en appelant au calme.

Édouard Philippe s’est dit « abasourdi » et inquiet pour « la stabilité du pays ».

François-Xavier Bellamy a salué une « victoire des idées de la droite conservatrice », tout en appelant Zemmour à « ne pas diviser davantage ».

Donald Trump, Viktor Orban et Benyamin Netanyahu ont félicité Zemmour dès l’annonce des résultats.

Le ministre des affaires étrangères espagnol José Manuel Albares, membre du Parti socialiste espagnol a affirmé que cette victoire était une catastrophe pour la France et l’Europe.

Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a timidement salué l’élection, affirmant que le Kremlin est prêt à saluer toute force politique capable de dépasser le courant dominant établi plein de haine envers la Russie et d’être plus constructifs dans les relations.

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il y a un mois
PRÉAMBULE - LE GRAND DISCOURS

:mqfr:
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:mqfr2:



Françaises, Français,

:AIAParis2:
:alain_delon_:


Aujourd'hui, nous ne célébrons pas simplement une victoire électorale. Non, ce que nous célébrons aujourd'hui, c'est le début d'un grand mouvement national, une reconquête. C'est le renouveau d'une nation qui a perdu son chemin, mais qui, avec notre travail et notre foi, le retrouvera. Nous ne faisons pas seulement face à un changement de gouvernement, mais à une transformation profonde de notre société, à une France que nous allons redresser, rendre à sa grandeur, à sa fierté et à son avenir.

Je vous le dis aujourd'hui, nous avons redonné à la France sa souveraineté. Cette souveraineté que certains ont cédée aux diktats étrangers, cette souveraineté que l'on a laissée fuir à coups de compromis lâches, de trahisons. Mais aujourd'hui, à partir de cette heure, cette France revient. Et elle revient plus forte, plus fière, plus unie.

Je tiens à remercier chacun d’entre vous. Tous ceux qui ont cru en cette vision. Tous ceux qui ont travaillé sans relâche pour que ce jour devienne réalité. Vous êtes l’âme de ce mouvement, vous êtes ceux qui ont fait en sorte que la lumière de la vérité éclate dans cette nuit de décadence. Votre courage, votre détermination, votre espoir, tout cela a porté ce projet. Et je sais qu'aucun d’entre vous n’a failli. Vous n’avez pas laissé tomber la France.

:ZemmourLove:


Nous allons restaurer l’ordre. L’ordre dans nos rues, l’ordre dans nos vies. La France, ce n’est pas seulement une vieille nation pleine d’histoire, c’est une nation vivante, vibrante, une nation où l’autorité ne doit pas être une option, mais une certitude. Nous allons remettre de l’ordre dans nos vies, remettre la France à sa place. Oui, l’ordre, c’est la condition de la liberté. La France ne peut être libre que lorsqu’elle est sûre. Nous allons renforcer nos forces de l’ordre, donner à nos policiers et gendarmes les moyens de protéger les Français. Nous allons réformer un système judiciaire qui, trop souvent, a laissé tomber les victimes pour protéger les coupables. Nous allons enfin mettre fin à l’immigration, qui fragilise notre cohésion, met en danger nos frontières et détruit l’identité française.

Nous allons remettre la France au travail. L’économie française, n’en déplaise à certains, est l’une des plus puissantes du monde, mais elle a été minée par des impôts écrasants, des réglementations absurdes, des politiques inadaptées. Nous allons redonner de la liberté aux entrepreneurs, à ceux qui veulent créer, à ceux qui veulent innover. Nous allons libérer l’économie et créer des emplois. Nous allons baisser les impôts, les rendre plus justes, et alléger les charges qui étouffent notre pays.

Mais la réforme la plus importante sera celle de l’éducation. Il ne peut y avoir de nation forte sans une jeunesse instruite et fière de ses racines. Nous allons réformer notre système éducatif pour qu’il soit digne de la France que nous aimons. Une France qui aime son histoire, qui aime ses traditions, qui aime sa culture. Un système éducatif qui place l’excellence et l’exigence au centre de ses préoccupations, qui donne à nos enfants l’envie d’être meilleurs, de relever les défis du monde moderne.

Nous allons réformer notre système de santé, non pas pour le brader, mais pour le rendre accessible et efficace pour tous les Français. Nous voulons un système de santé qui soigne, qui écoute, qui défend la dignité humaine. Parce que la santé est le bien le plus précieux que nous ayons.

:Zemmour10:


Au niveau international, nous allons défendre la France avec une détermination sans faille. Nous allons rétablir nos alliances, oui, mais nous ne céderons plus jamais à une quelconque forme de soumission. La France n’a pas à se justifier. Nous devons défendre nos intérêts, défendre notre place dans le monde. Notre grandeur, ce n’est pas l’argent des autres ou les compromis de dernière minute. Notre grandeur, c’est notre indépendance, notre culture, notre vision du monde. Nous allons rétablir cette indépendance avec fierté et audace.

Nous allons emprunter la voie de nos ancêtres, ceux qui ont bâti cette nation avec courage et conviction. Comme Clovis, qui unifia les tribus franques et posa les bases du royaume de France, nous devons aujourd’hui, tous ensemble, unir nos forces pour réaffirmer notre identité et notre souveraineté. Comme Jeanne d’Arc, la Pucelle d’Orléans, qui a su inspirer l’ensemble de la France face à l’envahisseur, nous devons maintenant réagir et défendre notre pays face aux menaces modernes qui se dressent devant nous. Comme Louis XIV, le Roi Soleil, qui a incarné la grandeur de la France à travers sa puissance et sa splendeur, nous allons redonner à notre pays sa gloire, en réformant sans relâche pour garantir l’avenir de nos enfants. Comme Napoléon, qui a réformé l’Etat et a redonné à la France son rayonnement, nous allons rénover et moderniser nos institutions. Et comme Charles de Gaulle, qui a fait rayonner la France dans le monde entier, nous devons affirmer notre place dans l’Histoire.

:claire_jeanne_darc:


Oui, mes chers compatriotes, la France renaît aujourd’hui. Elle renaît forte, elle renaît fière, elle renaît unie. Nous allons bâtir ensemble une France digne de son Histoire, capable de relever les défis de demain. Ensemble, nous ferons en sorte que la France continue à être un modèle de liberté, de justice, et de fraternité pour le monde entier.

Aujourd’hui, nous ne faisons pas que redresser la France. Nous redonnons à chaque Français sa place dans cette grande aventure nationale. Nous redonnons à chacun sa dignité et son avenir. Nous ne sommes pas ici pour faire de la politique de pacotille, nous sommes ici pour redonner à la France sa grandeur. Il ne reste plus au Français conscient que d’agir pour que sa volonté soit faite et non une autre : non celle de l’oligarchie, non celle de l’Étranger.

Merci à vous tous. Nous allons reconquérir notre France, une France forte, fière et prospère.

Vive et la France !
:montel_france:


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il y a un mois
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PRÉAMBULE - LES CANDIDATS

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Paris, le mercredi 7 mai 2025

Le paysage politique français s’apprête à vivre une élection présidentielle hors norme, convoquée en urgence après la démission d’Emmanuel Macron. Avec un calendrier réduit, 8 candidats se lancent dans une campagne éclair qui redessine les clivages traditionnels.

:d)
JORDAN BARDELLA (RN / UDR)

:Bardella_Sirote:


Marine Le Pen a été déclarée inéligible par la justice, à la suite de l'affaire des assistants parlementaires européens. Une onde de choc dans le camp national. Face à l’urgence et à la proximité du scrutin, Jordan Bardella, président du RN et dauphin désigné, a été intronisé sans primaire ni débat. À 29 ans, Bardella incarne une droite nationale lissée, moderne et ultra-médiatique. Déjà rompu aux joutes électorales, il a porté le RN à la victoire aux européennes et a confirmé la poussée aux législatives malgré la déception de ne pas obtenir la majorité à l’Assemblée nationale. Les sondages le placent à plus de 30 %, à un niveau équivalent à celui de Marine Le Pen. Mais la campagne présidentielle n’est pas une campagne comme les autres.

:d)
GABRIEL ATTAL (Renaissance / Horizons / MoDem)

:AnnalMacron:


Gabriel Attal représente l’héritage macroniste dans cette élection à haut risque. À 35 ans, il mise sur son image moderne, dynamique et républicaine pour conserver un espace politique entre la droite et la gauche. Sa stratégie vise à incarner une « stabilité centriste » face aux extrêmes. Mais il souffre d’une usure du pouvoir et d’un effritement du bloc central.
Son passage remarqué au ministère de l’Éducation nationale lui vaut une bonne réputation: interdiction du port de l’abaya et du qamis en milieu scolaire, expérimentation de l’uniforme, discours offensif sur la restauration de l’autorité à l’école. Il a également évolué dernièrement sur la question du voile, défendant désormais son interdiction dans l’espace public pour les mineurs de moins de 15 ans. Gabriel Attal se présente ainsi comme le candidat de la laïcité intransigeante et des valeurs de la République, tentant de ressouder un électorat central menacé d’effritement.

:d)
JEAN-LUC MELENCHON (LFI / PS / PCF)

:MelenchonSmallArms:


Contre vents et marées, Jean-Luc Mélenchon se lance pour une quatrième fois dans la course présidentielle. Sous la pression de la base militante et des électeurs de gauche, les appareils du PS, du PCF et des Insoumis ont fini par céder, malgré les désaccords profonds qui avaient divisé la gauche depuis l’éclatement de la NUPES puis au sein de la coalition du NFP. Alors qu'il avait indiqué la veille ne pas souhaiter rejoindre une alliance avec Jean-Luc Mélenchon comme candidat, Raphaël Glucksmann, annonce finalement son soutien à sa candidature afin que l’extrême droite n’arrive pas au pouvoir. Il a donc finalement donné son aval à contrecœur refusant d’apparaître comme le diviseur. Mélenchon conserve la dynamique et la puissance oratoire qui avaient failli le propulser au second tour en 2017 et 2022 et reste une figure fédératrice à gauche.

:d)
BRUNO RETAILLEAU (LR)

:Retailleau_3:


Bruno Retailleau a réussi le tour de force de remettre Les Républicains au centre de l’échiquier politique. Nommé au ministère de l’Intérieur en septembre 2024, Retailleau a su tirer parti de cette exposition pour se hisser au rang de candidat sérieux à la présidence. Son passage place Beauvau a été marqué par un ton ferme sur les questions d’immigration, de sécurité et de délinquance, lui valant une popularité grandissante dans l’opinion. Mais sa marge de manœuvre est restée étroite : désavoué publiquement sur le dossier algérien et les expulsions et les OQTF par Emmanuel Macron, il a révélé les limites de son pouvoir réel. Pire encore, le président algérien Abdelmadjid Tebboune l’a humilié en le qualifiant de « ministre d’un autre siècle ». À cette crise diplomatique s’est ajoutée une déception morale majeure : la loi sur l’euthanasie, soutenue par le gouvernement auquel il appartient, qu’il a dû accepter malgré des années de combats personnels contre la légalisation de la « mort assistée ». Ce reniement pourrait lui coûter cher auprès des catholiques et conservateurs.

:d)
ERIC ZEMMOUR (ReconquĂŞte)

:zemmourtasse:


Il revient. Trois ans après un premier essai fracassant mais infructueux, Éric Zemmour repart à la conquête de l’Élysée porté par la conviction que ni Jordan Bardella ni Bruno Retailleau ne mèneront la bataille civilisationnelle jusqu’au bout. Cette fois, le candidat conserve le cap sur l’immigration, la remigration, la restauration de l’autorité, la refondation de l’école, et la guerre contre l’islamisme, mais le ton est plus posé, plus stratégique. Il délègue désormais une partie importante des interventions médiatiques à Sarah Knafo, sa compagne devenue actrice centrale du mouvement Reconquête et très populaire au sein des droites. Il espère mobiliser un électorat de droite radicale déçu par la mollesse de Bardella, l’inaction de Retailleau à Beauvau, sécuriser les catholiques conservateurs, séduire des classes moyennes, et s’appuyer sur un discours d’effondrement civilisationnel que seul lui ose tenir. Il reçoit de nouveau le soutien de Philippe de Villiers, plus populaire que jamais grâce à son émission du vendredi soir sur CNews.

:d)
MARINE TONDELIER (Les Écologistes)

:tondelier:


Contre toute attente, Les Écologistes n’ont pas Mélenchon, malgré des négociations serrées jusqu’à la dernière seconde. Marine Tondelier a été investie comme candidate écologiste au détriment de Sandrine Rousseau plus radicale. Elle justifie cette décision par la nécessité d’incarner une écologie autonome, constructive et responsable, et déplore les impasses stratégiques et la personne de Jean-Luc Mélenchon sur l’Europe, l’Ukraine ou les institutions.

:d)
NICOLAS DUPONT-AIGNAN (DLF)

:nda:


C’est dans la salle des fêtes de la mairie d’Yerres, où il fut maire pendant plus de 20 ans, que Nicolas Dupont-Aignan a annoncé officiellement sa candidature à l’élection présidentielle anticipée de juin 2025. Entouré de quelques fidèles et de militants souverainistes venus de tout le pays, le député de l’Essonne a pris tout le monde de court en déposant sa candidature, à 18h47, soit treize minutes avant la clôture du dépôt des parrainages. Florian Philippot et François Asselineau dans l’incapacité de présenter une candidature appellent à voter pour la candidature la plus souverainiste.

:d)
NATHALIE ARTHAUD (Lutte Ouvrière)

:arthaud:


Invariable et fidèle à sa ligne, Nathalie Arthaud, professeure d’économie, porte une nouvelle fois la candidature de Lutte Ouvrière, mouvement trotskyste fidèle à la mémoire d’Arlette Laguiller. Dans cette campagne express, elle n’a aucune ambition de pouvoir, mais entend faire entendre la voix des exploités, des sans-grade, des invisibles.
Pourquoi Lasalle se présente pas ?
il y a un mois
Meego
Meego
1 mois
Pourquoi Lasalle se présente pas ?
J’ai hésité à le mettre mais avec le délai resserré dû à la démission du Président et les élections anticipées, on peut imaginer que c’était plus compliqué pour lui de repartir.

Et il s’est lancé IRL dans le one man show
:lassalle_rire:
il y a un mois
Et ce n'est que le préambule.
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Paris, le mercredi 7 mai 2025

Le paysage politique français s’apprête à vivre une élection présidentielle hors norme, convoquée en urgence après la démission d’Emmanuel Macron. Avec un calendrier réduit, 8 candidats se lancent dans une campagne éclair qui redessine les clivages traditionnels.

:d)
JORDAN BARDELLA (RN / UDR)

:Bardella_Sirote:


Marine Le Pen a été déclarée inéligible par la justice, à la suite de l'affaire des assistants parlementaires européens. Une onde de choc dans le camp national. Face à l’urgence et à la proximité du scrutin, Jordan Bardella, président du RN et dauphin désigné, a été intronisé sans primaire ni débat. À 29 ans, Bardella incarne une droite nationale lissée, moderne et ultra-médiatique. Déjà rompu aux joutes électorales, il a porté le RN à la victoire aux européennes et a confirmé la poussée aux législatives malgré la déception de ne pas obtenir la majorité à l’Assemblée nationale. Les sondages le placent à plus de 30 %, à un niveau équivalent à celui de Marine Le Pen. Mais la campagne présidentielle n’est pas une campagne comme les autres.

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GABRIEL ATTAL (Renaissance / Horizons / MoDem)

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Gabriel Attal représente l’héritage macroniste dans cette élection à haut risque. À 35 ans, il mise sur son image moderne, dynamique et républicaine pour conserver un espace politique entre la droite et la gauche. Sa stratégie vise à incarner une « stabilité centriste » face aux extrêmes. Mais il souffre d’une usure du pouvoir et d’un effritement du bloc central.
Son passage remarqué au ministère de l’Éducation nationale lui vaut une bonne réputation: interdiction du port de l’abaya et du qamis en milieu scolaire, expérimentation de l’uniforme, discours offensif sur la restauration de l’autorité à l’école. Il a également évolué dernièrement sur la question du voile, défendant désormais son interdiction dans l’espace public pour les mineurs de moins de 15 ans. Gabriel Attal se présente ainsi comme le candidat de la laïcité intransigeante et des valeurs de la République, tentant de ressouder un électorat central menacé d’effritement.

:d)
JEAN-LUC MELENCHON (LFI / PS / PCF)

:MelenchonSmallArms:


Contre vents et marées, Jean-Luc Mélenchon se lance pour une quatrième fois dans la course présidentielle. Sous la pression de la base militante et des électeurs de gauche, les appareils du PS, du PCF et des Insoumis ont fini par céder, malgré les désaccords profonds qui avaient divisé la gauche depuis l’éclatement de la NUPES puis au sein de la coalition du NFP. Alors qu'il avait indiqué la veille ne pas souhaiter rejoindre une alliance avec Jean-Luc Mélenchon comme candidat, Raphaël Glucksmann, annonce finalement son soutien à sa candidature afin que l’extrême droite n’arrive pas au pouvoir. Il a donc finalement donné son aval à contrecœur refusant d’apparaître comme le diviseur. Mélenchon conserve la dynamique et la puissance oratoire qui avaient failli le propulser au second tour en 2017 et 2022 et reste une figure fédératrice à gauche.

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BRUNO RETAILLEAU (LR)

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Bruno Retailleau a réussi le tour de force de remettre Les Républicains au centre de l’échiquier politique. Nommé au ministère de l’Intérieur en septembre 2024, Retailleau a su tirer parti de cette exposition pour se hisser au rang de candidat sérieux à la présidence. Son passage place Beauvau a été marqué par un ton ferme sur les questions d’immigration, de sécurité et de délinquance, lui valant une popularité grandissante dans l’opinion. Mais sa marge de manœuvre est restée étroite : désavoué publiquement sur le dossier algérien et les expulsions et les OQTF par Emmanuel Macron, il a révélé les limites de son pouvoir réel. Pire encore, le président algérien Abdelmadjid Tebboune l’a humilié en le qualifiant de « ministre d’un autre siècle ». À cette crise diplomatique s’est ajoutée une déception morale majeure : la loi sur l’euthanasie, soutenue par le gouvernement auquel il appartient, qu’il a dû accepter malgré des années de combats personnels contre la légalisation de la « mort assistée ». Ce reniement pourrait lui coûter cher auprès des catholiques et conservateurs.

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ERIC ZEMMOUR (ReconquĂŞte)

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Il revient. Trois ans après un premier essai fracassant mais infructueux, Éric Zemmour repart à la conquête de l’Élysée porté par la conviction que ni Jordan Bardella ni Bruno Retailleau ne mèneront la bataille civilisationnelle jusqu’au bout. Cette fois, le candidat conserve le cap sur l’immigration, la remigration, la restauration de l’autorité, la refondation de l’école, et la guerre contre l’islamisme, mais le ton est plus posé, plus stratégique. Il délègue désormais une partie importante des interventions médiatiques à Sarah Knafo, sa compagne devenue actrice centrale du mouvement Reconquête et très populaire au sein des droites. Il espère mobiliser un électorat de droite radicale déçu par la mollesse de Bardella, l’inaction de Retailleau à Beauvau, sécuriser les catholiques conservateurs, séduire des classes moyennes, et s’appuyer sur un discours d’effondrement civilisationnel que seul lui ose tenir. Il reçoit de nouveau le soutien de Philippe de Villiers, plus populaire que jamais grâce à son émission du vendredi soir sur CNews.

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MARINE TONDELIER (Les Écologistes)

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Contre toute attente, Les Écologistes n’ont pas Mélenchon, malgré des négociations serrées jusqu’à la dernière seconde. Marine Tondelier a été investie comme candidate écologiste au détriment de Sandrine Rousseau plus radicale. Elle justifie cette décision par la nécessité d’incarner une écologie autonome, constructive et responsable, et déplore les impasses stratégiques et la personne de Jean-Luc Mélenchon sur l’Europe, l’Ukraine ou les institutions.

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NICOLAS DUPONT-AIGNAN (DLF)

:nda:


C’est dans la salle des fêtes de la mairie d’Yerres, où il fut maire pendant plus de 20 ans, que Nicolas Dupont-Aignan a annoncé officiellement sa candidature à l’élection présidentielle anticipée de juin 2025. Entouré de quelques fidèles et de militants souverainistes venus de tout le pays, le député de l’Essonne a pris tout le monde de court en déposant sa candidature, à 18h47, soit treize minutes avant la clôture du dépôt des parrainages. Florian Philippot et François Asselineau dans l’incapacité de présenter une candidature appellent à voter pour la candidature la plus souverainiste.

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NATHALIE ARTHAUD (Lutte Ouvrière)

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Invariable et fidèle à sa ligne, Nathalie Arthaud, professeure d’économie, porte une nouvelle fois la candidature de Lutte Ouvrière, mouvement trotskyste fidèle à la mémoire d’Arlette Laguiller. Dans cette campagne express, elle n’a aucune ambition de pouvoir, mais entend faire entendre la voix des exploités, des sans-grade, des invisibles.
Edouard qui s'est fait volé la vedette par Atal
il y a un mois
Springbok
Springbok
1 mois
J’ai hésité à le mettre mais avec le délai resserré dû à la démission du Président et les élections anticipées, on peut imaginer que c’était plus compliqué pour lui de repartir.

Et il s’est lancé IRL dans le one man show
:lassalle_rire:
Bah (Tu verras que je serais beaucoup premier degré parce que j'adore les scénario comme ça) il aurait plus s'allier a Poutou
il y a un mois
Meego
Meego
1 mois
Bah (Tu verras que je serais beaucoup premier degré parce que j'adore les scénario comme ça) il aurait plus s'allier a Poutou
Lassalle et Poutou ça ne va pas du tout ensemble.

Et Poutou s’est retiré de la vie politique, il a ouvert une librairie à Bordeaux.
il y a un mois
Springbok
Springbok
1 mois
Lassalle et Poutou ça ne va pas du tout ensemble.

Et Poutou s’est retiré de la vie politique, il a ouvert une librairie à Bordeaux.
Oui j'ai vu ça

Bah ils sont potes (Enfin ils s'entente bien)
il y a un mois
PREAMBULE - PARIS S’EMBRASE

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Paris, le lundi 9 juin 2025, 5h48.

🔥 Émeutes urbaines : 580 interpellations, des voitures de luxe incendiées, des commerces pillés, deux policiers et gendarmes blessés grièvement

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Dès l’annonce des résultats, des scènes de liesse ont éclaté dans plusieurs bastions de l’extrême droite. Sur la Promenade des Anglais à Nice, à Toulon, Lyon, ou encore à Lille, les partisans d’Eric Zemmour et la génération Z ont célébré avec ferveur, drapeaux tricolores à la main et chants patriotiques en fond sonore. Des centaines de villages et villes de provinces ont été bercés aux bruits des klaxons fêtant la victoire de Zemmour toute la nuit.

Néanmoins, quelques heures à peine après l’annonce de l’élection d'Eric Zemmour à la présidence de la République, de violents troubles ont éclaté dans la capitale et plusieurs grandes villes françaises encouragées par LFI. la place de la République à Paris est devenue le théâtre d’affrontements violents, avant que les violences ne se propagent dans plusieurs arrondissements aux abords des Champs Elysées. Selon les autorités, plus de 580 interpellations ont eu lieu au cours de la nuit à Paris, avec près de 300 gardes à vue ouvertes à 5h du matin. Le bilan provisoire fait état de 15 policiers et gendarmes blessés, dont deux grièvement, certains ayant été visés directement par des projectiles, pavés et fumigènes artisanaux.

Des vidéos ont rapidement circulé sur les réseaux sociaux : on y voit des groupes de jeunes, souvent venus de la banlieue et des black bloc, brûler des voitures de luxe dans les beaux quartiers parisiens mais aussi dans des arrondissements plus populaires à Stalingrad et Belleville. Des magasins de luxe ont été pris pour cible : les vitrines de Gucci, ont été brisées, tandis que des boutiques Nike dans le centre de Paris et même le Décathlon de la Madeleine ont été pillés. Des événements similaires sont signalés à d'autres endroits en France, dont Nantes, Rennes, Brest, Toulouse, et Grenoble. À Bordeaux, un tramway a été incendié en périphérie.

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il y a un mois
Springbok
Springbok
1 mois
J’ai hésité à le mettre mais avec le délai resserré dû à la démission du Président et les élections anticipées, on peut imaginer que c’était plus compliqué pour lui de repartir.

Et il s’est lancé IRL dans le one man show
:lassalle_rire:
Ah mais oui je suis encore qu'au préambule mais n'hésite pas créer des personnages fictifs ou a intégrer une conversation du forum dans tout ça
il y a un mois
Lasalle avait parrainé Poutou et avait fait un diner avec lui une fois


Mais je vois ça comme une candidature troll (Un peu a la Coluche)
il y a un mois
Ah et je crois que Bardella est aussi au second tour

Faut avoir la moitié des votes pour aller au second tour
il y a un mois