Ce sujet a été résolu
C'est les livres du futur : t'as des réactions et commentaires des lecteurs entre chaque chapitre
Il faudrait que j'essaye, un jour
Sinon, l'histoire me fait taper des barres, j'aimerais bien lire la suite, si il y a.
Sinon, l'histoire me fait taper des barres, j'aimerais bien lire la suite, si il y a.
il y a 2 ans
Il faudrait que j'essaye, un jour
Sinon, l'histoire me fait taper des barres, j'aimerais bien lire la suite, si il y a.
Sinon, l'histoire me fait taper des barres, j'aimerais bien lire la suite, si il y a.
Content que ça te fasse marrer
Oui, si les gens demandent la sweet, j'écrirais le dernier chapitre
Oui, si les gens demandent la sweet, j'écrirais le dernier chapitre
il y a 2 ans
Up du dimanche matin
il y a 2 ans
Les noms du Père et de la Mère m'évoquent quelque chose
« Le tiers monde dégoulinait et l'Occident lui servait d'égout. » - Le Camp des Saints, Jean Raspail
il y a 2 ans
Louis_XIV
2 ans
Les noms du Père et de la Mère m'évoquent quelque chose
« Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence »
il y a 2 ans
Nonobstant c'est énorme, 10/10 pour l'accent et la description de Paris et de Marseille
il y a 2 ans
carloman
2 ans
Une œuvre magistrale qui deviendra sans nul doute un classique
il y a 2 ans
carloman
2 ans
Nonobstant c'est énorme, 10/10 pour l'accent et la description de Paris et de Marseille
Comme ma bite
Merci ! J'ai juste extrapolé la réalité en fait
Merci ! J'ai juste extrapolé la réalité en fait
il y a 2 ans
T'as tout lu d'un coup ?
J'aurais jamais cru
Oui vu les retou positifs je pense qu'il y aura une suite
La Partie 6 conclura l'histoire
J'aurais jamais cru
Oui vu les retou positifs je pense qu'il y aura une suite
La Partie 6 conclura l'histoire
il y a 2 ans
Jerry Golay Comdab
Tu attends quoi pour t’armer FDP ? Calibre 12 occasion + vingtaine de chevrotine 1 = 350€
il y a 2 ans
Le bled de Momo est fronçais
Mais vu que c'est la guerre dans les rues, il s'en est très bien tiré à finir bibliothécaire. C'est un intellectuel en fait
Mais vu que c'est la guerre dans les rues, il s'en est très bien tiré à finir bibliothécaire. C'est un intellectuel en fait
il y a 2 ans
Tu voudras être taggé pour le chapitre final ?
C'est possible que je sois tagé ?
Total erezione
il y a 2 ans
C'est possible que je sois tagé ?
Oui ! Je prends note de ton pseudo
il y a 2 ans
Remontée dans la liste des sujets
il y a 2 ans
J'ai lu en retard mais quand même, ça pourrait presque être une fic d'anticipation
Cela est arrivé
il y a 2 ans
ChevalierMaudit
2 ans
J'ai lu en retard mais quand même, ça pourrait presque être une fic d'anticipation
C'est dans un futur proche donc c'en est une, en quelque sorte
il y a 2 ans
@KebabSushi @Alucard @DomainRuris
@VisualStudio @Syphilis @Louis_XIV @ShoShoSho
Momo se jeta au sol et commença à se lamenter devant l’assemblée :
— JE PARTIRA PAS !!! JE PARTIRA PAAAAAAS !!
Le vieil homme se roulait par terre en tapant des poings et des pieds tout en pleurant et hurlant. Son caprice fit éclater de rire tout le Grand Conseil.
Rachid, complètement dépassé par la situation et le cœur déchiré par cette vision grotesque, se mit à hurler :
— Naaaaaaaaaaaaaaaaaaan !!
Le petit arabe se réveilla en sursaut.
Il regarda autour de lui et prit conscience qu’il se trouvait dans son lit.
— Quel hirrible cauchemar ! dit-il avant de lâcher un grand rire de soulagement.
Il se leva sans faire de bruit, pour ne pas réveiller ses cinq frères avec qui il partageait la chambre et regarda par la fenêtre. La vue était obstruée par la façade sale et délabrée d’un autre immeuble entre lequel pendait du linge, étendu sur des fils. Il entendait au loin les coups de feux des mitraillettes. Il humait l’odeur des poubelles qui avaient été jetées dans la rue par la fenêtre par ses voisins. Ces visions familières réchauffèrent son cœur : il était bien chez lui. Et c'était la terre de ses ancêtres.
Le lendemain, Rachid retourna à l’école Coranique de France, et la vie reprit son cours. Mais ce rêve subsistait dans sa mémoire. Il était si vif, si réel… Et lorsqu’il demanda à l’ordinateur de visualiser son historique, le choc fut terrible. Ses recherches relatives à l’Histoire de Fronce “fictive” étaient toujours bien présentes. Tout était vrai.
En retournant à la bibliothèque, Momo n’était plus présent, ni le rayon ni la frise chronologique. Mais en cherchant sur l’islamweb, en creusant sur des forums de discussion, il trouvait parfois des bribes de vérité sur ce qu’il avait vu. L’histoire d’un peuple avancé qui s’était répandu partout sur Terre, il y a bien longtemps, en laissant derrière lui ce symbole, celui qu’il avait vu partout, là-bas : le svastika. Ce n’était pas le mal absolu comme on lui avait inculqué. Il représentait la constellation de la grande ourse tournant autour de l’étoile polaire, marquant les quatre positions-clés des saisons. C’était le cycle de la vie et de la mort, du temps qui s’écoule inexorablement vers un éternel retou.
À l’école, Rachid se mit à dessiner ce symbole, qu’il trouvait beau, sur sa table.
— Qu’i-ce que ti fais ?! demanda Fatima, sa camarade obèse qui mangeait un peu trop de MacD’Halal.
La maîtresse s’avança dans les rangs, et ses yeux furent horrifiés en se posant sur l’œuvre de Rachid.
— Par Illah QUI CI QUI C’EST QUI ÇA !! hurla la maîtresse qui suait sous son voile intégral.
— Ci li symbole di blanc ! scanda Rachid avec rébellion. Ceux qui vivaient en Fronce avant nous ! Et ils sont…
La classe fut énormément choquée par les propos racistes de Rachid.
— Complitiste ! interjecta un autre camarade.
— Menteur ! ajouta une autre.
— RAJM ! crièrent-ils tous ensemble.
Elle tira Rachid par l’oreille pour le punir, mais l’ensemble de la classe se jeta sur l’enfant et le traîna sur la place publique.
Le petit arabe pu y voir la dépouille de Momo, et il comprit alors le sort qui lui était réservé. Il reçut d’abord un simple caillou sur le visage, puis bientôt des pierres de plus en plus grosses, et nombreuses, qui arrachèrent sa peau en lambeaux, qui l’assommèrent et fracturèrent son crâne, sous le hurlement furieux de ses confrères musulmans, appliquant ainsi leur religion d’amour et de paix.
Tandis qu’il se vidait de son sang, Rachid ne sentait plus son corps. Sa vision était voilée, et il vit un tunnel, avec au bout, une lumière blanche resplendissante, dégageant une aura chaleureuse et réconfortante. Une sensation de plénitude qu’il n’avait jamais connue dans sa vie.
Il franchit la lumière et son âme quitta le monde des mortels.
Dans l’au-delà, il fit face à une entité cosmique imposante :
— Désolé mon bonhomme, toi, tu vas en bas, lui dit Saint-Pierre.
@VisualStudio @Syphilis @Louis_XIV @ShoShoSho
Momo se jeta au sol et commença à se lamenter devant l’assemblée :
— JE PARTIRA PAS !!! JE PARTIRA PAAAAAAS !!
Le vieil homme se roulait par terre en tapant des poings et des pieds tout en pleurant et hurlant. Son caprice fit éclater de rire tout le Grand Conseil.
Rachid, complètement dépassé par la situation et le cœur déchiré par cette vision grotesque, se mit à hurler :
— Naaaaaaaaaaaaaaaaaaan !!
Le petit arabe se réveilla en sursaut.
Il regarda autour de lui et prit conscience qu’il se trouvait dans son lit.
— Quel hirrible cauchemar ! dit-il avant de lâcher un grand rire de soulagement.
Il se leva sans faire de bruit, pour ne pas réveiller ses cinq frères avec qui il partageait la chambre et regarda par la fenêtre. La vue était obstruée par la façade sale et délabrée d’un autre immeuble entre lequel pendait du linge, étendu sur des fils. Il entendait au loin les coups de feux des mitraillettes. Il humait l’odeur des poubelles qui avaient été jetées dans la rue par la fenêtre par ses voisins. Ces visions familières réchauffèrent son cœur : il était bien chez lui. Et c'était la terre de ses ancêtres.
Le lendemain, Rachid retourna à l’école Coranique de France, et la vie reprit son cours. Mais ce rêve subsistait dans sa mémoire. Il était si vif, si réel… Et lorsqu’il demanda à l’ordinateur de visualiser son historique, le choc fut terrible. Ses recherches relatives à l’Histoire de Fronce “fictive” étaient toujours bien présentes. Tout était vrai.
En retournant à la bibliothèque, Momo n’était plus présent, ni le rayon ni la frise chronologique. Mais en cherchant sur l’islamweb, en creusant sur des forums de discussion, il trouvait parfois des bribes de vérité sur ce qu’il avait vu. L’histoire d’un peuple avancé qui s’était répandu partout sur Terre, il y a bien longtemps, en laissant derrière lui ce symbole, celui qu’il avait vu partout, là-bas : le svastika. Ce n’était pas le mal absolu comme on lui avait inculqué. Il représentait la constellation de la grande ourse tournant autour de l’étoile polaire, marquant les quatre positions-clés des saisons. C’était le cycle de la vie et de la mort, du temps qui s’écoule inexorablement vers un éternel retou.
À l’école, Rachid se mit à dessiner ce symbole, qu’il trouvait beau, sur sa table.
— Qu’i-ce que ti fais ?! demanda Fatima, sa camarade obèse qui mangeait un peu trop de MacD’Halal.
La maîtresse s’avança dans les rangs, et ses yeux furent horrifiés en se posant sur l’œuvre de Rachid.
— Par Illah QUI CI QUI C’EST QUI ÇA !! hurla la maîtresse qui suait sous son voile intégral.
— Ci li symbole di blanc ! scanda Rachid avec rébellion. Ceux qui vivaient en Fronce avant nous ! Et ils sont…
La classe fut énormément choquée par les propos racistes de Rachid.
— Complitiste ! interjecta un autre camarade.
— Menteur ! ajouta une autre.
— RAJM ! crièrent-ils tous ensemble.
Elle tira Rachid par l’oreille pour le punir, mais l’ensemble de la classe se jeta sur l’enfant et le traîna sur la place publique.
Le petit arabe pu y voir la dépouille de Momo, et il comprit alors le sort qui lui était réservé. Il reçut d’abord un simple caillou sur le visage, puis bientôt des pierres de plus en plus grosses, et nombreuses, qui arrachèrent sa peau en lambeaux, qui l’assommèrent et fracturèrent son crâne, sous le hurlement furieux de ses confrères musulmans, appliquant ainsi leur religion d’amour et de paix.
Tandis qu’il se vidait de son sang, Rachid ne sentait plus son corps. Sa vision était voilée, et il vit un tunnel, avec au bout, une lumière blanche resplendissante, dégageant une aura chaleureuse et réconfortante. Une sensation de plénitude qu’il n’avait jamais connue dans sa vie.
Il franchit la lumière et son âme quitta le monde des mortels.
Dans l’au-delà, il fit face à une entité cosmique imposante :
— Désolé mon bonhomme, toi, tu vas en bas, lui dit Saint-Pierre.
Fin
il y a 2 ans