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Hâte de voir le passage ou il lit "la chèvre de monsieur Séguin"
Le posteur le plus rapide de l'Ouest Onchien
il y a 2 ans
Kenshissou00
2 ans
Hâte de voir le passage ou il lit "la chèvre de monsieur Séguin"
Ce topic


Tu attends quoi pour t’armer FDP ? Calibre 12 occasion + vingtaine de chevrotine 1 = 350€
il y a 2 ans
@ChariotPendu @chasseur2trap @Orgasthme @VisualStudio @Jerkeke @Josette
Le bibliothécaire emprunta un passage "Réservé au Personnel" et emmena le petit Rachid dans son bureau. Le vieil homme prit un cadre se trouvant à côté de l'ordinateur et détacha la clé qui se trouvait derrière. La photo le représentait avec une chèvre qu'il serrait amoureusement.
— Ci ma femme, annonça fièrement le vieux.
Il ouvrit ensuite une porte dérobée menant à une arrière-salle. Il conduisit le petit Rachid dans la réserve où se tenait un majestueux avion biplan, avec une grande aile au-dessus de l'autre, et avec une hélice à son nez. Les yeux du petit arabe brillèrent en voyant l'engin. Sur le flanc, était maladroitement peint "MOMO".
— Ti t'appelles Momo ? déduisit l'enfant.
— Oui ci moi ! Ji l'ai volé au musée pour pivoir voler don les airs, blagua le vieil homme, content de son jeu de mots. Allez, monte, on y va !
C'est ainsi que le vieil homme et le petit garçon s'envoyèrent en l'air, avec la bénédiction d'Allah. Vu du ciel, Rachid & Momo pouvaient contempler les restes de la tour Eiffel et toute l'Île-de-France avec ses nombreux souks, ses clochards, son aspect aride et désertique et ses bidonvilles. Des bandes se tiraient dessus avec des mitraillettes. Des feux criminels brûlaient çà et là, illuminant la ville et dégageant de belles fumées qui voilaient le ciel.
Après 5 heures de vol, ils firent une escale à Marseille, ou tout du moins ce qu'il en restait, pour faire le plein et se préparer pour leur dernière étape. La ville semblait avoir subit un bombardement nucléaire dans un temps passé et oublié.
Préparés pour le grand saut, ils se lancèrent dans l'inconnu. La mer méditerranée s'étendait à perte de vue depuis maintenant des heures. Le doute s'empara du petit Rachid :
— Et si y'a rien, on fi quoi ?
— Euh... balbutia Momo qui n'y avait même pas songé.
Deux soucoupes se matérialisèrent, en un battement de cils, de chaque côté de l'avion.
Pris de panique, Rachid se pissa dessus. Momo implora la miséricorde de son dieu en poussant des gémissements.
L'enfant regarda attentivement les deux engins. Ils semblaient en métal moulé d'une seule et même pièce, et un symbole unique émettait une très vive lumière. L'emblème était un svastika.
— Ci le mal absolu ! hurla Rachid qui reconnut le symbole de Satan qui lui avait été enseigné à l'école coranique de France.
La radio du biplan grésilla et une voix annonça :
— Ici patrouille de Terre Blanche, intrus, veuillez décliner votre identité.
— Ci li livreur, laisse passer ! tenta alors Momo.
— Comment ça "le livreur" ? Vous êtes sur un espace aérien protégé. Nous procédons à votre interpellation. Maintenez votre cap actuel. Nous vous escortons sur la terre ferme pour un interrogatoire. Suivez nos instructions ou vous serez abattus.
— Ji ritournera pas ! Ji ritournera pas ! se mit à pleurer Momo.
Un champ d'énergie émana des deux soucoupes et entoura le biplan pour en prendre le contrôle. L'hélice fut coupée et l'avion semblait maintenant simplement floter dans les airs, sans bruit ni vibration. Ils augmentèrent leur vitesse de déplacement.
Une terre fut bientôt visible à l'horizon. C'était l'Afrique, le fameux continent perdu.
Tandis qu'ils s'approchaient, les deux arabes pouvaient distinguer dans un dôme une ville futuriste, où des immeubles étaient remplacés par différents niveaux où des maisons individuelles se mélangaient à des forêts aménagées. Des lacs et rivières brillants de mille feux ruisselaient entre les constructions paradisiaques, qui respectaient la nature tout en y apportant le confort nécessaire à une vie paisible et épanouissante. Les champs et les élevages côtoyaient les structures de verre des transports internes. Les chères petites têtes blondes jouaient librement dans la verdure. Les femmes minces et fertiles se baladaient en toute sécurité en robe et tenues d'été. Jamais de leur vie Rachid & Momo n'avaient vu un endroit aussi propre et serein.
— Ci le paradis blanc ! devina Momo, le souffle coupé.
Le bibliothécaire emprunta un passage "Réservé au Personnel" et emmena le petit Rachid dans son bureau. Le vieil homme prit un cadre se trouvant à côté de l'ordinateur et détacha la clé qui se trouvait derrière. La photo le représentait avec une chèvre qu'il serrait amoureusement.
— Ci ma femme, annonça fièrement le vieux.
Il ouvrit ensuite une porte dérobée menant à une arrière-salle. Il conduisit le petit Rachid dans la réserve où se tenait un majestueux avion biplan, avec une grande aile au-dessus de l'autre, et avec une hélice à son nez. Les yeux du petit arabe brillèrent en voyant l'engin. Sur le flanc, était maladroitement peint "MOMO".
— Ti t'appelles Momo ? déduisit l'enfant.
— Oui ci moi ! Ji l'ai volé au musée pour pivoir voler don les airs, blagua le vieil homme, content de son jeu de mots. Allez, monte, on y va !
C'est ainsi que le vieil homme et le petit garçon s'envoyèrent en l'air, avec la bénédiction d'Allah. Vu du ciel, Rachid & Momo pouvaient contempler les restes de la tour Eiffel et toute l'Île-de-France avec ses nombreux souks, ses clochards, son aspect aride et désertique et ses bidonvilles. Des bandes se tiraient dessus avec des mitraillettes. Des feux criminels brûlaient çà et là, illuminant la ville et dégageant de belles fumées qui voilaient le ciel.
Après 5 heures de vol, ils firent une escale à Marseille, ou tout du moins ce qu'il en restait, pour faire le plein et se préparer pour leur dernière étape. La ville semblait avoir subit un bombardement nucléaire dans un temps passé et oublié.
Préparés pour le grand saut, ils se lancèrent dans l'inconnu. La mer méditerranée s'étendait à perte de vue depuis maintenant des heures. Le doute s'empara du petit Rachid :
— Et si y'a rien, on fi quoi ?
— Euh... balbutia Momo qui n'y avait même pas songé.
Deux soucoupes se matérialisèrent, en un battement de cils, de chaque côté de l'avion.
Pris de panique, Rachid se pissa dessus. Momo implora la miséricorde de son dieu en poussant des gémissements.
L'enfant regarda attentivement les deux engins. Ils semblaient en métal moulé d'une seule et même pièce, et un symbole unique émettait une très vive lumière. L'emblème était un svastika.
— Ci le mal absolu ! hurla Rachid qui reconnut le symbole de Satan qui lui avait été enseigné à l'école coranique de France.
La radio du biplan grésilla et une voix annonça :
— Ici patrouille de Terre Blanche, intrus, veuillez décliner votre identité.
— Ci li livreur, laisse passer ! tenta alors Momo.
— Comment ça "le livreur" ? Vous êtes sur un espace aérien protégé. Nous procédons à votre interpellation. Maintenez votre cap actuel. Nous vous escortons sur la terre ferme pour un interrogatoire. Suivez nos instructions ou vous serez abattus.
— Ji ritournera pas ! Ji ritournera pas ! se mit à pleurer Momo.
Un champ d'énergie émana des deux soucoupes et entoura le biplan pour en prendre le contrôle. L'hélice fut coupée et l'avion semblait maintenant simplement floter dans les airs, sans bruit ni vibration. Ils augmentèrent leur vitesse de déplacement.
Une terre fut bientôt visible à l'horizon. C'était l'Afrique, le fameux continent perdu.
Tandis qu'ils s'approchaient, les deux arabes pouvaient distinguer dans un dôme une ville futuriste, où des immeubles étaient remplacés par différents niveaux où des maisons individuelles se mélangaient à des forêts aménagées. Des lacs et rivières brillants de mille feux ruisselaient entre les constructions paradisiaques, qui respectaient la nature tout en y apportant le confort nécessaire à une vie paisible et épanouissante. Les champs et les élevages côtoyaient les structures de verre des transports internes. Les chères petites têtes blondes jouaient librement dans la verdure. Les femmes minces et fertiles se baladaient en toute sécurité en robe et tenues d'été. Jamais de leur vie Rachid & Momo n'avaient vu un endroit aussi propre et serein.
— Ci le paradis blanc ! devina Momo, le souffle coupé.
il y a 2 ans
Orteils
2 ans
@ChariotPendu @chasseur2trap @Orgasthme @VisualStudio @Jerkeke @Josette
Le bibliothécaire emprunta un passage "Réservé au Personnel" et emmena le petit Rachid dans son bureau. Le vieil homme prit un cadre se trouvant à côté de l'ordinateur et détacha la clé qui se trouvait derrière. La photo le représentait avec une chèvre qu'il serrait amoureusement.
— Ci ma femme, annonça fièrement le vieux.
Il ouvrit ensuite une porte dérobée menant à une arrière-salle. Il conduisit le petit Rachid dans la réserve où se tenait un majestueux avion biplan, avec une grande aile au-dessus de l'autre, et avec une hélice à son nez. Les yeux du petit arabe brillèrent en voyant l'engin. Sur le flanc, était maladroitement peint "MOMO".
— Ti t'appelles Momo ? déduisit l'enfant.
— Oui ci moi ! Ji l'ai volé au musée pour pivoir voler don les airs, blagua le vieil homme, content de son jeu de mots. Allez, monte, on y va !
C'est ainsi que le vieil homme et le petit garçon s'envoyèrent en l'air, avec la bénédiction d'Allah. Vu du ciel, Rachid & Momo pouvaient contempler les restes de la tour Eiffel et toute l'Île-de-France avec ses nombreux souks, ses clochards, son aspect aride et désertique et ses bidonvilles. Des bandes se tiraient dessus avec des mitraillettes. Des feux criminels brûlaient çà et là, illuminant la ville et dégageant de belles fumées qui voilaient le ciel.
Après 5 heures de vol, ils firent une escale à Marseille, ou tout du moins ce qu'il en restait, pour faire le plein et se préparer pour leur dernière étape. La ville semblait avoir subit un bombardement nucléaire dans un temps passé et oublié.
Préparés pour le grand saut, ils se lancèrent dans l'inconnu. La mer méditerranée s'étendait à perte de vue depuis maintenant des heures. Le doute s'empara du petit Rachid :
— Et si y'a rien, on fi quoi ?
— Euh... balbutia Momo qui n'y avait même pas songé.
Deux soucoupes se matérialisèrent, en un battement de cils, de chaque côté de l'avion.
Pris de panique, Rachid se pissa dessus. Momo implora la miséricorde de son dieu en poussant des gémissements.
L'enfant regarda attentivement les deux engins. Ils semblaient en métal moulé d'une seule et même pièce, et un symbole unique émettait une très vive lumière. L'emblème était un svastika.
— Ci le mal absolu ! hurla Rachid qui reconnut le symbole de Satan qui lui avait été enseigné à l'école coranique de France.
La radio du biplan grésilla et une voix annonça :
— Ici patrouille de Terre Blanche, intrus, veuillez décliner votre identité.
— Ci li livreur, laisse passer ! tenta alors Momo.
— Comment ça "le livreur" ? Vous êtes sur un espace aérien protégé. Nous procédons à votre interpellation. Maintenez votre cap actuel. Nous vous escortons sur la terre ferme pour un interrogatoire. Suivez nos instructions ou vous serez abattus.
— Ji ritournera pas ! Ji ritournera pas ! se mit à pleurer Momo.
Un champ d'énergie émana des deux soucoupes et entoura le biplan pour en prendre le contrôle. L'hélice fut coupée et l'avion semblait maintenant simplement floter dans les airs, sans bruit ni vibration. Ils augmentèrent leur vitesse de déplacement.
Une terre fut bientôt visible à l'horizon. C'était l'Afrique, le fameux continent perdu.
Tandis qu'ils s'approchaient, les deux arabes pouvaient distinguer dans un dôme une ville futuriste, où des immeubles étaient remplacés par différents niveaux où des maisons individuelles se mélangaient à des forêts aménagées. Des lacs et rivières brillants de mille feux ruisselaient entre les constructions paradisiaques, qui respectaient la nature tout en y apportant le confort nécessaire à une vie paisible et épanouissante. Les champs et les élevages côtoyaient les structures de verre des transports internes. Les chères petites têtes blondes jouaient librement dans la verdure. Les femmes minces et fertiles se baladaient en toute sécurité en robe et tenues d'été. Jamais de leur vie Rachid & Momo n'avaient vu un endroit aussi propre et serein.
— Ci le paradis blanc ! devina Momo, le souffle coupé.
Le bibliothécaire emprunta un passage "Réservé au Personnel" et emmena le petit Rachid dans son bureau. Le vieil homme prit un cadre se trouvant à côté de l'ordinateur et détacha la clé qui se trouvait derrière. La photo le représentait avec une chèvre qu'il serrait amoureusement.
— Ci ma femme, annonça fièrement le vieux.
Il ouvrit ensuite une porte dérobée menant à une arrière-salle. Il conduisit le petit Rachid dans la réserve où se tenait un majestueux avion biplan, avec une grande aile au-dessus de l'autre, et avec une hélice à son nez. Les yeux du petit arabe brillèrent en voyant l'engin. Sur le flanc, était maladroitement peint "MOMO".
— Ti t'appelles Momo ? déduisit l'enfant.
— Oui ci moi ! Ji l'ai volé au musée pour pivoir voler don les airs, blagua le vieil homme, content de son jeu de mots. Allez, monte, on y va !
C'est ainsi que le vieil homme et le petit garçon s'envoyèrent en l'air, avec la bénédiction d'Allah. Vu du ciel, Rachid & Momo pouvaient contempler les restes de la tour Eiffel et toute l'Île-de-France avec ses nombreux souks, ses clochards, son aspect aride et désertique et ses bidonvilles. Des bandes se tiraient dessus avec des mitraillettes. Des feux criminels brûlaient çà et là, illuminant la ville et dégageant de belles fumées qui voilaient le ciel.
Après 5 heures de vol, ils firent une escale à Marseille, ou tout du moins ce qu'il en restait, pour faire le plein et se préparer pour leur dernière étape. La ville semblait avoir subit un bombardement nucléaire dans un temps passé et oublié.
Préparés pour le grand saut, ils se lancèrent dans l'inconnu. La mer méditerranée s'étendait à perte de vue depuis maintenant des heures. Le doute s'empara du petit Rachid :
— Et si y'a rien, on fi quoi ?
— Euh... balbutia Momo qui n'y avait même pas songé.
Deux soucoupes se matérialisèrent, en un battement de cils, de chaque côté de l'avion.
Pris de panique, Rachid se pissa dessus. Momo implora la miséricorde de son dieu en poussant des gémissements.
L'enfant regarda attentivement les deux engins. Ils semblaient en métal moulé d'une seule et même pièce, et un symbole unique émettait une très vive lumière. L'emblème était un svastika.
— Ci le mal absolu ! hurla Rachid qui reconnut le symbole de Satan qui lui avait été enseigné à l'école coranique de France.
La radio du biplan grésilla et une voix annonça :
— Ici patrouille de Terre Blanche, intrus, veuillez décliner votre identité.
— Ci li livreur, laisse passer ! tenta alors Momo.
— Comment ça "le livreur" ? Vous êtes sur un espace aérien protégé. Nous procédons à votre interpellation. Maintenez votre cap actuel. Nous vous escortons sur la terre ferme pour un interrogatoire. Suivez nos instructions ou vous serez abattus.
— Ji ritournera pas ! Ji ritournera pas ! se mit à pleurer Momo.
Un champ d'énergie émana des deux soucoupes et entoura le biplan pour en prendre le contrôle. L'hélice fut coupée et l'avion semblait maintenant simplement floter dans les airs, sans bruit ni vibration. Ils augmentèrent leur vitesse de déplacement.
Une terre fut bientôt visible à l'horizon. C'était l'Afrique, le fameux continent perdu.
Tandis qu'ils s'approchaient, les deux arabes pouvaient distinguer dans un dôme une ville futuriste, où des immeubles étaient remplacés par différents niveaux où des maisons individuelles se mélangaient à des forêts aménagées. Des lacs et rivières brillants de mille feux ruisselaient entre les constructions paradisiaques, qui respectaient la nature tout en y apportant le confort nécessaire à une vie paisible et épanouissante. Les champs et les élevages côtoyaient les structures de verre des transports internes. Les chères petites têtes blondes jouaient librement dans la verdure. Les femmes minces et fertiles se baladaient en toute sécurité en robe et tenues d'été. Jamais de leur vie Rachid & Momo n'avaient vu un endroit aussi propre et serein.
— Ci le paradis blanc ! devina Momo, le souffle coupé.
La sweet merci pour ce récit

Je vous aime les kheys, prenez soins de vous
il y a 2 ans
Malenia
2 ans
10/10 pour l'accent des personnages et la narration
Faut avoir la foi pour retranscrire si fidèlement leur accent

Je suis Seugondaire.
il y a 2 ans
Rachid qui va voir de cheveux de femme pour la première fois !!
Il va pas s'en remettre le pauvre.
Il va pas s'en remettre le pauvre.
Je passe et repasse de temps en temps.
il y a 2 ans
Bordel de merde le coup de la chèvre et l’explication de Paris
Nonobstant je trouve la retrouvaille avec les blancs trop rapide, j’adore quand ils restent entre eux avec leurs visions déconnecté de la réalité. Et chaud la glissade avec la svastika
Bref continue avec nos deux protagonistes préférés aaaya

Nonobstant je trouve la retrouvaille avec les blancs trop rapide, j’adore quand ils restent entre eux avec leurs visions déconnecté de la réalité. Et chaud la glissade avec la svastika

Bref continue avec nos deux protagonistes préférés aaaya

Tu attends quoi pour t’armer FDP ? Calibre 12 occasion + vingtaine de chevrotine 1 = 350€
il y a 2 ans