Ce sujet a été résolu
ChariotPendu
2 ans
Sans plaisanter, si vous voulez à la fin je peux faire une couv + un pdf/epub pour le DL en entier
il y a 2 ans
Sans plaisanter, si vous voulez à la fin je peux faire une couv + un pdf/epub pour le DL en entier
Mais grave c'est bientôt Noël les petits cousins seront contents
il y a 2 ans
Mais grave c'est bientôt Noël les petits cousins seront contents
Faudrait que j'écrive un autre conte pour Noël
Rachid et le mystère du Grand Barbu
Rachid et le mystère du Grand Barbu
il y a 2 ans
@VisualStudio @Darkeru @Jerkeke @Vergetures @Concorde @Syphilis
Une fois entrée dans le dôme, l’escorte posa l’avion de Rachid et Momo sur une piste prévue à cet effet. Le champ de force libéra l’engin et les deux arabes posèrent leurs pieds sur la terre ferme.
Rachid vit deux grands hommes blancs s’approcher d’eux. Il était émerveillé, car c’était la première fois qu’il voyait des individus de cette couleur. L’euphorie fut cependant vite écourtée lorsque l’un d’eux le saisit par le bras :
— Le Grand Conseil va décider de votre sort, venez avec nous.
— Wollah d’où tu m’touches, bitard ?! sorti Rachid presque inconsciemment, en tentant de dégager son bras.
— Inutile de résister, rétorqua le Gardien qui ne lâchait pas sa prise. Coopérez et aucun mal ne vous sera fait.
— Nique ti race fils de pute ! rétorqua l’enfant qui n’arrivait pas à se défaire de son emprise.
Au même instant, le vieux Momo regardait une magnifique jeune femme blanche à la chevelure dorée qui se balançait dans le vent. Elle était en jupe et sautillait innocemment sur son chemin. Le vieil arabe était choqué de voir une femme se balader, si joyeuse, et trop dénudée à son goût. Il ne pouvait contrôler ses pulsions :
— ispice di salope ! cria Momo en mettant sa main à sa bite.
L’autre Gardien fit une balayette au vieux Momo qui tomba à la renverse. Il posa sa botte sur son visage, et se pencha pour ajouter :
— Ne refais plus jamais ça ici, compris ?
Les deux arabes, maintenant attachés les mains dans le dos, avançaient dans le Paradis Blanc. Ils étaient sidérés par ce qu’ils voyaient. Les chemins étaient propres et entretenus, des fontaines d’eau sculptées et des statues de pierre décoraient le bas-côté en respectant les arbres centenaires. Les femmes et enfants se baladaient en toute sécurité. L’ambiance était sereine.
— Ci trop bien ici... marmonna Rachid. Ci donne envie de rester !
Les deux Gardiens se regardèrent, puis explosèrent de rire.
Ils s’arrêtèrent enfin devant un imposant monument de colonnes, d’arcs voûtés et de pierres blanches qui, d’après Rachid, ressemblait étrangement aux ruines se trouvant dans Paris. Ils montèrent les marches et entrèrent. Ils empruntèrent de nombreux couloirs avant d’arriver à destination d’une grande salle. Les Gardiens s’annoncèrent :
— Père Fondateur et Mère Nourricière, voilà les deux individus s’étant introduits illégalement sur nos terres.
À l’intérieur, un homme et une femme, tous deux extrêmement vieux, étaient assis sur deux chaises placées en hauteur sur une estrade. Ils étaient beaucoup plus vieux que tout ce qu’avait vu Rachid. La médecine devait être beaucoup plus développée qu’en Fronce, pensa-t-il. Autour d’eux, siégeait une assemblée populaire. Tous portaient des toges blanches immaculées.
— Faites les entrer, clama le Père.
Les deux arabes furent présentés à l’assemblée. Tous se regardèrent avec dépit. La femme âgée se leva et annonça :
— Bonjour visiteurs. Je suis Thaïs d’Escufiak et voici Julien Dit-de-Roche, nous sommes les porte-parole multiséculaires de notre peuple et portons de ce fait le titre symbolique de Mère et de Père. Qui êtes-vous et que nous vaut votre visite ?
Rachid prit la parole :
— Ci Momo qui m’a dit que la Fronce elle itait aux blancs avant. Et que vous êtes partis ailleurs. Ji voulais pas li croire.
Julien Dit-de-Roche se leva :
— Fut un temps, les hyperboréens étaient partout sur Terre. La France ne fut qu’une demeure temporaire récente, que vous avez saccagée. Nous avons préféré vous la laisser. Nous sommes, en effet, retournés sur ces terres, où nous avions construit des pyramides, il y a fort longtemps. Vous n’avez rien à faire ici. Il est temps pour vous de repartir d’où vous venez.
Cette révélation brisa le petit Rachid. Il était totalement désemparé. Ses yeux se perdirent dans le désespoir d'un faux passé fantasmé qui s'était alors évanoui, pour ne laisser place qu'à l'incertitude d'un monde sans repère. Puis, il regarda Momo, comme pour y chercher de l'aide.
Le vieux Momo, qui était resté silencieux, demanda alors, non sans gêne :
— Ci bien par ici… Ci possible qu’on reste ?
— NON ! clamèrent tous en chœur et instantanément l’assemblée ainsi que les deux porte-parole.
Une fois entrée dans le dôme, l’escorte posa l’avion de Rachid et Momo sur une piste prévue à cet effet. Le champ de force libéra l’engin et les deux arabes posèrent leurs pieds sur la terre ferme.
Rachid vit deux grands hommes blancs s’approcher d’eux. Il était émerveillé, car c’était la première fois qu’il voyait des individus de cette couleur. L’euphorie fut cependant vite écourtée lorsque l’un d’eux le saisit par le bras :
— Le Grand Conseil va décider de votre sort, venez avec nous.
— Wollah d’où tu m’touches, bitard ?! sorti Rachid presque inconsciemment, en tentant de dégager son bras.
— Inutile de résister, rétorqua le Gardien qui ne lâchait pas sa prise. Coopérez et aucun mal ne vous sera fait.
— Nique ti race fils de pute ! rétorqua l’enfant qui n’arrivait pas à se défaire de son emprise.
Au même instant, le vieux Momo regardait une magnifique jeune femme blanche à la chevelure dorée qui se balançait dans le vent. Elle était en jupe et sautillait innocemment sur son chemin. Le vieil arabe était choqué de voir une femme se balader, si joyeuse, et trop dénudée à son goût. Il ne pouvait contrôler ses pulsions :
— ispice di salope ! cria Momo en mettant sa main à sa bite.
L’autre Gardien fit une balayette au vieux Momo qui tomba à la renverse. Il posa sa botte sur son visage, et se pencha pour ajouter :
— Ne refais plus jamais ça ici, compris ?
Les deux arabes, maintenant attachés les mains dans le dos, avançaient dans le Paradis Blanc. Ils étaient sidérés par ce qu’ils voyaient. Les chemins étaient propres et entretenus, des fontaines d’eau sculptées et des statues de pierre décoraient le bas-côté en respectant les arbres centenaires. Les femmes et enfants se baladaient en toute sécurité. L’ambiance était sereine.
— Ci trop bien ici... marmonna Rachid. Ci donne envie de rester !
Les deux Gardiens se regardèrent, puis explosèrent de rire.
Ils s’arrêtèrent enfin devant un imposant monument de colonnes, d’arcs voûtés et de pierres blanches qui, d’après Rachid, ressemblait étrangement aux ruines se trouvant dans Paris. Ils montèrent les marches et entrèrent. Ils empruntèrent de nombreux couloirs avant d’arriver à destination d’une grande salle. Les Gardiens s’annoncèrent :
— Père Fondateur et Mère Nourricière, voilà les deux individus s’étant introduits illégalement sur nos terres.
À l’intérieur, un homme et une femme, tous deux extrêmement vieux, étaient assis sur deux chaises placées en hauteur sur une estrade. Ils étaient beaucoup plus vieux que tout ce qu’avait vu Rachid. La médecine devait être beaucoup plus développée qu’en Fronce, pensa-t-il. Autour d’eux, siégeait une assemblée populaire. Tous portaient des toges blanches immaculées.
— Faites les entrer, clama le Père.
Les deux arabes furent présentés à l’assemblée. Tous se regardèrent avec dépit. La femme âgée se leva et annonça :
— Bonjour visiteurs. Je suis Thaïs d’Escufiak et voici Julien Dit-de-Roche, nous sommes les porte-parole multiséculaires de notre peuple et portons de ce fait le titre symbolique de Mère et de Père. Qui êtes-vous et que nous vaut votre visite ?
Rachid prit la parole :
— Ci Momo qui m’a dit que la Fronce elle itait aux blancs avant. Et que vous êtes partis ailleurs. Ji voulais pas li croire.
Julien Dit-de-Roche se leva :
— Fut un temps, les hyperboréens étaient partout sur Terre. La France ne fut qu’une demeure temporaire récente, que vous avez saccagée. Nous avons préféré vous la laisser. Nous sommes, en effet, retournés sur ces terres, où nous avions construit des pyramides, il y a fort longtemps. Vous n’avez rien à faire ici. Il est temps pour vous de repartir d’où vous venez.
Cette révélation brisa le petit Rachid. Il était totalement désemparé. Ses yeux se perdirent dans le désespoir d'un faux passé fantasmé qui s'était alors évanoui, pour ne laisser place qu'à l'incertitude d'un monde sans repère. Puis, il regarda Momo, comme pour y chercher de l'aide.
Le vieux Momo, qui était resté silencieux, demanda alors, non sans gêne :
— Ci bien par ici… Ci possible qu’on reste ?
— NON ! clamèrent tous en chœur et instantanément l’assemblée ainsi que les deux porte-parole.
il y a 2 ans
Concorde
2 ans
Ahi l'OP t'a trouvé une maison d'édition?
Je suis actuellement chez OncheEditions
il y a 2 ans
Orteils
2 ans
@VisualStudio @Darkeru @Jerkeke @Vergetures @Concorde @Syphilis
Une fois entrée dans le dôme, l’escorte posa l’avion de Rachid et Momo sur une piste prévue à cet effet. Le champ de force libéra l’engin et les deux arabes posèrent leurs pieds sur la terre ferme.
Rachid vit deux grands hommes blancs s’approcher d’eux. Il était émerveillé, car c’était la première fois qu’il voyait des individus de cette couleur. L’euphorie fut cependant vite écourtée lorsque l’un d’eux le saisit par le bras :
— Le Grand Conseil va décider de votre sort, venez avec nous.
— Wollah d’où tu m’touches, bitard ?! sorti Rachid presque inconsciemment, en tentant de dégager son bras.
— Inutile de résister, rétorqua le Gardien qui ne lâchait pas sa prise. Coopérez et aucun mal ne vous sera fait.
— Nique ti race fils de pute ! rétorqua l’enfant qui n’arrivait pas à se défaire de son emprise.
Au même instant, le vieux Momo regardait une magnifique jeune femme blanche à la chevelure dorée qui se balançait dans le vent. Elle était en jupe et sautillait innocemment sur son chemin. Le vieil arabe était choqué de voir une femme se balader, si joyeuse, et trop dénudée à son goût. Il ne pouvait contrôler ses pulsions :
— ispice di salope ! cria Momo en mettant sa main à sa bite.
L’autre Gardien fit une balayette au vieux Momo qui tomba à la renverse. Il posa sa botte sur son visage, et se pencha pour ajouter :
— Ne refais plus jamais ça ici, compris ?
Les deux arabes, maintenant attachés les mains dans le dos, avançaient dans le Paradis Blanc. Ils étaient sidérés par ce qu’ils voyaient. Les chemins étaient propres et entretenus, des fontaines d’eau sculptées et des statues de pierre décoraient le bas-côté en respectant les arbres centenaires. Les femmes et enfants se baladaient en toute sécurité. L’ambiance était sereine.
— Ci trop bien ici... marmonna Rachid. Ci donne envie de rester !
Les deux Gardiens se regardèrent, puis explosèrent de rire.
Ils s’arrêtèrent enfin devant un imposant monument de colonnes, d’arcs voûtés et de pierres blanches qui, d’après Rachid, ressemblait étrangement aux ruines se trouvant dans Paris. Ils montèrent les marches et entrèrent. Ils empruntèrent de nombreux couloirs avant d’arriver à destination d’une grande salle. Les Gardiens s’annoncèrent :
— Père Fondateur et Mère Nourricière, voilà les deux individus s’étant introduits illégalement sur nos terres.
À l’intérieur, un homme et une femme, tous deux extrêmement vieux, étaient assis sur deux chaises placées en hauteur sur une estrade. Ils étaient beaucoup plus vieux que tout ce qu’avait vu Rachid. La médecine devait être beaucoup plus développée qu’en Fronce, pensa-t-il. Autour d’eux, siégeait une assemblée populaire. Tous portaient des toges blanches immaculées.
— Faites les entrer, clama le Père.
Les deux arabes furent présentés à l’assemblée. Tous se regardèrent avec dépit. La femme âgée se leva et annonça :
— Bonjour visiteurs. Je suis Thaïs d’Escufiak et voici Julien Dit-de-Roche, nous sommes les porte-parole multiséculaires de notre peuple et portons de ce fait le titre symbolique de Mère et de Père. Qui êtes-vous et que nous vaut votre visite ?
Rachid prit la parole :
— Ci Momo qui m’a dit que la Fronce elle itait aux blancs avant. Et que vous êtes partis ailleurs. Ji voulais pas li croire.
Julien Dit-de-Roche se leva :
— Fut un temps, les hyperboréens étaient partout sur Terre. La France ne fut qu’une demeure temporaire récente, que vous avez saccagée. Nous avons préféré vous la laisser. Nous sommes, en effet, retournés sur ces terres, où nous avions construit des pyramides, il y a fort longtemps. Vous n’avez rien à faire ici. Il est temps pour vous de repartir d’où vous venez.
Cette révélation brisa le petit Rachid. Il était totalement désemparé. Ses yeux se perdirent dans le désespoir d'un faux passé fantasmé qui s'était alors évanoui, pour ne laisser place qu'à l'incertitude d'un monde sans repère. Puis, il regarda Momo, comme pour y chercher de l'aide.
Le vieux Momo, qui était resté silencieux, demanda alors, non sans gêne :
— Ci bien par ici… Ci possible qu’on reste ?
— NON ! clamèrent tous en chœur et instantanément l’assemblée ainsi que les deux porte-parole.
Une fois entrée dans le dôme, l’escorte posa l’avion de Rachid et Momo sur une piste prévue à cet effet. Le champ de force libéra l’engin et les deux arabes posèrent leurs pieds sur la terre ferme.
Rachid vit deux grands hommes blancs s’approcher d’eux. Il était émerveillé, car c’était la première fois qu’il voyait des individus de cette couleur. L’euphorie fut cependant vite écourtée lorsque l’un d’eux le saisit par le bras :
— Le Grand Conseil va décider de votre sort, venez avec nous.
— Wollah d’où tu m’touches, bitard ?! sorti Rachid presque inconsciemment, en tentant de dégager son bras.
— Inutile de résister, rétorqua le Gardien qui ne lâchait pas sa prise. Coopérez et aucun mal ne vous sera fait.
— Nique ti race fils de pute ! rétorqua l’enfant qui n’arrivait pas à se défaire de son emprise.
Au même instant, le vieux Momo regardait une magnifique jeune femme blanche à la chevelure dorée qui se balançait dans le vent. Elle était en jupe et sautillait innocemment sur son chemin. Le vieil arabe était choqué de voir une femme se balader, si joyeuse, et trop dénudée à son goût. Il ne pouvait contrôler ses pulsions :
— ispice di salope ! cria Momo en mettant sa main à sa bite.
L’autre Gardien fit une balayette au vieux Momo qui tomba à la renverse. Il posa sa botte sur son visage, et se pencha pour ajouter :
— Ne refais plus jamais ça ici, compris ?
Les deux arabes, maintenant attachés les mains dans le dos, avançaient dans le Paradis Blanc. Ils étaient sidérés par ce qu’ils voyaient. Les chemins étaient propres et entretenus, des fontaines d’eau sculptées et des statues de pierre décoraient le bas-côté en respectant les arbres centenaires. Les femmes et enfants se baladaient en toute sécurité. L’ambiance était sereine.
— Ci trop bien ici... marmonna Rachid. Ci donne envie de rester !
Les deux Gardiens se regardèrent, puis explosèrent de rire.
Ils s’arrêtèrent enfin devant un imposant monument de colonnes, d’arcs voûtés et de pierres blanches qui, d’après Rachid, ressemblait étrangement aux ruines se trouvant dans Paris. Ils montèrent les marches et entrèrent. Ils empruntèrent de nombreux couloirs avant d’arriver à destination d’une grande salle. Les Gardiens s’annoncèrent :
— Père Fondateur et Mère Nourricière, voilà les deux individus s’étant introduits illégalement sur nos terres.
À l’intérieur, un homme et une femme, tous deux extrêmement vieux, étaient assis sur deux chaises placées en hauteur sur une estrade. Ils étaient beaucoup plus vieux que tout ce qu’avait vu Rachid. La médecine devait être beaucoup plus développée qu’en Fronce, pensa-t-il. Autour d’eux, siégeait une assemblée populaire. Tous portaient des toges blanches immaculées.
— Faites les entrer, clama le Père.
Les deux arabes furent présentés à l’assemblée. Tous se regardèrent avec dépit. La femme âgée se leva et annonça :
— Bonjour visiteurs. Je suis Thaïs d’Escufiak et voici Julien Dit-de-Roche, nous sommes les porte-parole multiséculaires de notre peuple et portons de ce fait le titre symbolique de Mère et de Père. Qui êtes-vous et que nous vaut votre visite ?
Rachid prit la parole :
— Ci Momo qui m’a dit que la Fronce elle itait aux blancs avant. Et que vous êtes partis ailleurs. Ji voulais pas li croire.
Julien Dit-de-Roche se leva :
— Fut un temps, les hyperboréens étaient partout sur Terre. La France ne fut qu’une demeure temporaire récente, que vous avez saccagée. Nous avons préféré vous la laisser. Nous sommes, en effet, retournés sur ces terres, où nous avions construit des pyramides, il y a fort longtemps. Vous n’avez rien à faire ici. Il est temps pour vous de repartir d’où vous venez.
Cette révélation brisa le petit Rachid. Il était totalement désemparé. Ses yeux se perdirent dans le désespoir d'un faux passé fantasmé qui s'était alors évanoui, pour ne laisser place qu'à l'incertitude d'un monde sans repère. Puis, il regarda Momo, comme pour y chercher de l'aide.
Le vieux Momo, qui était resté silencieux, demanda alors, non sans gêne :
— Ci bien par ici… Ci possible qu’on reste ?
— NON ! clamèrent tous en chœur et instantanément l’assemblée ainsi que les deux porte-parole.
Merci pour ce magnifique roman

Je vous aime les kheys, prenez soins de vous
il y a 2 ans
Merci pour ce magnifique roman

de rien
il y a 2 ans
Syphilis
2 ans
Dire que ce serait notre pays si on ne les avait pas laissé se multiplier ici
il y a 2 ans
Je suis actuellement chez OncheEditions
Il faudrait que je me renseigne sur cette maison d'édition
il y a 2 ans
Il faudrait que je me renseigne sur cette maison d'édition
C'est les livres du futur : t'as des réactions et commentaires des lecteurs entre chaque chapitre
il y a 2 ans