Ce sujet a été résolu
Ca mérite aussi un debunkage complet dans les règles de l'art.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Vladimir_Karpov
2 ans
ahi
les ukrainiens sont seulement en préparation + reconnaissance et ça tâche déjà le caleçon
N'essaye surtout pas de supprimer tes posts.
Juste au cas où, j'ai screen en avance pour mieux d'humilier.
Juste au cas où, j'ai screen en avance pour mieux d'humilier.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Ayaaaaaa, l'humiliation des pro-OTAN est encore vivace !
Mon propos est imaginaire et fictif, il n'implique donc aucun fait ou élément réel et toute ressemblance serait fortuite
il y a 2 ans
Bah non
Ils ont fait quoi en moldavie ?
Qu'ont-ils tenté en ex-yougoslavie ?
Que font-ils en afrique depuis des années ?
Que font-ils en amérique du Sud avec le venezuela ?
En géorgie en 2008 ?
Ils n'ont jamais menacé des états de rejoindre l'OTAN avec l'arme nucléaire ?
la russie n'a jamais cessé sa politique étrangère, à part une brève pause sous eltsine
Les USA n'ont pas organisé le coup d'état illégal en 2013
C'est un mensonge
Pourquoi tu parles de la guerre du vietnam pauvre gogole ? c'était il y'a des décennies de ça
et en quoi bordel de merde, cela justifie l'invasion de l'Ukraine ???
Ils ont fait quoi en moldavie ?
Qu'ont-ils tenté en ex-yougoslavie ?
Que font-ils en afrique depuis des années ?
Que font-ils en amérique du Sud avec le venezuela ?
En géorgie en 2008 ?
Ils n'ont jamais menacé des états de rejoindre l'OTAN avec l'arme nucléaire ?
la russie n'a jamais cessé sa politique étrangère, à part une brève pause sous eltsine
Les USA n'ont pas organisé le coup d'état illégal en 2013
C'est un mensonge
Pourquoi tu parles de la guerre du vietnam pauvre gogole ? c'était il y'a des décennies de ça
et en quoi bordel de merde, cela justifie l'invasion de l'Ukraine ???
Toi tu n'aurais jamais du poster cela.
Tu viens juste de signer ton arrêt de mort.
Je n'avais pas vu ce post les journées précédentes car trop occupé à démonter les précédents.
Mais alors là, le nombre de conneries au millimètres carré.
C'est trop, tu mérites vraiment ta purification massive.
Tu viens juste de signer ton arrêt de mort.
Je n'avais pas vu ce post les journées précédentes car trop occupé à démonter les précédents.
Mais alors là, le nombre de conneries au millimètres carré.
C'est trop, tu mérites vraiment ta purification massive.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Liste de tous les postes et de toutes les conneries qui ont été dites sur le topic dont la majorité a déjà été debunké.
Même s'il me reste 2 ou 3 bons posts à debunker urgemment.




Même s'il me reste 2 ou 3 bons posts à debunker urgemment.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Anthony_Agard
2 ans
Vous aurez bien mérité votre mûr de la honte.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Bah non
Ils ont fait quoi en moldavie ?
Qu'ont-ils tenté en ex-yougoslavie ?
Que font-ils en afrique depuis des années ?
Que font-ils en amérique du Sud avec le venezuela ?
En géorgie en 2008 ?
Ils n'ont jamais menacé des états de rejoindre l'OTAN avec l'arme nucléaire ?
la russie n'a jamais cessé sa politique étrangère, à part une brève pause sous eltsine
Les USA n'ont pas organisé le coup d'état illégal en 2013
C'est un mensonge
Pourquoi tu parles de la guerre du vietnam pauvre gogole ? c'était il y'a des décennies de ça
et en quoi bordel de merde, cela justifie l'invasion de l'Ukraine ???
Ils ont fait quoi en moldavie ?
Qu'ont-ils tenté en ex-yougoslavie ?
Que font-ils en afrique depuis des années ?
Que font-ils en amérique du Sud avec le venezuela ?
En géorgie en 2008 ?
Ils n'ont jamais menacé des états de rejoindre l'OTAN avec l'arme nucléaire ?
la russie n'a jamais cessé sa politique étrangère, à part une brève pause sous eltsine
Les USA n'ont pas organisé le coup d'état illégal en 2013
C'est un mensonge
Pourquoi tu parles de la guerre du vietnam pauvre gogole ? c'était il y'a des décennies de ça
et en quoi bordel de merde, cela justifie l'invasion de l'Ukraine ???
" Les USA n'ont pas organisé le coup d'état illégal en 2013 "
Commençons par debunker tout cela.
Ca va être massif.
Commençons par debunker tout cela.
Ca va être massif.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Le mythe sur l'avantage technologique qui fait gagner une guerre mérite toutefois d'être débunker bien avant.
Tu l'auras bien cherché.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
La bataille de Koursk a démontré à la perfection que le contraire pouvait très bien arrivé.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
C'était la première fois de la Seconde Guerre mondiale que les soviétiques réussissait à battre les Allemands en dehors des conditions hivernales. Jusque-là, les Allemands avaient dominé les batailles de l'été que ce soit en 1941 ou encore en 1942.
C'était la première fois qu'une attaque de type Blitzkrieg était repoussée. Les Allemands avaient prévu d'encercler un saillant (renflement de la ligne) pour piéger plusieurs dizaines de milliers de soldats soviétiques, ce qu'ils avaient fait à plusieurs reprises au cours des deux derniers étés avec peu ou pas de résistance. Les Soviétiques ont répliqué en préparant soigneusement le terrain que les Allemands étaient susceptibles d'attaquer pour empêcher les chars d'avancer, puis en lançant leurs forces de première ligne directement sur les deux colonnes de chars qui se formaient de chaque côté du saillant. Là où auparavant les Allemands n'avaient aucun problème à avancer de miles et km en une journée, ils avaient maintenant du mal à avancer de quelques yards ou mètres.
C'était la première fois que les Allemands utilisaient leur nouveau super-char, le Panzer, qui était à peu près un canon anti-aérien sur roues. Il pouvait facilement abattre une cible à 2 km, se déplacer incroyablement rapidement sur un terrain plat et était pratiquement invulnérable aux tirs ennemis. En revanche, il était difficile à produire et avait une maniabilité limitée en raison de sa taille et de son poids. A Koursk, le terrain n'était pas à son goût, il était entouré de cibles plus rapprochées et avait du mal à sortir d'une zone restreinte. C'était un match pour n'importe quel char mais avait une efficacité limitée sur un champ de bataille en constante évolution avec des chars plus petits se déplaçant rapidement.
Quel était l'objectif principal de la Wehrmacht en attaquant Koursk ? En cas de succès, quelle aurait été la prochaine étape ?
La réponse c'est qu'une semaine avant l'attaque, Goebbels a demandé à Hitler quel était son objectif et pour le front de l'Est en 1943. Dans son journal, Goebbels enregistre qu'Hitler a dit "de garder le front de l'Est où il est" (fin juin 1943).
Dans la transcription de sa conférence militaire du 19 mai 1943 (voir "Hitler et ses généraux"), Hitler a expressément indiqué que sa principale inquiétude était un effondrement politique italien, conduisant à une Méditerranée largement ouverte aux Alliés, et plus précisément à partir de là une menace à sa zone économique vitale des Balkans. Il espérait stabiliser le front de l'Est afin de gagner des troupes pour défendre cette zone.
Ainsi, dans un contexte plus large, Koursk faisait essentiellement partie de la mise en place d'une posture défensive stratégiquement active en Russie. L'espoir était de pincer le saillant de Koursk et, ce faisant, d'y encercler et d'y détruire de très grandes forces soviétiques, émoussant pendant un temps considérable toute offensive d'été russe à grande échelle. Cela redresserait également le front allemand en éliminant l'énorme renflement qui s'y trouve, ce qui permettrait d'accumuler des réserves afin d'être éventuellement disponibles pour aider en Méditerranée à repousser les invasions alliées.
Selon toute vraisemblance, un succès à Koursk, qui devait nécessairement être rapidement obtenu, aurait pu être suivi d'offensives mineures pour empêcher les Russes de se regrouper facilement et de perdre l'équilibre. Nul doute que certaines divisions auraient été transférées soit en Italie, soit dans les Balkans pour vaincre toute opération alliée.
Il est important de noter de ce qui précède qu'aucune offensive de niveau stratégique lointaine n'a été envisagée, mais plutôt des contre offensives pour conserver un territoire, pas pour en gagner plus. Hitler et le haut commandement allemand ont admis qu'en termes généraux, ils étaient stratégiquement sur la défensive et que leurs jours d'expansion étaient révolus depuis désormais un bon bout de temps.
C'était la première fois qu'une attaque de type Blitzkrieg était repoussée. Les Allemands avaient prévu d'encercler un saillant (renflement de la ligne) pour piéger plusieurs dizaines de milliers de soldats soviétiques, ce qu'ils avaient fait à plusieurs reprises au cours des deux derniers étés avec peu ou pas de résistance. Les Soviétiques ont répliqué en préparant soigneusement le terrain que les Allemands étaient susceptibles d'attaquer pour empêcher les chars d'avancer, puis en lançant leurs forces de première ligne directement sur les deux colonnes de chars qui se formaient de chaque côté du saillant. Là où auparavant les Allemands n'avaient aucun problème à avancer de miles et km en une journée, ils avaient maintenant du mal à avancer de quelques yards ou mètres.
C'était la première fois que les Allemands utilisaient leur nouveau super-char, le Panzer, qui était à peu près un canon anti-aérien sur roues. Il pouvait facilement abattre une cible à 2 km, se déplacer incroyablement rapidement sur un terrain plat et était pratiquement invulnérable aux tirs ennemis. En revanche, il était difficile à produire et avait une maniabilité limitée en raison de sa taille et de son poids. A Koursk, le terrain n'était pas à son goût, il était entouré de cibles plus rapprochées et avait du mal à sortir d'une zone restreinte. C'était un match pour n'importe quel char mais avait une efficacité limitée sur un champ de bataille en constante évolution avec des chars plus petits se déplaçant rapidement.
Quel était l'objectif principal de la Wehrmacht en attaquant Koursk ? En cas de succès, quelle aurait été la prochaine étape ?
La réponse c'est qu'une semaine avant l'attaque, Goebbels a demandé à Hitler quel était son objectif et pour le front de l'Est en 1943. Dans son journal, Goebbels enregistre qu'Hitler a dit "de garder le front de l'Est où il est" (fin juin 1943).
Dans la transcription de sa conférence militaire du 19 mai 1943 (voir "Hitler et ses généraux"), Hitler a expressément indiqué que sa principale inquiétude était un effondrement politique italien, conduisant à une Méditerranée largement ouverte aux Alliés, et plus précisément à partir de là une menace à sa zone économique vitale des Balkans. Il espérait stabiliser le front de l'Est afin de gagner des troupes pour défendre cette zone.
Ainsi, dans un contexte plus large, Koursk faisait essentiellement partie de la mise en place d'une posture défensive stratégiquement active en Russie. L'espoir était de pincer le saillant de Koursk et, ce faisant, d'y encercler et d'y détruire de très grandes forces soviétiques, émoussant pendant un temps considérable toute offensive d'été russe à grande échelle. Cela redresserait également le front allemand en éliminant l'énorme renflement qui s'y trouve, ce qui permettrait d'accumuler des réserves afin d'être éventuellement disponibles pour aider en Méditerranée à repousser les invasions alliées.
Selon toute vraisemblance, un succès à Koursk, qui devait nécessairement être rapidement obtenu, aurait pu être suivi d'offensives mineures pour empêcher les Russes de se regrouper facilement et de perdre l'équilibre. Nul doute que certaines divisions auraient été transférées soit en Italie, soit dans les Balkans pour vaincre toute opération alliée.
Il est important de noter de ce qui précède qu'aucune offensive de niveau stratégique lointaine n'a été envisagée, mais plutôt des contre offensives pour conserver un territoire, pas pour en gagner plus. Hitler et le haut commandement allemand ont admis qu'en termes généraux, ils étaient stratégiquement sur la défensive et que leurs jours d'expansion étaient révolus depuis désormais un bon bout de temps.
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il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Pour comprendre la contexte, il faut savoir que sur le front de l'Est, le 19 novembre 1942, l'opération Uranus est déclenchée. Trois Fronts, celui du Sud Ouest, du Don et de Stalingrad, respectivement commandés par Vatounine, Rokossovski et Ieremenko, encerclent Stalingrad et à l'intérieur la 6ème armée allemande. 6ème armée qui, soit disant passant était la plus puissante des armées allemandes engagées en direction du Caucase et de la Volga. Le groupe d'armée Don, futur groupe d'Armée Sud, est dirigé à partir du 21 novembre par Eirch Von Manstein. Manstein tente de secourir la 6ème armée. Mais l'opération montée par les soviétiques, baptisée "Petite Saturne" l'en empêche. Cela se traduit sur le terrain par une percée du Front Sud Ouest sur le Don moyen durant la journée du 16 décembre 1942. Résultat : La 8ème armée italienne perd un de ses corps. L'espace est ouvert entre le Don et Donetz. Pour stopper Vatounine et son Front du Sud Ouest, Manstein se voit dans l'obligation de détourner un de ses corps de son objectif initial, en l'occurrence un corps blindé. La contre attaque de la 2ème armée de la Garde soviétique arrête le coup de Manstein mené en direction de la ville de Stalingrad. Les retraites de la 1ère et 4ème armée Panzer en direction du Dontz s'accélèrent, ainsi que celle du groupe d'Armée A en direction de la péninsule de Taman. A ce moment là, à 400 km de Zaporoié, Dniepropetrovsk et Dniepr ou plutôt de leurs passage se trouvent de conséquentes forces armées soviétiques. La Stavka et Staline prévoient alors d'encercler les forces allemandes se situant au sud de la Russie et de l'Ukraine, et les détruire une fois acculés du côté de la mer d'Azov. L'Union soviétique pourrait ainsi être libérée dès le début de l'année 1943 si les choses se déroulent bien pour l'armée rouge.
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il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Mais les forces soviétiques sont dispersées sur 3 axes différents ce qui affaiblit déjà son offensive. Que ce soit en direction de l'ouest vers Kharkov, du sud ouest vers bas Dniepr ou encore du nord est en direction de Koursk Smolensk. Malgré les mises en garde de Vassilevski, Staline et une grande partie de la Stavka se veulent rassurant étant donné que pour eux, la Wehrmacht n'a plus la possibilité d'effectuer une réaction coordonnée. D'où l'obsession de sans cesse vouloir passer à l'offensive. Les Front de Briansk, commandé par Reyter, le Front de Voronej, commandé par Golikov, du Sud Ouest, commandé par Vatounine, et du sud, commandé par Malinovski. Le 13 janvier 1943, l'offensive débute. Au début, cela se passe plutôt bien : le Front de Voronej parvient à détruire un autre corps italien ainsi que la 2ème armée hongroise dans le cadre de ce qu'on appelle l'opération Ostrogorzhsk Rossosh, ce qui ouvre un espace de 200 kilomètre dans le dispositif militaire allemand. La 2ème armée allemande se replie donc vers l'Ouest de plus de 400 kilomètres. Le 8 février 1943, la 6ème armée, incluse dans le Front de Voronej et dirigée par un certain Tcherniakovski, qui s'illustrera d'ailleurs plutôt dans l'opération Bagration en 1944, prend Koursk à la 2ème armée allemande. Le Corps blindé SS de Paul Hausser est menacé d'encerclement et abandonne la ville de Kharkov, qui, à partir du 14 février 1943, se soulève contre l'occupation allemande. Le Front du Sud Ouest de Vatounine parvient à écraser la 3ème armée roumaine après s'être élancée le 24 janvier. Malgré cela, Manstien parvient à protéger la retraite de la 17ème armée allemande, depuis le Caucase jusqu'à la péninsule de Taman soit 600 kilomètres et ce malgré les attaques soviétiques incessantes ainsi qu'une météo tout sauf favorable.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Le mouvement de rocade effectué par Manstein vers l'Ouest fait que les 1ère et 4ème armées parviennent à faire 500 kilomètres de l'Est de Rostov au bassin occidental du Donetz. Le détachement d'Armée Hollidt est leur seule protection. ce détachement, formé en novembre 1942, rassemble 3 divisions d'infanteries, 2 divisions blindées appartenant au XXXXVIIIème Panzerkorps, 2 divisions de campagne de la Luftwaffe ainsi que 3 divisions de montagne. La 1ère armée s'aligne de part et d'autre de Stalino. La 4ème Armée Panzer, elle, revient d'au delà de Rostov. Elle parvient à venir se concentrer le long de la voie Dniepropetrovsk Rostov. La Stavka, malgré cela, ne comprend pas qu'il ne s'agit pas d'une retraite au delà du Dniepr. La présence d'unités allemandes sur sa gauche n'inquiète pas Vatounine, pas plus que le afit que le Front de Voronej de Golikov doive aller vers Kharkov ce qui l'écarte de lui. Pourtant les rapports ne manquent pas pour sonner l'alerte. Ainsi John Erickson montre dans son ouvrage : "The road to Berlin", que les 88ème et 113ème brigades blindées ne parviennent à rassembler que 6 chars. Ce qui n'est pas surprenant étant donné que certaines unités blindées ne sont qu'à 10% de leur dotation en char, certaines divisions de fusiliers, majoritaires, n'ont plus que 20% et quelques de leurs effectifs en état de combattre. Les Corps blindés, par dessus le marché, ne reçoivent pas suffisamment de carburant, ni de munitions. Sans oublier les pièces détachées. Le manque de camions et de voies ferrés se fait clairement ressentir sur la logistique soviétique. Les quelques biplans Po2 ne suffisent pas pour livrer suffisamment de gazole. Il faut ajouter à ce cauchemar logistique la destruction des routes, des voies ferrés, des dépôts, ainsi que des ponts par les soldats allemands en retraite.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Même Hitler ne comprend pas bien la maneuvre de Manstein quand celui ci le rencontre le 6 février à quartier général du Fuhrer en Prusse Orientale près de Rastenburg. Le plan de contre attaque de Manstein est de laisser les soviétiques avancer vers le Dniepr, allonger leurs lignes logistiques encore plus, attendre que leur efforts se désunissent et perdent leur cohésion au fut et à mesure de leurs avancées, ce qui arrivera. Une fois les forces assemblées sur les flancs, le coup re revers achèvera les forces avancées des armées soviétiques. Au nord, sur l'wa Poltava Krasnograd, le groupe Kempf avec le IInd Corps Panzer SS, au sud, les 1ère et 4ème armée Panzers sur l'axe Stalino Zaporoié. Les trois objectifs de Manstein sont les suivants. Ils consistent d'abord à ce que les 1ère et 4ème armées Panzer venues du sud ainsi que le Corps Panzer SS venu du nord puissent détruire les forces mobiles dirigées par Nikolai Vatounine après les avoir sectionnés. Ses autres unités devront être rejetées vers l'Est au delà du Donetz. Ensuite, il s'agit pour ses forces d'enfoncer le flanc gauche du Front de Voronnej de Golikov, leur permettant ainsi de reprendre Koursk d'une part et Bielgorod d'autre part. Enfin, le dernier objectif consiste à mettre en place une nouvelle tenaille, sur Koursk, aidé par le Groupe d'Armée Centre, dirigée par le maréchal allemand, Von Kluge. Le cisaillement du saillant de Koursk n'est donc pas une idée née à l'occasion de l'opération Citadelle ayant débuté le 5 juillet mais bel est bien une idée faisant son apparition pour la première fois au mois de février 1943 grâce à Manstein., La 4ème Luftwotte aide les forces blindés de Manstein. Cette armée aérienne allemande est commandée par Wolfram Von Richthofen. Leur adversaire, eux ne possèdent plus ce soutient aérien pourtant primordial.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Les deux premiers objectifs de Manstein, en l'occurrence, sont parfaitement exécutés. Malgré la supériorité large, sur le plan des blindés comme sur le plan de l'aviation, il s'agit là d'un modèle de la guerre de mouvement. A la 4ème Luftflotte et à ses 1000 appareils en état de voler, seuls 100 appareils soviétiques peuvent leur faire face. Vatounine et Golikov se font écrasés. Malgré le manque d'infanterie pour rendre étanche les encerclements réalisés par les blindés, l'opération est un succès. Mais au delà de l'objectif stratégique visant l'Ukraine et le sud de la Russie, Staline comme Joukov, veut détruire le Groupe d'Armée Centre, toujours menaçant pour Moscou. Les Front de Brianks, du Centre et de l'Ouest veulent percer jusqu'à Smolensk à travers Brianks pour enfin, encercler les 5 armées du Groupe d'Armée Centre de Von Kluge, en même temps qu'une attaque du Front de Kalinine. Rokossovski, à la tête du Front du Centre, parvient à percer jusqu'à la Desna. Mais Ryter, dirigeant le Front de Briansk, ainsi que Sokolovski, commandant le Front de l'Ouest, connaissent plus de difficultés dans leurs secteurs respectifs, ce qui fait que Rokossovski se retrouve bien seul. L'objectif est revu à la baisse. Il ne s'agit plus d'aller aussi loin jusqu'à Smolensk mais juste d'aller à Orel, ce qui serait déjà un succès. Malgré une tentative de Rokossovski pour prendre la ville d'Orel, l'attaque coinjointe en tenaille effectuée d'une part, par la 2ème armée Panzer, d'autre part par la 2ème Armée, empêche toute réalisation de cet objectif. Il est obligé de se retirer de 150 kilomètres vers Koursk. Ce n'est pourtant pas de sa faute étant donné que des forces importantes lui avaient été retirées par la Stavka pour être jetés vers le sud à cause d'une menace allemande de ce côté là.
Après que Staline ait reçu Joukov le 12 mars 1943, Jourkov reçoit sur le terrain la 64ème armée ainsi que la 21ème armée qui avait été enlevée à Rokossovski. A la sortie des blindés allemands près de Bielgorod, il les envoie au combat. Autour d'Oboian, c'est la 1ère armée de tanks commandée par Katoukov qui est amenée, soit au sud de Koursk, dans le cas où l'infanterie ne parviendrait pas à résister. Manstein, voulait franchir le Donetz au sud de Bielgorod, puis avancer en direction de Korocha au nord est pour refermer la nasse 150 kilomètres plus loin sur les arrières des Fronts Centre et Ouest, commandés respectivement par Rokossovski et Sokolovski. Pour prendre, Koursk, il ne peut plus passer sur les glaces sur la rivière à cause du radoucissement ce qu'il fait qu'il va devoir monter une attaque en tenaille classique. Or, pour cela, il a besoin de Von Kluge pour la tenaille sud, demande refusée par ce dernier à cause du mauvais état de ses 2ème armée et 2ème armée Panzer ainsi que de l'éparpillement de la 9ème armée de Model. Manstein lui fera porter la responsabilité de cet échec dans ses mémoires malgré le fait que les forces de Manstein étaient elles même épuisées. En bref, durant le printemps 1943, les soviétiques savent que Koursk sera sauvé. Mais pour combien de temps?
Pour ce qui est du bilan de l'offensive soviétique de l'hiver, il faut noter la perte de 107 divisions pour ce qui est des armées allemandes, roumaines, italiennes et hongroises. Sans oublier la perte de 250 000 roumains, 185 000 italiens, 140 000 hongrois et 500 000 allemands. Sur les 107 divisions de l'Axe perdues, soit 40% des forces qui ont été engagées à l'Est, 68 étaient allemandes. A cela il faut ajouter plus de 2 000 chars ainsi que plus de 1 000 définitivement détruits, en d'autres termes impossibles à réparer et à remettre sur pied et en état de marche. Cependant, durant ce même hiver c'est 1 million d'hommes que les soviétiques ont perdu pour plus de 5 fois plus de chars perdus que les Allemands. Les deux adversaires sont de toute évidence, épuisés.
Durant cette période, le Reich peut soit choisir d'attaquer, soit choisir de défendre. Il est possible en effet de mettre en place une défense longue qui puisse, sur le long voir moyen terme aboutir à une solution et à des négociations avec l'adversaire soviétique. Mais le Reich n'a pas voulu se pencher sur cette possibilité. L'Allemagne allait donc reprendre l'initiative qui lui a été donné par la contre attaque réussie de Manstein en attaquant. Les 80% des moyens allemands, en 1943, sont en Russie, sur le front de l'Est. Pour Hitler, il n'y a pas le choix : pour l'emporter dans cette guerre, il faut obligatoirement mettre KO l'armée rouge pour pouvoir par la suite se tourner vers l'Ouest de l'Europe, où la menace anglo saxonne se fait de plus en plus ressentir. La question est de savoir où porter l'effort allemande. Malgré le fait que le front de l'Est rassemble la majorité des forces allemandes, il existe d'autres fronts menaçants. Que ce soit à l'Ouest, d'où la guerre aérienne contre les villes allemandes se traduit par les bombardements du 27 janvier 1943 menés par l'US Aie Force à Wilhelmshaven. Les Britanniques, eux, s'en prennent à la Ruhr avec leurs quadrimoteurs lourds. Pour le Reich, il s'agit de préserver son potentiel industriel mis à mal par les Alliés sans lequel toute victoire est impossible. Dans le cadre de la bataille d'Atlantique, l'Allemgne maintient 100 U Boot sur la mer. En mars 1943, 108 navires alliés sont coulés dans l'Atlantique nord. Pourtant, malgré les espérance suscités par ces résultats, l'inévitable se produit en mai 1943 puisque 43 U boots sont coulés et envoyés au fond des océans, soit bien plus que ce qui est possible de construire mensuellement par l'Allemagne. Selon l'amiral Donitz, responsable de ces U Boots, dans ses mémoires, c'est là que la bataille de l'Atlantique fut perdue par les Allemands.
Au Nord, l'intérêt porté par Hitler a toujours été important contrairement à ce qu'on pourrait croire. Depuis l'année 1942, il craint un débarquement allié sur les côtes norvégiennes. Etant donné le retournement de l'opinion Suédoise en faveur des Alliés depuis Stalingrad ainsi que la réflexion de la Finlande quant à savoir si oui ou non il faut sortir du conflit qui avait été menée par la Finlande en URSS aux côtés de l'Allmagne pour récupérer les provinces arrachées par l'URSS lors de la guerre d'Hiver en 1939.
En ce qui concerne le front au sud, Mussolini insiste pour un maintien des forces de l'Axe en Tunisie où Rommel à du mal à résister aux anglais. Les Balkans font également partie des préoccupations d'Hitler et pour cause. Ce sont les Balkans qui gardent le flanc droit des forces de l'Axe engagés en Union Soviétique. Nombre de ses minerais stratégiques viennent des Balkans. A savoir précisément 100% du chrome, 60% de la bauxite, 50% du pétrole ainsi que 20% du cuivre. Les Britanniques le savaient et ont tenté de tromper Hitler en le faisant croire qu'il y aurait un débarquement dans les Balkans pour mieux masquer leurs vraies intentions.
Après que Staline ait reçu Joukov le 12 mars 1943, Jourkov reçoit sur le terrain la 64ème armée ainsi que la 21ème armée qui avait été enlevée à Rokossovski. A la sortie des blindés allemands près de Bielgorod, il les envoie au combat. Autour d'Oboian, c'est la 1ère armée de tanks commandée par Katoukov qui est amenée, soit au sud de Koursk, dans le cas où l'infanterie ne parviendrait pas à résister. Manstein, voulait franchir le Donetz au sud de Bielgorod, puis avancer en direction de Korocha au nord est pour refermer la nasse 150 kilomètres plus loin sur les arrières des Fronts Centre et Ouest, commandés respectivement par Rokossovski et Sokolovski. Pour prendre, Koursk, il ne peut plus passer sur les glaces sur la rivière à cause du radoucissement ce qu'il fait qu'il va devoir monter une attaque en tenaille classique. Or, pour cela, il a besoin de Von Kluge pour la tenaille sud, demande refusée par ce dernier à cause du mauvais état de ses 2ème armée et 2ème armée Panzer ainsi que de l'éparpillement de la 9ème armée de Model. Manstein lui fera porter la responsabilité de cet échec dans ses mémoires malgré le fait que les forces de Manstein étaient elles même épuisées. En bref, durant le printemps 1943, les soviétiques savent que Koursk sera sauvé. Mais pour combien de temps?
Pour ce qui est du bilan de l'offensive soviétique de l'hiver, il faut noter la perte de 107 divisions pour ce qui est des armées allemandes, roumaines, italiennes et hongroises. Sans oublier la perte de 250 000 roumains, 185 000 italiens, 140 000 hongrois et 500 000 allemands. Sur les 107 divisions de l'Axe perdues, soit 40% des forces qui ont été engagées à l'Est, 68 étaient allemandes. A cela il faut ajouter plus de 2 000 chars ainsi que plus de 1 000 définitivement détruits, en d'autres termes impossibles à réparer et à remettre sur pied et en état de marche. Cependant, durant ce même hiver c'est 1 million d'hommes que les soviétiques ont perdu pour plus de 5 fois plus de chars perdus que les Allemands. Les deux adversaires sont de toute évidence, épuisés.
Durant cette période, le Reich peut soit choisir d'attaquer, soit choisir de défendre. Il est possible en effet de mettre en place une défense longue qui puisse, sur le long voir moyen terme aboutir à une solution et à des négociations avec l'adversaire soviétique. Mais le Reich n'a pas voulu se pencher sur cette possibilité. L'Allemagne allait donc reprendre l'initiative qui lui a été donné par la contre attaque réussie de Manstein en attaquant. Les 80% des moyens allemands, en 1943, sont en Russie, sur le front de l'Est. Pour Hitler, il n'y a pas le choix : pour l'emporter dans cette guerre, il faut obligatoirement mettre KO l'armée rouge pour pouvoir par la suite se tourner vers l'Ouest de l'Europe, où la menace anglo saxonne se fait de plus en plus ressentir. La question est de savoir où porter l'effort allemande. Malgré le fait que le front de l'Est rassemble la majorité des forces allemandes, il existe d'autres fronts menaçants. Que ce soit à l'Ouest, d'où la guerre aérienne contre les villes allemandes se traduit par les bombardements du 27 janvier 1943 menés par l'US Aie Force à Wilhelmshaven. Les Britanniques, eux, s'en prennent à la Ruhr avec leurs quadrimoteurs lourds. Pour le Reich, il s'agit de préserver son potentiel industriel mis à mal par les Alliés sans lequel toute victoire est impossible. Dans le cadre de la bataille d'Atlantique, l'Allemgne maintient 100 U Boot sur la mer. En mars 1943, 108 navires alliés sont coulés dans l'Atlantique nord. Pourtant, malgré les espérance suscités par ces résultats, l'inévitable se produit en mai 1943 puisque 43 U boots sont coulés et envoyés au fond des océans, soit bien plus que ce qui est possible de construire mensuellement par l'Allemagne. Selon l'amiral Donitz, responsable de ces U Boots, dans ses mémoires, c'est là que la bataille de l'Atlantique fut perdue par les Allemands.
Au Nord, l'intérêt porté par Hitler a toujours été important contrairement à ce qu'on pourrait croire. Depuis l'année 1942, il craint un débarquement allié sur les côtes norvégiennes. Etant donné le retournement de l'opinion Suédoise en faveur des Alliés depuis Stalingrad ainsi que la réflexion de la Finlande quant à savoir si oui ou non il faut sortir du conflit qui avait été menée par la Finlande en URSS aux côtés de l'Allmagne pour récupérer les provinces arrachées par l'URSS lors de la guerre d'Hiver en 1939.
En ce qui concerne le front au sud, Mussolini insiste pour un maintien des forces de l'Axe en Tunisie où Rommel à du mal à résister aux anglais. Les Balkans font également partie des préoccupations d'Hitler et pour cause. Ce sont les Balkans qui gardent le flanc droit des forces de l'Axe engagés en Union Soviétique. Nombre de ses minerais stratégiques viennent des Balkans. A savoir précisément 100% du chrome, 60% de la bauxite, 50% du pétrole ainsi que 20% du cuivre. Les Britanniques le savaient et ont tenté de tromper Hitler en le faisant croire qu'il y aurait un débarquement dans les Balkans pour mieux masquer leurs vraies intentions.
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il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Pour ce qui est du front de l'Est, une attaque et une victoire majeure à l'Est permettrait de se remettre du choc émotionnel de Stalingrad. La défaite de Stalingrad a énormément affecté Hitler, qui en perd le sommeil. L'autre raison tient à l'état moral des alliés de l'Allemagne, fortement marqués par la catastrophe de Stalingrad également. Cet argument a souvent été évoqué d'ailleurs par Hitler, Goebbels, et Keitel pour ne citer qu'eux. Ainsi au nord, la Finlande empêche les Soviets de prendre la Norvège de revers, en plus de protéger les réserves du Petsamo, évoquées dans l'ouvrage de Jean Lopez intitulée : "Barbarossa : 1941, la guerre absolue". De plus, une partie importante de la flotte soviétique est bloquée à Cronstadt. Mennerheim, maréchal finlandais, chef des forces armées finlandaises, sent bien que l'Allemagne ne pourrait pas gagner la guerre à partir de l'hiver 1942. En effet, le siège de Léningrad ne tient que très difficilement. Une attaque soviétique au sud de Ladoga était parvenue à desserrer l'étau en janvier 1943. Ce n'est pas pour rien que le président de la Finlande Risto Ryti ainsi que le cabinet informent les députés que la Finlande doit se préparer à en sortir. Cette séance secrète a eu lieu le 9 février 1943, juste après la réédition de la 6ème armée Allemande à Stalingrad.
Plus, la Roumanie, pour parler d'un autre allié de l'Allemagne, a perdue 2 armées dans la débâcle de Stalingrad ainsi que durant l'offensive d'hiver 1942 1943 lancée par les soviétiques dans la foulée. Les déceptions se font sentir étant donné que les promesses d'équipement des unités roumaines n'ont pas été tenus pas plus que les avertissements d'Antonescu quant à la fragilité des flancs de Paulus tenus par les troupes roumaines. Même chose pour les Hongrois qui, tout comme les Roumains, sentant le vent tourner, cherchent une paix séparée avec les Occidentaux. Il s'agit enfin de renforcer le parti fasciste en Italie, victime d'un complot du roi Victor Emmanuel, qui complote contre Mussolini ouvertement et entre en contact avec les Alliés régulièrement. En bref, il s'agit de retrouver la confiance de ses alliés en remportant une grande victoire à l'Est, et Koursk doit lui fournir cette occasion.
Pour Hitler et l'OKW, l'année 1944 sera l'année de la grande confrontation à l'Ouest. Or, pour cela il faut prélever parmi les 80% des forces de la Wehrmacht présentes sur le front de l'Est. Autrement toute victoire sur les alliés est impossible. Il faut donc en finir au plus vite avec les soviétiques et se donner de l'air. Afin de faire porter à Hitler seul la responsabilité des défaites à l'Est, des militaires allemands ont affirmé que seul Hitler avait voulu reprendre l'initiative à l'est. Pourtant, Theodor Busse, chef d'état major de Manstein depuis mars 1943, admet d'ailleurs qu'en plus d'Hitler, l'OKH ainsi que les commandants des Groupes d'Armées Centre et Sud étaient tous favorables à la reprise de l'initiative stratégique à l'Est. Source : "Kursk, the German view" écrit par l'historien de la Seconde Guerre Mondiale, Steven Newton, précisément à la page 10.
Plus, la Roumanie, pour parler d'un autre allié de l'Allemagne, a perdue 2 armées dans la débâcle de Stalingrad ainsi que durant l'offensive d'hiver 1942 1943 lancée par les soviétiques dans la foulée. Les déceptions se font sentir étant donné que les promesses d'équipement des unités roumaines n'ont pas été tenus pas plus que les avertissements d'Antonescu quant à la fragilité des flancs de Paulus tenus par les troupes roumaines. Même chose pour les Hongrois qui, tout comme les Roumains, sentant le vent tourner, cherchent une paix séparée avec les Occidentaux. Il s'agit enfin de renforcer le parti fasciste en Italie, victime d'un complot du roi Victor Emmanuel, qui complote contre Mussolini ouvertement et entre en contact avec les Alliés régulièrement. En bref, il s'agit de retrouver la confiance de ses alliés en remportant une grande victoire à l'Est, et Koursk doit lui fournir cette occasion.
Pour Hitler et l'OKW, l'année 1944 sera l'année de la grande confrontation à l'Ouest. Or, pour cela il faut prélever parmi les 80% des forces de la Wehrmacht présentes sur le front de l'Est. Autrement toute victoire sur les alliés est impossible. Il faut donc en finir au plus vite avec les soviétiques et se donner de l'air. Afin de faire porter à Hitler seul la responsabilité des défaites à l'Est, des militaires allemands ont affirmé que seul Hitler avait voulu reprendre l'initiative à l'est. Pourtant, Theodor Busse, chef d'état major de Manstein depuis mars 1943, admet d'ailleurs qu'en plus d'Hitler, l'OKH ainsi que les commandants des Groupes d'Armées Centre et Sud étaient tous favorables à la reprise de l'initiative stratégique à l'Est. Source : "Kursk, the German view" écrit par l'historien de la Seconde Guerre Mondiale, Steven Newton, précisément à la page 10.
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il y a 2 ans
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De plus, la conférence de Casablanca se déroulant entre le 14 et 23 janvier 1943, convainc Hitler qu'il faut garder l'initiative à l'est à cause de la reddition inconditionnelle demandée par les Alliés. Malgré le fait qu'Hitler ait voulu éviter une guerre des deux fronts, ce qui fut le cas avant 1941, l'attaque de l'Union Soviétique cette année là, tout en étant toujours en guerre contre les Britanniques, rompit ce dogme. Mais Hitler est certain que les troupes allemandes se tiendront en janvier 1943 sur la ligne Archangelsk Astrakhan, comme cela avait été planifié par l'OKH. Mais l'échec de l'opération Barbarossa ainsi que l'entrée en guerre des Etats Unis sonnent le glas de la Blietzkrieg. Il ne s'agit plus d'une guerre rapide et éclaire mais bel et bien d'une guerre d'attrition contre plusieurs grandes puissances industrielles. Mais la mise en place de l'économie de guerre en 1942 se fera véritablement avec Albert Speer, ayant remplacé un Todt pas assez compétent le 8 février 1942. Entre juin 1941 et mars 1943, l'armée allemande à perdue 95 divisions, soit 1 million d'hommes à l'est, tués ou disparus. Malgré l'arrivée de renforts importants en avril 1943, il manque des centaines de milliers de soldats sur les tableaux d'effectifs. Seule l'armée blindé peut parvenir à sortir l'Allemagne du problème dans lequel elle est plongée sur le plan militaire à cause du manque d'infanterie et de la réduction du nombre de divisions. Or là aussi, tout ne va pas bien. En effet, Guderian est nommé inspecteur général des troupes blindées. Il a pour mission d'accroitre les divisions Panzers ainsi que de les renforcer. Or Hitler en se mêlant de la mise au point des différents prototypes, demandant de multiples versions et modifications à plusieurs reprises, retarde le commencement de la production
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il y a 2 ans
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Sur le papier, il apparait comme étant clair, que l'Armée rouge l'emporte sur son adversaire numériquement. Ainsi cette dernière peut aligner en juillet 1943 pas moins de 5 700 000 hommes environ, contre plus de 3 100 000 pour ce qui est de la Wehrmacht, plus plus de 220 000 Roumains voire même Hongrois. C'est du moins ce qu'estime Niklas Zetterling et Anders Franckson dans leur ouvrage célèbre parmi les amateurs et les spécialistes de la Seconde Guerre Mondiale, à savoir : Kursk 1943. Pourtant, ce n'est pas comme si les rapports de forces sur le plan purement numérique n'ont pas toujours été en faveur des soviétiques sur le plan général du moins, étant donné que durant l'opération Barbarossa, dans énormément de secteurs et étant donné une certaine disposition en masse dans la profondeur, c'était les soviétiques qui étaient dominé numériquement et techniquement également. Le commandement, l'encadrement ainsi que la tactiques allemandes se sont révélés jusque là supérieures à celles de l'Armée rouge. L'apprentissage a été long et terrible à cause de la perte de la quasi totalité des troupes et des matériels se trouvant aux frontières, à savoir 10 000 avions et 20 000 chars, et bien sûr, près de 5 millions de morts ou disparus, tous durant l'opération Barbarossa. Les unités opérationnelles de l'Armée rouge, juste avant la bataille de Koursk, consistent en, par ordre croissant, des régiments, des divisions, des corps d'armées, des armées et enfin des fronts. L'axe majeur sur lequel il opère donne son nom aux Fronts. Malgré le fait qu'il ait souvent été comparé aux Groupes d'Armées occidentaux que ce soit Allemands ou Alliés, la variabilité de sa composition est à souligner. Ainsi on a pu constater que certains Front, sur des secteurs relativement secondaires, notamment au nord, comportaient seulement 3 ou 4 armées pour 80 000 ou 90 000 hommes alors que les Front les plus conséquents, eux, étaient constitués de 8,9, voire 10 armées pour 500 000 voire 600 000 soldats.
Les armées se caractérisent de plus en plus notamment à partir de 1943 par la constitution de corps d'infanterie, de divisions d'artilleries et bien sûr de corps blindés et mécanisés. On a clairement vu, notamment lors de l'année 1941, voire même 1942, que les liaisons avec l'aviation étaient inexistantes et que la logistique n'était pas à la hauteur. A cela s'ajoutait le manque criant de radios et donc un désavantage conséquent en matière de communication par rapport aux Allemands. Or, les chefs de Front et d'Armées à Koursk sont ceux qui ont survécu aux 2 premières années de la guerre et qui ont appris de leurs erreurs. La stavka mettra au points les Armées de tanks et les Armées mixtes comportant plusieurs unités d'infanterie et une unité blindé pour l'accompagnement, l'exploitation étant réalisé par les forces mobiles des Armées de tanks dans le cadre de l'art opératif mis au point puis utilisé par les Soviétiques. Tout comme les Allemands, les Soviétiques recherchent le point d'application prioritaire, aussi connu par les Allemands sous le nom de "Schwerpunkt". Malgré cela il existe de nombreuses différences au delà de la différence entre la doctrine de l'art opératif et de la doctrine des encerclements ou de la bataille décisive. En effet le haut commandement Soviétique préfère au lieu d'une seul et unique frappe, plusieurs frappes en plusieurs endroits éloignés du Front généralement, sans doute pour mieux profiter de leur supériorité numérique que ce soit sur le plan humain ou matériel. Contrairement aux blindés allemands qui font la percée, côté soviétique, c'est l'artillerie ainsi que l'infanterie soutenue par des chars d'accompagnement qui percent, les armées de tanks étant censés exploiter dans la profondeur, ce qu'on verra d'ailleurs à l'oeuvre principalement en 1944 puis en 1945. Il ne s'agit de de forcer la victoire en une seule bataille décisive mais de faire reculer l'adversaire sur un front large grâce à un enchaînement de plusieurs coups massifs.
Côté infanterie, c'est le seul domaine où l'Armée rouge non seulement ne s'est pas amélioré mais en plus de cela a régressé notamment sur le plan qualitatif. Et pour cause la majorité des soldats Soviétiques morts de l'Armée rouge lors de Barbarossa puis après étaient des soldats de l'infanterie. Il faut dire que les chances de survie durant les 2 premières années de la guerre, étaient vraiment faibles quand on faisait partie de l'infanterie rouge. C'est également au sein de l'infanterie que l'on retrouve assez souvent les plus âgés et les personnels et commandants les plus entraînés voire les moins compétents. Pour les blindés, c'est tout l'inverse. De ce point de vue, on notera la similitude par rapport à la Wehrmacht. D'ailleurs les unités blindés Soviétiques progresseront de manière tellement constante qu'ils seront capable de véritablement rivaliser les Panzers allemands à partir de mi 1944, sans pouvoir les surpasser pour autant, loin de là, en témoigner les pertes importantes en chars et ce jusqu'à la fin de la guerre. De 1941 à 1944, en effet, la coordination des opérations en profondeur fut extrêmement difficile de la part des forces mobiles blindées. Les maneuvres d'enveloppement étaient d'ailleurs difficiles à cause d'un manque de flexibilité dans leur structure même ainsi que de part le manque d'initiative au niveau du commandement, attitude fréquente au sein d'un système communiste ne valorisant en aucun cas la prise d'initiative individuelle. Mais l'Armée Rouge parviendra à effectuer des mouvements à grandes échelles à partir de 1944, notamment à partir de l'opération Bagration. Et déjà, cette compétence opérative, on la verra à l'oeuvre dès Koursk, quoiqu'il s'agisse là, pour les Soviétiques, non pas d'une opération en profondeur, mais d'une bataille défensive. Et c'est cette compétence opérative, qui compensera la supériorité tactique et technique de la Wehrmacht.
Pour rappel, au niveau de l'industrie, les rapports de forces sont écrasants en faveur de l'Union Soviétique étant donné que plus de 100 000 chars et canon d'assaut seront produits durant les Soviétiques durant tout la guerre en Europe contre plus de 50 000 pour le IIIème Reich. Soit un rapport de 2 contre 1, sachant qu'à partir du débarquement notamment, le Reich devra davantage diluer ses forces, ce que n'aura pas besoin de faire les Soviétiques étant donné qu'en plus de se battre sur un seul front, ils auront repris, sur le plan militaire l'initiative totalement et ce jusqu'à la fin de la guerre à ce moment là. Pourtant, l'industrie allemande est censée peser plus que l'industrie soviétique, en témoigne le fait que l'Allemagne parvient à extraire 281 tonnes de charbon et coule 35 millions de tonnes d'écier contre respectivement 121 et 12 millions de tonnes pour les Soviétiques. Manifestement, quelque chose ne va pas. Et bien la réalité, c'est que contrairement à une idée reçue, non seulement l'Union Soviétique était prête pour la guerre, mais en plus de cela, elle était davantage prête que l'Allemagne. La preuve en est les plans quinquennaux qui ont mis en avant la nécessité au combien importante de fabriquer et produire en masse des matériels certes solides mais aussi simples et faciles pour la réparation, en opposition avec la mobilisation plus tardive du Reich, qui je le rappelle, n'entre dans une économie de guerre qu'en 1942. Ajoutons à cela l'éparpillement des modèles à construire ainsi que le caractère plus difficile de leur construction et pour les produire en masse. Un T 34 sera par exemple plus facile à produire rapidement et en masse qu'un Panther ou Un Tigre Royal allemand, en dépit de la supériorité de ces deux derniers sur le premier d'un point de vue purement qualitatif. Rien que pour la Panzerdivision on a plus de 40 véhicules différents. Bonne chance pour fournir les bonnes pièces détachées et adaptés aux bons véhicules.
Les armées se caractérisent de plus en plus notamment à partir de 1943 par la constitution de corps d'infanterie, de divisions d'artilleries et bien sûr de corps blindés et mécanisés. On a clairement vu, notamment lors de l'année 1941, voire même 1942, que les liaisons avec l'aviation étaient inexistantes et que la logistique n'était pas à la hauteur. A cela s'ajoutait le manque criant de radios et donc un désavantage conséquent en matière de communication par rapport aux Allemands. Or, les chefs de Front et d'Armées à Koursk sont ceux qui ont survécu aux 2 premières années de la guerre et qui ont appris de leurs erreurs. La stavka mettra au points les Armées de tanks et les Armées mixtes comportant plusieurs unités d'infanterie et une unité blindé pour l'accompagnement, l'exploitation étant réalisé par les forces mobiles des Armées de tanks dans le cadre de l'art opératif mis au point puis utilisé par les Soviétiques. Tout comme les Allemands, les Soviétiques recherchent le point d'application prioritaire, aussi connu par les Allemands sous le nom de "Schwerpunkt". Malgré cela il existe de nombreuses différences au delà de la différence entre la doctrine de l'art opératif et de la doctrine des encerclements ou de la bataille décisive. En effet le haut commandement Soviétique préfère au lieu d'une seul et unique frappe, plusieurs frappes en plusieurs endroits éloignés du Front généralement, sans doute pour mieux profiter de leur supériorité numérique que ce soit sur le plan humain ou matériel. Contrairement aux blindés allemands qui font la percée, côté soviétique, c'est l'artillerie ainsi que l'infanterie soutenue par des chars d'accompagnement qui percent, les armées de tanks étant censés exploiter dans la profondeur, ce qu'on verra d'ailleurs à l'oeuvre principalement en 1944 puis en 1945. Il ne s'agit de de forcer la victoire en une seule bataille décisive mais de faire reculer l'adversaire sur un front large grâce à un enchaînement de plusieurs coups massifs.
Côté infanterie, c'est le seul domaine où l'Armée rouge non seulement ne s'est pas amélioré mais en plus de cela a régressé notamment sur le plan qualitatif. Et pour cause la majorité des soldats Soviétiques morts de l'Armée rouge lors de Barbarossa puis après étaient des soldats de l'infanterie. Il faut dire que les chances de survie durant les 2 premières années de la guerre, étaient vraiment faibles quand on faisait partie de l'infanterie rouge. C'est également au sein de l'infanterie que l'on retrouve assez souvent les plus âgés et les personnels et commandants les plus entraînés voire les moins compétents. Pour les blindés, c'est tout l'inverse. De ce point de vue, on notera la similitude par rapport à la Wehrmacht. D'ailleurs les unités blindés Soviétiques progresseront de manière tellement constante qu'ils seront capable de véritablement rivaliser les Panzers allemands à partir de mi 1944, sans pouvoir les surpasser pour autant, loin de là, en témoigner les pertes importantes en chars et ce jusqu'à la fin de la guerre. De 1941 à 1944, en effet, la coordination des opérations en profondeur fut extrêmement difficile de la part des forces mobiles blindées. Les maneuvres d'enveloppement étaient d'ailleurs difficiles à cause d'un manque de flexibilité dans leur structure même ainsi que de part le manque d'initiative au niveau du commandement, attitude fréquente au sein d'un système communiste ne valorisant en aucun cas la prise d'initiative individuelle. Mais l'Armée Rouge parviendra à effectuer des mouvements à grandes échelles à partir de 1944, notamment à partir de l'opération Bagration. Et déjà, cette compétence opérative, on la verra à l'oeuvre dès Koursk, quoiqu'il s'agisse là, pour les Soviétiques, non pas d'une opération en profondeur, mais d'une bataille défensive. Et c'est cette compétence opérative, qui compensera la supériorité tactique et technique de la Wehrmacht.
Pour rappel, au niveau de l'industrie, les rapports de forces sont écrasants en faveur de l'Union Soviétique étant donné que plus de 100 000 chars et canon d'assaut seront produits durant les Soviétiques durant tout la guerre en Europe contre plus de 50 000 pour le IIIème Reich. Soit un rapport de 2 contre 1, sachant qu'à partir du débarquement notamment, le Reich devra davantage diluer ses forces, ce que n'aura pas besoin de faire les Soviétiques étant donné qu'en plus de se battre sur un seul front, ils auront repris, sur le plan militaire l'initiative totalement et ce jusqu'à la fin de la guerre à ce moment là. Pourtant, l'industrie allemande est censée peser plus que l'industrie soviétique, en témoigne le fait que l'Allemagne parvient à extraire 281 tonnes de charbon et coule 35 millions de tonnes d'écier contre respectivement 121 et 12 millions de tonnes pour les Soviétiques. Manifestement, quelque chose ne va pas. Et bien la réalité, c'est que contrairement à une idée reçue, non seulement l'Union Soviétique était prête pour la guerre, mais en plus de cela, elle était davantage prête que l'Allemagne. La preuve en est les plans quinquennaux qui ont mis en avant la nécessité au combien importante de fabriquer et produire en masse des matériels certes solides mais aussi simples et faciles pour la réparation, en opposition avec la mobilisation plus tardive du Reich, qui je le rappelle, n'entre dans une économie de guerre qu'en 1942. Ajoutons à cela l'éparpillement des modèles à construire ainsi que le caractère plus difficile de leur construction et pour les produire en masse. Un T 34 sera par exemple plus facile à produire rapidement et en masse qu'un Panther ou Un Tigre Royal allemand, en dépit de la supériorité de ces deux derniers sur le premier d'un point de vue purement qualitatif. Rien que pour la Panzerdivision on a plus de 40 véhicules différents. Bonne chance pour fournir les bonnes pièces détachées et adaptés aux bons véhicules.
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il y a 2 ans
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Pour ce qui est de l'aviation rouge, par contre, il faut dire qu'ils partent de très loin. Smushkevitch et Rychagod, qui étaient des commandants au sein de a VVS, ont même été exécuté pour cela. Ainsi le maréchal Novikov est nommé commandement de la VVS par Staline le 11 avril 1942. Et en grande partie grâce à lui, l'aviation rouge finira par devenir un outil efficace au service de l'armée de terre soviétique dès 1943. On le verra durant la bataille de Koursk, bien que la supériorité sur le plan qualitatif se fera toujours ressentir, en témoigneront des pertes bien plus importantes que les pertes allemandes. Pourtant malgré cela, sur le plan purement quantitatif, avantage Union Soviétique étant donné la production de 25 000 avions en 1942 contre 15 000 appareils pour le IIIème Reich, sans compter leurs différents Alliés. De plus, les nouveaux modèles d'avions mis en productions deviennent plus maniables et mieux armés. Au niveau de l'avionique et de la motorisation, en revanche, le déficit par rapport à la Luftwaffe est clair et net. Le Yak 3, le Yak 9 dans ses 2 versions 9T et 9D. Cependant, des modèles sont encore minoritaires à Koursk étant donné que les modèles de la génération précédente seront toujours présents massivement, en dépit de leur infériorité face aux avions allemands. En l'occurrence, les Yak 1, Yak 7 ainsi que La 5 ne peuvent rivaliser avec les avions de guerres allemands; Pour ce qui est de l'Il 2, c'est leIl 2m3 qui le remplace à plus de 90% au moins étant donné la présence d'un moteur plus puissant et plus capable. Sans oublier un mitrailleur sur l'arrière. De plus, les proportions sont différentes. Ainsi en 1941, la chasse représentait 59% des appareils en état de voler et de combattre, les bombardiers 31% et l'aviation d'assaut seulement 4,5%. Pourtant, juste avant le commencement de l'opération Citadelle, les chiffres sont de respectivement 41%, 22%, et 32%.
En plus de cela, par comparaison par rapport à 1941, il n'y a qu'une seule aviation au lieu de 2, à savoir l'Armée aérienne ou V A. Enfin, les moyens aériens sont concentrés à l'intérieur de plusieurs corps aériens de la réserve général de la Stavka. En fonction de l'importance de la mission, Novikov ou Vorozheykin répartissent ces corps dans des V A. En l'occurrence, à Koursk, il y aura 19 corps aériens qui représenteront plus de 60% des appareils aériens engagés. Tous ces facteurs, combinés à une supériorité numérique claire et nette feront plus que compenser le manque de souplesse tactique ainsi que le manque d'initiative par comparaison des pilotes allemands.
En plus de cela, par comparaison par rapport à 1941, il n'y a qu'une seule aviation au lieu de 2, à savoir l'Armée aérienne ou V A. Enfin, les moyens aériens sont concentrés à l'intérieur de plusieurs corps aériens de la réserve général de la Stavka. En fonction de l'importance de la mission, Novikov ou Vorozheykin répartissent ces corps dans des V A. En l'occurrence, à Koursk, il y aura 19 corps aériens qui représenteront plus de 60% des appareils aériens engagés. Tous ces facteurs, combinés à une supériorité numérique claire et nette feront plus que compenser le manque de souplesse tactique ainsi que le manque d'initiative par comparaison des pilotes allemands.
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il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Si on veut parler du Panzer IV, seul char capable de rivaliser avec le T 34 76 avant l'émergence des Panthers et des Tigres allemands, sachez qu'au total près de 8 300 modèles ont été produits en 7 ans. Par comparaison, 4 années seulement auront été suffisants pour produire plus de 57 000 modèles de T 34, que ce soit des T 34 76 ou des T 34 85, sa version plus moderne apparue en 1944. A Koursk, on verra notamment à l'oeuvre des chars moyens comme le T 34, ou des chars plus légers comme le T 70. Sans oublier le SU 76 pour ce qui est des canons d'assauts. A cela il faut ajouter la multiplication de l'artillerie soviétique, surpassant l'artillerie allemande dès 1943 sur le plan quantitatif comme sur le plan qualitatif, en témoigne la présence des Katiouchas, un lance roquette multiple, portant le nom de la chanson patriotique.
Enfin, pour rentrer dans les détails concernant les blindés, il faut savoir que Staline, comme Lénine avant lui, partageaient une crainte certaine de l'Allemagne en tant que puissance militaire. Les performances des Panzers en Pologne puis en France l'ont stupéfait au plus au point. A l'inverse, la performance calamiteuse de l'Armée rouge en Finlande l'a logiquement inquiété voire alarmé. Les victoires remportées par le Wehrmacht en 1941 et au début de l'année 1942 dans les steppes russes le renforcent dans cette crainte. Mais après la bataille de Stalingrad, il sait qu'il ne peut pas être battu. Cependant, ce n'est qu'après l'échec allemande lors de la bataille de Koursk qu'il sera certain de la victoire finale sur le Reich, avec ou sans les Alliés d'ailleurs. Ainsi, Staline a de bonnes raisons de s'inquiéter. L'histoire récente parle pour elle même. D'une part les forces blindés allemandes, malgré la mauvaise surprise du T 34 76 soviétique, se sont montrés supérieurs dans l'emploi tactique voire sur le plan purement qualitatif étant donné que certains chars soviétiques, à l'image des T 26 ou encore des T 60. Or, à Koursk, les forces blindés, on l'aura deviner, ont eu un rôle non négligeable dans la mise en échec des plans allemands. De plus la réussite des offensives soviétiques prévues, censé être appliqués à la fin ou après l'opération Citadelle, à savoir les offensives à Kharkov et à Orel, dépendront en grande partie à la réussite et à la performance des blindés soviétiques sur le champ de bataille. D'autre part, les attaques allemandes n'ont jamais pu être stoppé que ce soit durant l'été 1942 ou pire, en 1941. Il a fallu encaisser beaucoup de pertes et céder du terrain à l'adversaire à chaque fois. Sans oublier le mauvais temps et l'usure qui se sont ajoutés aux facteurs déjà énoncés pour priver la Wehrmacht de la réussite de son objectif stratégique.
D'ailleurs, Alexander Werth, lui même notait dans son tome 2 à la page 66 qu'en Russie, l'attaque allemande à Koursk était attendue avec une certaine nervosité, nervosité qui habitait également Joseph Staline lui même en raison des 2 échecs passés.
Toukhatchevski avait demandé l'adoption d'une approche prônant la mécanisation progressive des forces armées soviétiques. D'où l'émergence des corps mécanisés, dont ceux de Timochenko qui se feront massacrer en 1941. La mauvaise emploi des blindés couplés à la mise à mort de Toukhatchevski en 1937 et à la campagne désastreuse de Finlande ont poussé Staline à démanteler ces corps mécanisés. Bien que seulement en état de guerre larvée, les performances de Joukov face aux armées japonaises aussi appelées l'Armée du Kwantung ont montré que la mécanisation des armées soviétiques étaient tout sauf inutile. Dans une optique de test des forces soviétiques, en effet l'Armée du Kwantung marche en Mongolie jusqu'au lac de Khalkin Gol, d'où Joukov lance son attaque avec 57 000 hommes et 500 tanks dont 2 brigades de tanks. Le centre des unités japonaises est crevé et Joukov se rabat sur les ailes dans un double enveloppement. Malgré cette victoire, la victoire ne fut acquise qu'au bout de 4 jours. Une victoire à la Pyrrhus insuffisante pour convaincre Staline de ne pas démanteler les Corps mécanisés. Ce n'est qu'après avoir vu la démonstration des Panzerdivisionen en France que Staline ordonne la construction d'une force blindée digne de ce nom. De telle sorte que 29 Corps mécanisés sont assemblés certes hâtivement. Sur le papier chaque corps dispose d'1 infanterie motorisée ainsi que de 2 divisions blindés, pour un total de 1 000 chars, plus de 5 000 véhicules, 350 canons et autour de 36 000 hommes. Pourtant, le manque d'encadrement, d'entraînement, au niveau de la doctrine, de la communication ainsi que de la logistique se font clairement ressentir et entraînent, in fine, la perte de 10 000 chars en seulement 2 mois. Ce qui entraîne un nouveau démantèlement des Corps mécanisés, cette fois du NKO, pour aboutir à des divisions blindés indépendantes de 180 chars environ plus un régiment d'infanterie portée. Puis naissent les brigades de chars ainsi que des bataillons de chars.
Enfin, pour rentrer dans les détails concernant les blindés, il faut savoir que Staline, comme Lénine avant lui, partageaient une crainte certaine de l'Allemagne en tant que puissance militaire. Les performances des Panzers en Pologne puis en France l'ont stupéfait au plus au point. A l'inverse, la performance calamiteuse de l'Armée rouge en Finlande l'a logiquement inquiété voire alarmé. Les victoires remportées par le Wehrmacht en 1941 et au début de l'année 1942 dans les steppes russes le renforcent dans cette crainte. Mais après la bataille de Stalingrad, il sait qu'il ne peut pas être battu. Cependant, ce n'est qu'après l'échec allemande lors de la bataille de Koursk qu'il sera certain de la victoire finale sur le Reich, avec ou sans les Alliés d'ailleurs. Ainsi, Staline a de bonnes raisons de s'inquiéter. L'histoire récente parle pour elle même. D'une part les forces blindés allemandes, malgré la mauvaise surprise du T 34 76 soviétique, se sont montrés supérieurs dans l'emploi tactique voire sur le plan purement qualitatif étant donné que certains chars soviétiques, à l'image des T 26 ou encore des T 60. Or, à Koursk, les forces blindés, on l'aura deviner, ont eu un rôle non négligeable dans la mise en échec des plans allemands. De plus la réussite des offensives soviétiques prévues, censé être appliqués à la fin ou après l'opération Citadelle, à savoir les offensives à Kharkov et à Orel, dépendront en grande partie à la réussite et à la performance des blindés soviétiques sur le champ de bataille. D'autre part, les attaques allemandes n'ont jamais pu être stoppé que ce soit durant l'été 1942 ou pire, en 1941. Il a fallu encaisser beaucoup de pertes et céder du terrain à l'adversaire à chaque fois. Sans oublier le mauvais temps et l'usure qui se sont ajoutés aux facteurs déjà énoncés pour priver la Wehrmacht de la réussite de son objectif stratégique.
D'ailleurs, Alexander Werth, lui même notait dans son tome 2 à la page 66 qu'en Russie, l'attaque allemande à Koursk était attendue avec une certaine nervosité, nervosité qui habitait également Joseph Staline lui même en raison des 2 échecs passés.
Toukhatchevski avait demandé l'adoption d'une approche prônant la mécanisation progressive des forces armées soviétiques. D'où l'émergence des corps mécanisés, dont ceux de Timochenko qui se feront massacrer en 1941. La mauvaise emploi des blindés couplés à la mise à mort de Toukhatchevski en 1937 et à la campagne désastreuse de Finlande ont poussé Staline à démanteler ces corps mécanisés. Bien que seulement en état de guerre larvée, les performances de Joukov face aux armées japonaises aussi appelées l'Armée du Kwantung ont montré que la mécanisation des armées soviétiques étaient tout sauf inutile. Dans une optique de test des forces soviétiques, en effet l'Armée du Kwantung marche en Mongolie jusqu'au lac de Khalkin Gol, d'où Joukov lance son attaque avec 57 000 hommes et 500 tanks dont 2 brigades de tanks. Le centre des unités japonaises est crevé et Joukov se rabat sur les ailes dans un double enveloppement. Malgré cette victoire, la victoire ne fut acquise qu'au bout de 4 jours. Une victoire à la Pyrrhus insuffisante pour convaincre Staline de ne pas démanteler les Corps mécanisés. Ce n'est qu'après avoir vu la démonstration des Panzerdivisionen en France que Staline ordonne la construction d'une force blindée digne de ce nom. De telle sorte que 29 Corps mécanisés sont assemblés certes hâtivement. Sur le papier chaque corps dispose d'1 infanterie motorisée ainsi que de 2 divisions blindés, pour un total de 1 000 chars, plus de 5 000 véhicules, 350 canons et autour de 36 000 hommes. Pourtant, le manque d'encadrement, d'entraînement, au niveau de la doctrine, de la communication ainsi que de la logistique se font clairement ressentir et entraînent, in fine, la perte de 10 000 chars en seulement 2 mois. Ce qui entraîne un nouveau démantèlement des Corps mécanisés, cette fois du NKO, pour aboutir à des divisions blindés indépendantes de 180 chars environ plus un régiment d'infanterie portée. Puis naissent les brigades de chars ainsi que des bataillons de chars.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans