Ce sujet a été résolu
Voici mes actions pour ce tour
D'abord comme promis j'envoie 4k d'or à la crimée @dopel et le remercie pour son attaque sur le khanat de khazan
Ensuite j'envoie 7k d'or à l'ecosse @Alexia pour l'aider contre l'angleterre
Ensuite concernant mes troupes je repartie en 11k sur le front lituanien et 4k pour épauler la crimée et récupérer le bout de territoire volé par khazan
avec les 9k restant j'achète les troupes suivantes Compagnie de berserkers (1 000 fantassins) : 3K d'or - 3 ans (40 TM) que j'envoie sur le front lituanien
et un Régiment de cavalerie (500 cavaliers) : 2K d'or que je laisse en réserve
et j'organise une Manoeuvres de guerre [50 PA]
Concernant la politique j'organise le mariage entre Vassili et yesuntei
je Taxe les corporations [75 PA]
Je Passe une nouvelle loi [25 PA] | Une nouvelle loi est promulguée et crée cette loi suivante:
Les femmes Pourront à partir d'aujourd'hui faire partie de l'armée afin d'envahir des territoires ou défendre le territoire Moscovite
et je fais une Réforme gouvernementale [50 PA] |
Par contre la conspiration elle existe ou pas ?
Si oui j'annule la manoeuvre de guerre et la réforme et je déjoue la conspiration à la place
D'abord comme promis j'envoie 4k d'or à la crimée @dopel et le remercie pour son attaque sur le khanat de khazan
Ensuite j'envoie 7k d'or à l'ecosse @Alexia pour l'aider contre l'angleterre
Ensuite concernant mes troupes je repartie en 11k sur le front lituanien et 4k pour épauler la crimée et récupérer le bout de territoire volé par khazan
avec les 9k restant j'achète les troupes suivantes Compagnie de berserkers (1 000 fantassins) : 3K d'or - 3 ans (40 TM) que j'envoie sur le front lituanien
et un Régiment de cavalerie (500 cavaliers) : 2K d'or que je laisse en réserve
et j'organise une Manoeuvres de guerre [50 PA]
Concernant la politique j'organise le mariage entre Vassili et yesuntei
je Taxe les corporations [75 PA]
Je Passe une nouvelle loi [25 PA] | Une nouvelle loi est promulguée et crée cette loi suivante:
Les femmes Pourront à partir d'aujourd'hui faire partie de l'armée afin d'envahir des territoires ou défendre le territoire Moscovite
et je fais une Réforme gouvernementale [50 PA] |
Par contre la conspiration elle existe ou pas ?
Si oui j'annule la manoeuvre de guerre et la réforme et je déjoue la conspiration à la place
Je vous remercie mon seigneur pour cette aide généreuse, elle sera employée immédiatement pour renforcer notre armée qui s'apprête à faire face à l'ennemi
@Armouare Avec les 500 pièces d'or qu'il me restait de mes dépenses précédentes et les 7k d'or de mon bienfaiteur Vassili III de Russie, je demande la création de trois Régiment d'infanterie supplémentaire (3 000 fantassins).
@Armouare Avec les 500 pièces d'or qu'il me restait de mes dépenses précédentes et les 7k d'or de mon bienfaiteur Vassili III de Russie, je demande la création de trois Régiment d'infanterie supplémentaire (3 000 fantassins).
il y a 2 heures
Putain si t'arrives à rembourser 32,5k en six ans bravo
c'est surtout savoir si une banque va croire qu'il peut les rembourser
il y a 2 heures
c'est surtout savoir si une banque va croire qu'il peut les rembourser
Surtout qu'il est dans une guerre à l'issue encore incertaine
mais si il y parvient tant mieux pour lui
mais si il y parvient tant mieux pour lui
il y a 2 heures
Armouare
8h
Sérénissime république de Venise @TjrsVivant43
Dirigeant : Leonardo Loredan (70)
Possessions : Vénétie ; Dalmatie ; Istrie ; Tinos ; Royaume de Candie ; Duché d'Archipelago ; Îles ioniennes ; Chypre
Revendications : Morée
Guerre : Empire Ottoman
Budget : 25K d'or (+) -12k/10a
Population : 1 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 210 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 50/100 ; Tradition militaire : 13 ; Capacité terrestre : 9k /25 - 100 /100 ; Capacité navale : 72 /80 ; Corruption : 5
La guerre contre l'Ottoman stagne, le débarquement est un échec et les troupes vénitiennes ne bougent pas.
Le commerce souffre de la guerre. Les marchands vénitiens demandent l'arrêt des combats, ils ne veulent pas que la catastrophe des dernières années se reproduisent.
En Italie la tension monte : La République de Gènes, alors sous protectorat français, s'insurge contre Louis XII pour regagner son indépendance et s'allie avec le Pape Jules II, ce dernier souhaitant la fin de l'hégémonie des princes étrangers en Italie. Suite à l'annexion entière du Royaume de Naples par la France, le Saint-Siège pose un ultimatum à Louis XII : restaurez le à son ancien propriétaire ou ce sera la guerre.
Jules II propose une alliance avec la Sérénissime, en échange Venise obtiendra les anciens territoires des Borgia.

Dirigeant : Leonardo Loredan (70)
Possessions : Vénétie ; Dalmatie ; Istrie ; Tinos ; Royaume de Candie ; Duché d'Archipelago ; Îles ioniennes ; Chypre
Revendications : Morée
Guerre : Empire Ottoman
Budget : 25K d'or (+) -12k/10a
Population : 1 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 210 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 50/100 ; Tradition militaire : 13 ; Capacité terrestre : 9k /25 - 100 /100 ; Capacité navale : 72 /80 ; Corruption : 5
La guerre contre l'Ottoman stagne, le débarquement est un échec et les troupes vénitiennes ne bougent pas.
Le commerce souffre de la guerre. Les marchands vénitiens demandent l'arrêt des combats, ils ne veulent pas que la catastrophe des dernières années se reproduisent.
En Italie la tension monte : La République de Gènes, alors sous protectorat français, s'insurge contre Louis XII pour regagner son indépendance et s'allie avec le Pape Jules II, ce dernier souhaitant la fin de l'hégémonie des princes étrangers en Italie. Suite à l'annexion entière du Royaume de Naples par la France, le Saint-Siège pose un ultimatum à Louis XII : restaurez le à son ancien propriétaire ou ce sera la guerre.
Jules II propose une alliance avec la Sérénissime, en échange Venise obtiendra les anciens territoires des Borgia.
Discours du Doge Leonardo Loredan à la tribune de la place Saint-Marc :

Mes Très Illustres et Très Excellents Seigneurs, Nobles de Venise, Piliers de la République,
Je vois vos visages empreints d'inquiétude. J'entends, porté par le vent qui caresse la place Saint-Marc, le murmure qui s'élève des comptoirs et des fondements : « Paix ! La paix à tout prix ! » Ce murmure, je le partage, car il est le sang même de Venise. Le sang qui coule dans les veines de nos matelots, qui irrigue les routes du commerce, qui fait battre le cœur de notre Sérénissime République.
Vous me dites que la guerre est un gouffre où s'engloutissent nos ducats. Vous avez raison.
Vous me dites que chaque soldat levé, que chaque navire perdu est un revenu en moins pour la cité. Vous avez raison encore.
Vous me dites que le commerce est notre âme, et que sans lui, Venise n'est plus qu'une ombre. Sur cela aussi, vous avez parfaitement raison.
Mais vous croyez, Mes Seigneurs, que la paix est une simple décision que nous prenons dans ce palais, comme on décrète un jour de fête ? Vous croyez que nous n'avons qu'à tendre la main vers le Sultan, là-bas, dans son sérail de Constantinople, pour qu'il nous la serre dans un élan de fraternité ?
La paix n'est pas un don que nous nous accordons à nous-mêmes. La paix est un contrat. Et pour qu'un contrat soit valide, il faut deux signatures.
Aujourd'hui, si il acceptait, la paix, la signature que le Grand Turc exige, ce n'est pas seulement la cession d'une forteresse en Morée, ou le tribut d'une île en Egée. Non !
Ce qu'il convoité réellement, c'est ce pour quoi vos pères et les miens ont combattu, ont négocié, ont navigué pendant des siècles. Ce qu'il exige en échange de sa « clémence », c'est la signature de notre abdication. Une abdication non pas de notre souveraineté d'État – car nous résisterions avec l'épée – mais de notre souveraineté sur la mer elle-même.
Ils ne visent pas seulement le trésor de l'État, Mes Seigneurs, ils visent le vôtre !
Ils veulent la clé de la chambre forte non pas de ce Palais, mais de vos maisons, de vos entrepôts, de vos comptes chez les banquiers. Chaque concession que nous ferions sur les routes du levant, chaque droit de douane abandonné, chaque monopole cédé, ne serait pas une perte pour une abstraction nommée « l'État », mais une blessure directe à la fortune de chacun de vous, à l'héritage de vos enfants, à la dot de vos filles.
Leur stratégie est limpide : affaiblir Venise en appauvrissant les Vénitiens. Broyer notre puissance non pas en brisant nos remparts, mais en tarissant les sources de notre richesse. Ils savent que la force de Venise ne réside pas seulement dans ses murailles, mais dans la bourse de chacun de ses nobles citoyens.
Alors, oui, je veux la paix ! Une paix digne de ce nom. Une paix qui ne soit pas le prélude à notre ruine, mais la garantie de notre prospérité future.
Nul ici refuse la paix par orgueil, mais par nécessité. Nous ne pouvons pas concéder, car ce que nous céderions, ce ne sont pas des pierres et des titres, mais le pain de notre peuple et l'avenir de notre République.
Notre devoir n'est pas de donner à l'Ottoman ce qu'il demande. Notre devoir est de le mettre en position de demander ce que nous pouvons accorder. Par la fermeté de nos armes, par la ruse de notre diplomatie, par l'indéfectible unité de notre Conseil.
Et pour vous prouver que cette cause est la mienne autant que la vôtre, que mon sort est à jamais lié à celui de la République, j'engage ici devant vous mon serment le plus sacré :
Si la prochaine bataille que nous livrons pour préserver l'intégrité de notre commerce et de notre terre-ferme est perdue, si la faveur de Dieu nous tourne le dos, alors je considérerai cela comme un jugement de Dieu sur mon commandement. Je déposerai aussitôt le cornu ducal, je quitterai ce palais, et j'irai finir mes jours dans le silence d'un cloître, assumant devant l'Histoire l'entière responsabilité de l'échec.
Mais si nous gagnons, Mes Seigneurs, nous gagnerons bien plus qu'une bataille : nous gagnerons le droit de dicter nos conditions, une paix dans l'honneur, et la preuve éclatante que Venise, quand son essence est menacée, sait encore produire des héros et forcer le respect de ses ennemis.
Montrons-lui que le marchand vénitien sait, quand ses richesses sont menacées, se muer en lion. Et que ce lion préfère une paix honorable, ou une guerre nécessaire, à une soumission déguisée qui le mènerait à la famine.
Que la sagesse du Conseil guide à présent nos décisions. Non pas par crainte, mais par la force lucide de ceux qui savent ce qu'ils défendent : tout.
[Il s'incline légèrement, la main sur le cœur, dans un geste de solennité et d'unité.]
Je vois vos visages empreints d'inquiétude. J'entends, porté par le vent qui caresse la place Saint-Marc, le murmure qui s'élève des comptoirs et des fondements : « Paix ! La paix à tout prix ! » Ce murmure, je le partage, car il est le sang même de Venise. Le sang qui coule dans les veines de nos matelots, qui irrigue les routes du commerce, qui fait battre le cœur de notre Sérénissime République.
Vous me dites que la guerre est un gouffre où s'engloutissent nos ducats. Vous avez raison.
Vous me dites que chaque soldat levé, que chaque navire perdu est un revenu en moins pour la cité. Vous avez raison encore.
Vous me dites que le commerce est notre âme, et que sans lui, Venise n'est plus qu'une ombre. Sur cela aussi, vous avez parfaitement raison.
Mais vous croyez, Mes Seigneurs, que la paix est une simple décision que nous prenons dans ce palais, comme on décrète un jour de fête ? Vous croyez que nous n'avons qu'à tendre la main vers le Sultan, là-bas, dans son sérail de Constantinople, pour qu'il nous la serre dans un élan de fraternité ?
La paix n'est pas un don que nous nous accordons à nous-mêmes. La paix est un contrat. Et pour qu'un contrat soit valide, il faut deux signatures.
Aujourd'hui, si il acceptait, la paix, la signature que le Grand Turc exige, ce n'est pas seulement la cession d'une forteresse en Morée, ou le tribut d'une île en Egée. Non !
Ce qu'il convoité réellement, c'est ce pour quoi vos pères et les miens ont combattu, ont négocié, ont navigué pendant des siècles. Ce qu'il exige en échange de sa « clémence », c'est la signature de notre abdication. Une abdication non pas de notre souveraineté d'État – car nous résisterions avec l'épée – mais de notre souveraineté sur la mer elle-même.
Ils ne visent pas seulement le trésor de l'État, Mes Seigneurs, ils visent le vôtre !
Ils veulent la clé de la chambre forte non pas de ce Palais, mais de vos maisons, de vos entrepôts, de vos comptes chez les banquiers. Chaque concession que nous ferions sur les routes du levant, chaque droit de douane abandonné, chaque monopole cédé, ne serait pas une perte pour une abstraction nommée « l'État », mais une blessure directe à la fortune de chacun de vous, à l'héritage de vos enfants, à la dot de vos filles.
Leur stratégie est limpide : affaiblir Venise en appauvrissant les Vénitiens. Broyer notre puissance non pas en brisant nos remparts, mais en tarissant les sources de notre richesse. Ils savent que la force de Venise ne réside pas seulement dans ses murailles, mais dans la bourse de chacun de ses nobles citoyens.
Alors, oui, je veux la paix ! Une paix digne de ce nom. Une paix qui ne soit pas le prélude à notre ruine, mais la garantie de notre prospérité future.
Nul ici refuse la paix par orgueil, mais par nécessité. Nous ne pouvons pas concéder, car ce que nous céderions, ce ne sont pas des pierres et des titres, mais le pain de notre peuple et l'avenir de notre République.
Notre devoir n'est pas de donner à l'Ottoman ce qu'il demande. Notre devoir est de le mettre en position de demander ce que nous pouvons accorder. Par la fermeté de nos armes, par la ruse de notre diplomatie, par l'indéfectible unité de notre Conseil.
Et pour vous prouver que cette cause est la mienne autant que la vôtre, que mon sort est à jamais lié à celui de la République, j'engage ici devant vous mon serment le plus sacré :
Si la prochaine bataille que nous livrons pour préserver l'intégrité de notre commerce et de notre terre-ferme est perdue, si la faveur de Dieu nous tourne le dos, alors je considérerai cela comme un jugement de Dieu sur mon commandement. Je déposerai aussitôt le cornu ducal, je quitterai ce palais, et j'irai finir mes jours dans le silence d'un cloître, assumant devant l'Histoire l'entière responsabilité de l'échec.
Mais si nous gagnons, Mes Seigneurs, nous gagnerons bien plus qu'une bataille : nous gagnerons le droit de dicter nos conditions, une paix dans l'honneur, et la preuve éclatante que Venise, quand son essence est menacée, sait encore produire des héros et forcer le respect de ses ennemis.
Montrons-lui que le marchand vénitien sait, quand ses richesses sont menacées, se muer en lion. Et que ce lion préfère une paix honorable, ou une guerre nécessaire, à une soumission déguisée qui le mènerait à la famine.
Que la sagesse du Conseil guide à présent nos décisions. Non pas par crainte, mais par la force lucide de ceux qui savent ce qu'ils défendent : tout.
[Il s'incline légèrement, la main sur le cœur, dans un geste de solennité et d'unité.]
il y a une heure
Armouare
8h
Sérénissime république de Venise @TjrsVivant43
Dirigeant : Leonardo Loredan (70)
Possessions : Vénétie ; Dalmatie ; Istrie ; Tinos ; Royaume de Candie ; Duché d'Archipelago ; Îles ioniennes ; Chypre
Revendications : Morée
Guerre : Empire Ottoman
Budget : 25K d'or (+) -12k/10a
Population : 1 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 210 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 50/100 ; Tradition militaire : 13 ; Capacité terrestre : 9k /25 - 100 /100 ; Capacité navale : 72 /80 ; Corruption : 5
La guerre contre l'Ottoman stagne, le débarquement est un échec et les troupes vénitiennes ne bougent pas.
Le commerce souffre de la guerre. Les marchands vénitiens demandent l'arrêt des combats, ils ne veulent pas que la catastrophe des dernières années se reproduisent.
En Italie la tension monte : La République de Gènes, alors sous protectorat français, s'insurge contre Louis XII pour regagner son indépendance et s'allie avec le Pape Jules II, ce dernier souhaitant la fin de l'hégémonie des princes étrangers en Italie. Suite à l'annexion entière du Royaume de Naples par la France, le Saint-Siège pose un ultimatum à Louis XII : restaurez le à son ancien propriétaire ou ce sera la guerre.
Jules II propose une alliance avec la Sérénissime, en échange Venise obtiendra les anciens territoires des Borgia.

Dirigeant : Leonardo Loredan (70)
Possessions : Vénétie ; Dalmatie ; Istrie ; Tinos ; Royaume de Candie ; Duché d'Archipelago ; Îles ioniennes ; Chypre
Revendications : Morée
Guerre : Empire Ottoman
Budget : 25K d'or (+) -12k/10a
Population : 1 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 210 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 50/100 ; Tradition militaire : 13 ; Capacité terrestre : 9k /25 - 100 /100 ; Capacité navale : 72 /80 ; Corruption : 5
La guerre contre l'Ottoman stagne, le débarquement est un échec et les troupes vénitiennes ne bougent pas.
Le commerce souffre de la guerre. Les marchands vénitiens demandent l'arrêt des combats, ils ne veulent pas que la catastrophe des dernières années se reproduisent.
En Italie la tension monte : La République de Gènes, alors sous protectorat français, s'insurge contre Louis XII pour regagner son indépendance et s'allie avec le Pape Jules II, ce dernier souhaitant la fin de l'hégémonie des princes étrangers en Italie. Suite à l'annexion entière du Royaume de Naples par la France, le Saint-Siège pose un ultimatum à Louis XII : restaurez le à son ancien propriétaire ou ce sera la guerre.
Jules II propose une alliance avec la Sérénissime, en échange Venise obtiendra les anciens territoires des Borgia.
Intérieur :-Le Doge réalise un discours dans lequel il met sa crédibilité en jeu, tentant d'engager les élites vénitiennes directement dans le conflit et dissuadant toute tentative de changer l'exécutif pour des motifs purement commerciaux, celles-ci se montrant particulièrement pressantes par rapport à l'état du commerce et souhaitant une paix qui ne semble pas prête d'arriver tout de suite ;
-Alliant le discours aux actes, le Doge entend déjouer toute conspiration (-100 PA) ;
Diplomatie : le Doge accepte gracieusement l'offre du Pape Jules II, déso @Putaso
Economie et finance :-le Collège Suprême s'accorde sur un nouvel emprunt, faisant passer le budget de ce tour de 25 000 à 35 000 (-50 PA, + 10 000 or - ce qui fait 24 000 à rembourser sur dix tours, soit 2 400 par tour jusqu'à remboursement du total) - lignes de crédit en cours 2 (1 - 9 tours, 1 -10 tours)
-Avec 5 000 or, les représentants de Venise investissent dans une grande scierie afin d'exploiter au mieux les forêts entourant Venise et leurs essences si particulières qui offrent un bois précieux, notamment pour la construction de navires (-5 000 or) ;
-Venise propose à ceux qui le souhaite de dépenser chez elle pour ce bois exceptionnel, offrant une flottaison de qualité supérieure et permettant de produire des vaisseaux de qualité.
Armées :-construction de deux autres bastions, 1 à la frontière croate et 1 en Dalmatie (-8 000 or, ce qui fait 2 bastions dans chaque province) ;
-Achat de 5 régiments d'infanterie (-13 000 or) ;
-1 000 nouveaux lansquenets suisses entrent dans la danse (-7 000 or) ;
-les armées et mercenaires (Berserkers compris) ont ordre de stationner dans et près des bastions et de se retrancher en attendant l'assaut des Ottomans, les canons doivent se tenir prêts à les accueillir ;
-La flotte maintient son état d'alerte et son rôle de filtre ;
-Le Collège Suprême ordonne une manoeuvre de guerre (-50 PA)
-Alliant le discours aux actes, le Doge entend déjouer toute conspiration (-100 PA) ;
Diplomatie : le Doge accepte gracieusement l'offre du Pape Jules II, déso @Putaso
Economie et finance :-le Collège Suprême s'accorde sur un nouvel emprunt, faisant passer le budget de ce tour de 25 000 à 35 000 (-50 PA, + 10 000 or - ce qui fait 24 000 à rembourser sur dix tours, soit 2 400 par tour jusqu'à remboursement du total) - lignes de crédit en cours 2 (1 - 9 tours, 1 -10 tours)
-Avec 5 000 or, les représentants de Venise investissent dans une grande scierie afin d'exploiter au mieux les forêts entourant Venise et leurs essences si particulières qui offrent un bois précieux, notamment pour la construction de navires (-5 000 or) ;
-Venise propose à ceux qui le souhaite de dépenser chez elle pour ce bois exceptionnel, offrant une flottaison de qualité supérieure et permettant de produire des vaisseaux de qualité.
Armées :-construction de deux autres bastions, 1 à la frontière croate et 1 en Dalmatie (-8 000 or, ce qui fait 2 bastions dans chaque province) ;
-Achat de 5 régiments d'infanterie (-13 000 or) ;
-1 000 nouveaux lansquenets suisses entrent dans la danse (-7 000 or) ;
-les armées et mercenaires (Berserkers compris) ont ordre de stationner dans et près des bastions et de se retrancher en attendant l'assaut des Ottomans, les canons doivent se tenir prêts à les accueillir ;
-La flotte maintient son état d'alerte et son rôle de filtre ;
-Le Collège Suprême ordonne une manoeuvre de guerre (-50 PA)
il y a une heure
J'achète 4000 unités d'infanterie pour 10k or ainsi que 500 cavaliers pour 2k or si je n'ai pas mal compté.
J'aimerais emprunter 25k mais il faut l'accord d'un banquier donc j'attends ta réponse pour donner la suite de mes achats et la répartition des positions des soldats.
On est d'accord que les tercios sont immédiatement sur mon territoire, ils ne font pas un voyage depuis l'Espagne ?
J'aimerais emprunter 25k mais il faut l'accord d'un banquier donc j'attends ta réponse pour donner la suite de mes achats et la répartition des positions des soldats.
On est d'accord que les tercios sont immédiatement sur mon territoire, ils ne font pas un voyage depuis l'Espagne ?
Le prêt est refusé au vu de la situation du pays
il y a une heure
Voici mes actions pour ce tour
D'abord comme promis j'envoie 4k d'or à la crimée @dopel et le remercie pour son attaque sur le khanat de khazan
Ensuite j'envoie 7k d'or à l'ecosse @Alexia pour l'aider contre l'angleterre
Ensuite concernant mes troupes je repartie en 11k sur le front lituanien et 4k pour épauler la crimée et récupérer le bout de territoire volé par khazan
avec les 9k restant j'achète les troupes suivantes Compagnie de berserkers (1 000 fantassins) : 3K d'or - 3 ans (40 TM) que j'envoie sur le front lituanien
et un Régiment de cavalerie (500 cavaliers) : 2K d'or que je laisse en réserve
et j'organise une Manoeuvres de guerre [50 PA]
Concernant la politique j'organise le mariage entre Vassili et yesuntei
je Taxe les corporations [75 PA]
Je Passe une nouvelle loi [25 PA] | Une nouvelle loi est promulguée et crée cette loi suivante:
Les femmes Pourront à partir d'aujourd'hui faire partie de l'armée afin d'envahir des territoires ou défendre le territoire Moscovite
et je fais une Réforme gouvernementale [50 PA] |
Par contre la conspiration elle existe ou pas ?
Si oui j'annule la manoeuvre de guerre et la réforme et je déjoue la conspiration à la place
D'abord comme promis j'envoie 4k d'or à la crimée @dopel et le remercie pour son attaque sur le khanat de khazan
Ensuite j'envoie 7k d'or à l'ecosse @Alexia pour l'aider contre l'angleterre
Ensuite concernant mes troupes je repartie en 11k sur le front lituanien et 4k pour épauler la crimée et récupérer le bout de territoire volé par khazan
avec les 9k restant j'achète les troupes suivantes Compagnie de berserkers (1 000 fantassins) : 3K d'or - 3 ans (40 TM) que j'envoie sur le front lituanien
et un Régiment de cavalerie (500 cavaliers) : 2K d'or que je laisse en réserve
et j'organise une Manoeuvres de guerre [50 PA]
Concernant la politique j'organise le mariage entre Vassili et yesuntei
je Taxe les corporations [75 PA]
Je Passe une nouvelle loi [25 PA] | Une nouvelle loi est promulguée et crée cette loi suivante:
Les femmes Pourront à partir d'aujourd'hui faire partie de l'armée afin d'envahir des territoires ou défendre le territoire Moscovite
et je fais une Réforme gouvernementale [50 PA] |
Par contre la conspiration elle existe ou pas ?
Si oui j'annule la manoeuvre de guerre et la réforme et je déjoue la conspiration à la place
Faut choisir, soit tu déjoues la conspiration, soit tu fais autre chose
il y a une heure
Faut choisir, soit tu déjoues la conspiration, soit tu fais autre chose
D'où ma question la conspiration elle est vraie ou c'est mon roi qui est parano ?
il y a une heure
D'où ma question la conspiration elle est vraie ou c'est mon roi qui est parano ?
Bah je vais pas te le dire
il y a une heure
Bah je vais pas te le dire
bon dans le doute
j'annule la manoeuvre de guerre et la réforme et je déjoue la conspiration à la place
j'annule la manoeuvre de guerre et la réforme et je déjoue la conspiration à la place
il y a une heure
Ça va c'est qu'un jour
il y a une heure



















