Ce sujet a été résolu
Et si tu prends Smolensk tu fais quoi ?
Je prendrais Vilnius et je soumettrais les Lituaniens
il y a 2 mois
Je vois que la france @putaso déclare la guerre à l'Autriche Le roi d'Espagne tient à déclarer que le royaume d'Espagne se range du côté de la France et sera prêt à envoyer des troupes afin de marcher sur l'Autriche
Le Duc de Savoie, marié à la fille de Maximilien Ier, refuse l'accès aux armées Espagnoles et Françaises @Putaso
Si ces armées empruntent le territoire Savoyard pour se rendre en Italie, le Duc de Savoie devra se défendre en conséquence.
Si ces armées empruntent le territoire Savoyard pour se rendre en Italie, le Duc de Savoie devra se défendre en conséquence.
il y a 2 mois
Pas de problème, on va défoncer les savoyards.
@Putaso tu es d'accord ?? @Armouare
@Putaso tu es d'accord ?? @Armouare
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 2 mois
LaggronDeter
2 mois
Je propose qu'on essaye de contourner la Savoie par la mer si possible (mes 3 galéasses devraient aider à cette fin). Sinon...
@armouare la France exige que les savoyards nous laissent passer, on ne leur fera rien s'ils acceptent
@armouare la France exige que les savoyards nous laissent passer, on ne leur fera rien s'ils acceptent
Au plaisir ~
il y a 2 mois
Je propose qu'on essaye de contourner la Savoie par la mer si possible (mes 3 galéasses devraient aider à cette fin). Sinon...
@armouare la France exige que les savoyards nous laissent passer, on ne leur fera rien s'ils acceptent
@armouare la France exige que les savoyards nous laissent passer, on ne leur fera rien s'ils acceptent
Le Duc de Savoie refuse.
il y a 2 mois
Je propose qu'on essaye de contourner la Savoie par la mer si possible (mes 3 galéasses devraient aider à cette fin). Sinon...
@armouare la France exige que les savoyards nous laissent passer, on ne leur fera rien s'ils acceptent
@armouare la France exige que les savoyards nous laissent passer, on ne leur fera rien s'ils acceptent
Vraiment bonne idée en plus le royaume d'Espagne possède un grand nombre de bateaux.
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 2 mois
J'attends le plan des français/espagnols et j'envoie tout ça
il y a 2 mois
J'attends le plan des français/espagnols et j'envoie tout ça
Je demande à Borgia de se rendre à Milan pour prendre des positions défensives. En même temps j'envoie mes galéasses au nord pour faire pression par la mer. Et j'envoie 25% de mon armée défendre les frontières terrestres au nord.
J'envoie 75% de mon armée terrestre à Milan, contournant la savoie, à l'aide de bateaux français et espagnols @LaggronDeter.
Si l'Espagne est bien d'accord, je voudrais suivre cette stratégie d'abord défensive qui pourra changer par la suite
J'envoie 75% de mon armée terrestre à Milan, contournant la savoie, à l'aide de bateaux français et espagnols @LaggronDeter.
Si l'Espagne est bien d'accord, je voudrais suivre cette stratégie d'abord défensive qui pourra changer par la suite
Au plaisir ~
il y a 2 mois
Je demande à Borgia de se rendre à Milan pour prendre des positions défensives. En même temps j'envoie mes galéasses au nord pour faire pression par la mer. Et j'envoie 25% de mon armée défendre les frontières terrestres au nord.
J'envoie 75% de mon armée terrestre à Milan, contournant la savoie, à l'aide de bateaux français et espagnols @LaggronDeter.
Si l'Espagne est bien d'accord, je voudrais suivre cette stratégie d'abord défensive qui pourra changer par la suite
J'envoie 75% de mon armée terrestre à Milan, contournant la savoie, à l'aide de bateaux français et espagnols @LaggronDeter.
Si l'Espagne est bien d'accord, je voudrais suivre cette stratégie d'abord défensive qui pourra changer par la suite
Je valide ton plan de combien de troupes as-tu besoin ???
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 2 mois
J'attends le plan des français/espagnols et j'envoie tout ça
Je valide le plan
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 2 mois
Je fais les guerres là
il y a 2 mois
Je fais les guerres là
il y a 2 mois
Le Pape juge les actions du l'Autriche belliqueuse et condamne sa politique de guerre envers les monarchies catholiques alors que la menace musulmane est aux portes de Pest.
César Borgia met de côté ses conquêtes personnelles pour aider le Roi de France.
L'Empereur Maximilien Ier appelle la Ligue de Souabe. Cette dernière rejoint le conflit contre le Royaume de France.
(Je veux bien tes plans)
César Borgia met de côté ses conquêtes personnelles pour aider le Roi de France.
L'Empereur Maximilien Ier appelle la Ligue de Souabe. Cette dernière rejoint le conflit contre le Royaume de France.
(Je veux bien tes plans)
Comment ça aux portes de Pest ?
Ils vont m'attaquer ? C'est le grand jour ?
Ils vont m'attaquer ? C'est le grand jour ?
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 mois
Comment ça aux portes de Pest ?
Ils vont m'attaquer ? C'est le grand jour ?
Ils vont m'attaquer ? C'est le grand jour ?
Aux portes de la Hongrie si tu préfères
Non ils attaquent pas
Non ils attaquent pas
il y a 2 mois
Guerre Lituano-Moscovite @Ordivomi
Les grands froids de l'hiver passés, les armées reprennent leur chemin. Une nouvelle levée est faite en urgence par le Prince Moscovite. Le peuple grince des dents mais accepte d'aller se battre. Forte de 6 000 hommes, elle rejoint les forces déjà présentes au nord à Pskov, sous siège Livonien.
Au mois de mars, les canons grondent sur la petite république marchande. Finalement, les murs cèdent à la fin du mois et les Livoniens entrent dans la ville pour la piller. Forts de leur nouvelle conquête, ils marchent vers Koporye, un bastion qui, une fois pris, ouvrira la voie de Novgorod, une des villes les plus importantes du territoire ennemi.
Le général des levées Russes, Rostovtsev, prend la décision de laisser la garnison défendre le bastion puis d'attaquer le camp de siège une fois le moment venu, ses forces ne pouvant pas rivaliser dans un combat singulier face aux troupes Livoniennes. Le bastion tient bon jusqu'en fin d'année.
Sur le front Lituanien, la situation est meilleure pour Ivan III. Les murs de Smolensk tombent grâce aux canons fraîchement arrivés. La route vers Vilnius était toute tracée, les orthodoxes s'y avancent en savourant leur inévitable victoire. Dans la région de Minsk, les éclaireurs rapportent une terrible nouvelle à leur commandement : l'armée Lituanienne se dresse devant eux.
Le terrain leur était favorable, mais ils étaient inférieurs en nombre. Après avoir reçu la bénédiction du pope, les soldats chargent et bousculent les premières lignes Lituaniennes. La cavalerie menée récemment sur le front se fraie un chemin dans les troupes catholiques totalement désorientées et menace le Roi Lituanien. La retraite est sonnée. Curieusement, la bataille n'aura duré que quelques heures et se conclue par une victoire amère : les Lituaniens n'ont subi que de maigres pertes.
A quelques semaines de marche de Vilnius, une seconde bataille se déclenche. Cette fois-ci, le Roi de Pologne a aidé la Lituanie à se payer de nouvelles troupes. Ayant appris de leur deux dernières défaites, les tactiques sont différentes et la bataille de Minsk se solde par une légère défaite Moscovite, ces derniers ayant subi autant de pertes que les Lituaniens.
L'armée d'Ivan doit reculer et se reconstitue non loin. Ayant peur des raids Criméens, les Lituaniens n'ont pas pris peine d'avancer et de laisser leur capitale à découvert.
Au nord comme au sud, chaque camp progresse, c'est désormais une question de temps avant que Dieu ne choisisse son vainqueur.
Pertes de la Moscovie : 5k
Les grands froids de l'hiver passés, les armées reprennent leur chemin. Une nouvelle levée est faite en urgence par le Prince Moscovite. Le peuple grince des dents mais accepte d'aller se battre. Forte de 6 000 hommes, elle rejoint les forces déjà présentes au nord à Pskov, sous siège Livonien.
Au mois de mars, les canons grondent sur la petite république marchande. Finalement, les murs cèdent à la fin du mois et les Livoniens entrent dans la ville pour la piller. Forts de leur nouvelle conquête, ils marchent vers Koporye, un bastion qui, une fois pris, ouvrira la voie de Novgorod, une des villes les plus importantes du territoire ennemi.
Le général des levées Russes, Rostovtsev, prend la décision de laisser la garnison défendre le bastion puis d'attaquer le camp de siège une fois le moment venu, ses forces ne pouvant pas rivaliser dans un combat singulier face aux troupes Livoniennes. Le bastion tient bon jusqu'en fin d'année.
Sur le front Lituanien, la situation est meilleure pour Ivan III. Les murs de Smolensk tombent grâce aux canons fraîchement arrivés. La route vers Vilnius était toute tracée, les orthodoxes s'y avancent en savourant leur inévitable victoire. Dans la région de Minsk, les éclaireurs rapportent une terrible nouvelle à leur commandement : l'armée Lituanienne se dresse devant eux.
Le terrain leur était favorable, mais ils étaient inférieurs en nombre. Après avoir reçu la bénédiction du pope, les soldats chargent et bousculent les premières lignes Lituaniennes. La cavalerie menée récemment sur le front se fraie un chemin dans les troupes catholiques totalement désorientées et menace le Roi Lituanien. La retraite est sonnée. Curieusement, la bataille n'aura duré que quelques heures et se conclue par une victoire amère : les Lituaniens n'ont subi que de maigres pertes.
A quelques semaines de marche de Vilnius, une seconde bataille se déclenche. Cette fois-ci, le Roi de Pologne a aidé la Lituanie à se payer de nouvelles troupes. Ayant appris de leur deux dernières défaites, les tactiques sont différentes et la bataille de Minsk se solde par une légère défaite Moscovite, ces derniers ayant subi autant de pertes que les Lituaniens.
L'armée d'Ivan doit reculer et se reconstitue non loin. Ayant peur des raids Criméens, les Lituaniens n'ont pas pris peine d'avancer et de laisser leur capitale à découvert.
Au nord comme au sud, chaque camp progresse, c'est désormais une question de temps avant que Dieu ne choisisse son vainqueur.
Pertes de la Moscovie : 5k
il y a 2 mois
@Athenien Donc tu n'envoies vraiment AUCUNE troupe au sol ? L'Espagne t'envoies 3k et quelques bateaux et tu as déjà des territoires au Maroc
il y a 2 mois
Armouare
2 mois
Guerre Lituano-Moscovite @Ordivomi
Les grands froids de l'hiver passés, les armées reprennent leur chemin. Une nouvelle levée est faite en urgence par le Prince Moscovite. Le peuple grince des dents mais accepte d'aller se battre. Forte de 6 000 hommes, elle rejoint les forces déjà présentes au nord à Pskov, sous siège Livonien.
Au mois de mars, les canons grondent sur la petite république marchande. Finalement, les murs cèdent à la fin du mois et les Livoniens entrent dans la ville pour la piller. Forts de leur nouvelle conquête, ils marchent vers Koporye, un bastion qui, une fois pris, ouvrira la voie de Novgorod, une des villes les plus importantes du territoire ennemi.
Le général des levées Russes, Rostovtsev, prend la décision de laisser la garnison défendre le bastion puis d'attaquer le camp de siège une fois le moment venu, ses forces ne pouvant pas rivaliser dans un combat singulier face aux troupes Livoniennes. Le bastion tient bon jusqu'en fin d'année.
Sur le front Lituanien, la situation est meilleure pour Ivan III. Les murs de Smolensk tombent grâce aux canons fraîchement arrivés. La route vers Vilnius était toute tracée, les orthodoxes s'y avancent en savourant leur inévitable victoire. Dans la région de Minsk, les éclaireurs rapportent une terrible nouvelle à leur commandement : l'armée Lituanienne se dresse devant eux.
Le terrain leur était favorable, mais ils étaient inférieurs en nombre. Après avoir reçu la bénédiction du pope, les soldats chargent et bousculent les premières lignes Lituaniennes. La cavalerie menée récemment sur le front se fraie un chemin dans les troupes catholiques totalement désorientées et menace le Roi Lituanien. La retraite est sonnée. Curieusement, la bataille n'aura duré que quelques heures et se conclue par une victoire amère : les Lituaniens n'ont subi que de maigres pertes.
A quelques semaines de marche de Vilnius, une seconde bataille se déclenche. Cette fois-ci, le Roi de Pologne a aidé la Lituanie à se payer de nouvelles troupes. Ayant appris de leur deux dernières défaites, les tactiques sont différentes et la bataille de Minsk se solde par une légère défaite Moscovite, ces derniers ayant subi autant de pertes que les Lituaniens.
L'armée d'Ivan doit reculer et se reconstitue non loin. Ayant peur des raids Criméens, les Lituaniens n'ont pas pris peine d'avancer et de laisser leur capitale à découvert.
Au nord comme au sud, chaque camp progresse, c'est désormais une question de temps avant que Dieu ne choisisse son vainqueur.
Pertes de la Moscovie : 5k
Les grands froids de l'hiver passés, les armées reprennent leur chemin. Une nouvelle levée est faite en urgence par le Prince Moscovite. Le peuple grince des dents mais accepte d'aller se battre. Forte de 6 000 hommes, elle rejoint les forces déjà présentes au nord à Pskov, sous siège Livonien.
Au mois de mars, les canons grondent sur la petite république marchande. Finalement, les murs cèdent à la fin du mois et les Livoniens entrent dans la ville pour la piller. Forts de leur nouvelle conquête, ils marchent vers Koporye, un bastion qui, une fois pris, ouvrira la voie de Novgorod, une des villes les plus importantes du territoire ennemi.
Le général des levées Russes, Rostovtsev, prend la décision de laisser la garnison défendre le bastion puis d'attaquer le camp de siège une fois le moment venu, ses forces ne pouvant pas rivaliser dans un combat singulier face aux troupes Livoniennes. Le bastion tient bon jusqu'en fin d'année.
Sur le front Lituanien, la situation est meilleure pour Ivan III. Les murs de Smolensk tombent grâce aux canons fraîchement arrivés. La route vers Vilnius était toute tracée, les orthodoxes s'y avancent en savourant leur inévitable victoire. Dans la région de Minsk, les éclaireurs rapportent une terrible nouvelle à leur commandement : l'armée Lituanienne se dresse devant eux.
Le terrain leur était favorable, mais ils étaient inférieurs en nombre. Après avoir reçu la bénédiction du pope, les soldats chargent et bousculent les premières lignes Lituaniennes. La cavalerie menée récemment sur le front se fraie un chemin dans les troupes catholiques totalement désorientées et menace le Roi Lituanien. La retraite est sonnée. Curieusement, la bataille n'aura duré que quelques heures et se conclue par une victoire amère : les Lituaniens n'ont subi que de maigres pertes.
A quelques semaines de marche de Vilnius, une seconde bataille se déclenche. Cette fois-ci, le Roi de Pologne a aidé la Lituanie à se payer de nouvelles troupes. Ayant appris de leur deux dernières défaites, les tactiques sont différentes et la bataille de Minsk se solde par une légère défaite Moscovite, ces derniers ayant subi autant de pertes que les Lituaniens.
L'armée d'Ivan doit reculer et se reconstitue non loin. Ayant peur des raids Criméens, les Lituaniens n'ont pas pris peine d'avancer et de laisser leur capitale à découvert.
Au nord comme au sud, chaque camp progresse, c'est désormais une question de temps avant que Dieu ne choisisse son vainqueur.
Pertes de la Moscovie : 5k
Je suis dans la merde je présume
il y a 2 mois
Je suis dans la merde je présume
Non tu peux toujours t'en sortir, mais tu peux entamer des négociations de paix si tu le souhaites
il y a 2 mois
Tu fais référence à quoi le A ?
il y a 2 mois



















