Ce sujet a été résolu
Il faut devenir fou pour éviter d'être fou c'est ça ?
en gros nier l'imagination, la spiritualité et la sémanticité de l'existence (et en particulier pour ce qui nous intéresse la valeur du symbolique) au nom d'une doctrine scientifique ou d'un quelconque rationalisme étriqué, c'est exactement adopter l'attitude d'un fou, et comme tous les fous ne pas se rendre compte de l'étroitesse de son cercle au nom de la clarté de la vision qu'il a de la cohérence de sa pensée
il y a 4 heures
C'est bien écrit mais c'est faux un peu comme certains de tes pavés
Il avait la flemme
il y a 4 heures
Tous le monde me mog IRL même booder ayaaaaaaaaaaaaaaaa
Mais t'avais pas dit que t'étais "trop musclé" ?

il y a 4 heures
Mais t'avais pas dit que t'étais "trop musclé" ?

Les femme n'aiment pas les muscles, qui plus est.
il y a 4 heures
Mais t'avais pas dit que t'étais "trop musclé" ?

Parce que être musclé change la face le débile ? ayaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
il y a 4 heures
Mais t'avais pas dit que t'étais "trop musclé" ?

c moi ca
what they thinking
il y a 4 heures
Parce que être musclé change la face le débile ? ayaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Bah ça change que tu peux pas être un zéro tout
il y a 4 heures
Les femme n'aiment pas les muscles, qui plus est.
merde..
what they thinking
il y a 4 heures
Il avait la flemme
Mais je vais pas argumenter comme un fou, son pavé tiens plus du poème agréable à lire que d'une hypothèse sérieuse sur la folie
The epitome of human trash!
Zawa zawa...
il y a 4 heures
C'est bien écrit mais c'est faux un peu comme certains de tes pavés
en quoi c'est faux ? je veux te voir réfléchir pour voir comment ça tourne là dedans mon petit fou
il y a 4 heures
Les femme n'aiment pas les muscles, qui plus est.
il y a 4 heures
2/10 tjrs à coté de la plaque c'est une constante ptn de merde ayaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
il y a 4 heures
en quoi c'est faux ? je veux te voir réfléchir pour voir comment ça tourne là dedans mon petit fou
il y a 4 heures
en gros nier l'imagination, la spiritualité et la sémanticité de l'existence (et en particulier pour ce qui nous intéresse la valeur du symbolique) au nom d'une doctrine scientifique ou d'un quelconque rationalisme étriqué, c'est exactement adopter l'attitude d'un fou, et comme tous les fous ne pas se rendre compte de l'étroitesse de son cercle au nom de la clarté de la vision qu'il a de la cohérence de sa pensée
J'avoue la spiritualité c'est pas mon dada mais la rationalité non plus
il y a 4 heures
en gros nier l'imagination, la spiritualité et la sémanticité de l'existence (et en particulier pour ce qui nous intéresse la valeur du symbolique) au nom d'une doctrine scientifique ou d'un quelconque rationalisme étriqué, c'est exactement adopter l'attitude d'un fou, et comme tous les fous ne pas se rendre compte de l'étroitesse de son cercle au nom de la clarté de la vision qu'il a de la cohérence de sa pensée
Ta vision présuppose que l’intelligibilité du changement doit se fonder sur une orientation vers une fin, une forme qui prédétermine le processus. Mais Hegel montre que c'est une illusion de la réflexion abstraite qui sépare le résultat de la genèse et le but de son processus réel. Dans le devenir logique, ce que tu appelles "fin" n’est pas extérieur au processus, c’est son résultat; un résultat qui ne peut exister qu’en se posant comme tel c’est-à-dire en étant produit. Dès le tout début de la Logique, Hegel montre comment l'être pur se nie lui-même et devient le néant et que c’est cette contradiction même, être égal à lui-même qui n’est que vide, qui engendre le devenir. Il ne s’agit donc pas d’un passage d’un "en soi" potentiel vers une forme déjà pensée comme acte mais d’un mouvement où la chose devient ce qu’elle est en devenant autre.
En ce sens, réduire le devenir à un passage ordonné de la puissance à l’acte c’est manquer la dialectique. C’est donc s’arrêter à une logique formelle incapable de penser l’unité des contraires. Le principe de non-contradiction que tu invoques n’est chez Hegel ni réfuté ni affirmé tel quel : il est suspendu/dépassé/conservé (aufhebung, toujours) dans une logique plus haute, celle de la contradiction spéculative. Il ne s'agit pas de dire qu’une chose "est et n’est pas" au même moment dans le même respect (ce qui serait absurde formellement) mais que l’être, pour être effectif doit intégrer sa propre négation, sa propre altérité, en lui-même. Sans cela, il n’y a que fixité abstraite donc pas de mouvement. Et pas de mouvement = pas d’histoire, pas de vie.
Quand tu dis que la finalité est nécessaire pour comprendre un processus, tu restaures une téléologie métaphysique que Hegel a justement renversée. Ce que tu appelles "finalité" dans le vivant ou le chimique est pour Hegel une totalité immanente c’est-à-dire une forme d’organisation qui ne précède pas son développement mais en résulte. Dans la Logique, au moment de la "finalité externe" et de la "finalité interne", Hegel montre que le téléologisme classique ne suffit pas : il faut passer à la finalité réalisée où sujet et fin ne font plus qu’un. Ce n'est pas "la forme" qui gouverne la matière, comme un plan divin ou une cause supérieure, mais la matière elle-même qui, dans son mouvement propre, produit ses formes, ses médiations, ses contradictions internes.
Dire que "voir là où un processus aboutit" implique une orientation donc une finalité, c'est exactement l’inverse de ce que Hegel démontre. Cela revient à confondre résultat et cause finale et à projeter sur le réel un schéma finaliste externe alors que le devenir est auto-téléologique, auto-déterminé. Ce que la dialectique nous apprend, c’est que le sens d’un processus n’est pas fixé d’avance mais résulte de son mouvement. Le but n’est pas là au départ, il est posé a posteriori comme moment de la totalité. C’est ça, l’immanence du développement chez Hegel contre toute téléologie fixiste : le concept devient ce qu’il est dans et par le processus qui l'accomplit.
Tu dis enfin que sans finalité, comprendre un processus est une illusion. Mais c’est précisément parce que tu refuses de penser que le processus est lui-même porteur de sa propre norme, de sa propre structure interne, que tu te crois obligé d’invoquer une "forme" extérieure, une cause finale qui rendrait le tout intelligible. Mais cette forme, tu la poses arbitrairement et tu la supposes alors que pour Hegel, ce qui est rationnel, c'est le réel effectif. Donc le réel qui se fait, qui se produit et dont la pensée ne suit pas un plan extérieur mais les médiations internes.
En somme, ce n'est pas le matérialiste marxiste qui "réduit l’être au devenir", c’est la dialectique qui montre que l’être est le devenir et que ce devenir ne suppose aucune cause extérieure ni aucun but préalable. Vouloir sauver la finalité au nom d’une intelligibilité supérieure, c’est refuser la pensée du procès réel. Donc c'est refuser la contradiction comme moteur du monde et c’est se réfugier dans une métaphysique morte qui croit comprendre parce qu’elle projette ses propres catégories sur un réel vivant qu’elle refuse de rencontrer.
En ce sens, réduire le devenir à un passage ordonné de la puissance à l’acte c’est manquer la dialectique. C’est donc s’arrêter à une logique formelle incapable de penser l’unité des contraires. Le principe de non-contradiction que tu invoques n’est chez Hegel ni réfuté ni affirmé tel quel : il est suspendu/dépassé/conservé (aufhebung, toujours) dans une logique plus haute, celle de la contradiction spéculative. Il ne s'agit pas de dire qu’une chose "est et n’est pas" au même moment dans le même respect (ce qui serait absurde formellement) mais que l’être, pour être effectif doit intégrer sa propre négation, sa propre altérité, en lui-même. Sans cela, il n’y a que fixité abstraite donc pas de mouvement. Et pas de mouvement = pas d’histoire, pas de vie.
Quand tu dis que la finalité est nécessaire pour comprendre un processus, tu restaures une téléologie métaphysique que Hegel a justement renversée. Ce que tu appelles "finalité" dans le vivant ou le chimique est pour Hegel une totalité immanente c’est-à-dire une forme d’organisation qui ne précède pas son développement mais en résulte. Dans la Logique, au moment de la "finalité externe" et de la "finalité interne", Hegel montre que le téléologisme classique ne suffit pas : il faut passer à la finalité réalisée où sujet et fin ne font plus qu’un. Ce n'est pas "la forme" qui gouverne la matière, comme un plan divin ou une cause supérieure, mais la matière elle-même qui, dans son mouvement propre, produit ses formes, ses médiations, ses contradictions internes.
Dire que "voir là où un processus aboutit" implique une orientation donc une finalité, c'est exactement l’inverse de ce que Hegel démontre. Cela revient à confondre résultat et cause finale et à projeter sur le réel un schéma finaliste externe alors que le devenir est auto-téléologique, auto-déterminé. Ce que la dialectique nous apprend, c’est que le sens d’un processus n’est pas fixé d’avance mais résulte de son mouvement. Le but n’est pas là au départ, il est posé a posteriori comme moment de la totalité. C’est ça, l’immanence du développement chez Hegel contre toute téléologie fixiste : le concept devient ce qu’il est dans et par le processus qui l'accomplit.
Tu dis enfin que sans finalité, comprendre un processus est une illusion. Mais c’est précisément parce que tu refuses de penser que le processus est lui-même porteur de sa propre norme, de sa propre structure interne, que tu te crois obligé d’invoquer une "forme" extérieure, une cause finale qui rendrait le tout intelligible. Mais cette forme, tu la poses arbitrairement et tu la supposes alors que pour Hegel, ce qui est rationnel, c'est le réel effectif. Donc le réel qui se fait, qui se produit et dont la pensée ne suit pas un plan extérieur mais les médiations internes.
En somme, ce n'est pas le matérialiste marxiste qui "réduit l’être au devenir", c’est la dialectique qui montre que l’être est le devenir et que ce devenir ne suppose aucune cause extérieure ni aucun but préalable. Vouloir sauver la finalité au nom d’une intelligibilité supérieure, c’est refuser la pensée du procès réel. Donc c'est refuser la contradiction comme moteur du monde et c’est se réfugier dans une métaphysique morte qui croit comprendre parce qu’elle projette ses propres catégories sur un réel vivant qu’elle refuse de rencontrer.
il y a 4 heures
faites vous des grrr grrr
des qué ? des grrrrrrrrrrr
Arrêt non desservi
il y a 4 heures