Ce sujet a été résolu
si t'as deux minutes je viens de me rappeler du début d'une réflexion de chesterton sur la folie qui ne manque pas de charme
Commençons donc par la maison de fous ; partons de cette auberge fantastique et mal famée pour entreprendre notre voyage intellectuel. Or, si nous voulons jeter un regard sur la philosophie des gens de bon sens, la première chose à faire est de rejeter définitivement une erreur aussi énorme que répandue. Selon une très courante, l’imagination, et surtout l’imagination mystique, met en danger l’équilibre mental de l’homme. On dit communément des poètes qu’ils sont psychologiquement instables et il s’établit un vague rapprochement entre les lauriers qui couronnent la tête du poète et les brins de paille piqués dans les cheveux de l’idiot du village. Les faits, l’histoire s’inscrivent en faux contre cette opinion. La plupart des authentiques grands poètes bénéficiaient non seulement d’un esprit sain mais encore d’un sens pratique éprouvé ; si Shakespeare a jamais réellement gardé les chevaux à la porte des auberges, c’est qu’il était reconnu très compétent en la matière. Ce n’est pas l’imagination qui engendre la folie, mais bien plutôt la raison. Les poètes ne deviennent pas fous, les joueurs d’échecs le deviennent. Les mathématiciens deviennent fous, les caissiers deviennent fous, les artistes créateurs très rarement. Je n’entends pas du tout – et m’en justifierai – attaquer la logique ; je dis seulement que le danger réside dans la logique, pas dans l’imagination. La paternité artistique est aussi saine que la paternité physique. Bien plus, lorsqu’un poète a en lui quelque chose de morbide c’est, généralement, parce qu’il a un point faible dans la cervelle : un brin de rationalisme. Poe, par exemple, était réellement morbide ; non parce qu’il était poète mais parce qu’il avait un esprit purement analytique. Même le jeu d’échecs était trop poétique pour lui ; il détestait ce jeu parce qu’il était plein de cavaliers et de tours, comme un poème. Il ne cachait pas sa préférence pour les disques noirs du jeu de dames, plus proches des marques posées sur un diagramme. Le cas le plus étrange est peut-être celui du seul grand poète anglais devenu fou : Cowper. Cowper fut très précisément conduit à la folie par la logique, par l’affreuse, aliénante, logique de la prédestination. La poésie n’était pas le mal, mais le remède ; c’est elle qui le maintint en relative santé. Devant les larges étendues et les blancs nénuphars de la rivière Ouse il pouvait parfois oublier l’enfer de soif et de sang où le menait son hideux nécessitarisme. Damné par Jean Calvin, il fut presque sauvé par John Gilpin. De toutes parts nous voyons que ce n’est pas le rêve qui rend les hommes fous. Les critiques sont beaucoup plus fous que les poètes. Homère est un homme complet et plutôt posé ; ce sont ses critiques qui le revêtent d’incohérences. Shakespeare est tout à fait lui-même ; ce sont ses critiques qui ont découvert qu’il était quelqu’un d’autre. Et si saint Jean l’Evangéliste a vu apparaître dans ses visions beaucoup de monstres étranges, il n’a jamais vu de créatures aussi sauvages que l’un de ses commentateurs. Le fait général est simple. La poésie est saine parce qu’elle flotte avec aisance sur une mer sans limite ; la raison prétend traverser cette mer sans limite et, ainsi, la limiter. D’où un épuisement mental semblable à l’épuisement physique de M. Holbein. Tout accepter est un exercice, tout comprendre un effort constant. Le poète ne désire que l’exaltation, l’expansion, un monde dans lequel il puisse s’étendre. Le poète ne demande qu’à dresser sa tête dans les cieux. Le logicien, lui, cherche à enfermer le ciel dans sa tête. Et sa tête éclate.
Commençons donc par la maison de fous ; partons de cette auberge fantastique et mal famée pour entreprendre notre voyage intellectuel. Or, si nous voulons jeter un regard sur la philosophie des gens de bon sens, la première chose à faire est de rejeter définitivement une erreur aussi énorme que répandue. Selon une très courante, l’imagination, et surtout l’imagination mystique, met en danger l’équilibre mental de l’homme. On dit communément des poètes qu’ils sont psychologiquement instables et il s’établit un vague rapprochement entre les lauriers qui couronnent la tête du poète et les brins de paille piqués dans les cheveux de l’idiot du village. Les faits, l’histoire s’inscrivent en faux contre cette opinion. La plupart des authentiques grands poètes bénéficiaient non seulement d’un esprit sain mais encore d’un sens pratique éprouvé ; si Shakespeare a jamais réellement gardé les chevaux à la porte des auberges, c’est qu’il était reconnu très compétent en la matière. Ce n’est pas l’imagination qui engendre la folie, mais bien plutôt la raison. Les poètes ne deviennent pas fous, les joueurs d’échecs le deviennent. Les mathématiciens deviennent fous, les caissiers deviennent fous, les artistes créateurs très rarement. Je n’entends pas du tout – et m’en justifierai – attaquer la logique ; je dis seulement que le danger réside dans la logique, pas dans l’imagination. La paternité artistique est aussi saine que la paternité physique. Bien plus, lorsqu’un poète a en lui quelque chose de morbide c’est, généralement, parce qu’il a un point faible dans la cervelle : un brin de rationalisme. Poe, par exemple, était réellement morbide ; non parce qu’il était poète mais parce qu’il avait un esprit purement analytique. Même le jeu d’échecs était trop poétique pour lui ; il détestait ce jeu parce qu’il était plein de cavaliers et de tours, comme un poème. Il ne cachait pas sa préférence pour les disques noirs du jeu de dames, plus proches des marques posées sur un diagramme. Le cas le plus étrange est peut-être celui du seul grand poète anglais devenu fou : Cowper. Cowper fut très précisément conduit à la folie par la logique, par l’affreuse, aliénante, logique de la prédestination. La poésie n’était pas le mal, mais le remède ; c’est elle qui le maintint en relative santé. Devant les larges étendues et les blancs nénuphars de la rivière Ouse il pouvait parfois oublier l’enfer de soif et de sang où le menait son hideux nécessitarisme. Damné par Jean Calvin, il fut presque sauvé par John Gilpin. De toutes parts nous voyons que ce n’est pas le rêve qui rend les hommes fous. Les critiques sont beaucoup plus fous que les poètes. Homère est un homme complet et plutôt posé ; ce sont ses critiques qui le revêtent d’incohérences. Shakespeare est tout à fait lui-même ; ce sont ses critiques qui ont découvert qu’il était quelqu’un d’autre. Et si saint Jean l’Evangéliste a vu apparaître dans ses visions beaucoup de monstres étranges, il n’a jamais vu de créatures aussi sauvages que l’un de ses commentateurs. Le fait général est simple. La poésie est saine parce qu’elle flotte avec aisance sur une mer sans limite ; la raison prétend traverser cette mer sans limite et, ainsi, la limiter. D’où un épuisement mental semblable à l’épuisement physique de M. Holbein. Tout accepter est un exercice, tout comprendre un effort constant. Le poète ne désire que l’exaltation, l’expansion, un monde dans lequel il puisse s’étendre. Le poète ne demande qu’à dresser sa tête dans les cieux. Le logicien, lui, cherche à enfermer le ciel dans sa tête. Et sa tête éclate.
j'ai pas toutes les refs mais c'est juste une propagande de jean-poète la verité c'est que la folie la science l'explique aujourdhui par des facteurs génétiques et un certain environnement pas parce que t'es trop logique ou je sais pas quoi
bref beaucoup de mots pour des conneries
bref beaucoup de mots pour des conneries
The epitome of human trash!
Zawa zawa...
il y a 10 heures
C'est la réalité tu te serais déjà suicidé. T'es en pls pcqu'une meuf t'as quitté alors que ce n'est rien ayaaaaaa
Tu en sais quoi ?
il y a 10 heures
si t'as deux minutes je viens de me rappeler du début d'une réflexion de chesterton sur la folie qui ne manque pas de charme
Commençons donc par la maison de fous ; partons de cette auberge fantastique et mal famée pour entreprendre notre voyage intellectuel. Or, si nous voulons jeter un regard sur la philosophie des gens de bon sens, la première chose à faire est de rejeter définitivement une erreur aussi énorme que répandue. Selon une très courante, l’imagination, et surtout l’imagination mystique, met en danger l’équilibre mental de l’homme. On dit communément des poètes qu’ils sont psychologiquement instables et il s’établit un vague rapprochement entre les lauriers qui couronnent la tête du poète et les brins de paille piqués dans les cheveux de l’idiot du village. Les faits, l’histoire s’inscrivent en faux contre cette opinion. La plupart des authentiques grands poètes bénéficiaient non seulement d’un esprit sain mais encore d’un sens pratique éprouvé ; si Shakespeare a jamais réellement gardé les chevaux à la porte des auberges, c’est qu’il était reconnu très compétent en la matière. Ce n’est pas l’imagination qui engendre la folie, mais bien plutôt la raison. Les poètes ne deviennent pas fous, les joueurs d’échecs le deviennent. Les mathématiciens deviennent fous, les caissiers deviennent fous, les artistes créateurs très rarement. Je n’entends pas du tout – et m’en justifierai – attaquer la logique ; je dis seulement que le danger réside dans la logique, pas dans l’imagination. La paternité artistique est aussi saine que la paternité physique. Bien plus, lorsqu’un poète a en lui quelque chose de morbide c’est, généralement, parce qu’il a un point faible dans la cervelle : un brin de rationalisme. Poe, par exemple, était réellement morbide ; non parce qu’il était poète mais parce qu’il avait un esprit purement analytique. Même le jeu d’échecs était trop poétique pour lui ; il détestait ce jeu parce qu’il était plein de cavaliers et de tours, comme un poème. Il ne cachait pas sa préférence pour les disques noirs du jeu de dames, plus proches des marques posées sur un diagramme. Le cas le plus étrange est peut-être celui du seul grand poète anglais devenu fou : Cowper. Cowper fut très précisément conduit à la folie par la logique, par l’affreuse, aliénante, logique de la prédestination. La poésie n’était pas le mal, mais le remède ; c’est elle qui le maintint en relative santé. Devant les larges étendues et les blancs nénuphars de la rivière Ouse il pouvait parfois oublier l’enfer de soif et de sang où le menait son hideux nécessitarisme. Damné par Jean Calvin, il fut presque sauvé par John Gilpin. De toutes parts nous voyons que ce n’est pas le rêve qui rend les hommes fous. Les critiques sont beaucoup plus fous que les poètes. Homère est un homme complet et plutôt posé ; ce sont ses critiques qui le revêtent d’incohérences. Shakespeare est tout à fait lui-même ; ce sont ses critiques qui ont découvert qu’il était quelqu’un d’autre. Et si saint Jean l’Evangéliste a vu apparaître dans ses visions beaucoup de monstres étranges, il n’a jamais vu de créatures aussi sauvages que l’un de ses commentateurs. Le fait général est simple. La poésie est saine parce qu’elle flotte avec aisance sur une mer sans limite ; la raison prétend traverser cette mer sans limite et, ainsi, la limiter. D’où un épuisement mental semblable à l’épuisement physique de M. Holbein. Tout accepter est un exercice, tout comprendre un effort constant. Le poète ne désire que l’exaltation, l’expansion, un monde dans lequel il puisse s’étendre. Le poète ne demande qu’à dresser sa tête dans les cieux. Le logicien, lui, cherche à enfermer le ciel dans sa tête. Et sa tête éclate.
Commençons donc par la maison de fous ; partons de cette auberge fantastique et mal famée pour entreprendre notre voyage intellectuel. Or, si nous voulons jeter un regard sur la philosophie des gens de bon sens, la première chose à faire est de rejeter définitivement une erreur aussi énorme que répandue. Selon une très courante, l’imagination, et surtout l’imagination mystique, met en danger l’équilibre mental de l’homme. On dit communément des poètes qu’ils sont psychologiquement instables et il s’établit un vague rapprochement entre les lauriers qui couronnent la tête du poète et les brins de paille piqués dans les cheveux de l’idiot du village. Les faits, l’histoire s’inscrivent en faux contre cette opinion. La plupart des authentiques grands poètes bénéficiaient non seulement d’un esprit sain mais encore d’un sens pratique éprouvé ; si Shakespeare a jamais réellement gardé les chevaux à la porte des auberges, c’est qu’il était reconnu très compétent en la matière. Ce n’est pas l’imagination qui engendre la folie, mais bien plutôt la raison. Les poètes ne deviennent pas fous, les joueurs d’échecs le deviennent. Les mathématiciens deviennent fous, les caissiers deviennent fous, les artistes créateurs très rarement. Je n’entends pas du tout – et m’en justifierai – attaquer la logique ; je dis seulement que le danger réside dans la logique, pas dans l’imagination. La paternité artistique est aussi saine que la paternité physique. Bien plus, lorsqu’un poète a en lui quelque chose de morbide c’est, généralement, parce qu’il a un point faible dans la cervelle : un brin de rationalisme. Poe, par exemple, était réellement morbide ; non parce qu’il était poète mais parce qu’il avait un esprit purement analytique. Même le jeu d’échecs était trop poétique pour lui ; il détestait ce jeu parce qu’il était plein de cavaliers et de tours, comme un poème. Il ne cachait pas sa préférence pour les disques noirs du jeu de dames, plus proches des marques posées sur un diagramme. Le cas le plus étrange est peut-être celui du seul grand poète anglais devenu fou : Cowper. Cowper fut très précisément conduit à la folie par la logique, par l’affreuse, aliénante, logique de la prédestination. La poésie n’était pas le mal, mais le remède ; c’est elle qui le maintint en relative santé. Devant les larges étendues et les blancs nénuphars de la rivière Ouse il pouvait parfois oublier l’enfer de soif et de sang où le menait son hideux nécessitarisme. Damné par Jean Calvin, il fut presque sauvé par John Gilpin. De toutes parts nous voyons que ce n’est pas le rêve qui rend les hommes fous. Les critiques sont beaucoup plus fous que les poètes. Homère est un homme complet et plutôt posé ; ce sont ses critiques qui le revêtent d’incohérences. Shakespeare est tout à fait lui-même ; ce sont ses critiques qui ont découvert qu’il était quelqu’un d’autre. Et si saint Jean l’Evangéliste a vu apparaître dans ses visions beaucoup de monstres étranges, il n’a jamais vu de créatures aussi sauvages que l’un de ses commentateurs. Le fait général est simple. La poésie est saine parce qu’elle flotte avec aisance sur une mer sans limite ; la raison prétend traverser cette mer sans limite et, ainsi, la limiter. D’où un épuisement mental semblable à l’épuisement physique de M. Holbein. Tout accepter est un exercice, tout comprendre un effort constant. Le poète ne désire que l’exaltation, l’expansion, un monde dans lequel il puisse s’étendre. Le poète ne demande qu’à dresser sa tête dans les cieux. Le logicien, lui, cherche à enfermer le ciel dans sa tête. Et sa tête éclate.
Et puis meme sans parler de science ça fais pas sens si tu réfléchis 2seconde
The epitome of human trash!
Zawa zawa...
il y a 10 heures
moi je prends ce qu'elle dit quelques fois comme du second degré ou une posture esthético-intellectuelle, il faut pas se formaliser autant, voyons 2sur10
Tiens, dis moi ce que tu penses des "dessins d'enfant" de grothendieck...
Tiens, dis moi ce que tu penses des "dessins d'enfant" de grothendieck...
ben toute pensée est une attitude esthético-intellectuelle ma belle simplette, ça n'a rien d'insincère
il y a 10 heures
Le mec a des amis loge chez des potes mais il veut me tester ayaaaaaaaaaaaa
Comme TD il passe sa vie à dire qu'il est moche mais EN MEME TEMPS spammer les photos de lui pour se faire remarquer ayaaaaa
Comme TD il passe sa vie à dire qu'il est moche mais EN MEME TEMPS spammer les photos de lui pour se faire remarquer ayaaaaa
il y a 10 heures
iKAISER
10h
Le mec a des amis loge chez des potes mais il veut me tester ayaaaaaaaaaaaa
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Toast tu penses je peux te test ou pas?
The epitome of human trash!
Zawa zawa...
il y a 10 heures
iKAISER
10h
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Tu veux pas devenir son ami ?
il y a 10 heures
Tu en sais quoi ?
Des meufs il y en a pleins, la santé, le temps st bcp plus précieux tu devrais le savoir
il y a 10 heures
iKAISER
10h
Le mec a des amis loge chez des potes mais il veut me tester ayaaaaaaaaaaaa
Comme TD il passe sa vie à dire qu'il est moche mais EN MEME TEMPS spammer les photos de lui pour se faire remarquer ayaaaaa
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Fais toi des ami·es pitié
Arrêt non desservi
il y a 10 heures
moi je prends ce qu'elle dit quelques fois comme du second degré ou une posture esthético-intellectuelle, il faut pas se formaliser autant, voyons 2sur10
Tiens, dis moi ce que tu penses des "dessins d'enfant" de grothendieck...
Tiens, dis moi ce que tu penses des "dessins d'enfant" de grothendieck...
Je ne connaissais pas, ça a l'air assez intéressant surtout que j'aime beaucoup la théorie des groupes et je DOIS plus me renseigner sur les travaux de Galois
Mais j'avais recemment entendu parler de la méthode d'apprentissage et de compréhension de grothendiek, et je la trouve vraiment intéressante, et utile aussi dans mon cas, car je pense que ça peut aider pour apprendre à apprendre

Mais j'avais recemment entendu parler de la méthode d'apprentissage et de compréhension de grothendiek, et je la trouve vraiment intéressante, et utile aussi dans mon cas, car je pense que ça peut aider pour apprendre à apprendre

il y a 10 heures
Magnifique
T'en penses whatcoubeh de Buxtehude ?
J'm bi1 ce genre de baroque moient
J'm bi1 ce genre de baroque moient
il y a 10 heures
iKAISER
10h
Le mec a des amis loge chez des potes mais il veut me tester ayaaaaaaaaaaaa
Comme TD il passe sa vie à dire qu'il est moche mais EN MEME TEMPS spammer les photos de lui pour se faire remarquer ayaaaaa
Comme TD il passe sa vie à dire qu'il est moche mais EN MEME TEMPS spammer les photos de lui pour se faire remarquer ayaaaaa
Mais khey, personne ne nie que tu as toi aussi des problèmes dans la vie hein. Juste que quand chaque fois que quelqu'un post un truc il a le droit à "LF0T" en boucle parce qu'il a un truc que toi t'as pas c'est chiant.
il y a 10 heures-PEMT