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Je vais prendre des exemples un peu caricaturaux par simplicité :

- Les USA ont un communautarisme qui n'existe pas en France (ils peuvent avoir une ville chinoise dans la ville américaine).

- Le Japon a une culture de la politesse excessive.

Un identitaire ignore ce qu'est la France, et s'en fout. Il veut construire un truc qui lui paraît bien.

Admettons qu'il aime ces deux caractéristiques étrangères, il fera une "France" communautarisée à l'américaine et polie à la japonaise. On ne reconnaîtrait plus le pays.

Mais pour lui ce serait bien, parce qu'il ne sait pas ce qu'est la France et qu'il apprécie ces deux traits.
Ils mettent la race avant tout, mais je crois qu'ils ne veulent pas pour autan détruire l'identité nationale.

Mais en revanche, ils en ont marre que des gens mettent AVANT le grand remplacement la dite "Américanisation" de la société.
Parce qu'au pire la culture ça se soigne, alors que la génétique pas...
:bourdon1:
il y a 19 jours
Le futur ?
:Vieux_risitas:


Les doitardés vont continuer à ce branler sur du blacked et réduire la natalité blanche en dessous des 1 enfant par femme. Le "militantisme" sur le net va continuer dans son vase clos sans convaincre personne d'autre
:Vieux_risitas:


Il n' y plus qu'à attendre une "victoire" de je ne sais quoi qui n'arrivera jamais
:Vieux_risitas:


Rester derrière vos écrans, ça arrange tout le monde
:Vieux_risitas:
En sah, ton analyse politique de la situation en France est beaucoup trop subtile, je ne peux pas lutter face à tant de finesse et je m'avoue vaincu, merci de m'avoir ouvert les yeux sur la réalité humaine.
:Le_duo:
:Blazacad:
il y a 19 jours
Les fameux combattants planqué derrière un écran
:Chollima_2:
Non il y a beaucoup d’autocollants à arracher
:Chollima_2:
il y a 19 jours
Oui oui et les communistes sont turbo racistes eux...

À d'autres de détourner la rage sur le capitalisme quand l'hégémonie culturelle est de gauche...
Ça fonctionne avec les déficients mentaux, mais pas avec moi.
:dos:


Image
www.breizh-info.com https://www.breizh-info.c[...]gauche-les-sert-a-genoux/

La gauche et le patronat, on gagne ma louloute
:Vieux_risitas:
GIF
il y a 19 jours
Rien que le fait que les gens les plus anti-blancs sur ce forum réagissent de manière si vindicative à mon topic devrait vous faire réfléchir.
:Vieux_risitas:
il y a 19 jours
@RotiPorc

Tu ne seras jamais rien d'autre qu'une petite femme émotive et écervelée dans le corps d'un homme.

Un putain de trans made in Gaïa. Fallait le faire, bravo.
:Risitas_Selection:
:Trompette_risitas:
♪♫ prt-prtprt prtprt-prtprt prtprt~
il y a 19 jours
En sah, ton analyse politique de la situation en France est beaucoup trop subtile, je ne peux pas lutter face à tant de finesse et je m'avoue vaincu, merci de m'avoir ouvert les yeux sur la réalité humaine.
:Le_duo:
Tu veux encore faire le bilan
:Vieux_risitas:


Les solutions, vous n'en voulez pas
:Vieux_risitas:


Cela implique de sortir de chez vous et de parler aux gens
:Vieux_risitas:
GIF
il y a 19 jours
www.breizh-info.com https://www.breizh-info.c[...]gauche-les-sert-a-genoux/

La gauche et le patronat, on gagne ma louloute
:Vieux_risitas:
Tu sais, c'est quoi la ligne idéologique de Breizh info au moins ?
:Risitasse:


Par ailleurs, oui, la gauche a trahi le prolétariat blanc, mais c'est bien la vraie gauche qui a aussi compris qu'elle avait perdu le vote ouvrier blanc et qui a donc décidé d'aller chercher son électorat en provenance du tiers-monde.

Importer des low IQ improductifs et dépendants qui béniront les aides sociales tout en leur servant un discours anti-raciste, c'est précisément ce sûr quoi mise la gauche.
:Vieux_risitas:
il y a 19 jours
www.breizh-info.com https://www.breizh-info.c[...]gauche-les-sert-a-genoux/

La gauche et le patronat, on gagne ma louloute
:Vieux_risitas:
Je n’ai jamais compris les sois disants turbo racistes qui préfèrent le capitalisme et les usa aux blancs
:Risitousse:

Raciste mais pas jusqu'à diminuer les profits ou à remettre le système en cause
:Risitousse:
il y a 19 jours
Oubliez pas de cotiser pour vos envahisseurs et les services publiques déplorables les non défaitistes
:dany2:


Tfacon y'a que les lâches qui partent hein ?
:Dany_rigole3:


C'est vrai qu'il en faut du courage pour rester dans ce pays remarque
:Danydiforme:


Et vive la France !
:dany1:

il y a 19 jours
@RotiPorc

Tu ne seras jamais rien d'autre qu'une petite femme émotive et écervelée dans le corps d'un homme.

Un putain de trans made in Gaïa. Fallait le faire, bravo.
:Risitas_Selection:
tu postes que de la merde toi, c'est du 100% à chaque fois, ravi d'être dans ta tête malgré tout, sale dépressif
:conversano_doigt:
Désactiver les signatures : Mon profil/modifier/apparence
il y a 19 jours
Ils mettent la race avant tout, mais je crois qu'ils ne veulent pas pour autan détruire l'identité nationale.

Mais en revanche, ils en ont marre que des gens mettent AVANT le grand remplacement la dite "Américanisation" de la société.
Parce qu'au pire la culture ça se soigne, alors que la génétique pas...
:bourdon1:
Si tu crois que c'est si facile, explique-moi comment faire revenir une tradition abandonnée depuis des siècles.

Malgré tout, je partage la cause identitaire et je déteste le défaitisme, simplement les "identitaires" et autres sont souvent catastrophiques et pourraient s'avérer très dangereux s'ils avaient le pouvoir.
Je vous aime tous
:love:
Tu ne fais pas exception

il y a 19 jours
tu postes que de la merde toi, c'est du 100% à chaque fois, ravi d'être dans ta tête malgré tout, sale dépressif
:conversano_doigt:
Il est parfaitement normal que le discours des brahmanes échappe aux shudras, on t'en voudra pas petite femme
:Risigueule:
:Trompette_risitas:
♪♫ prt-prtprt prtprt-prtprt prtprt~
il y a 19 jours
Omeyyades, Abbassides, Cordoue... Taïfas, Almoravides, Grenade... tous y sont passés.


...Ce que les commentateurs militaires du XIXe et XXe siècle ont souvent omis de considérer, c’est l’impact non physique — mais bien réel — d’un phénomène discursif récurrent, mis en place de manière quasi-organique par les royaumes chrétiens de la péninsule, dès l’époque post-asturienne. Il ne s’agissait pas de propagande, ni de catéchèse, mais d’un système hybride et fluctuant, qu'on qualifierait aujourd’hui de proto-forumique, dont le vecteur principal était un enchaînement infini de discussions semi-rituelles sur l’état du monde chrétien, son déclin, et les mesures à prendre pour sa restauration.

Ce dispositif, connu rétrospectivement sous le nom de postatio rotativa, prenait place dans les monastères, les places publiques, les marges de manuscrits, les murs d’enceintes, voire sur les pierres tombales de moines et de soldats tombés au combat. On y répétait les mêmes éléments de débat — des invocations caricaturales, comme "cur tam segnes sumus?", ou "ubi est gloria regni nostri?" — et ce, dans une cadence qui, loin d’être lassante pour les initiés, renforçait au contraire un sentiment d’identité partagée par la redondance même. L’effet produit était double : électrisation communautaire et désarmement logique de l’adversaire.

Car les forces musulmanes, bien qu’aguerries et mieux dotées matériellement à de nombreuses périodes, ne surent jamais faire face à cette stratégie de saturation discursive. Les émissaires almoravides et almohades rapportèrent à plusieurs reprises qu’ils trouvaient, dans les villes tombées aux mains des chrétiens, des inscriptions murales qui ne semblaient répondre à aucune finalité religieuse ou politique claire, mais tournaient en boucle sur elles-mêmes, évoquant des débats absurdes sur la longueur des manteaux, la cuisson du pain, ou la taille idéale d’un cheval de guerre — le tout se terminant invariablement par une lamentation sur la déchéance morale d’Hispania.

Des sources arabes du XIVe siècle évoquent ces phénomènes avec une stupeur à peine voilée. Un chroniqueur de Grenade écrit : "Ils ne combattent pas comme nous, ils écrivent pour ne rien dire, puis ils relisent ce rien jusqu’à l’extase." Et un sultan mérinide aurait confié, après la perte d’Algeciras : "Ils nous envahissent avec des phrases creuses, qui semblent d’abord faibles, puis rendent fous les plus sages de nos juges."

L’effet cumulatif était clair : les soldats musulmans, plus enclins à lire et à réfléchir qu’on ne l’imagine souvent, se trouvaient plongés dans un bain sémantique où toute tentative d’interprétation rationnelle échouait. Ce n’était pas une moquerie : c’était un refus du logos linéaire, une stratégie par l’épuisement de la logique. C’est précisément ce qui déstabilisa profondément les élites religieuses d’Al-Andalus, incapables de répondre sans se ridiculiser davantage. L’on rapporta des débats entiers dans des madrasas sévillanes sur la signification de messages tels que "sed si hoc dicis, quid de hac re tunc?", qui semblaient ne renvoyer à aucun événement réel identifiable, tout en produisant une anxiété interprétative durable.

Ainsi, loin d’être un simple élément de décor dans la Reconquista, ce système de discours rotatif forma un champ de force textuel dont les effets sont aujourd’hui encore difficiles à mesurer pleinement. Il constitua une sorte de technologie sociale spontanée, exploitant à la fois le potentiel rituel du verbe et la nature dissipative de l’attention humaine. Il fragmenta le consensus musulman de l’intérieur en exposant continuellement les esprits à des formes de pensée incompatibles avec le cadre sunnite classique.

Dire que ce phénomène joua un rôle majeur dans la chute de l’islam ibérique n’est ni provocateur, ni exagéré : c’est, au contraire, une rectification historiographique nécessaire. À côté des batailles, des mariages politiques, des bulles papales, il faut désormais reconnaître l’efficacité redoutable d’un peuple qui décida un jour d'écrire sans fin, jusqu’à ce que l’ennemi n’ait plus rien à répondre.


— Eussogno della Choncla, « Forum, Fide et Fatum : Dynamiques méta-textuelles dans la Reconquista Ibérique », Volume II : Reposte et Dissolution du Califat, chapitre 6 : « De l’Épée au Mur », 4ᵉ édition revue et enrichie, Transtextualia Universalis, Salamanca, 2023.

Je m'avoue vaincu.
Sur ce, bonne boucle.
Retourne donc geeker...
:bourdon1:
il y a 19 jours
Il est parfaitement normal que le discours des brahmanes échappe aux shudras, on t'en voudra pas petite femme
:Risigueule:
Danse pour moi le défaitiste cinglé
:conversano_doigt:
Désactiver les signatures : Mon profil/modifier/apparence
il y a 19 jours
Si tu crois que c'est si facile, explique-moi comment faire revenir une tradition abandonnée depuis des siècles.

Malgré tout, je partage la cause identitaire et je déteste le défaitisme, simplement les "identitaires" et autres sont souvent catastrophiques et pourraient s'avérer très dangereux s'ils avaient le pouvoir.
De quelle tradition tu parles pour commencer ?
:bourdon1:
il y a 19 jours
Tu veux encore faire le bilan
:Vieux_risitas:


Les solutions, vous n'en voulez pas
:Vieux_risitas:


Cela implique de sortir de chez vous et de parler aux gens
:Vieux_risitas:
Sortir de chez soi, parler aux gens, c'est typique de la pensée de gauche qui ne sait pas penser le pouvoir autrement que dans la rue. Mais y a pas que la rue dans la vie, je sais pas d'où tu poste, j'ose espérer que ce n'est pas depuis un carton, mais en ce qui me concerne j'ai une maison.
:Le_duo:


Ce n'est pas qu'une simple plaisanterie. Au cas où tu n'aurais pas remarqué l'avènement d'internet a considérablement abaissé le pouvoir de la rue et son influence. Tout les leviers de pouvoir traditionnels de la gauche se font miner petit à petit. Les journaux du services publics se font torpiller par les réseaux sociaux, les artistes de gauche sont mis au chômage les uns après les autres par l'IA, et ce n'est que le début.
:Le_duo:


Je te dirai bien qu'il faudrait se mettre à la page mais je pense que pour la gauche ça va être compliqué.
:Le_duo:
:Blazacad:
il y a 19 jours
Si tu crois que c'est si facile, explique-moi comment faire revenir une tradition abandonnée depuis des siècles.

Malgré tout, je partage la cause identitaire et je déteste le défaitisme, simplement les "identitaires" et autres sont souvent catastrophiques et pourraient s'avérer très dangereux s'ils avaient le pouvoir.
Tu parles à des occidentalistes. En-dehors de Scipion, aucun ne l'admettra (probablement un QI trop faible, suffit de voir leur tendance à suivre le maître), mais si tu regardes leurs topics ils sont moins identitaires qu'occidentalistes
:Trompette_risitas:
♪♫ prt-prtprt prtprt-prtprt prtprt~
il y a 19 jours
De quelle tradition tu parles pour commencer ?
:bourdon1:
C'est une question générale.

Que je ne tire pas de nulle part puisque bon nombre de traditions étaient déjà considérées comme marginales ou abandonnées il y a 150 ou 200 ans, et je ne parle pas de traditions bizarres.
Je vous aime tous
:love:
Tu ne fais pas exception

il y a 19 jours
Omeyyades, Abbassides, Cordoue... Taïfas, Almoravides, Grenade... tous y sont passés.


...Ce que les commentateurs militaires du XIXe et XXe siècle ont souvent omis de considérer, c’est l’impact non physique — mais bien réel — d’un phénomène discursif récurrent, mis en place de manière quasi-organique par les royaumes chrétiens de la péninsule, dès l’époque post-asturienne. Il ne s’agissait pas de propagande, ni de catéchèse, mais d’un système hybride et fluctuant, qu'on qualifierait aujourd’hui de proto-forumique, dont le vecteur principal était un enchaînement infini de discussions semi-rituelles sur l’état du monde chrétien, son déclin, et les mesures à prendre pour sa restauration.

Ce dispositif, connu rétrospectivement sous le nom de postatio rotativa, prenait place dans les monastères, les places publiques, les marges de manuscrits, les murs d’enceintes, voire sur les pierres tombales de moines et de soldats tombés au combat. On y répétait les mêmes éléments de débat — des invocations caricaturales, comme "cur tam segnes sumus?", ou "ubi est gloria regni nostri?" — et ce, dans une cadence qui, loin d’être lassante pour les initiés, renforçait au contraire un sentiment d’identité partagée par la redondance même. L’effet produit était double : électrisation communautaire et désarmement logique de l’adversaire.

Car les forces musulmanes, bien qu’aguerries et mieux dotées matériellement à de nombreuses périodes, ne surent jamais faire face à cette stratégie de saturation discursive. Les émissaires almoravides et almohades rapportèrent à plusieurs reprises qu’ils trouvaient, dans les villes tombées aux mains des chrétiens, des inscriptions murales qui ne semblaient répondre à aucune finalité religieuse ou politique claire, mais tournaient en boucle sur elles-mêmes, évoquant des débats absurdes sur la longueur des manteaux, la cuisson du pain, ou la taille idéale d’un cheval de guerre — le tout se terminant invariablement par une lamentation sur la déchéance morale d’Hispania.

Des sources arabes du XIVe siècle évoquent ces phénomènes avec une stupeur à peine voilée. Un chroniqueur de Grenade écrit : "Ils ne combattent pas comme nous, ils écrivent pour ne rien dire, puis ils relisent ce rien jusqu’à l’extase." Et un sultan mérinide aurait confié, après la perte d’Algeciras : "Ils nous envahissent avec des phrases creuses, qui semblent d’abord faibles, puis rendent fous les plus sages de nos juges."

L’effet cumulatif était clair : les soldats musulmans, plus enclins à lire et à réfléchir qu’on ne l’imagine souvent, se trouvaient plongés dans un bain sémantique où toute tentative d’interprétation rationnelle échouait. Ce n’était pas une moquerie : c’était un refus du logos linéaire, une stratégie par l’épuisement de la logique. C’est précisément ce qui déstabilisa profondément les élites religieuses d’Al-Andalus, incapables de répondre sans se ridiculiser davantage. L’on rapporta des débats entiers dans des madrasas sévillanes sur la signification de messages tels que "sed si hoc dicis, quid de hac re tunc?", qui semblaient ne renvoyer à aucun événement réel identifiable, tout en produisant une anxiété interprétative durable.

Ainsi, loin d’être un simple élément de décor dans la Reconquista, ce système de discours rotatif forma un champ de force textuel dont les effets sont aujourd’hui encore difficiles à mesurer pleinement. Il constitua une sorte de technologie sociale spontanée, exploitant à la fois le potentiel rituel du verbe et la nature dissipative de l’attention humaine. Il fragmenta le consensus musulman de l’intérieur en exposant continuellement les esprits à des formes de pensée incompatibles avec le cadre sunnite classique.

Dire que ce phénomène joua un rôle majeur dans la chute de l’islam ibérique n’est ni provocateur, ni exagéré : c’est, au contraire, une rectification historiographique nécessaire. À côté des batailles, des mariages politiques, des bulles papales, il faut désormais reconnaître l’efficacité redoutable d’un peuple qui décida un jour d'écrire sans fin, jusqu’à ce que l’ennemi n’ait plus rien à répondre.


— Eussogno della Choncla, « Forum, Fide et Fatum : Dynamiques méta-textuelles dans la Reconquista Ibérique », Volume II : Reposte et Dissolution du Califat, chapitre 6 : « De l’Épée au Mur », 4ᵉ édition revue et enrichie, Transtextualia Universalis, Salamanca, 2023.

Je m'avoue vaincu.
Sur ce, bonne boucle.
Ayaaaaooo
:Dujardin_rire:
il y a 19 jours