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@Sainte je fais de la charité à t’éduquer afin de te pousser un peu à la réflexion… Ça part d’une bonne intention
:oui:


:pave:


La distinction entre bonté et gentillesse apparaît comme une clé fondamentale pour saisir ce qui confère sa valeur à un individu, homme ou femme, dans l’épreuve de l’existence. La bonté se révèle comme un élan brut, un instinct premier qui surgit sans calcul, une force intérieure poussant à accomplir le bien pour sa seule vérité. Elle est exigeante, rare, et souvent coûteuse, réclamant des sacrifices personnels ou sociaux. Celui qui agit avec bonté suit une droiture inflexible, indifférent aux regards extérieurs ou aux promesses de récompense. Cette indépendance, cette authenticité face aux pressions du monde, confère à la bonté une aura presque héroïque mais parfaitement naturelle chez l’Homme. Elle semble innée, inscrite dans les gestes spontanés d’un enfant ou les actes altruistes qui se passent de gloire, comme si elle était l’expression première de l’âme humaine, avant que les conventions ne viennent en troubler l’éclat.

La gentillesse, en revanche, se présente comme une construction, une habitude forgée par l’éducation et les normes sociales, qui cherche à imiter la bonté mais demeure à sa surface. Facile à déployer, elle s’épanouit dans les sourires polis, les mots aimables ou les gestes rapides, mais porte en elle une ombre d’intérêt ; un désir d’acceptation, une quête de paix ou une satisfaction égoïste. Cette attente, même discrète, teinte la gentillesse d’une forme d’hypocrisie, comme si elle jouait le rôle de la bienveillance sans en assumer la profondeur. Elle naît, pourrait-on dire, d’une tentative inconsciente de reproduire les modèles de bonté admirés dans les récits, les contes ou les figures héroïques, mais se réduit à une pâle copie, un vernis appliqué faute de mieux. Car les occasions d’incarner une véritable bonté sont rares et ardues, la gentillesse devient un substitut, un moyen de combler un besoin plus noble, sans en payer le prix véritable.

Cette réflexion trouve un écho dans les enseignements religieux, où l’appel à faire le bien, à se montrer juste ou charitable, prédomine, tandis que l’injonction à la simple amabilité reste absente. La bonté s’impose ainsi comme la mesure authentique de la valeur morale, là où la gentillesse, au mieux secondaire, peut trahir une faiblesse, une superficialité, voire un opportunisme. Un homme pétri de gentillesse adapte ses paroles pour plaire, lisse ses aspérités pour éviter l’orage, mais celui qui embrasse la bonté agit selon le bien, quitte à troubler, à trancher ou à s’isoler. Loin d’être une vaine subtilité, cette distinction touche au cœur de ce qui fait une vie digne : la quête d’une existence guidée par l’authenticité de la bonté, contre la facilité d’une gentillesse qui risque de diluer l’essentiel.

On it again
il y a 3 mois
AvantTout
AvantTout
3 mois
Sainte tu peux nous expliquer pourquoi les enfants des fratries maghrébines n'ont souvent pas la même couleur de peau ?
:risibli:
j'en sais rien la maman mangeait peut-etre plus ou moins de chocolat pendant la gestation
:w31:
il y a 3 mois
Oh putain j'ai cliqué sur le spoiler
:praud2:
il y a 3 mois
2sur10
2sur10
3 mois
i2-prod.mirror.co.uk https://i2-prod.mirror.co[...]r-non-identical-twins.jpg

C'est laquelle de ces jumelles qui n'est pas du bon père ?
:(
La rousse est métisse ossi là non ?
:risibli:
Don't you love me ?
:Glorp:
il y a 3 mois
AvantTout
AvantTout
3 mois
Non mais tkt tous les enfants d'une fratrie ont exactement la même gueule
:risibli:
tu peux pas comprendre
:sora_2:
On it again
il y a 3 mois
Je connais pas mais tiens son nom Takayoshi Ohmura
:Risi_rat:
Don't you love me ?
:Glorp:
il y a 3 mois
tu peux pas comprendre
:sora_2:
il y a 3 mois
BdT
BdT
3 mois
La rousse est métisse ossi là non ?
:risibli:
Elles sont jumelles
:sn44k:
il y a 3 mois
2sur10
2sur10
3 mois
Elles sont jumelles
:sn44k:
Oe mais pour de vrai on est d'accord ?
:risibli:

Fin jsp la rousse fait africaine
:mouai:

Mais elles se ressemblent pas
Don't you love me ?
:Glorp:
il y a 3 mois
Ca nous dit pas quel est le non-père
:ApexLattardin:
il y a 3 mois
@Sainte je fais de la charité à t’éduquer afin de te pousser un peu à la réflexion… Ça part d’une bonne intention
:oui:


:pave:


La distinction entre bonté et gentillesse apparaît comme une clé fondamentale pour saisir ce qui confère sa valeur à un individu, homme ou femme, dans l’épreuve de l’existence. La bonté se révèle comme un élan brut, un instinct premier qui surgit sans calcul, une force intérieure poussant à accomplir le bien pour sa seule vérité. Elle est exigeante, rare, et souvent coûteuse, réclamant des sacrifices personnels ou sociaux. Celui qui agit avec bonté suit une droiture inflexible, indifférent aux regards extérieurs ou aux promesses de récompense. Cette indépendance, cette authenticité face aux pressions du monde, confère à la bonté une aura presque héroïque mais parfaitement naturelle chez l’Homme. Elle semble innée, inscrite dans les gestes spontanés d’un enfant ou les actes altruistes qui se passent de gloire, comme si elle était l’expression première de l’âme humaine, avant que les conventions ne viennent en troubler l’éclat.

La gentillesse, en revanche, se présente comme une construction, une habitude forgée par l’éducation et les normes sociales, qui cherche à imiter la bonté mais demeure à sa surface. Facile à déployer, elle s’épanouit dans les sourires polis, les mots aimables ou les gestes rapides, mais porte en elle une ombre d’intérêt ; un désir d’acceptation, une quête de paix ou une satisfaction égoïste. Cette attente, même discrète, teinte la gentillesse d’une forme d’hypocrisie, comme si elle jouait le rôle de la bienveillance sans en assumer la profondeur. Elle naît, pourrait-on dire, d’une tentative inconsciente de reproduire les modèles de bonté admirés dans les récits, les contes ou les figures héroïques, mais se réduit à une pâle copie, un vernis appliqué faute de mieux. Car les occasions d’incarner une véritable bonté sont rares et ardues, la gentillesse devient un substitut, un moyen de combler un besoin plus noble, sans en payer le prix véritable.

Cette réflexion trouve un écho dans les enseignements religieux, où l’appel à faire le bien, à se montrer juste ou charitable, prédomine, tandis que l’injonction à la simple amabilité reste absente. La bonté s’impose ainsi comme la mesure authentique de la valeur morale, là où la gentillesse, au mieux secondaire, peut trahir une faiblesse, une superficialité, voire un opportunisme. Un homme pétri de gentillesse adapte ses paroles pour plaire, lisse ses aspérités pour éviter l’orage, mais celui qui embrasse la bonté agit selon le bien, quitte à troubler, à trancher ou à s’isoler. Loin d’être une vaine subtilité, cette distinction touche au cœur de ce qui fait une vie digne : la quête d’une existence guidée par l’authenticité de la bonté, contre la facilité d’une gentillesse qui risque de diluer l’essentiel.

Wowowowow mec en vrai la boucle cocue est pas si mal je t'assure

Ca sent l'influence de Lysaelia ça...
il y a 3 mois
ferme tes yeux et tape pas ça sur google !!!!
On it again
il y a 3 mois
@Sainte je fais de la charité à t’éduquer afin de te pousser un peu à la réflexion… Ça part d’une bonne intention
:oui:


:pave:


La distinction entre bonté et gentillesse apparaît comme une clé fondamentale pour saisir ce qui confère sa valeur à un individu, homme ou femme, dans l’épreuve de l’existence. La bonté se révèle comme un élan brut, un instinct premier qui surgit sans calcul, une force intérieure poussant à accomplir le bien pour sa seule vérité. Elle est exigeante, rare, et souvent coûteuse, réclamant des sacrifices personnels ou sociaux. Celui qui agit avec bonté suit une droiture inflexible, indifférent aux regards extérieurs ou aux promesses de récompense. Cette indépendance, cette authenticité face aux pressions du monde, confère à la bonté une aura presque héroïque mais parfaitement naturelle chez l’Homme. Elle semble innée, inscrite dans les gestes spontanés d’un enfant ou les actes altruistes qui se passent de gloire, comme si elle était l’expression première de l’âme humaine, avant que les conventions ne viennent en troubler l’éclat.

La gentillesse, en revanche, se présente comme une construction, une habitude forgée par l’éducation et les normes sociales, qui cherche à imiter la bonté mais demeure à sa surface. Facile à déployer, elle s’épanouit dans les sourires polis, les mots aimables ou les gestes rapides, mais porte en elle une ombre d’intérêt ; un désir d’acceptation, une quête de paix ou une satisfaction égoïste. Cette attente, même discrète, teinte la gentillesse d’une forme d’hypocrisie, comme si elle jouait le rôle de la bienveillance sans en assumer la profondeur. Elle naît, pourrait-on dire, d’une tentative inconsciente de reproduire les modèles de bonté admirés dans les récits, les contes ou les figures héroïques, mais se réduit à une pâle copie, un vernis appliqué faute de mieux. Car les occasions d’incarner une véritable bonté sont rares et ardues, la gentillesse devient un substitut, un moyen de combler un besoin plus noble, sans en payer le prix véritable.

Cette réflexion trouve un écho dans les enseignements religieux, où l’appel à faire le bien, à se montrer juste ou charitable, prédomine, tandis que l’injonction à la simple amabilité reste absente. La bonté s’impose ainsi comme la mesure authentique de la valeur morale, là où la gentillesse, au mieux secondaire, peut trahir une faiblesse, une superficialité, voire un opportunisme. Un homme pétri de gentillesse adapte ses paroles pour plaire, lisse ses aspérités pour éviter l’orage, mais celui qui embrasse la bonté agit selon le bien, quitte à troubler, à trancher ou à s’isoler. Loin d’être une vaine subtilité, cette distinction touche au cœur de ce qui fait une vie digne : la quête d’une existence guidée par l’authenticité de la bonté, contre la facilité d’une gentillesse qui risque de diluer l’essentiel.

qui a commis l'écriture de cet amas de sottises ? ce n'est ni un littérateur ni un moraliste ni un lexicographe ni un homme d'esprit visiblement, puisqu'il échoue simultanément dans le style, la pertinence, le sens des mots et la profondeur de vue
il y a 3 mois
2sur10
2sur10
3 mois
Wowowowow mec en vrai la boucle cocue est pas si mal je t'assure

Ca sent l'influence de Lysaelia ça...
j’attends qu’elle récupère sa co et qu’elle finisse de donner son avis impertinent sur tout alors qu’elle ne connait rien
:oui:
On it again
il y a 3 mois
Ils se cassent la tête a trouver des exemples sur internet alors qu'ils ont tous vu ma gueule ent
:risibli:
il y a 3 mois
Sainte
Sainte
3 mois
qui a commis l'écriture de cet amas de sottises ? ce n'est ni un littérateur ni un moraliste ni un lexicographe ni un homme d'esprit visiblement, puisqu'il échoue simultanément dans le style, la pertinence, le sens des mots et la profondeur de vue
la forme mais pas le fond…
:mdrcache:
On it again
il y a 3 mois
:risitas_troll:
On it again
il y a 3 mois
la forme mais pas le fond…
:mdrcache:
au moins, un des deux
il y a 3 mois