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Je rappel que Sainte connaissait tous les trucs de maboules mentaux genre blowjob bad dragon je sais plus quoi, y'avais 3 termes de malades qu'elle a mis de suite mais bon
:risitas_troll:
il y a 3 mois
AvantTout
AvantTout
3 mois
qui a commis l'écriture de cet amas de sottises ?
:risitas_troll:
Sûrement pas un lexicographe
:risitas_troll:
Don't you love me ?
:Glorp:
il y a 3 mois
AvantTout
AvantTout
3 mois
qui a commis l'écriture de cet amas de sottises ?
:risitas_troll:
ce n'est ni un littérateur ni un moraliste ni un lexicographe ni un homme d'esprit visiblement
:risitas_troll:
il y a 3 mois
BdT
BdT
3 mois
Sûrement pas un lexicographe
:risitas_troll:
il y a 3 mois
Sainte
Sainte
3 mois
au moins, un des deux
j’attends un retour sur le fond car hormis critiquer le texte car il n’a pas une forme littéraire pompeuse sur laquelle tu te touches, il n’y a pas grand chose
:(
On it again
il y a 3 mois
ce n'est ni un littérateur ni un moraliste ni un lexicographe ni un homme d'esprit visiblement
:risitas_troll:
il y a 3 mois
Je rappel que Sainte connaissait tous les trucs de maboules mentaux genre blowjob bad dragon je sais plus quoi, y'avais 3 termes de malades qu'elle a mis de suite mais bon
:risitas_troll:
A un moment pastek l'a chargé de poster un topic avec un tatouage QueenOfSpades, elle a répondu "euh je viens te taper la signification de ce tatouage sur google, on peut changer stp ?"
:risitas_troll:
il y a 3 mois
ah oui l'économiste là
:HaBonTyrozz:
il y a 3 mois
j’attends un retour sur le fond car hormis critiquer le texte car il n’a pas une forme littéraire pompeuse sur laquelle tu te touches, il n’y a pas grand chose
:(
Laisse tomber et va te trouver un lexicographe pour te refaire ton pavé bro
:)
il y a 3 mois
Battez vous
:mouai:
Don't you love me ?
:Glorp:
il y a 3 mois
Demande à sainte elle semble avoir bien compris
:(
il y a 3 mois
@Sainte je fais de la charité à t’éduquer afin de te pousser un peu à la réflexion… Ça part d’une bonne intention
:oui:


:pave:


La distinction entre bonté et gentillesse apparaît comme une clé fondamentale pour saisir ce qui confère sa valeur à un individu, homme ou femme, dans l’épreuve de l’existence. La bonté se révèle comme un élan brut, un instinct premier qui surgit sans calcul, une force intérieure poussant à accomplir le bien pour sa seule vérité. Elle est exigeante, rare, et souvent coûteuse, réclamant des sacrifices personnels ou sociaux. Celui qui agit avec bonté suit une droiture inflexible, indifférent aux regards extérieurs ou aux promesses de récompense. Cette indépendance, cette authenticité face aux pressions du monde, confère à la bonté une aura presque héroïque mais parfaitement naturelle chez l’Homme. Elle semble innée, inscrite dans les gestes spontanés d’un enfant ou les actes altruistes qui se passent de gloire, comme si elle était l’expression première de l’âme humaine, avant que les conventions ne viennent en troubler l’éclat.

La gentillesse, en revanche, se présente comme une construction, une habitude forgée par l’éducation et les normes sociales, qui cherche à imiter la bonté mais demeure à sa surface. Facile à déployer, elle s’épanouit dans les sourires polis, les mots aimables ou les gestes rapides, mais porte en elle une ombre d’intérêt ; un désir d’acceptation, une quête de paix ou une satisfaction égoïste. Cette attente, même discrète, teinte la gentillesse d’une forme d’hypocrisie, comme si elle jouait le rôle de la bienveillance sans en assumer la profondeur. Elle naît, pourrait-on dire, d’une tentative inconsciente de reproduire les modèles de bonté admirés dans les récits, les contes ou les figures héroïques, mais se réduit à une pâle copie, un vernis appliqué faute de mieux. Car les occasions d’incarner une véritable bonté sont rares et ardues, la gentillesse devient un substitut, un moyen de combler un besoin plus noble, sans en payer le prix véritable.

Cette réflexion trouve un écho dans les enseignements religieux, où l’appel à faire le bien, à se montrer juste ou charitable, prédomine, tandis que l’injonction à la simple amabilité reste absente. La bonté s’impose ainsi comme la mesure authentique de la valeur morale, là où la gentillesse, au mieux secondaire, peut trahir une faiblesse, une superficialité, voire un opportunisme. Un homme pétri de gentillesse adapte ses paroles pour plaire, lisse ses aspérités pour éviter l’orage, mais celui qui embrasse la bonté agit selon le bien, quitte à troubler, à trancher ou à s’isoler. Loin d’être une vaine subtilité, cette distinction touche au cœur de ce qui fait une vie digne : la quête d’une existence guidée par l’authenticité de la bonté, contre la facilité d’une gentillesse qui risque de diluer l’essentiel.

Image
il y a 3 mois
Donne moi (plus) donne moi donne moi--> plus
:risibli:

DONNE MOI DONNE MOI --> PLUUUUUUUS
:risibli:
il y a 3 mois
2sur10
2sur10
3 mois
Laisse tomber et va te trouver un lexicographe pour te refaire ton pavé bro
:)
je vais envoyer le texte a gpt et lui demander de me réécrire le texte avec le style de victor hugo… peut etre que là elle va sortir un « ohhhhh mais t’as troooopp raisooooooon j’adoooooreee
:nana_hatchi_contente_coeur:
 »
On it again
il y a 3 mois
AvantTout
AvantTout
3 mois
rien de plus qu'un métis haut en glucose
:risitas_troll:
:Risitas-mrd:
il y a 3 mois