Terminer l'animé GTO m'a totalement chamboulé

Ah nostalgie
J'ai découvert GTO dans l'émission la kaz sur canal+ quand j'avais 16 ans
J'ai revu l'anime plusieurs fois par la suite
Et lu quelques volumes dans les rayons de la fnac
Bref, tu as du goût si tu as aimé kheyou

Tu me mets au défi ?

Bmg c'est pas des jeux à choix multiples ?

C'est un peu un manga en gros..

C'est pourquoicoubeh donc alors ?

C’est l’anime le plus triste que j’ai vu…

Je parierais 200 balles facile
Si mais là non, ça se rapproche plus du livre intéractif, il a une catégorie à part dont il est le précurseur je crois
Choix multiple c'est souvent les jeux de séduction type eroge
Non

Tu fais bien de demander, K pourrait signifier "Knowledge" (connaissance), soulignant un intérêt pour l'apprentissage, la curiosité intellectuelle, et la quête de compréhension à travers différentes cultures, sciences, ou arts.

J pourrait symboliser "Justice," représentant un engagement envers l'équité, l'intégrité, et la recherche d'un monde meilleur où les principes de justice sont respectés.

Tout ça est vérifiable hein, voilà : https://onche.org/topic/6[...]ez-recu-le-badge-kikoojap

L'anime ou le jeu ?
Je prend note alors merci, je le garde quelque part
Moi c'est school days pour l'instant qui m'a le plus brisée niveau tristesse pure
Les autres m'ont remis en question ma vision du monde, school days c'était surtout triste

Tu m'as l'air bien sûre de toi

Bmg...
Ah bah je me demande bien comment je sais ça, hehehe

L'opinion publique a l'air bien tranchée à ton sujet mais trop deep ta définition de Knowledge, c'est du bullshit pour meubler ou tu le believes vraiment ? Justice

C'est pour ça que je termine jamais rien... c'est comme vivre une sorte de deuil à chaque fois

Qui sait ce que je crois vraiment
Je trollais
Mais c'est presque prophétique ça fait peur

L’anime.
Punaise School Days c’est un peu triste mais je t’assure que c’est léger en comparaison de Clannad. J’ai pleuré de manière complètement incontrôlée à un certain moment, ça ne m’était jamais arrivé pour aucune œuvre de fiction
Expérience à la limite du traumatisant, il ne faut pas être sensible je pense

L’anime.
Punaise School Days c’est un peu triste mais je t’assure que c’est léger en comparaison de Clannad. J’ai pleuré de manière complètement incontrôlée à un certain moment, ça ne m’était jamais arrivé pour aucune œuvre de fiction
Expérience à la limite du traumatisant, il ne faut pas être sensible je pense

Musique d'ambiance :

Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.

Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.

L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.

Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.

Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.

Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.

Et mon coeur se meurt.

Musique d'ambiance :

Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.

Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.

L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.

Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.

Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.

Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.

Et mon coeur se meurt.

Onizuka ce chad

Bah toi mdrrr

Tu m'as bien eu
Nul n'est prophète en son pays !

Tu as lu le manga ?

Tu sais les heures d'introspection que ça prend pour savoir ce en quoi on croit ?
Tout le forum pensais que je n'étais pas un KJ et en fait si
Prophète et KJ est impossible en même temps

Je me tâte à le faire mais savoir que j'aurais pas les VOIX et la musique et tout ça me brise psychologiquement

Oui mais sache que l'anime s'arrête vers la moitié du manga papier il me semble

Donc t'as plein de nouvelles histoires et de persos

Putain tu m'as donné envie de me retaper version papier toute la saga de Bad Company à Paradise Lost

Ah et pour la fin