Ce sujet a été résolu
J'aime bien cet état d'esprit, Célestin qui se reprend en main c'est original
C'est une super idée de topic, d'avoir une limite d'un seul chapitre, ça force à être plus concis et construit que lorsqu'on crée une fic.
il y a un an
MacronSkywalker
1 an
RSAoir
- Pitié, je t'en supplie... je n'en peux plus

Depuis plus de dix minutes qu'ils résonnaient dans tout l'immeuble, les cris et supplications qui émanaient de l'antre de Célestin n'avaient qu'augmenter en intensité. Ses voisins, habitués à ses longues soirées sur League of Legend, n'étaient plus inquiétés d'entendre des appels au génocide défensif, des hurlements de terreur, ni des insultes si outrancières qu'elles auraient leur propre tableau dans une cérémonie d'ouverture des jeux olympiques.
Pourtant, ce matin là, c'était différent. Célestin n'était pas "encore debout" à cinq heures du matin. Non, il venait de se lever.

Plus surprenant encore, les cris ne provenaient pas de sa chambre, n'étaient pas réverbérés sur son bol de céréales d'il y a 2 semaines, n'étaient pas propagées au sol par son tabouret en bois qui lui servait de chaise de gaming, et ne semblaient pas s'accompagner de long sanglots rageurs. Non, les cris venaient... de la salle de bain.

Ce lieu, habituellement déserté par notre bon ami à l'hygiène douteuse, avait ce matin une aura solennelle de rituel. L'évier, fidèlement à son poste à côté du toilette-douche, était rempli d'une eau bouillante, mousseuse et mentholée. Le miroir qui le surplombait semblait avoir été nettoyé; les traces "d'entraînement à la galoche", qui déshonoraient habituellement sa surface, avaient laissé place d'abord à des traces grossières d'un linge sale frotté à sa surface, puis à des projections de sang.

Nu comme un ver, les yeux écarquillés devant l'entaille qui lui balafrait la joue, endolorie par l'alcool isopropylique "fait maison" qui donnait à sa peau poisseuse une odeur des caraïbes, Célestin tenait à pleine main son agresseur, avec la ferme intention de repartir au combat sitôt son courage retrouvé.

D'un geste vif, mal habile et peu assuré, Célestin leva son bras et s'infligeait une nouvelle entaille, entre le nez et la lèvre.
- MAIS POURQUOI CA FAIT AUSSI MAL BORDEL
- T'es pas prêt, je te dis. T'as la peau d'une fillette, pas d'un homme.
- M... et l'eau chaude alors, ça a ouvert mes pores ! L'alcool qui désinfecte, j'ai tout fait comme les kheys m'ont dit, tu devrais ...

- SILENCE, TROUILLARD. Ton sang a un goût de bacon, la viscosité d'une eau sacrée d'un fleuve indien, tu me dégoûtes.
- J... je veux m'améliorer, et tu le sais. C'est pour ça que je t'ai acheté.
- Dans ce cas, pourquoi t'infliger de telles blessures ? Je suis le meilleur rasoir du marché, manié avec habilité, je raserais à blanc un ours sans le réveiller. Toi et ta beau grasse de fillettes, en quelques coups, ça devrait être réglé. En voyant l'état déplorable de ta grotte, j'ai bien compris que t'as plus envie de te débarrasser de ta carotide que du poil de couilles qui pousse sous ton menton
- ARRÊTE, C'EST PAS VRAI ! J'APPRENDS C'EST NORMAL, DE SE BLESSER !
- Célestin... Qu'est-ce qui t'anime ? Pourquoi t'être levé à l'aube, toi qui n'a pas vu un matin depuis ta descolarisation, pour t'armer du meilleur rasoir du marché et te l'appliquer de travers partout sur le visage ?
- ... c'est bon... t'as gagné j'abandonne.
Alors qu'il posait doucement le rasoir dans l'unique verre sale qui décorait l'évier, réceptacle à brosse à dent et autres objets couverts de moisissures, Célestin fut pris d'un sanglot.
- T... tu penses que je le fais exprès, pas vrai ?
- Célestin, regarde autour de toi... Ce n'est pas ma lame, aussi aiguisée soit-elle, qui te fait pleurer ce matin. Ce n'est pas à ma poignée que tu t'agrippes, mais à tout le reste.
En balayant son minuscule salon du regard, Célestin devinait dans la pénombre qui y règnait en permanence son canapé éventré, posé à même le sol depuis que ses pieds avaient rendu l'âme, et la petite télé cathodique qui y faisait face, sa led rouge indiquant qu'elle était toujours en veille, prête à diffuser un nouvel épisode d'un n-ième manga que Célestin ne regarderait que d'un œil, pour remplir le silence de son appartement.

- Tu t'en rends compte, n'est-ce pas, que résister au rasage ne t'empêcheras pas d'être un adulte ? Que tout le retard que tu as pris sur tes amis d'enfance ne sera pas moins grand si ton menton est encore recouvert de duvet ? Que ta démarche de changement physique, pour enfin être l'homme que tu rêves d'être, ne commence pas en se rasant, mais en acceptant de changer ?
Célestin arrêta son mouvement, ne déposa pas son rasoir, et cessa de pleurer. Timidement, se redressa, et pour la première fois depuis des années, se tint droit. D'un mouvement qui se voulait maîtrisé, coupa un petit bout barbe du bout de son menton, posa délicatement son rasoir dans l'eau bouillante, puis recommença. Et recommença. Encore et encore. Enfin, l'eau mentholée de l'évier, à présent chargée de sang et de poils, parti rejoindre l'océan.
Ce jour là, Célestin, déterminé à devenir un homme, ou au moins à cesser d'être un adulescent, demanda aussi merci à son blanc de poulet, plat principal de sa nouvelle diète, qui le railla sur son poids, sur son haleine putride, sur son amour des sucreries. Il réclama une pause à son blouson trop serré, nouvelle pièce maîtresse de sa garde robe renouvelée, mais l'indomptable fermeture éclaire était sourde à ses gémissements. Il déclama un larmoyant adieu à son adorée télévision, maîtresse de son mode de vie d'ermite, qu'elle accepta avec joie et promesse d'être toujours ouverte à son retour, s'il voulait encore d'elle. Mais en se couchant, après une dure journée à essayer de changer, un pas après l'autre, Célestin ne réclama pas ce qu'il avait réclamer à l'Univers chaque nuit depuis 10 ans : il ne réclama pas d'être quelqu'un d'autre, n'importe qui d'autre.
Inspiré par ce poste :
https://onche.org/topic/6[...]le-sport#message_11975785
Ce khey talentueux
il y a un an
Orteils
1 an
[RÉSULTATS DU CONCOURS :
https://onche.org/topic/6[...]itions/8#message_12632888]
◇── L'ORGANISATEUR ──◇
Retou Editions est la première maison d'édition d'œuvres littéraires Onchoises. Nous visons à rassembler les fictions d'excellence issues exclusivement de notre communauté, principalement dans le genre de la science-fiction, l’horreur et la fantasy.
Topic de la maison d'édition :
◇── LES RÈGLES ──◇


Taille du texte : un post max
Date limite : dimanche 8 septembre 2024 à minuit.
Éliminatoire : utilisation de l'IA (un peu de dignité SVP), recyclage de vos anciennes fictions, pas de racontage de vie (se focaliser sur la narration/intrigue/dramaturgie).
Inspirez-vous de ces exemples :
Écrire dans le genre de la science-fiction, l’horreur ou la fantasy est un plus, mais pas obligatoire.
N'oubliez pas de donner un titre à votre œuvre !
Le jury sera composé de nos auteurs publiés : @Malenia @Romanytch @GodFootball ainsi que de moi-même, directeur de Retou Édition. Le nombre de réactions aux posts ne sera pas pris en compte lors de la délibération.
◇── RÉCOMPENSE ──◇
Le grand gagnant, couvert d'une gloire éternelle, sera publié chez Retou Édition à côté de nos auteurs : sa fiction jouira d'une couverture ainsi que d'un synopsis. Nous l'encouragerons à continuer sa fic et à écrire de nombreux autres chapitres.
À l'initiative de Volutes, le badge "Créatif" lui sera officiellement décerné.
Nous espérons aussi que la modération pourra mettre en avant ce topic et qu'ainsi tous les participants pourront bénéficier de nombreux lecteurs.
À vos plumes !
Orteils,
Directeur de Retou Éditions
______________
Participationches :
• Et du coup c'est WHATENT la récompense ? par Zephyr :
• Enfin dépucelé par Milano :
• Une journée pas comme les autres par AnusFetish :
• Célestin malgré-lui par Minuit :
• Koresh au Nuevo-Mexico ! par Koresh :
• RSAoir par MacronSkywalker :
• La revanche de Kader par Mythopisse :
• Le nouveau prof par JuIesMassenet :
• Baise-moi par 0-0 :
• Dominionche Apocalypse 2033 par Madmax :
• Légende Punkienne par Nate :
• MisterOnche par Brumacre :
• Le candidat par Suumerde :
• Pris par la boucle par Zenjin_pseudosc :
• CONNASSE par MC909 :
• Charrow par Cimmerien :
• La Naissance de ''Bench & Cigars'' par SuperTimor :
J'ai lu " concours de fellation" faut vraiment que je me branle moi
OTP/664 🜏
il y a un an
MacronSkywalker
1 an
RSAoir
- Pitié, je t'en supplie... je n'en peux plus

Depuis plus de dix minutes qu'ils résonnaient dans tout l'immeuble, les cris et supplications qui émanaient de l'antre de Célestin n'avaient qu'augmenter en intensité. Ses voisins, habitués à ses longues soirées sur League of Legend, n'étaient plus inquiétés d'entendre des appels au génocide défensif, des hurlements de terreur, ni des insultes si outrancières qu'elles auraient leur propre tableau dans une cérémonie d'ouverture des jeux olympiques.
Pourtant, ce matin là, c'était différent. Célestin n'était pas "encore debout" à cinq heures du matin. Non, il venait de se lever.

Plus surprenant encore, les cris ne provenaient pas de sa chambre, n'étaient pas réverbérés sur son bol de céréales d'il y a 2 semaines, n'étaient pas propagées au sol par son tabouret en bois qui lui servait de chaise de gaming, et ne semblaient pas s'accompagner de long sanglots rageurs. Non, les cris venaient... de la salle de bain.

Ce lieu, habituellement déserté par notre bon ami à l'hygiène douteuse, avait ce matin une aura solennelle de rituel. L'évier, fidèlement à son poste à côté du toilette-douche, était rempli d'une eau bouillante, mousseuse et mentholée. Le miroir qui le surplombait semblait avoir été nettoyé; les traces "d'entraînement à la galoche", qui déshonoraient habituellement sa surface, avaient laissé place d'abord à des traces grossières d'un linge sale frotté à sa surface, puis à des projections de sang.

Nu comme un ver, les yeux écarquillés devant l'entaille qui lui balafrait la joue, endolorie par l'alcool isopropylique "fait maison" qui donnait à sa peau poisseuse une odeur des caraïbes, Célestin tenait à pleine main son agresseur, avec la ferme intention de repartir au combat sitôt son courage retrouvé.

D'un geste vif, mal habile et peu assuré, Célestin leva son bras et s'infligeait une nouvelle entaille, entre le nez et la lèvre.
- MAIS POURQUOI CA FAIT AUSSI MAL BORDEL
- T'es pas prêt, je te dis. T'as la peau d'une fillette, pas d'un homme.
- M... et l'eau chaude alors, ça a ouvert mes pores ! L'alcool qui désinfecte, j'ai tout fait comme les kheys m'ont dit, tu devrais ...

- SILENCE, TROUILLARD. Ton sang a un goût de bacon, la viscosité d'une eau sacrée d'un fleuve indien, tu me dégoûtes.
- J... je veux m'améliorer, et tu le sais. C'est pour ça que je t'ai acheté.
- Dans ce cas, pourquoi t'infliger de telles blessures ? Je suis le meilleur rasoir du marché, manié avec habilité, je raserais à blanc un ours sans le réveiller. Toi et ta beau grasse de fillettes, en quelques coups, ça devrait être réglé. En voyant l'état déplorable de ta grotte, j'ai bien compris que t'as plus envie de te débarrasser de ta carotide que du poil de couilles qui pousse sous ton menton
- ARRÊTE, C'EST PAS VRAI ! J'APPRENDS C'EST NORMAL, DE SE BLESSER !
- Célestin... Qu'est-ce qui t'anime ? Pourquoi t'être levé à l'aube, toi qui n'a pas vu un matin depuis ta descolarisation, pour t'armer du meilleur rasoir du marché et te l'appliquer de travers partout sur le visage ?
- ... c'est bon... t'as gagné j'abandonne.
Alors qu'il posait doucement le rasoir dans l'unique verre sale qui décorait l'évier, réceptacle à brosse à dent et autres objets couverts de moisissures, Célestin fut pris d'un sanglot.
- T... tu penses que je le fais exprès, pas vrai ?
- Célestin, regarde autour de toi... Ce n'est pas ma lame, aussi aiguisée soit-elle, qui te fait pleurer ce matin. Ce n'est pas à ma poignée que tu t'agrippes, mais à tout le reste.
En balayant son minuscule salon du regard, Célestin devinait dans la pénombre qui y règnait en permanence son canapé éventré, posé à même le sol depuis que ses pieds avaient rendu l'âme, et la petite télé cathodique qui y faisait face, sa led rouge indiquant qu'elle était toujours en veille, prête à diffuser un nouvel épisode d'un n-ième manga que Célestin ne regarderait que d'un œil, pour remplir le silence de son appartement.

- Tu t'en rends compte, n'est-ce pas, que résister au rasage ne t'empêcheras pas d'être un adulte ? Que tout le retard que tu as pris sur tes amis d'enfance ne sera pas moins grand si ton menton est encore recouvert de duvet ? Que ta démarche de changement physique, pour enfin être l'homme que tu rêves d'être, ne commence pas en se rasant, mais en acceptant de changer ?
Célestin arrêta son mouvement, ne déposa pas son rasoir, et cessa de pleurer. Timidement, se redressa, et pour la première fois depuis des années, se tint droit. D'un mouvement qui se voulait maîtrisé, coupa un petit bout barbe du bout de son menton, posa délicatement son rasoir dans l'eau bouillante, puis recommença. Et recommença. Encore et encore. Enfin, l'eau mentholée de l'évier, à présent chargée de sang et de poils, parti rejoindre l'océan.
Ce jour là, Célestin, déterminé à devenir un homme, ou au moins à cesser d'être un adulescent, demanda aussi merci à son blanc de poulet, plat principal de sa nouvelle diète, qui le railla sur son poids, sur son haleine putride, sur son amour des sucreries. Il réclama une pause à son blouson trop serré, nouvelle pièce maîtresse de sa garde robe renouvelée, mais l'indomptable fermeture éclaire était sourde à ses gémissements. Il déclama un larmoyant adieu à son adorée télévision, maîtresse de son mode de vie d'ermite, qu'elle accepta avec joie et promesse d'être toujours ouverte à son retour, s'il voulait encore d'elle. Mais en se couchant, après une dure journée à essayer de changer, un pas après l'autre, Célestin ne réclama pas ce qu'il avait réclamer à l'Univers chaque nuit depuis 10 ans : il ne réclama pas d'être quelqu'un d'autre, n'importe qui d'autre.
Inspiré par ce poste :
https://onche.org/topic/6[...]le-sport#message_11975785
il y a un an
Ce soir Corentin va baiser, c'est ce qu'ardemment il croit. Corentin a discuté sur Grindr avec une dénommée TravChaude94, et se dit qu'au moins il sodomisera un anus conforme à la nature l'ayant engendré, plutôt qu'un néovagin reconstitué de fragments d'intestins. Corentin, tremblant, se rend à l'entrevue vénérienne. Il est accueilli par une créature ressemblante aux photos, dans un appartement chargé d'effluves d'encens et de parfum bon marché. Après deux verres de vodka orange et une cigarette roulée chargée en cannabis, TravChaude94, de son vrai nom Kader, se renverse sur le canapé, jambes étendues, et demande à Corentin de lui déguster le fondement. L'excitation possède Corentin. Il se penche sur l'entrejambe de la créature mais une odeur d'excrément en émanant, Corentin se ravise. Faisant signaler cette anomalie, il se voit bientôt rabroué, insulté, expulsé du domicile. TravChaude94 est hors d'elle. Qui est ce merdeux qui vient de lui refuser un préliminaire sous de navrants prétextes d'hygiène? Il ne perd rien pour attendre.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
il y a un an
Mythopisse
1 an
Ce soir Corentin va baiser, c'est ce qu'ardemment il croit. Corentin a discuté sur Grindr avec une dénommée TravChaude94, et se dit qu'au moins il sodomisera un anus conforme à la nature l'ayant engendré, plutôt qu'un néovagin reconstitué de fragments d'intestins. Corentin, tremblant, se rend à l'entrevue vénérienne. Il est accueilli par une créature ressemblante aux photos, dans un appartement chargé d'effluves d'encens et de parfum bon marché. Après deux verres de vodka orange et une cigarette roulée chargée en cannabis, TravChaude94, de son vrai nom Kader, se renverse sur le canapé, jambes étendues, et demande à Corentin de lui déguster le fondement. L'excitation possède Corentin. Il se penche sur l'entrejambe de la créature mais une odeur d'excrément en émanant, Corentin se ravise. Faisant signaler cette anomalie, il se voit bientôt rabroué, insulté, expulsé du domicile. TravChaude94 est hors d'elle. Qui est ce merdeux qui vient de lui refuser un préliminaire sous de navrants prétextes d'hygiène? Il ne perd rien pour attendre.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
Bravo ! Le texte d'AnusFetish parait d'un coup moins dégénéré face au tien
il y a un an
Mythopisse
1 an
Ce soir Corentin va baiser, c'est ce qu'ardemment il croit. Corentin a discuté sur Grindr avec une dénommée TravChaude94, et se dit qu'au moins il sodomisera un anus conforme à la nature l'ayant engendré, plutôt qu'un néovagin reconstitué de fragments d'intestins. Corentin, tremblant, se rend à l'entrevue vénérienne. Il est accueilli par une créature ressemblante aux photos, dans un appartement chargé d'effluves d'encens et de parfum bon marché. Après deux verres de vodka orange et une cigarette roulée chargée en cannabis, TravChaude94, de son vrai nom Kader, se renverse sur le canapé, jambes étendues, et demande à Corentin de lui déguster le fondement. L'excitation possède Corentin. Il se penche sur l'entrejambe de la créature mais une odeur d'excrément en émanant, Corentin se ravise. Faisant signaler cette anomalie, il se voit bientôt rabroué, insulté, expulsé du domicile. TravChaude94 est hors d'elle. Qui est ce merdeux qui vient de lui refuser un préliminaire sous de navrants prétextes d'hygiène? Il ne perd rien pour attendre.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
Ayaaaaa
J’ai beaucoup apprécié
J’ai beaucoup apprécié
Libre , je suis libre !!!
il y a un an
Mythopisse
1 an
Ce soir Corentin va baiser, c'est ce qu'ardemment il croit. Corentin a discuté sur Grindr avec une dénommée TravChaude94, et se dit qu'au moins il sodomisera un anus conforme à la nature l'ayant engendré, plutôt qu'un néovagin reconstitué de fragments d'intestins. Corentin, tremblant, se rend à l'entrevue vénérienne. Il est accueilli par une créature ressemblante aux photos, dans un appartement chargé d'effluves d'encens et de parfum bon marché. Après deux verres de vodka orange et une cigarette roulée chargée en cannabis, TravChaude94, de son vrai nom Kader, se renverse sur le canapé, jambes étendues, et demande à Corentin de lui déguster le fondement. L'excitation possède Corentin. Il se penche sur l'entrejambe de la créature mais une odeur d'excrément en émanant, Corentin se ravise. Faisant signaler cette anomalie, il se voit bientôt rabroué, insulté, expulsé du domicile. TravChaude94 est hors d'elle. Qui est ce merdeux qui vient de lui refuser un préliminaire sous de navrants prétextes d'hygiène? Il ne perd rien pour attendre.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
il y a un an
Mythopisse
1 an
Ce soir Corentin va baiser, c'est ce qu'ardemment il croit. Corentin a discuté sur Grindr avec une dénommée TravChaude94, et se dit qu'au moins il sodomisera un anus conforme à la nature l'ayant engendré, plutôt qu'un néovagin reconstitué de fragments d'intestins. Corentin, tremblant, se rend à l'entrevue vénérienne. Il est accueilli par une créature ressemblante aux photos, dans un appartement chargé d'effluves d'encens et de parfum bon marché. Après deux verres de vodka orange et une cigarette roulée chargée en cannabis, TravChaude94, de son vrai nom Kader, se renverse sur le canapé, jambes étendues, et demande à Corentin de lui déguster le fondement. L'excitation possède Corentin. Il se penche sur l'entrejambe de la créature mais une odeur d'excrément en émanant, Corentin se ravise. Faisant signaler cette anomalie, il se voit bientôt rabroué, insulté, expulsé du domicile. TravChaude94 est hors d'elle. Qui est ce merdeux qui vient de lui refuser un préliminaire sous de navrants prétextes d'hygiène? Il ne perd rien pour attendre.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
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Ça va pas bien mdr
Bloqué ici
:

https://www.youtube.com/w[...]&ab_channel=VintageCG
Help ! HELP ! il y a un an
Mythopisse
1 an
Ce soir Corentin va baiser, c'est ce qu'ardemment il croit. Corentin a discuté sur Grindr avec une dénommée TravChaude94, et se dit qu'au moins il sodomisera un anus conforme à la nature l'ayant engendré, plutôt qu'un néovagin reconstitué de fragments d'intestins. Corentin, tremblant, se rend à l'entrevue vénérienne. Il est accueilli par une créature ressemblante aux photos, dans un appartement chargé d'effluves d'encens et de parfum bon marché. Après deux verres de vodka orange et une cigarette roulée chargée en cannabis, TravChaude94, de son vrai nom Kader, se renverse sur le canapé, jambes étendues, et demande à Corentin de lui déguster le fondement. L'excitation possède Corentin. Il se penche sur l'entrejambe de la créature mais une odeur d'excrément en émanant, Corentin se ravise. Faisant signaler cette anomalie, il se voit bientôt rabroué, insulté, expulsé du domicile. TravChaude94 est hors d'elle. Qui est ce merdeux qui vient de lui refuser un préliminaire sous de navrants prétextes d'hygiène? Il ne perd rien pour attendre.
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Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
Elle descend chercher un tacos huit viandes, agrémenté des sauces les plus radioactives que l'artisan tacossier peut lui délivrer, et s'en empiffre dans l'échoppe tout en scrutant fixement les photos de Corentin qu'il lui a expédiées par courriel. Cette collation achevée, TravChaude94 passe par la pharmacie avant de remonter chez elle, toujours en furie. Elle avale plusieurs comprimés de laxatif, agrémentés d'un demi-litre de lait.
Le terrible mélange commence à faire effet, la nausée point, des gargouillements sinistres lui remontent de l'estomac. Kader file dans la salle d'eau, se saisit d'un seau en plastique et s'asseoit dessus. Quelques minutes plus tard, flotte au fond du récipient une épaisse et méphitique diarrhée. Kader, le cul plein de merde liquide et serrant les jambes, fait quelques pas dans son salon pour y chercher un livre, quelques feuilles blanches d'imprimante, et un couteau qui traînait sur la table basse. De retour sur son seau, continuant à s'écouler, il trempe le manche du couteau dans la flaque excrémentielle, et commence à dessiner des caractères en langue arabe sur le papier. Kader connaît par coeur les premières lignes de la malédiction qu'il destine à Corentin, mais vérifie à l'aide du recueil qu'elles sont bien conformes aux versets du Coran, écrits à l'envers, la constituant.
Quelques temps plus tard, Kader a finit de se vider, les feuilles de se remplir. L'odeur est infernale, et l'entreprise, pas moins. Des craquements dans l'appartement peuvent évoquer les ricanements démoniaques de djinns coprophiles.
De retour chez lui, Corentin se connecte sur Grindr pour ajouter à sa description “hygiène irréprochable SVP” ce qui l'amuse beaucoup puisque ce genre de demande est habituellement lue dans les annonces d'escorts. Il fait une partie de Leagues of Legends, son équipe perd, il s'énerve et se demande si un jour il pourra enfin passer Gold 1. Pour se calmer, Corentin décide de se branler. S'étant manié, ayant juté, il se saisit de la chaussette-torchon qui depuis des semaines éponge sa semence, s'essuie, et la jette au sol sous le bureau. Puis Corentin, terrassé par le sommeil du juste, décide de faire une petite sieste.
A son réveil, Corentin s'imagine en plein cauchemar, pourtant tout est réel et il a beau se pincer, le décor ne change en rien. Ses bouteilles de pisse l'entourent en cercle, sa chaussette de sperme, dressée, se tient sur son torse. Corentin voudrait crier, mais rien se sort de son larynx, et heureusement se dit-il, car que penseraient ses voisins s'ils le découvraient ainsi. Corentin tente de se lever, mais son corps ne répond plus, ses muscles sont flasques. Il sent quelque chose lui tenir les paupières grandes ouvertes, entend des murmures indéfinissables, et assiste impuissant à la scène. Son caleçon glisse sur ses chevilles, des mains invisibles lui ouvrent la bouche. La chaussette de sperme se glisse entre ses fesses. Les bouchons des bouteilles de pisse sautent au plafond, et ces dernières défilent près de son visage, se déversant l'une après l'autre au fond de sa gorge. Corentin sent son ventre se gonfler de flots d'urine rance, tandis que la chaussette de sperme, rêche et roide, le sodomise violemment.
Le supplice dure un bon quart d'heure. Les liens immatériels tombent soudainement, les objets recouvrent leur statut inanimé. Corentin se tourne sur le côté, vomit des litres de pisse en hurlant, retire la chaussette de son anus, se chie dessus, pleure à chaudes larmes en gémissant.
Une fic qui met en évidences les dangers de refuser un anulingus, les kheys faites attention à vous
il y a un an
Orteils
1 an
[RÉSULTATS DU CONCOURS :
https://onche.org/topic/6[...]itions/8#message_12632888]
◇── L'ORGANISATEUR ──◇
Retou Editions est la première maison d'édition d'œuvres littéraires Onchoises. Nous visons à rassembler les fictions d'excellence issues exclusivement de notre communauté, principalement dans le genre de la science-fiction, l’horreur et la fantasy.
Topic de la maison d'édition :
◇── LES RÈGLES ──◇


Taille du texte : un post max
Date limite : dimanche 8 septembre 2024 à minuit.
Éliminatoire : utilisation de l'IA (un peu de dignité SVP), recyclage de vos anciennes fictions, pas de racontage de vie (se focaliser sur la narration/intrigue/dramaturgie).
Inspirez-vous de ces exemples :
Écrire dans le genre de la science-fiction, l’horreur ou la fantasy est un plus, mais pas obligatoire.
N'oubliez pas de donner un titre à votre œuvre !
Le jury sera composé de nos auteurs publiés : @Malenia @Romanytch @GodFootball ainsi que de moi-même, directeur de Retou Édition. Le nombre de réactions aux posts ne sera pas pris en compte lors de la délibération.
◇── RÉCOMPENSE ──◇
Le grand gagnant, couvert d'une gloire éternelle, sera publié chez Retou Édition à côté de nos auteurs : sa fiction jouira d'une couverture ainsi que d'un synopsis. Nous l'encouragerons à continuer sa fic et à écrire de nombreux autres chapitres.
À l'initiative de Volutes, le badge "Créatif" lui sera officiellement décerné.
Nous espérons aussi que la modération pourra mettre en avant ce topic et qu'ainsi tous les participants pourront bénéficier de nombreux lecteurs.
À vos plumes !
Orteils,
Directeur de Retou Éditions
______________
Participationches :
• Et du coup c'est WHATENT la récompense ? par Zephyr :
• Enfin dépucelé par Milano :
• Une journée pas comme les autres par AnusFetish :
• Célestin malgré-lui par Minuit :
• Koresh au Nuevo-Mexico ! par Koresh :
• RSAoir par MacronSkywalker :
• La revanche de Kader par Mythopisse :
• Le nouveau prof par JuIesMassenet :
• Baise-moi par 0-0 :
• Dominionche Apocalypse 2033 par Madmax :
• Légende Punkienne par Nate :
• MisterOnche par Brumacre :
• Le candidat par Suumerde :
• Pris par la boucle par Zenjin_pseudosc :
• CONNASSE par MC909 :
• Charrow par Cimmerien :
• La Naissance de ''Bench & Cigars'' par SuperTimor :
Faut que me motive à la sweet de la mienne
Nous sommes un.
il y a un an
Non, pas obligé de faire une souite
il y a un an
Un post Max
il y a un an
Le but c'est d'être créatif, de faire l'effort d'imaginer une histoire et d'apprendre les techniques pour réussir à l'écrire, de réaliser une performance. Vous souhaitez réellement être remplacés par des machines ? Aucun accomplissement, aucun mérite à écrire un prompt.
Tu n'as qu'à regarder les 4 exemples : les textes sont exceptionnels et on voit bien que l'ia n'a pas été utilisée (style d'écriture propre, intrigue originale, humour raciste etc.).
Comme je l'ai déjà dit sur ce topic, l'ia n'est pour l'instant pas capable de faire une fiction humoristique dans le genre forumesque car trop de restrictions (et pas de style propre).
Nonobstant si quelqu'un s'amuse à machine-learner les fictions de Retou Éditions et qu'il arrive à nous pondre un truc potable ce serait un exploit remarquable
(Mais on ne salura que la réussite technique, il ne sera en aucun cas l'inventeur du texte.)
Tu n'as qu'à regarder les 4 exemples : les textes sont exceptionnels et on voit bien que l'ia n'a pas été utilisée (style d'écriture propre, intrigue originale, humour raciste etc.).
Comme je l'ai déjà dit sur ce topic, l'ia n'est pour l'instant pas capable de faire une fiction humoristique dans le genre forumesque car trop de restrictions (et pas de style propre).
Nonobstant si quelqu'un s'amuse à machine-learner les fictions de Retou Éditions et qu'il arrive à nous pondre un truc potable ce serait un exploit remarquable
(Mais on ne salura que la réussite technique, il ne sera en aucun cas l'inventeur du texte.)
il y a un an
PALANCE
1 an
je suis moi même poète, j'essaierair ptét de jouer le jeu un jour ou l'autre
T'es Pouet ?
il y a un an
Un remake du Cercle des Poètes Disparus version Benzemonstre
il y a un an
MacronSkywalker
1 an
RSAoir
- Pitié, je t'en supplie... je n'en peux plus

Depuis plus de dix minutes qu'ils résonnaient dans tout l'immeuble, les cris et supplications qui émanaient de l'antre de Célestin n'avaient qu'augmenter en intensité. Ses voisins, habitués à ses longues soirées sur League of Legend, n'étaient plus inquiétés d'entendre des appels au génocide défensif, des hurlements de terreur, ni des insultes si outrancières qu'elles auraient leur propre tableau dans une cérémonie d'ouverture des jeux olympiques.
Pourtant, ce matin là, c'était différent. Célestin n'était pas "encore debout" à cinq heures du matin. Non, il venait de se lever.

Plus surprenant encore, les cris ne provenaient pas de sa chambre, n'étaient pas réverbérés sur son bol de céréales d'il y a 2 semaines, n'étaient pas propagées au sol par son tabouret en bois qui lui servait de chaise de gaming, et ne semblaient pas s'accompagner de long sanglots rageurs. Non, les cris venaient... de la salle de bain.

Ce lieu, habituellement déserté par notre bon ami à l'hygiène douteuse, avait ce matin une aura solennelle de rituel. L'évier, fidèlement à son poste à côté du toilette-douche, était rempli d'une eau bouillante, mousseuse et mentholée. Le miroir qui le surplombait semblait avoir été nettoyé; les traces "d'entraînement à la galoche", qui déshonoraient habituellement sa surface, avaient laissé place d'abord à des traces grossières d'un linge sale frotté à sa surface, puis à des projections de sang.

Nu comme un ver, les yeux écarquillés devant l'entaille qui lui balafrait la joue, endolorie par l'alcool isopropylique "fait maison" qui donnait à sa peau poisseuse une odeur des caraïbes, Célestin tenait à pleine main son agresseur, avec la ferme intention de repartir au combat sitôt son courage retrouvé.

D'un geste vif, mal habile et peu assuré, Célestin leva son bras et s'infligeait une nouvelle entaille, entre le nez et la lèvre.
- MAIS POURQUOI CA FAIT AUSSI MAL BORDEL
- T'es pas prêt, je te dis. T'as la peau d'une fillette, pas d'un homme.
- M... et l'eau chaude alors, ça a ouvert mes pores ! L'alcool qui désinfecte, j'ai tout fait comme les kheys m'ont dit, tu devrais ...

- SILENCE, TROUILLARD. Ton sang a un goût de bacon, la viscosité d'une eau sacrée d'un fleuve indien, tu me dégoûtes.
- J... je veux m'améliorer, et tu le sais. C'est pour ça que je t'ai acheté.
- Dans ce cas, pourquoi t'infliger de telles blessures ? Je suis le meilleur rasoir du marché, manié avec habilité, je raserais à blanc un ours sans le réveiller. Toi et ta beau grasse de fillettes, en quelques coups, ça devrait être réglé. En voyant l'état déplorable de ta grotte, j'ai bien compris que t'as plus envie de te débarrasser de ta carotide que du poil de couilles qui pousse sous ton menton
- ARRÊTE, C'EST PAS VRAI ! J'APPRENDS C'EST NORMAL, DE SE BLESSER !
- Célestin... Qu'est-ce qui t'anime ? Pourquoi t'être levé à l'aube, toi qui n'a pas vu un matin depuis ta descolarisation, pour t'armer du meilleur rasoir du marché et te l'appliquer de travers partout sur le visage ?
- ... c'est bon... t'as gagné j'abandonne.
Alors qu'il posait doucement le rasoir dans l'unique verre sale qui décorait l'évier, réceptacle à brosse à dent et autres objets couverts de moisissures, Célestin fut pris d'un sanglot.
- T... tu penses que je le fais exprès, pas vrai ?
- Célestin, regarde autour de toi... Ce n'est pas ma lame, aussi aiguisée soit-elle, qui te fait pleurer ce matin. Ce n'est pas à ma poignée que tu t'agrippes, mais à tout le reste.
En balayant son minuscule salon du regard, Célestin devinait dans la pénombre qui y règnait en permanence son canapé éventré, posé à même le sol depuis que ses pieds avaient rendu l'âme, et la petite télé cathodique qui y faisait face, sa led rouge indiquant qu'elle était toujours en veille, prête à diffuser un nouvel épisode d'un n-ième manga que Célestin ne regarderait que d'un œil, pour remplir le silence de son appartement.

- Tu t'en rends compte, n'est-ce pas, que résister au rasage ne t'empêcheras pas d'être un adulte ? Que tout le retard que tu as pris sur tes amis d'enfance ne sera pas moins grand si ton menton est encore recouvert de duvet ? Que ta démarche de changement physique, pour enfin être l'homme que tu rêves d'être, ne commence pas en se rasant, mais en acceptant de changer ?
Célestin arrêta son mouvement, ne déposa pas son rasoir, et cessa de pleurer. Timidement, se redressa, et pour la première fois depuis des années, se tint droit. D'un mouvement qui se voulait maîtrisé, coupa un petit bout barbe du bout de son menton, posa délicatement son rasoir dans l'eau bouillante, puis recommença. Et recommença. Encore et encore. Enfin, l'eau mentholée de l'évier, à présent chargée de sang et de poils, parti rejoindre l'océan.
Ce jour là, Célestin, déterminé à devenir un homme, ou au moins à cesser d'être un adulescent, demanda aussi merci à son blanc de poulet, plat principal de sa nouvelle diète, qui le railla sur son poids, sur son haleine putride, sur son amour des sucreries. Il réclama une pause à son blouson trop serré, nouvelle pièce maîtresse de sa garde robe renouvelée, mais l'indomptable fermeture éclaire était sourde à ses gémissements. Il déclama un larmoyant adieu à son adorée télévision, maîtresse de son mode de vie d'ermite, qu'elle accepta avec joie et promesse d'être toujours ouverte à son retour, s'il voulait encore d'elle. Mais en se couchant, après une dure journée à essayer de changer, un pas après l'autre, Célestin ne réclama pas ce qu'il avait réclamer à l'Univers chaque nuit depuis 10 ans : il ne réclama pas d'être quelqu'un d'autre, n'importe qui d'autre.
Inspiré par ce poste :
https://onche.org/topic/6[...]le-sport#message_11975785
C'est beau. Merci.
il y a un an