★ CONCOURS DE FICTIONS organisé par Retou Éditions ★

C'est une classe qui est bouleversée par l'arrivée d'un prof hors normes, aux techniques non conventionnelles et qui va réussir à stimuler ses élèves. Un beau film que je te conseille

Non, humoristique mais plutôt dans le registre de la tristesse et de la dépression

Célestin...

Lucie? Je... heuu... oui ?

Je dois t'avouer un truc...

Ah.. ?

Célestin je... je t'aime

...

Depuis que je t'ai vu la première fois, c'était le coup de foudre

Je... Lucie

Célestin ...

Fait-le tout de suite, baise-moi !

Baiseception

Bordel je fais des rêves à la con en ce moment mois

Moi aussi

Je remarque l'influence de Detroit : Become Racist pour l'intro avec l'activation du robot

C'est intéressant d'avoir utilisé la mémoire défectueuse du robot pour faire une exposition historique de l'univers

Ça a permis d'avoir l'univers le plus complet actuellement

Mais c'est malheureusement au détriment d'une histoire plus vivante où les personnages vivent les événements (et ce n'est pas non plus celle qui m'a fait le plus rire jusqu'à présent). Perso j'aurais fait une exposition progressive mais en un seul chapitre c'est pas possible donc je comprends ce choix

Plusieurs indices suggèrent une contribution potentielle de l'IA :

Style Neutre et Mécanique : Certaines phrases sont formulées de manière très neutre, avec un ton formel et générique, typique de la production d'une IA. Ces phrases manquent parfois d'originalité ou de complexité, ce qui est courant dans les textes générés par IA.

Incohérences Stylistiques : Le texte présente des variations de style, où certaines sections sont très descriptives et factuelles, alors que d'autres sont plus personnelles ou narratives. Cette alternance peut indiquer une combinaison de texte écrit par un humain et de contenu généré.

Manque de Fluidité : Les transitions entre certaines sections semblent abruptes, ce qui pourrait suggérer que différentes parties du texte ont été rédigées indépendamment les unes des autres, potentiellement en utilisant des segments générés par une IA pour compléter le texte.

Conclusion : Bien que ces éléments ne constituent pas une preuve définitive, ils sont suffisamment significatifs pour suggérer qu'il y a une forte probabilité que l'IA ait été utilisée dans la rédaction de ce texte. Une discussion avec le participant pour clarifier ces éléments pourrait être utile pour en avoir le cœur net.

Sur une plateforme de vente en ligne, une de mes peintures, que j'avais mis une semaine à faire, a été tagguée "générée par ia" et ça m'avait foutu sacrément la haine. J'ai fait une réclamation qui n'a pas été prise en compte, alors j'ai supprimé mon compte. Donc je comprends la frustration.

Tu comprendras qu'en tant qu'organisateur du concours, je dois veiller à ce que les règles soient respectées. J'ai remarqué que ton texte manquait d'homogénéité : certaines phrases sont bien construites tandis que d'autres non. Aussi, une utilisation non-homogène de la ponctuation. Je me suis donc demandé si certains passages n'avaient pas été augmentés d'une manière ou d'une autre par une aide logicielle. En mettant ta fic dans l'iA, celle-ci me dit qu'il y a une forte probabilité que l'iA ait été utilisé. Je n'ai pas de preuve formelle. Le fait que tu utilises l'iA pour faire des musiques et que tu aies parlé d'iA avant d'écrire le texte ne joue pas en ta faveur.

Je n'ai pas dit que tu n'avais rien fait, tout l'univers du dominionche est original et trop spécifique à notre culture onchoise pour avoir été inventé par une iA. Je soupçonne cependant que certaines phrases ont été reformulées d'une manière ou d'une autre.



Edit: je viens de voir que l'ia hallucine en ta défaveur car elle a rajouté un tiret alors que tu n'en avais pas mis ahi

Désolé, l'ia me rend parano

C'est du bon travail, merci pour ta participation

Légende Punkienne

Sous format watt pad (plus facile à lire) : https://www.wattpad.com/1[...]enne-fic-onche-chapitre-1

Un homme s'avança : « Mon Seigneur Téhodorus De Courchevelle, Prince Adjoint de la Listepedia, baron et sénéchal de la Thécluse, Chef des armés de la Courchevelle, Chevaucheur des dragons et des âmes de toute la Jyvécéenne. Fils de la lignée par votre père Hexris Seigneur de par-delà la tombe de la Onchie du nord qui est votre. » Un autre homme, au fond de la salle, se leva et dit : « Excusez-moi, Adjoint seigneurial Antoine-Marc, vous lui avez oublié le titre de la modestie ! » La salle tomba sous le choc, personne n'avait jamais osé manquer de respect au seigneur de la province local, personne d'encore vivant du moins. Le seigneur, estomaqué, se leva de son trône, sa voix fit de même lorsqu'il répondit :
- « Quel est votre nom ! Infâme troubadour ! »
- « A-t-on vraiment le temps pour cela, mon seigneur ! »
Le seigneur Téhodorus leva sa main d'une manière lente, théâtrale comme dans les tableaux de maitre, puis la rabaissa violemment pour pointer du doigt le fauteur de trouble et dit de vive voix : « Attrapez-le mort ou vif ! ».
Tout en disant « Mon nom est Célextin, Célextin Punctum » le provocateur fit une outrageuse révérence et s’enfuit.

Après quelques secondes de flottement, les gens d’armes réagirent finalement, sortant dehors et ne pouvant qu’admirer le mystérieux Punctum qui était en train de chevaucher le destrier du Seigneur local. Le plus dur n’aurait pas été de le rattraper, mais d’annoncer à leur maitre que ce sauvageon avait volé à leur nez et à leur barbe le cheval qu’il avait acheté une petite fortune. Prix excessif à cause de la lignée royale du mammifère, venant d’une contrée lointaine, dont l’ancien propriétaire au dialecte étranger surnomma « Spirit of Ecstasy ». Le seigneur Téhodorus De Courchevelle était fou de rage. Il fit promettre une prime de 350 pièce à celui qui retrouverai le cheval, et 100 à celui qui ramènerait mort ou vif Célextin

Célextin taillait la route depuis plusieurs heures, il allait où les océans de pavés le menaient, les suivant sans destination en tête. Il savait juste qu’il voulait partir loin. Quitter la campagne pour la ville ? Changer de ville ? Changer de canton, de compté, de pays, de continent, de planète ? Il rongeait son frein en pensant à ce qu’il allait pouvoir faire, il fit de même à son cheval lorsqu’il arriva dans la ville de Bojvenz. La nuit allait tomber, et son destrier de fatigue. Il était encore surpris que le cheval lui ait aussi facilement obéi.

Arrivé dans cette ville, éclairé par les lampes à huile et les lampes à fées qui dessinaient l’ombre de célextin et du cheval sur un sol de marbre. Cheval à qui il offrit repos dans un paddock. Quant à célextin il prit une chambre dans le motel de fortune qui était à côté.

Le soleil et célestin se levèrent de manière presque synchronisée. Célestin sorti de l’hôtel et alla vérifier si son cheval était encore là. Célestin fut pris de panique, il ne trouva guère son compagnon d’aventure. Puis, il souffla un soupir de soulagement, il était encore là, caché et en train de dormir. Après ce petit coup de tachycardie, célestin alla manger dans un petit restaurant. Il prit un émincé de grenouille au lait de serpent volant, un classique de la gastronomie Bojvenzienne. Un homme dans la cinquantaine, avec une longue barbe d’une couleur rose, approcha célestin et lui dit :
- « Ô Bien le bonjour à toi jeune aventurier,
L’aventure ici est-tu venu chercher ? »
Célestin ne savait pas quoi répondre, l’unique chose qui brisa le silence étaient les gouttes de lait qui tombait de son pain d’ananas à son bol. L’homme continua un long monologue que même le narrateur ne pourrait rendre digeste.

Après plus de 20 minutes d’alexandrin et d’anastrophe ne menant nulle part, célestin agacé rompit le monologue :
- « Pitié taisez-vous. Que voulez-vous à la fin ? »
- « Ô Navré monsieur, je me présente Lamberwt
Magusfollis, mage fou, écrivain et poète ! »

Célestin souffla, exaspéré. Et répondit avec le dernier denier politesse qui lui restait :
- « Oh qu’écrivez-vous ? »
- « J’écris des sornettes en tragédies musicales !
N’êtes-vous pas Punctum le voleur de cheval ? »

Célextin faillit s’étouffer en entendant cela. Il se prépara à la fuite
- « Comment le savez-vous ? »
- « Milles vers ne suffiraient à cette longue histoire
faisons court, et cours ou ce sera l’isoloir
Tu me rejoindras sur l’île d’Anastasia
dans quatre jours et trois nuitées et tu sauras »

Avant que célextin n’ait eu le temps de lui demander plus d’explication le mage parti en fumée disparaissant en laissant une carte et des questions sans réponses à célextin. Il suivit le conseil et couru aux paddocks enfourcha son compagnon et s’enfuit de la ville à tout allure. Il entendait derrière lui des cris, des hurlements, des sommations. Ils étaient à ses trousses Les gens d’armes et les chasseurs de primes. Le vieux mage eut raison. Ça s’était joué à quelques minutes. Quelques vers de plus est célextin aurait été exécuté sur la place publique.

Célestin était maintenant à moins d’une demi-heure du pèage pour se rendre dans la Onchie du sud, là où s’arrête la juridiction de Téhodorus. Une fois passé le péage, il n’aura plus qu’à se méfier des chasseurs de primes, un métier qui attire moins qu’avant au vu les taxes sur les gains. Célestin vit enfin de ses yeux le péage, il y avait une centaine d’homme de mains de Téhodorus. C’est probable qu’il soit au courant se dit célestin, Mais impossible qu’il me reconnaisse moi ou le cheval. Célestin allait devoir bluffer quand même. En effet il faut un titre de transport pour quitter la Onchie du nord.

si y'a des fautes d'orthographe signalez-les moi !

Sacrément psychédélique

Maintenant je veux une barbe rose moi aussi

ahah merci j'imagine

on veut tous la barbe rose

ho putin

après quelques secondes de flottement, misère

c'eqst horrible et pourtant j'ai à peine lu

les gens d'armes réagirent finalement

à part l'étalage de noms , le reste c'est juste pas possible, apprend à écrire

Premier frustré

Le mec a écrit une fiction, et toi tu sais faire quoi à part essayer de rabaisser les autres pour tenter de te sentir supérieur l'espace d'un instant éphémère, avant de retourner à ta misérable vie ?

Dans la petite salle du laboratoire souterrain, un scientifique exultait intérieurement :


Le professeur Mengele était un cyberarchéologue de renommée internationale. Il étudiait depuis de nombreuses décennies le 21e siècle. Il était plus particulièrement intéressé par les années 20 : l'époque cruciale qui avaient précédé la Grande Révolution Blanche de 2034.

Sa plus belle trouvaille avait été la découverte des archives textuelles d'un petit forum, nommé Onche, dont les données avaient miraculeusement été sauvegardées sur un serveur russe. En ce lieu, des internautes de tout âge et de toute classe sociale se réunissaient pour parler de sujets divers et variés, en toute décontraction. C'était un point essentiel pour son projet, au vu de la censure extrêmement abusive et de la propagande médiatique immonde qui régnait en ce temps.

Son travail avait consisté à résumer la pensée globale de l'utilisateur moyen de ce forum, afin de créer un individu prototypique de cette époque, et ainsi, d'apprendre davantage de ses pensées, de ses croyances, et surtout, de ses émotions. Comprendre la philosophie qui avait mené au Nouveau Monde Libre.

Sur la table d'opération était allongé un clone vêtu d'une combinaison blanche uniforme. Son visage était celui d'un hispanique moustachu à l'allure bienveillante. Des électrodes collées à son crâne le reliaient à une impressionnante machine que le Pr. Mengele avait nommée, non sans une pointe de fantasy, le "capteur d'âme". Elle allait permettre de recréer une personne physiquement, émotionnellement et spirituellement. Cette parcelle de vie magique qui animait les êtres humains était encore mystérieuse et c'est pourquoi il avait trouvé le mot "âme" approprié.


L'appareil connecté au cerveau du clone modela la structure de ses neurones pour créer cet individu doté de souvenirs, de pensées et de sentiments. En quelques secondes fut transféré le pet-au-bite (pétobyte 10^15) qui comportaient l'esprit d'un humain adulte moyen, avec ses souvenirs conscients et refoulés.

Maria, l'assistante du Pr. Mengele, surveillait les fonctions vitales de l'être nouvellement créé, et devait veiller à ce que sa "naissance" soit la plus douce possible.



MisterOnche remarqua qu'une femme tenait sa main. Il fixa avec insistance Maria. Un air lubrique se dessina sur son visage.


La jeune femme réprima sa surprise pour garder son détachement professionnel. Après avoir scruté son environnement, MisterOnche lança :




Maria examina les données médicales puis avertit le professeur :




L'homme en blouse blanche s'approcha de sa créature tel le Docteur Frankenstein. Il s'assit à son chevet.














MisterOnche fut pris de spasmes.


L'assistante cherchait en vain un sédatif qu'elle ne trouvait pas. Par instinct de survie, elle se mit en garde. En poussant un Khi, elle fit un coup de pied sauté rotatif dans la gueule de MisterOnche qui fut assommé sur le coup.