Ce sujet a été résolu
SuperTimor
1 an
Bon à l'arrache, j'aurai voulu y mettre des stickers/montages mais pas le temps
La Naissance de ''Bench & Cigars''
Texas, 1864
Il n’était pas loin de huit heures du matin, lorsque le ‘’Cigare’’ de son vrai nom Baptiste Marchais, se réveilla après un long sommeil : il bâilla, s’étira, enfin il ouvrit complètement les yeux. Il demeura néanmoins deux bonnes minutes allongé sur son lit immobile, comme un homme qui ne se rend pas très bien compte où il est, et si tout ce qu’il perçoit autour de lui fait partie du monde réel ou n’est que le prolongement des visions désordonnées de son rêve.
Peu à peu, cependant, les sens de Baptiste reprirent possession. Observant sa chambre, entourée de quatre murs, poussiéreux, enfumés par des années de tabac, avec comme meubles une simple commode en chêne usée par les années et son lit miteux sur lequel il était couché, sa mémoire lui refit surface.
Voilà huit jours qu’il était arrivé à destination, à Marfa, une petite ville au fin fond du Texas, parmi les centaines qui ont poussées avec la conquête de l'ouest en quelques années. Le ‘’Cigare’’ (surnom attribué pour sa consommation excessive de cigares) était encore exténué de son voyage, un périple qui a duré plus d’un mois où il a du fuir la France avec 3 pauvres sous en poche pour prendre le Transatlantique afin de rejoindre l’Amérique et d’enchaîner des longues journées de train pour atterrir ici.
Baptiste, petit et trapu, aussi large que grand, aux joues grasses comme celles d’un enfant, mais cachées par une longue barbe mal taillée, avait grandi dans la région parisienne, né bâtard d’un père qu’il n’a pas connu, un certain Deodati, un cavalier italien ayant servi pour Napoléon, et d’une mère prostituée parisienne. Le manque de figure paternelle le fit complexer toute sa vie à travers une quête intérieure d’une recherche de virilité ultime, bagarreur depuis sa jeunesse, il sera embrigadé dans un gang monarchiste, travaillant à Paris il supportait mal la transformation de la ville ordonnée par Napoléon III et dirigée par Haussmann ‘’Une vraie ville de tarlouzes’’ qu’il disait à chaque fois qu’il voyait un nouvel immeuble sortir de terre, mais ce qui lui fit fuir la France c’est l’invasion des communistes, chaque soir ils les voyaient venir dans la modeste échoppe où il travaillait à devoir subir leur discours marxiste, un soir ce fut le soir de trop, et Baptiste en poignarda deux jusqu’à la mort, c’est ce soir-là qu’il a du fuir la France pour le Texas, ‘’là-bas c’est des vrais hommes, les cow-boys, c'est pas des pédales comme à Paris’’, il fit le choix de ce territoire, attiré par la rudesse de sa nature qui n’était pas encore domptée par l’Homme et l'absence de loi, un challenge à ses yeux pour tout homme qui se prétend viril.
Il sorti de sa modeste chambre de saloon qu'il louait pour se rendre au bar afin de déjeuner avec un whisky pour démarrer la journée, le barman le voyant venir lui lança ses mots en souriant ''ha tu reviens déjà ? T'as encore faim ?'' Baptiste fronça les sourcils ne comprenant pas ce qu'il voulait dire. Après avoir englouti 3 tranches de lard avec des oeufs, son whisky, il sorti du saloon avec un cigare en main pour aller trouver la maison d'un riche propriétaire qui recherchait des hommes pour devenir cow-boy et garder ses troupeaux. Il toqua à sa porte, et se présenta, l'homme le regarda bizarrement puis se mit soudain à rire ''Putain Bench arrête tes conneries, je savais pas que tu imitais si bien ce putain d'accent français'' avant de claquer la porte, laissant Baptiste sans voix.
Il fit demi-tour ne comprenant pas la situation, ce nom ''Bench'' résonnait dans son esprit, ''pourquoi il m'a appelé comme ça ?'', Bench, Bench, Bench, un nom qui lui paraissait étranger mais aussi étrangement familier, plongé dans ses pensées il continua sans chemin sans faire attention à ce qui l'entourait, en voulant tourner à gauche vers la ruelle où se trouvait son saloon il percuta un homme
Sorti de ses pensées, il s'excusa, puis soudain, il resta sans voix face à l'individu qui se trouvait devant lui, non ce n'était pas un miroir qu'il avait en face, pourtant il avait l'impression de se voir, l'individu lui-même ne bougeait plus, lui-même paralysé par ce qu'il voyait.
Et là Baptiste eu un déclic, ''C'est toi Bench ?'' et l'autre individu lui répondit ''Are you Cigars ?'', aussi bizarre, miraculeux, étrange, extraordinaire, quelque soit l'adjectif qui décrit cette situation, il avait devant lui son sosie, une copie identique de lui-même.
Mais ça ne s'arrêta pas là, à peine les deux commencèrent à bouger les lèvres pour se parler une voix les arrêta, en face d'eux se trouvait un autre homme qui observait la scène dans l'ombre, le visage caché par son chapeau, l'homme petit et trapu comme eux s'avança, ''Bench ? Cigars ? Moi je me présente je m'appelle &'' il releva son chapeau et qu'elle fut la stupeur de tous quand ils virent qu'ils avaient les trois le même visage.
C'est à ce jour précis que n'acquis le terrible trio d'hors-la-loi du far west ''Bench & Cigars''
La Naissance de ''Bench & Cigars''
Texas, 1864
Il n’était pas loin de huit heures du matin, lorsque le ‘’Cigare’’ de son vrai nom Baptiste Marchais, se réveilla après un long sommeil : il bâilla, s’étira, enfin il ouvrit complètement les yeux. Il demeura néanmoins deux bonnes minutes allongé sur son lit immobile, comme un homme qui ne se rend pas très bien compte où il est, et si tout ce qu’il perçoit autour de lui fait partie du monde réel ou n’est que le prolongement des visions désordonnées de son rêve.
Peu à peu, cependant, les sens de Baptiste reprirent possession. Observant sa chambre, entourée de quatre murs, poussiéreux, enfumés par des années de tabac, avec comme meubles une simple commode en chêne usée par les années et son lit miteux sur lequel il était couché, sa mémoire lui refit surface.
Voilà huit jours qu’il était arrivé à destination, à Marfa, une petite ville au fin fond du Texas, parmi les centaines qui ont poussées avec la conquête de l'ouest en quelques années. Le ‘’Cigare’’ (surnom attribué pour sa consommation excessive de cigares) était encore exténué de son voyage, un périple qui a duré plus d’un mois où il a du fuir la France avec 3 pauvres sous en poche pour prendre le Transatlantique afin de rejoindre l’Amérique et d’enchaîner des longues journées de train pour atterrir ici.
Baptiste, petit et trapu, aussi large que grand, aux joues grasses comme celles d’un enfant, mais cachées par une longue barbe mal taillée, avait grandi dans la région parisienne, né bâtard d’un père qu’il n’a pas connu, un certain Deodati, un cavalier italien ayant servi pour Napoléon, et d’une mère prostituée parisienne. Le manque de figure paternelle le fit complexer toute sa vie à travers une quête intérieure d’une recherche de virilité ultime, bagarreur depuis sa jeunesse, il sera embrigadé dans un gang monarchiste, travaillant à Paris il supportait mal la transformation de la ville ordonnée par Napoléon III et dirigée par Haussmann ‘’Une vraie ville de tarlouzes’’ qu’il disait à chaque fois qu’il voyait un nouvel immeuble sortir de terre, mais ce qui lui fit fuir la France c’est l’invasion des communistes, chaque soir ils les voyaient venir dans la modeste échoppe où il travaillait à devoir subir leur discours marxiste, un soir ce fut le soir de trop, et Baptiste en poignarda deux jusqu’à la mort, c’est ce soir-là qu’il a du fuir la France pour le Texas, ‘’là-bas c’est des vrais hommes, les cow-boys, c'est pas des pédales comme à Paris’’, il fit le choix de ce territoire, attiré par la rudesse de sa nature qui n’était pas encore domptée par l’Homme et l'absence de loi, un challenge à ses yeux pour tout homme qui se prétend viril.
Il sorti de sa modeste chambre de saloon qu'il louait pour se rendre au bar afin de déjeuner avec un whisky pour démarrer la journée, le barman le voyant venir lui lança ses mots en souriant ''ha tu reviens déjà ? T'as encore faim ?'' Baptiste fronça les sourcils ne comprenant pas ce qu'il voulait dire. Après avoir englouti 3 tranches de lard avec des oeufs, son whisky, il sorti du saloon avec un cigare en main pour aller trouver la maison d'un riche propriétaire qui recherchait des hommes pour devenir cow-boy et garder ses troupeaux. Il toqua à sa porte, et se présenta, l'homme le regarda bizarrement puis se mit soudain à rire ''Putain Bench arrête tes conneries, je savais pas que tu imitais si bien ce putain d'accent français'' avant de claquer la porte, laissant Baptiste sans voix.
Il fit demi-tour ne comprenant pas la situation, ce nom ''Bench'' résonnait dans son esprit, ''pourquoi il m'a appelé comme ça ?'', Bench, Bench, Bench, un nom qui lui paraissait étranger mais aussi étrangement familier, plongé dans ses pensées il continua sans chemin sans faire attention à ce qui l'entourait, en voulant tourner à gauche vers la ruelle où se trouvait son saloon il percuta un homme
Sorti de ses pensées, il s'excusa, puis soudain, il resta sans voix face à l'individu qui se trouvait devant lui, non ce n'était pas un miroir qu'il avait en face, pourtant il avait l'impression de se voir, l'individu lui-même ne bougeait plus, lui-même paralysé par ce qu'il voyait.
Et là Baptiste eu un déclic, ''C'est toi Bench ?'' et l'autre individu lui répondit ''Are you Cigars ?'', aussi bizarre, miraculeux, étrange, extraordinaire, quelque soit l'adjectif qui décrit cette situation, il avait devant lui son sosie, une copie identique de lui-même.
Mais ça ne s'arrêta pas là, à peine les deux commencèrent à bouger les lèvres pour se parler une voix les arrêta, en face d'eux se trouvait un autre homme qui observait la scène dans l'ombre, le visage caché par son chapeau, l'homme petit et trapu comme eux s'avança, ''Bench ? Cigars ? Moi je me présente je m'appelle &'' il releva son chapeau et qu'elle fut la stupeur de tous quand ils virent qu'ils avaient les trois le même visage.
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La FIC qui donne le cigare de bon matin
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il y a un an
Le justicier de la route a encore pazifié la zone, t'es le meilleur
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il y a un an
GodFootball
1 an
il y a un an
Ayaaaaa félicitation @Madmax
Tu gagnes un accès VIP au sous forum dont on ne doit pas prononcer le nom
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Sneaky est mon maitre
En cas de problème
il y a un an
AnusFetish
1 an
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Tu gagnes un accès VIP au sous forum dont on ne doit pas prononcer le nom
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Il a été initié franc-maçonche et il a maintenant accès au sous-forum réservé aux forumeurs d'élite (ceux ayant été épinglés comme Lifelike, Porsenna, MadZona etc.)
Sinon puisque le concours est terminé, êtes vous toujours intéressé par le poste du chef de département de somnologie ? Vous aurez 3 employés félins sous votre responsabilité.

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il y a un an
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Sinon puisque le concours est terminé, êtes vous toujours intéressé par le poste du chef de département de somnologie ? Vous aurez 3 employés félins sous votre responsabilité.

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Oui je suis intéressé
Neamoins je dois vous avouer que j ai tendance a laisser trainer mon regard sur les employé félin lorsqu il sont de dos et la queue dressé
Neamoins je dois vous avouer que j ai tendance a laisser trainer mon regard sur les employé félin lorsqu il sont de dos et la queue dressé
Sneaky est mon maitre
En cas de problème
il y a un an
Oui je suis intéressé
Neamoins je dois vous avouer que j ai tendance a laisser trainer mon regard sur les employé félin lorsqu il sont de dos et la queue dressé
Neamoins je dois vous avouer que j ai tendance a laisser trainer mon regard sur les employé félin lorsqu il sont de dos et la queue dressé
Nous veillons au bien-être de nos employés félins (d'où ce département de somnologie pratiquant la sieste intensive) et ce genre de comportement lubrique ne peut être toléré au sein de notre entreprise
il y a un an
Vu le succès de ce premier concours, je pense éventuellement le réitérer pour l'été 2025, que ça devienne l'événement de l'été annuel
il y a un an
En vrai je pense relancer un SDO (topic de peinture) car ça fait longtemps que personne ne s'y est mis et ça me manque
Tu peux organiser un concours de fictionche pour halloween si ça te tente, Retou Éditions n'a pas l'exclusivité sur ce forum
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il y a un an