Ce sujet a été résolu
C'est pas social quand c'est basé sur de la discrimination t'as du mal à pige on dirait
"c'est pas social parce que eux c'est les méchants
"
il y a un an
Dans ma piscine, aucune idée il a du avoir peur ou glisser et les poules et poussins, ça nage pas
Pauvre petit poussin. 🐣
Tu lui avais donné un petit surnom?
Tu lui avais donné un petit surnom?
🧐🧐🧐
il y a un an
"c'est pas social parce que eux c'est les méchants
"
».
https://www.lemonde.fr/ar[...]-nazie_38770_1819218.html
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Le30 janvier 1933, Adolf Hitler était nommé chancelier du Reich par le vieux maréchal Hindenburg. En quelques mois, les nazis allaient établir leur pouvoir sur toute l'Allemagne. Pendant des années, ils avaient tenu des discours démagogiques et anticapitalistes ; le 1er mai 1933, que le nouveau régime avait transformé en une « fête du travail », Hitler promit à la foule de « réhabiliter le travail », et Robert Ley, le futur ministre du travail, déclara aux ouvriers : « Je suis moi-même fils de paysans pauvres... Je sais comment le capitalisme vous exploite. Je vous le jure, nous étendrons vos droits. »
Mais les premières mesures du régime nazi furent d'abord destinées à éliminer toutes les organisations ouvrières autonomes : le Parti communiste fut dissous en mars, le Parti social-démocrate en juin. Le lendemain du 1er mai 1933, les locaux de la puissante Confédération syndicale furent occupés par la police et ses biens confisqués. Le régime avait fait table rase pour imposer sa vision des nouvelles règles sociales.
Impossible, ici, de développer toute l'idéologie hitlérienne, mais il faut rappeler que sa conception totalitaire donne un primat aux objectifs politiques, nationalistes et racistes. L'économique et le social sont d'abord des outils pour le triomphe et la puissance de l'Etat totalitaire et racial allemand. Les rapports sociaux doivent donc éliminer toute dimension conflictuelle. C'est l'objet de la création du Front du travail (Deutsche Arbeitsfront, ou DAF). Le DAF réunissait patrons, ouvriers et employés dans des groupements à structure corporative et gérait le système des assurances et des coopératives, très développé en Allemagne.
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Le30 janvier 1933, Adolf Hitler était nommé chancelier du Reich par le vieux maréchal Hindenburg. En quelques mois, les nazis allaient établir leur pouvoir sur toute l'Allemagne. Pendant des années, ils avaient tenu des discours démagogiques et anticapitalistes ; le 1er mai 1933, que le nouveau régime avait transformé en une « fête du travail », Hitler promit à la foule de « réhabiliter le travail », et Robert Ley, le futur ministre du travail, déclara aux ouvriers : « Je suis moi-même fils de paysans pauvres... Je sais comment le capitalisme vous exploite. Je vous le jure, nous étendrons vos droits. »
Mais les premières mesures du régime nazi furent d'abord destinées à éliminer toutes les organisations ouvrières autonomes : le Parti communiste fut dissous en mars, le Parti social-démocrate en juin. Le lendemain du 1er mai 1933, les locaux de la puissante Confédération syndicale furent occupés par la police et ses biens confisqués. Le régime avait fait table rase pour imposer sa vision des nouvelles règles sociales.
Impossible, ici, de développer toute l'idéologie hitlérienne, mais il faut rappeler que sa conception totalitaire donne un primat aux objectifs politiques, nationalistes et racistes. L'économique et le social sont d'abord des outils pour le triomphe et la puissance de l'Etat totalitaire et racial allemand. Les rapports sociaux doivent donc éliminer toute dimension conflictuelle. C'est l'objet de la création du Front du travail (Deutsche Arbeitsfront, ou DAF). Le DAF réunissait patrons, ouvriers et employés dans des groupements à structure corporative et gérait le système des assurances et des coopératives, très développé en Allemagne.
il y a un an
».
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Le30 janvier 1933, Adolf Hitler était nommé chancelier du Reich par le vieux maréchal Hindenburg. En quelques mois, les nazis allaient établir leur pouvoir sur toute l'Allemagne. Pendant des années, ils avaient tenu des discours démagogiques et anticapitalistes ; le 1er mai 1933, que le nouveau régime avait transformé en une « fête du travail », Hitler promit à la foule de « réhabiliter le travail », et Robert Ley, le futur ministre du travail, déclara aux ouvriers : « Je suis moi-même fils de paysans pauvres... Je sais comment le capitalisme vous exploite. Je vous le jure, nous étendrons vos droits. »
Mais les premières mesures du régime nazi furent d'abord destinées à éliminer toutes les organisations ouvrières autonomes : le Parti communiste fut dissous en mars, le Parti social-démocrate en juin. Le lendemain du 1er mai 1933, les locaux de la puissante Confédération syndicale furent occupés par la police et ses biens confisqués. Le régime avait fait table rase pour imposer sa vision des nouvelles règles sociales.
Impossible, ici, de développer toute l'idéologie hitlérienne, mais il faut rappeler que sa conception totalitaire donne un primat aux objectifs politiques, nationalistes et racistes. L'économique et le social sont d'abord des outils pour le triomphe et la puissance de l'Etat totalitaire et racial allemand. Les rapports sociaux doivent donc éliminer toute dimension conflictuelle. C'est l'objet de la création du Front du travail (Deutsche Arbeitsfront, ou DAF). Le DAF réunissait patrons, ouvriers et employés dans des groupements à structure corporative et gérait le système des assurances et des coopératives, très développé en Allemagne.
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Le30 janvier 1933, Adolf Hitler était nommé chancelier du Reich par le vieux maréchal Hindenburg. En quelques mois, les nazis allaient établir leur pouvoir sur toute l'Allemagne. Pendant des années, ils avaient tenu des discours démagogiques et anticapitalistes ; le 1er mai 1933, que le nouveau régime avait transformé en une « fête du travail », Hitler promit à la foule de « réhabiliter le travail », et Robert Ley, le futur ministre du travail, déclara aux ouvriers : « Je suis moi-même fils de paysans pauvres... Je sais comment le capitalisme vous exploite. Je vous le jure, nous étendrons vos droits. »
Mais les premières mesures du régime nazi furent d'abord destinées à éliminer toutes les organisations ouvrières autonomes : le Parti communiste fut dissous en mars, le Parti social-démocrate en juin. Le lendemain du 1er mai 1933, les locaux de la puissante Confédération syndicale furent occupés par la police et ses biens confisqués. Le régime avait fait table rase pour imposer sa vision des nouvelles règles sociales.
Impossible, ici, de développer toute l'idéologie hitlérienne, mais il faut rappeler que sa conception totalitaire donne un primat aux objectifs politiques, nationalistes et racistes. L'économique et le social sont d'abord des outils pour le triomphe et la puissance de l'Etat totalitaire et racial allemand. Les rapports sociaux doivent donc éliminer toute dimension conflictuelle. C'est l'objet de la création du Front du travail (Deutsche Arbeitsfront, ou DAF). Le DAF réunissait patrons, ouvriers et employés dans des groupements à structure corporative et gérait le système des assurances et des coopératives, très développé en Allemagne.
Je t'ai déjà cité 2 pages wikipédia pour répondre à ce sujet pas des blogs ou des journaux de gaucho
il y a un an
Premièrement je dirais que je suis un peu chokbar
Je trouve que c'est un peu court, surtout pour un "prof" du coup j'ajouterai tout simplement que je quitte ce cours de merde qui pue pour aller me faire bisous les prouts dans les toilettes
Je trouve que c'est un peu court, surtout pour un "prof" du coup j'ajouterai tout simplement que je quitte ce cours de merde qui pue pour aller me faire bisous les prouts dans les toilettes
il y a un an
Je t'ai déjà cité 2 pages wikipédia pour répondre à ce sujet pas des blogs ou des journaux de gaucho
Dans un contexte de chômage de masse, la destruction des syndicats entraîne le durcissement des conditions de vie des salariés, touchant aussi bien les rémunérations que les conditions de travail[26] : la loi du 4 avril 1933 autorise le licenciement de tout employé communiste, de représentant social-démocrate ou de tout militant syndical sans préavis : tout salarié mal vu peut, à partir de la mise en application de cette loi, être licencié de façon arbitraire sans aucun moyen de défense[27]. Par delà la rhétorique mise en avant (chaque entreprise serait une communauté au sein de laquelle chacun aurait des droits et des devoirs), les dirigeants d'entreprise voient leurs pouvoirs renforcés[27].
Les salariés, après la dissolution des syndicats, doivent être inscrits au Front du Travail. Cette institution regroupe à la fois les salariés et leurs employeurs, régit les relations au travail, et se trouve placée sous la tutelle du ministère du Travail du Reich[28]. Confiées à des commissaires aux compétences territoriales élargies, les relations sociales sont dorénavant régies par le Führerprinzip, dans une rhétorique néoféodale, insistant sur la relation de dépendance du salarié envers son employeur
Si des groupes sociaux ont été floués ou matés en 1933-1934, d'autres, par contre, ont su tirer parti du nouveau cadre politique et institutionnel. En effet, après quelques incertitudes, notamment en raison d'actions violentes de la SA[36], le décret du 31 mai 1933[36], préparé lors d'une rencontre entre Adolf Hitler et des représentants des industriels allemands[37], lève toute ambiguïté sur la place dévolue aux représentants de l'industrie et des services dans la réorganisation nationale-socialiste. De plus, dès le 30 janvier, les intérêts privés, représentés par Hugenberg, sont fortement présents dans le gouvernement du Reich ; ils se voient renforcés par la nomination du Dr Schmitt, directeur général des assurances Allianz, et non d'un cadre du parti, au gouvernement[37].
Wikipedia
Les salariés, après la dissolution des syndicats, doivent être inscrits au Front du Travail. Cette institution regroupe à la fois les salariés et leurs employeurs, régit les relations au travail, et se trouve placée sous la tutelle du ministère du Travail du Reich[28]. Confiées à des commissaires aux compétences territoriales élargies, les relations sociales sont dorénavant régies par le Führerprinzip, dans une rhétorique néoféodale, insistant sur la relation de dépendance du salarié envers son employeur
Si des groupes sociaux ont été floués ou matés en 1933-1934, d'autres, par contre, ont su tirer parti du nouveau cadre politique et institutionnel. En effet, après quelques incertitudes, notamment en raison d'actions violentes de la SA[36], le décret du 31 mai 1933[36], préparé lors d'une rencontre entre Adolf Hitler et des représentants des industriels allemands[37], lève toute ambiguïté sur la place dévolue aux représentants de l'industrie et des services dans la réorganisation nationale-socialiste. De plus, dès le 30 janvier, les intérêts privés, représentés par Hugenberg, sont fortement présents dans le gouvernement du Reich ; ils se voient renforcés par la nomination du Dr Schmitt, directeur général des assurances Allianz, et non d'un cadre du parti, au gouvernement[37].
Wikipedia
il y a un an
Dans un contexte de chômage de masse, la destruction des syndicats entraîne le durcissement des conditions de vie des salariés, touchant aussi bien les rémunérations que les conditions de travail[26] : la loi du 4 avril 1933 autorise le licenciement de tout employé communiste, de représentant social-démocrate ou de tout militant syndical sans préavis : tout salarié mal vu peut, à partir de la mise en application de cette loi, être licencié de façon arbitraire sans aucun moyen de défense[27]. Par delà la rhétorique mise en avant (chaque entreprise serait une communauté au sein de laquelle chacun aurait des droits et des devoirs), les dirigeants d'entreprise voient leurs pouvoirs renforcés[27].
Les salariés, après la dissolution des syndicats, doivent être inscrits au Front du Travail. Cette institution regroupe à la fois les salariés et leurs employeurs, régit les relations au travail, et se trouve placée sous la tutelle du ministère du Travail du Reich[28]. Confiées à des commissaires aux compétences territoriales élargies, les relations sociales sont dorénavant régies par le Führerprinzip, dans une rhétorique néoféodale, insistant sur la relation de dépendance du salarié envers son employeur
Si des groupes sociaux ont été floués ou matés en 1933-1934, d'autres, par contre, ont su tirer parti du nouveau cadre politique et institutionnel. En effet, après quelques incertitudes, notamment en raison d'actions violentes de la SA[36], le décret du 31 mai 1933[36], préparé lors d'une rencontre entre Adolf Hitler et des représentants des industriels allemands[37], lève toute ambiguïté sur la place dévolue aux représentants de l'industrie et des services dans la réorganisation nationale-socialiste. De plus, dès le 30 janvier, les intérêts privés, représentés par Hugenberg, sont fortement présents dans le gouvernement du Reich ; ils se voient renforcés par la nomination du Dr Schmitt, directeur général des assurances Allianz, et non d'un cadre du parti, au gouvernement[37].
Wikipedia
Les salariés, après la dissolution des syndicats, doivent être inscrits au Front du Travail. Cette institution regroupe à la fois les salariés et leurs employeurs, régit les relations au travail, et se trouve placée sous la tutelle du ministère du Travail du Reich[28]. Confiées à des commissaires aux compétences territoriales élargies, les relations sociales sont dorénavant régies par le Führerprinzip, dans une rhétorique néoféodale, insistant sur la relation de dépendance du salarié envers son employeur
Si des groupes sociaux ont été floués ou matés en 1933-1934, d'autres, par contre, ont su tirer parti du nouveau cadre politique et institutionnel. En effet, après quelques incertitudes, notamment en raison d'actions violentes de la SA[36], le décret du 31 mai 1933[36], préparé lors d'une rencontre entre Adolf Hitler et des représentants des industriels allemands[37], lève toute ambiguïté sur la place dévolue aux représentants de l'industrie et des services dans la réorganisation nationale-socialiste. De plus, dès le 30 janvier, les intérêts privés, représentés par Hugenberg, sont fortement présents dans le gouvernement du Reich ; ils se voient renforcés par la nomination du Dr Schmitt, directeur général des assurances Allianz, et non d'un cadre du parti, au gouvernement[37].
Wikipedia
T'as pris en compte la suite de la page comme quoi le chômage de masse a été littéralement ANNIHILÉ tu crois que c'est par magie ?
il y a un an
T'as pris en compte la suite de la page comme quoi le chômage de masse a été littéralement ANNIHILÉ tu crois que c'est par magie ?
Forcément quand tu vas à la guerre t'es plus au chômage ni quand t'es déporté ou mort
il y a un an
Forcément quand tu vas à la guerre t'es plus au chômage ni quand t'es déporté ou mort
1936 c'est pas la guerre, t'as jamais entendu parler du miracle économique allemand ?
il y a un an
1936 c'est pas la guerre, t'as jamais entendu parler du miracle économique allemand ?
Hitler se préparait déjà à la guerre dès 1933 il a fait repartir l'industrie d'armement
il y a un an
Hitler se préparait déjà à la guerre dès 1933 il a fait repartir l'industrie d'armement
Pas que l'armement, il a fait repartir toute l'Allemagne dans son ensemble alors que sa situation était désastreuse
il y a un an
Ils cassent pas les couilles pour rien mais pour défendre les travailleurs c'est pour ça qu'il les a fait déporté ou tuer
il y a un an
Pas que l'armement, il a fait repartir toute l'Allemagne dans son ensemble alors que sa situation était désastreuse
Oui pour la plonger dans la guerre
il y a un an