Ce sujet a été résolu
Litaire qui écrit des pavés etc alors qu'au final c'est juste que les hommes sont des hommes, trans ou pas et que tout le reste n'est que maladie mentale de dégénéré
I've lived a life that's full and more, much more than this, I did it my way.
il y a un an
Bah non mais la question mérite de se poser au regard des différences de performances sportives entre hommes et femmes biologiques.
Bah si lis cet article sur l'histoire des femmes dans les jo et el famoso test de féminité tu verras
https://usbeketrica.com/f[...]-categories-hommes-femmes
C’est dans les années 1930 que certaines sportives commencent à faire l’objet de remises en cause, en particulier lors d’épreuves d’athlétisme, en raison de morphologies jugées suspicieuses car trop « masculines ». Comme le rapporte Anaïs Bohuon dans une étude parue en 2008, on souligne à l’époque très explicitement ce qu’on leur reproche : « trop de muscles », des épaules « baraquées » ou « trop carrées », ou encore une pilosité « anormalement abondante »
C’est dans les années 1930 que certaines sportives commencent à faire l’objet de remises en cause, en particulier lors d’épreuves d’athlétisme, en raison de morphologies jugées suspicieuses car trop « masculines ». Comme le rapporte Anaïs Bohuon dans une étude parue en 2008, on souligne à l’époque très explicitement ce qu’on leur reproche : « trop de muscles », des épaules « baraquées » ou « trop carrées », ou encore une pilosité « anormalement abondante »
il y a un an
Jouhn_Ingroum
1 an
Litaire qui écrit des pavés etc alors qu'au final c'est juste que les hommes sont des hommes, trans ou pas et que tout le reste n'est que maladie mentale de dégénéré
C'est ça que tu penses litaire ?
il y a un an
En 1966, pour calmer les « soupçons » des médias et des dirigeants, le comité de la Fédération internationale d’athlétisme décide l’instauration d’un « test de féminité » dit test de Barr, du nom du généticien canadien M. L. Barr (1908–1995). Pratiqué sous l’égide des médecins, il est destiné à identifier les « vraies femmes » et, par là même, à exclure les athlètes qui ne seraient pas conformes à certains critères d’appartenance de sexe. Comme le souligne Le Monde à l’époque, ce test consiste à prélever, par frottements, les cellules de la région postérieure de la muqueuse buccale. « Ces cellules, lorsqu’elles proviennent d’un organisme (…) XX contiennent normalement des corpuscules particuliers, les corpuscules de Barr, que l’on peut facilement mettre en évidence par une coloration spéciale », écrit le quotidien en 1968.
Paradoxe qui ne manque pas de sel, grâce à ce dispositif supposé « neutre », certaines athlètes au physique considéré comme « masculin » obtiennent un certificat de féminité en bonne et due forme. À l’inverse, « d’autres athlètes répondant apparemment à tous les critères phénoménaux de la féminité sont (…) exclues de la compétition et doivent arrêter brutalement leur carrière, alors même que ce prétendu sexe authentique ne leur donne aucun avantage physique », apprend-on dans Catégorie dames. Critiqué pour son réductionnisme et sa faible fiabilité, le test est finalement abandonné en 1992
À partir des années 2000, il revient aux dosages hormonaux de trancher en cas de doute sur l’identité sexuée d’une concurrente. En 2009, la Fédération sud-africaine dépêche, sur ordre de l’IAAF, un gynécologue pour un prélèvement sanguin et un examen des parties génitales de la Caster Semenya, dont l’apparence est jugée « douteuse ». Après sa démonstration aux Mondiaux d’athlétisme de Berlin, l’IAAF ira jusqu’à conduire la Sud-Africaine dans un hôpital allemand pour un autre test de féminité plus poussé. Là encore sans fondement scientifique, comme l’a démontré, entre autres, Sheree Bekker, maître de conférences en santé au sein de l’université de Bath, en Angleterre.
« L’idée qu’il existe un taux de testostérone normal est trompeuse, car celui-ci varie considérablement d’une personne à l’autre, en particulier chez les athlètes. Personne n’a jamais démontré non plus qu’il s’agit de la “molécule reine” en athlétisme, [notamment en raison de] la sensibilité physiologique aux androgènes, qui détermine si le corps d’une personne peut ou non utiliser cette testostérone », nous explique la co-directrice du groupe de réflexion Feminist Sport Lab, qui publiera un livre sur le sujet en 2025. Dit autrement : à ce jour, aucun consensus scientifique international sur les effets de la testostérone ou de l’hormonothérapie sur les performances n’a été établi.
Paradoxe qui ne manque pas de sel, grâce à ce dispositif supposé « neutre », certaines athlètes au physique considéré comme « masculin » obtiennent un certificat de féminité en bonne et due forme. À l’inverse, « d’autres athlètes répondant apparemment à tous les critères phénoménaux de la féminité sont (…) exclues de la compétition et doivent arrêter brutalement leur carrière, alors même que ce prétendu sexe authentique ne leur donne aucun avantage physique », apprend-on dans Catégorie dames. Critiqué pour son réductionnisme et sa faible fiabilité, le test est finalement abandonné en 1992
À partir des années 2000, il revient aux dosages hormonaux de trancher en cas de doute sur l’identité sexuée d’une concurrente. En 2009, la Fédération sud-africaine dépêche, sur ordre de l’IAAF, un gynécologue pour un prélèvement sanguin et un examen des parties génitales de la Caster Semenya, dont l’apparence est jugée « douteuse ». Après sa démonstration aux Mondiaux d’athlétisme de Berlin, l’IAAF ira jusqu’à conduire la Sud-Africaine dans un hôpital allemand pour un autre test de féminité plus poussé. Là encore sans fondement scientifique, comme l’a démontré, entre autres, Sheree Bekker, maître de conférences en santé au sein de l’université de Bath, en Angleterre.
« L’idée qu’il existe un taux de testostérone normal est trompeuse, car celui-ci varie considérablement d’une personne à l’autre, en particulier chez les athlètes. Personne n’a jamais démontré non plus qu’il s’agit de la “molécule reine” en athlétisme, [notamment en raison de] la sensibilité physiologique aux androgènes, qui détermine si le corps d’une personne peut ou non utiliser cette testostérone », nous explique la co-directrice du groupe de réflexion Feminist Sport Lab, qui publiera un livre sur le sujet en 2025. Dit autrement : à ce jour, aucun consensus scientifique international sur les effets de la testostérone ou de l’hormonothérapie sur les performances n’a été établi.
il y a un an
C'est pas une réponse quand elle lui demande de préciser il dit je sais pas
si il dit "any jobs"
Maybe I just want to maybe...
il y a un an
si il dit "any jobs"
Oui oui c'est ça c'est toujours pas une réponse les journalistes se sont foutus de sa gueule
il y a un an
L’idée qu’il existe un taux de testostérone normal est trompeuse, car celui-ci varie considérablement d’une personne à l’autre, en particulier chez les athlètes. Personne n’a jamais démontré non plus qu’il s’agit de la “molécule reine” en athlétisme, [notamment en raison de] la sensibilité physiologique aux androgènes
il y a un an
tu penses quoi de la fille qui interviewe ?
Oklm il te traite de taraxent ta réaction ?
il y a un an
Bah si lis cet article sur l'histoire des femmes dans les jo et el famoso test de féminité tu verras
https://usbeketrica.com/f[...]-categories-hommes-femmes
C’est dans les années 1930 que certaines sportives commencent à faire l’objet de remises en cause, en particulier lors d’épreuves d’athlétisme, en raison de morphologies jugées suspicieuses car trop « masculines ». Comme le rapporte Anaïs Bohuon dans une étude parue en 2008, on souligne à l’époque très explicitement ce qu’on leur reproche : « trop de muscles », des épaules « baraquées » ou « trop carrées », ou encore une pilosité « anormalement abondante »
C’est dans les années 1930 que certaines sportives commencent à faire l’objet de remises en cause, en particulier lors d’épreuves d’athlétisme, en raison de morphologies jugées suspicieuses car trop « masculines ». Comme le rapporte Anaïs Bohuon dans une étude parue en 2008, on souligne à l’époque très explicitement ce qu’on leur reproche : « trop de muscles », des épaules « baraquées » ou « trop carrées », ou encore une pilosité « anormalement abondante »
Si on abolit les catégorie Homme /Femme les champions seront full hommes cis dans plein de disciplines.
Y'a juste à regarder par exemple les records en athlétisme (par exemple au 100 m les hommes en très haut niveau courent sous les 10 secondes alors qu'aucune femme n'est passée sous les 10 secondes le record est de 10s49 avec une forte suspicion de dopage) ou en natation selon le sexe après y'en a qui disent que c'est culturel mais j'y crois pas une seconde
Bah oui y'a des femmes biologiques qui sont beaucoup plus robustes que la moyenne féminine qu'elles aient ou non une anomalie du développement sexuel mais y'a aussi le cas d'hommes qui se sont travesti pour concourir chez les femmes
Y'a juste à regarder par exemple les records en athlétisme (par exemple au 100 m les hommes en très haut niveau courent sous les 10 secondes alors qu'aucune femme n'est passée sous les 10 secondes le record est de 10s49 avec une forte suspicion de dopage) ou en natation selon le sexe après y'en a qui disent que c'est culturel mais j'y crois pas une seconde
Bah oui y'a des femmes biologiques qui sont beaucoup plus robustes que la moyenne féminine qu'elles aient ou non une anomalie du développement sexuel mais y'a aussi le cas d'hommes qui se sont travesti pour concourir chez les femmes
Je suis le donut du forum
il y a un an
Certains mec sont largement au dessus des autres peut être qu'il faudrait faire des catégories entre les mec moins bon et les moins fort tu en penses quoi ?
il y a un an
Le bon sens c'est toi qui te prends pour un ayren Gengis ?
il y a un an
C'est ça que tu penses litaire ?
C'est un peu plus compliqué que ça avec les anomalies de la différenciation sexuelle...
Je suis le donut du forum
il y a un an
Si on abolit les catégorie Homme /Femme les champions seront full hommes cis dans plein de disciplines.
Y'a juste à regarder par exemple les records en athlétisme (par exemple au 100 m les hommes en très haut niveau courent sous les 10 secondes alors qu'aucune femme n'est passée sous les 10 secondes le record est de 10s49 avec une forte suspicion de dopage) ou en natation selon le sexe après y'en a qui disent que c'est culturel mais j'y crois pas une seconde
Bah oui y'a des femmes biologiques qui sont beaucoup plus robustes que la moyenne féminine qu'elles aient ou non une anomalie du développement sexuel mais y'a aussi le cas d'hommes qui se sont travesti pour concourir chez les femmes
Y'a juste à regarder par exemple les records en athlétisme (par exemple au 100 m les hommes en très haut niveau courent sous les 10 secondes alors qu'aucune femme n'est passée sous les 10 secondes le record est de 10s49 avec une forte suspicion de dopage) ou en natation selon le sexe après y'en a qui disent que c'est culturel mais j'y crois pas une seconde
Bah oui y'a des femmes biologiques qui sont beaucoup plus robustes que la moyenne féminine qu'elles aient ou non une anomalie du développement sexuel mais y'a aussi le cas d'hommes qui se sont travesti pour concourir chez les femmes
Lis la suite avant de poster
il y a un an
C'est un peu plus compliqué que ça avec les anomalies de la différenciation sexuelle...
Ah bon tu voudrais dire que jounh raconte n'importe quoi en depient de la science comme d'habitude ?
il y a un an