Salut les saturniens
Je regarde Hanyo ce soir.
Je reprends un peu plus activement. J'avais mal à la tête ces derniers jours.
Je regarde Hanyo ce soir.
Je reprends un peu plus activement. J'avais mal à la tête ces derniers jours.
Ayaaaa. Je viens de finir le film. J'ai adoré.
C'était bien long mais bien glauque a souhait.
Y'a tellement a dire. Il a inspiré tellement de films !!
Génial.
C'était bien long mais bien glauque a souhait.
Y'a tellement a dire. Il a inspiré tellement de films !!
Génial.
Il était vraiment excellent le film Hanyo suggéré par @tapukoko
Mais le truc, c'est qu'il a tout pour agacer. C'est totalement paradoxal.
Ma critique est complètement ECLATAX et contient plein de spoils
J'en veux pour exemple.
Les acteurs qui en font des tonnes, qui jouent en regardant à côté avec une énorme dramaturgie. C'est un jeu totalement surrané.
Quand ils se mettent au sol pour chialer, ça m'a autant exaspéré que ça m'a fait rire ! C'est kitsch à souhait.
Mais qu'est ce que j'ai trouvé ça drôle.
Cette foutue mort au rat que tout le monde va manipuler dans le placard de la cuisine.
Ils ouvrent chaque porte du placard avant de tomber sur cette même foutue place où elle a toujours été rangée.
Personne ne pense à la planquer ailleurs ?
Personne ne se rappelle qu'elle est toujours dans la troisième porte en partant de la gauche ?
J'ai adoré cette séquence où ils ouvrent les portes avant de la regarder,fascinés.
NE BOIS PAS CETTE EAU ! ELLE A MIS DU POISON !
Mais pourquoi tu t'en sers pas toi même ?
Pourquoi tu te débarrasses pas de cette putain de folle ?
La mère de famille qui est une totale PNJ et qui ne pense qu'à faire sa putain de couture pendant que tout part à volo dans la barraque.
Son gosse vient de mourir ? Pas grave. Pas de scandale ! On va refaire un peu de couture et ça repart comme en 40.
En passant j'ai adoré la mort de Chang-Soo, le gamin. C'est horrible de dire ça ! Mais qu'est ce qu'il était chiant putain. J'avais envie de le frapper à chaque instant.
La maison est vraiment l'élément central de tout le film. Elle rend tout le monde ZINZIN.
Cette barraque est anxiogène à souhait. Elle rend tout le monde fou, personne ne réagit, les situations sont totalement hallucinantes mais personne n'ose en partir.
Tout le monde accepte son sort.
Le film fait croire que c'est la conduite adultère de l'homme qui mène à sa perte, mais moi j'y vois la maison qui représente le symbole du cocon familial et qu'ils ont peur de perdre. Il dit d'ailleurs dans le film " moi je voulais un appartement". Il s'est ruiné, a du dispenser des cours, de son côté elle se tue au travail, justement pour la conserver.
Ca m'a beaucoup fait penser au film 2 SOEURS.
La maison était étouffante, tout le monde était fou, personne ne réagissait.
C'est un film qu'il faut voir au moins 2 fois car on comprend le pourquoi du comment à la fin du film.
https://www.allocine.fr/f[...]film_gen_cfilm=54013.html
La servante prend la place de la maîtresse de maison.
Elle tue le gamin, elle vole le mari, elle élimine ses concurrentes.
Elle est CREEPY. Je pense qu'elle a dû inspirer l'image de la femme folle aux longs cheveux noirs qui ont des raisonnements totalement absurdes et qui font flipper tout le monde dans les films asiatiques.
C'est à cause de cette maison que tout arrive. Elle représente l'accomplissement que la femme désirait autant et qui mène tout le monde à sa perte.
J'ai beaucoup moins aimé la fin moraliste qui ne sert à rien.
Ce film aurait être pu perdu à tout jamais. Il a été restauré et ça se voit (quelques passages sont de mauvaises qualités).
Mais quelle chance de l'avoir vu.
Il ne laisse pas indifférent. Il rend zinzin
Mais le truc, c'est qu'il a tout pour agacer. C'est totalement paradoxal.
Ma critique est complètement ECLATAX et contient plein de spoils
J'en veux pour exemple.
Les acteurs qui en font des tonnes, qui jouent en regardant à côté avec une énorme dramaturgie. C'est un jeu totalement surrané.
Quand ils se mettent au sol pour chialer, ça m'a autant exaspéré que ça m'a fait rire ! C'est kitsch à souhait.
Mais qu'est ce que j'ai trouvé ça drôle.
Cette foutue mort au rat que tout le monde va manipuler dans le placard de la cuisine.
Ils ouvrent chaque porte du placard avant de tomber sur cette même foutue place où elle a toujours été rangée.
Personne ne pense à la planquer ailleurs ?
Personne ne se rappelle qu'elle est toujours dans la troisième porte en partant de la gauche ?
J'ai adoré cette séquence où ils ouvrent les portes avant de la regarder,fascinés.
NE BOIS PAS CETTE EAU ! ELLE A MIS DU POISON !
Mais pourquoi tu t'en sers pas toi même ?
Pourquoi tu te débarrasses pas de cette putain de folle ?
La mère de famille qui est une totale PNJ et qui ne pense qu'à faire sa putain de couture pendant que tout part à volo dans la barraque.
Son gosse vient de mourir ? Pas grave. Pas de scandale ! On va refaire un peu de couture et ça repart comme en 40.
En passant j'ai adoré la mort de Chang-Soo, le gamin. C'est horrible de dire ça ! Mais qu'est ce qu'il était chiant putain. J'avais envie de le frapper à chaque instant.
La maison est vraiment l'élément central de tout le film. Elle rend tout le monde ZINZIN.
Cette barraque est anxiogène à souhait. Elle rend tout le monde fou, personne ne réagit, les situations sont totalement hallucinantes mais personne n'ose en partir.
Tout le monde accepte son sort.
Le film fait croire que c'est la conduite adultère de l'homme qui mène à sa perte, mais moi j'y vois la maison qui représente le symbole du cocon familial et qu'ils ont peur de perdre. Il dit d'ailleurs dans le film " moi je voulais un appartement". Il s'est ruiné, a du dispenser des cours, de son côté elle se tue au travail, justement pour la conserver.
Ca m'a beaucoup fait penser au film 2 SOEURS.
La maison était étouffante, tout le monde était fou, personne ne réagissait.
C'est un film qu'il faut voir au moins 2 fois car on comprend le pourquoi du comment à la fin du film.
La servante prend la place de la maîtresse de maison.
Elle tue le gamin, elle vole le mari, elle élimine ses concurrentes.
Elle est CREEPY. Je pense qu'elle a dû inspirer l'image de la femme folle aux longs cheveux noirs qui ont des raisonnements totalement absurdes et qui font flipper tout le monde dans les films asiatiques.
C'est à cause de cette maison que tout arrive. Elle représente l'accomplissement que la femme désirait autant et qui mène tout le monde à sa perte.
J'ai beaucoup moins aimé la fin moraliste qui ne sert à rien.
Ce film aurait être pu perdu à tout jamais. Il a été restauré et ça se voit (quelques passages sont de mauvaises qualités).
Mais quelle chance de l'avoir vu.
Il ne laisse pas indifférent. Il rend zinzin
Salut khey.
Salut @Cendres également.
Pas de soucis. C'est pas une course ! Le club c'est avant tout des découvertes.
Mais bordel j'ai vraiment bein aimé Hanyo. Il ne laisse pas indifférent.
Certains le trouveront long et chiant, d'autres hypnotiques.
Quand un film te fait connaître autant d'émotions c'est qu'il a vraiment quelque chose de captivant.
Cette longue descente aux enfers.
Y'a vraiment que les films coréens pour arriver à créer un climat aussi malsain.
Salut @Cendres également.
Pas de soucis. C'est pas une course ! Le club c'est avant tout des découvertes.
Mais bordel j'ai vraiment bein aimé Hanyo. Il ne laisse pas indifférent.
Certains le trouveront long et chiant, d'autres hypnotiques.
Quand un film te fait connaître autant d'émotions c'est qu'il a vraiment quelque chose de captivant.
Cette longue descente aux enfers.
Y'a vraiment que les films coréens pour arriver à créer un climat aussi malsain.
Bon, c'est ok pour la Servante et je me joins à la critique de @Lulu
C'est un film complètement borderline ou on ressens le poids de la tradition, tout est sujet à être un drame inexorable au point où les 30 dernière minutes, t'a juste l'impression de regarder des fous évoluer dans la maison
Ça fait très dramaturge, la mort ou la honte, les non-dits des divers sacrifices de chacun
Je suis assez partagé, c'est pas une question de dire que c'est bien ou pas bien, c'est plus le côté inexorable du film en lui même,le mal s'insinue et quelque part tout le monde le subis sans vraiment essayé de s'en débarrasser, même le père renonce à la tuer
Il y a un côté "honneur" qui dépasse tout, la famille, l'amour, la vie
Bien sûr, regarder ça d'un regard extérieur fait que tu posera forcément des questions sur le pourquoi ? Le comment ? pourquoi ils l'élimine pas plus simplement ?
Je pense pas que ça puisse laisser indifférent tellement c'est cinglé quelque part
Ça pète même le quatrième mur a la fin avec l'acteur du père qui s'adresse directement à la personne qui regarde avec une morale un peu daté
Faut bien comprendre que c'est un contexte bien particulier aussi et que ça a dû servir a beaucoup d'imaginaires fertiles derrière comme un film fondateur
Franchement, c'était a voir même si plus de 60 ans après, il se peut que certaines situations paraissent un peu trop folles pour être comprises
C'est un film complètement borderline ou on ressens le poids de la tradition, tout est sujet à être un drame inexorable au point où les 30 dernière minutes, t'a juste l'impression de regarder des fous évoluer dans la maison
Ça fait très dramaturge, la mort ou la honte, les non-dits des divers sacrifices de chacun
Je suis assez partagé, c'est pas une question de dire que c'est bien ou pas bien, c'est plus le côté inexorable du film en lui même,le mal s'insinue et quelque part tout le monde le subis sans vraiment essayé de s'en débarrasser, même le père renonce à la tuer
Il y a un côté "honneur" qui dépasse tout, la famille, l'amour, la vie
Bien sûr, regarder ça d'un regard extérieur fait que tu posera forcément des questions sur le pourquoi ? Le comment ? pourquoi ils l'élimine pas plus simplement ?
Je pense pas que ça puisse laisser indifférent tellement c'est cinglé quelque part
Ça pète même le quatrième mur a la fin avec l'acteur du père qui s'adresse directement à la personne qui regarde avec une morale un peu daté
Faut bien comprendre que c'est un contexte bien particulier aussi et que ça a dû servir a beaucoup d'imaginaires fertiles derrière comme un film fondateur
Franchement, c'était a voir même si plus de 60 ans après, il se peut que certaines situations paraissent un peu trop folles pour être comprises
Bon, c'est ok pour la Servante et je me joins à la critique de @Lulu
C'est un film complètement borderline ou on ressens le poids de la tradition, tout est sujet à être un drame inexorable au point où les 30 dernière minutes, t'a juste l'impression de regarder des fous évoluer dans la maison
Ça fait très dramaturge, la mort ou la honte, les non-dits des divers sacrifices de chacun
Je suis assez partagé, c'est pas une question de dire que c'est bien ou pas bien, c'est plus le côté inexorable du film en lui même,le mal s'insinue et quelque part tout le monde le subis sans vraiment essayé de s'en débarrasser, même le père renonce à la tuer
Il y a un côté "honneur" qui dépasse tout, la famille, l'amour, la vie
Bien sûr, regarder ça d'un regard extérieur fait que tu posera forcément des questions sur le pourquoi ? Le comment ? pourquoi ils l'élimine pas plus simplement ?
Je pense pas que ça puisse laisser indifférent tellement c'est cinglé quelque part
Ça pète même le quatrième mur a la fin avec l'acteur du père qui s'adresse directement à la personne qui regarde avec une morale un peu daté
Faut bien comprendre que c'est un contexte bien particulier aussi et que ça a dû servir a beaucoup d'imaginaires fertiles derrière comme un film fondateur
Franchement, c'était a voir même si plus de 60 ans après, il se peut que certaines situations paraissent un peu trop folles pour être comprises
C'est un film complètement borderline ou on ressens le poids de la tradition, tout est sujet à être un drame inexorable au point où les 30 dernière minutes, t'a juste l'impression de regarder des fous évoluer dans la maison
Ça fait très dramaturge, la mort ou la honte, les non-dits des divers sacrifices de chacun
Je suis assez partagé, c'est pas une question de dire que c'est bien ou pas bien, c'est plus le côté inexorable du film en lui même,le mal s'insinue et quelque part tout le monde le subis sans vraiment essayé de s'en débarrasser, même le père renonce à la tuer
Il y a un côté "honneur" qui dépasse tout, la famille, l'amour, la vie
Bien sûr, regarder ça d'un regard extérieur fait que tu posera forcément des questions sur le pourquoi ? Le comment ? pourquoi ils l'élimine pas plus simplement ?
Je pense pas que ça puisse laisser indifférent tellement c'est cinglé quelque part
Ça pète même le quatrième mur a la fin avec l'acteur du père qui s'adresse directement à la personne qui regarde avec une morale un peu daté
Faut bien comprendre que c'est un contexte bien particulier aussi et que ça a dû servir a beaucoup d'imaginaires fertiles derrière comme un film fondateur
Franchement, c'était a voir même si plus de 60 ans après, il se peut que certaines situations paraissent un peu trop folles pour être comprises
CC @tapukoko
Franchement j'ai pas regretté le visionnage.
Il y a la scène ou la servante pète un câble et se traîne comme une larve dans l'escalier en suppliant la femme de l'aider. Elle demande de l'aide à son mari qui ne réagit pas, fait semblant de rien entendre et va jusqu'à l'ignorer alors qu'il entend les cris et les supplications.
Cette scène + la scène où la femme continue de coudre alors que son fils vient de mourir, que sa fille se fait menacer sous ses yeux, que son mari continue les leçons de piano comme si de rien n'était.
C'est vraiment deux scènes qui mettent en exergue le poids de l'honneur qu'il faut à tout prix garder dans les familles traditionnelles.
Je ne sais pas pourquoi, mais je suis persuadé que c'est beaucoup plus répandu qu'on ne le pense. Il y a eu tellement de faits divers où des familles étaient explosées mais elles continuaient de faire semblant une fois la porte fermée chez eux pour sauver les apparences.
C'est parce que je trouve ça tellement réaliste que j'oublie tout l'aspect " mais WTF, virez moi cette dingue "
Il y a un évènement que l'on oublie vite, c'est le suicide au début du film.
Le mari est un chad, et toutes les jeunes femmes lui tournent autour.
Il est vraiment effrayé par le poids du déshonneur, et par extension, toute sa famille.
Franchement j'ai pas regretté le visionnage.
Il y a la scène ou la servante pète un câble et se traîne comme une larve dans l'escalier en suppliant la femme de l'aider. Elle demande de l'aide à son mari qui ne réagit pas, fait semblant de rien entendre et va jusqu'à l'ignorer alors qu'il entend les cris et les supplications.
Cette scène + la scène où la femme continue de coudre alors que son fils vient de mourir, que sa fille se fait menacer sous ses yeux, que son mari continue les leçons de piano comme si de rien n'était.
C'est vraiment deux scènes qui mettent en exergue le poids de l'honneur qu'il faut à tout prix garder dans les familles traditionnelles.
Je ne sais pas pourquoi, mais je suis persuadé que c'est beaucoup plus répandu qu'on ne le pense. Il y a eu tellement de faits divers où des familles étaient explosées mais elles continuaient de faire semblant une fois la porte fermée chez eux pour sauver les apparences.
C'est parce que je trouve ça tellement réaliste que j'oublie tout l'aspect " mais WTF, virez moi cette dingue "
Il y a un évènement que l'on oublie vite, c'est le suicide au début du film.
Le mari est un chad, et toutes les jeunes femmes lui tournent autour.
Il est vraiment effrayé par le poids du déshonneur, et par extension, toute sa famille.
Je regarderai les yeux sans visage demain. Je l'ai ddl. Merci YGG, car je me demande comment on ferait.
CC @tapukoko
Franchement j'ai pas regretté le visionnage.
Il y a la scène ou la servante pète un câble et se traîne comme une larve dans l'escalier en suppliant la femme de l'aider. Elle demande de l'aide à son mari qui ne réagit pas, fait semblant de rien entendre et va jusqu'à l'ignorer alors qu'il entend les cris et les supplications.
Cette scène + la scène où la femme continue de coudre alors que son fils vient de mourir, que sa fille se fait menacer sous ses yeux, que son mari continue les leçons de piano comme si de rien n'était.
C'est vraiment deux scènes qui mettent en exergue le poids de l'honneur qu'il faut à tout prix garder dans les familles traditionnelles.
Je ne sais pas pourquoi, mais je suis persuadé que c'est beaucoup plus répandu qu'on ne le pense. Il y a eu tellement de faits divers où des familles étaient explosées mais elles continuaient de faire semblant une fois la porte fermée chez eux pour sauver les apparences.
C'est parce que je trouve ça tellement réaliste que j'oublie tout l'aspect " mais WTF, virez moi cette dingue "
Il y a un évènement que l'on oublie vite, c'est le suicide au début du film.
Le mari est un chad, et toutes les jeunes femmes lui tournent autour.
Il est vraiment effrayé par le poids du déshonneur, et par extension, toute sa famille.
Franchement j'ai pas regretté le visionnage.
Il y a la scène ou la servante pète un câble et se traîne comme une larve dans l'escalier en suppliant la femme de l'aider. Elle demande de l'aide à son mari qui ne réagit pas, fait semblant de rien entendre et va jusqu'à l'ignorer alors qu'il entend les cris et les supplications.
Cette scène + la scène où la femme continue de coudre alors que son fils vient de mourir, que sa fille se fait menacer sous ses yeux, que son mari continue les leçons de piano comme si de rien n'était.
C'est vraiment deux scènes qui mettent en exergue le poids de l'honneur qu'il faut à tout prix garder dans les familles traditionnelles.
Je ne sais pas pourquoi, mais je suis persuadé que c'est beaucoup plus répandu qu'on ne le pense. Il y a eu tellement de faits divers où des familles étaient explosées mais elles continuaient de faire semblant une fois la porte fermée chez eux pour sauver les apparences.
C'est parce que je trouve ça tellement réaliste que j'oublie tout l'aspect " mais WTF, virez moi cette dingue "
Il y a un évènement que l'on oublie vite, c'est le suicide au début du film.
Le mari est un chad, et toutes les jeunes femmes lui tournent autour.
Il est vraiment effrayé par le poids du déshonneur, et par extension, toute sa famille.
Ah mais clairement, franchement, ça se regarde super bien
Après je vois un bémol, c'est la fin, c'est sujet a interprétation
et avec cette lecture, on peut sûrement mieux comprendre le délire qu'est le film, parce qu'à froid, ben, ça reste fou comme film, c'est une drôle d'expérience, une bonne découverte avec quand même de la consternation quand tu vois a quel point tout se disloque avec facilité
Après j'imagine même pas a quel point ça a été copié, réinterprété a d'autres sauces, par exemple, malgré mon manque de culture cinématographique, j'arrête pas de penser a "Borgman" ou a "Mise a mort du cerf sacré"
c'est pas avec une servante mais tu es clairement dans l'arrivée d'un intrus qui va redéfinir le concept de famille dans le mauvais sens
Voilà, voilà, bon, je vais regarder les 55 jours de Pékin dans la soirée et les yeux sans visage sûrement plus tard et après, ba, j'ai quelques propositions
Histoire d'avoir ton avis, je pense a Placido et Onibaba, Placido, il a l'air assez chiant a avoir sur Ygg
Tu valides ce que tu as envie et tu me dis s'il faut creuser certains domaines, histoire d'éviter de proposer des films cinglés a chaque fois
Après je vois un bémol, c'est la fin, c'est sujet a interprétation
pour moi, la mère lit un fait divers dans le journal et quelque part, vu qu'elle veut pas que ça se reproduise chez elle, elle surveille et s'arrange pour que son mari fréquente au minimum la servante ( le passage " employer une jeune servante, c'est comme mettre le loup dans la bergerie"
et avec cette lecture, on peut sûrement mieux comprendre le délire qu'est le film, parce qu'à froid, ben, ça reste fou comme film, c'est une drôle d'expérience, une bonne découverte avec quand même de la consternation quand tu vois a quel point tout se disloque avec facilité
Après j'imagine même pas a quel point ça a été copié, réinterprété a d'autres sauces, par exemple, malgré mon manque de culture cinématographique, j'arrête pas de penser a "Borgman" ou a "Mise a mort du cerf sacré"
c'est pas avec une servante mais tu es clairement dans l'arrivée d'un intrus qui va redéfinir le concept de famille dans le mauvais sens
Voilà, voilà, bon, je vais regarder les 55 jours de Pékin dans la soirée et les yeux sans visage sûrement plus tard et après, ba, j'ai quelques propositions
Histoire d'avoir ton avis, je pense a Placido et Onibaba, Placido, il a l'air assez chiant a avoir sur Ygg
Tu valides ce que tu as envie et tu me dis s'il faut creuser certains domaines, histoire d'éviter de proposer des films cinglés a chaque fois
J'ai regardé hier Les yeux sans visage
C'est un film d'horreur français. C'est plutôt inhabituel de dire ça.
Contre toute attente, j'ai apprécié le visionnage.
Le reste de mon message contient des spoils.
Ce n'est pas un film extraordinaire, mais il n'est pas non plus mauvais. Je n'ai ni aimé avec passion, ni détesté.
C'est là où je me rends compte que des films comme Hanyo restent des grands films car ils déclenchent beaucoup de débats et de critiques. Ce n'est pas vraiment le cas ici.
Je l'ai regardé un peu comme l'on regarde un livre d'images.
Un médecin kidnappe des jeunes femmes pour rendre son visage à sa fille, défigurée dans un accident de voiture.
Il n'y a rien d'autres à dire.
L'histoire est facilement compréhensible, il y a peu de suspense et peu d'attentes concernant les scènes.
On comprend comment tout ça va se finir. Donc vraiment peu surprenant au niveau de l'intrigue.
Quelques scènes de tensions avec la découpe du visage ou lorsque le masque de la jeune femme est enlevé.
Mais l'effet horreur est absent, il n'est pas convaincant.
Pierre Brasseur est convaincant dans son rôle de père prêt à tout pour sa fille et de médecin obstiné.
Je ne sais pas si c'est moi, mais j'ai trouvé qu'il y avait peu de dialogues. C'est plus une succession de plans plus ou moins longs où l'on découvre les lieux dans lesquels évoluent les personnages comme la maison, le sous-sol, le chenil, la clinique, etc.
La musique de l'enlèvement des jeunes fille m'a tapé sur les nerfs et m'a fait rire en même temps
C'est le côté rituel, comme pour Dexter, qui est mis en avant.
Superbe scène de fin. C'est mon passage préféré du film.
C'est un film d'horreur français. C'est plutôt inhabituel de dire ça.
Contre toute attente, j'ai apprécié le visionnage.
Le reste de mon message contient des spoils.
Ce n'est pas un film extraordinaire, mais il n'est pas non plus mauvais. Je n'ai ni aimé avec passion, ni détesté.
C'est là où je me rends compte que des films comme Hanyo restent des grands films car ils déclenchent beaucoup de débats et de critiques. Ce n'est pas vraiment le cas ici.
Je l'ai regardé un peu comme l'on regarde un livre d'images.
Un médecin kidnappe des jeunes femmes pour rendre son visage à sa fille, défigurée dans un accident de voiture.
Il n'y a rien d'autres à dire.
L'histoire est facilement compréhensible, il y a peu de suspense et peu d'attentes concernant les scènes.
On comprend comment tout ça va se finir. Donc vraiment peu surprenant au niveau de l'intrigue.
Quelques scènes de tensions avec la découpe du visage ou lorsque le masque de la jeune femme est enlevé.
Mais l'effet horreur est absent, il n'est pas convaincant.
Pierre Brasseur est convaincant dans son rôle de père prêt à tout pour sa fille et de médecin obstiné.
Je ne sais pas si c'est moi, mais j'ai trouvé qu'il y avait peu de dialogues. C'est plus une succession de plans plus ou moins longs où l'on découvre les lieux dans lesquels évoluent les personnages comme la maison, le sous-sol, le chenil, la clinique, etc.
La musique de l'enlèvement des jeunes fille m'a tapé sur les nerfs et m'a fait rire en même temps
C'est le côté rituel, comme pour Dexter, qui est mis en avant.
Superbe scène de fin. C'est mon passage préféré du film.
Mes maux de tête reprennent.
Je proposerai deux films dès que cette migraine sera passée.
En tout cas je ne regrette pas l'idée du club. Je m'amuse comme un p'tit fou avec les visionnages du passé.
Je proposerai deux films dès que cette migraine sera passée.
En tout cas je ne regrette pas l'idée du club. Je m'amuse comme un p'tit fou avec les visionnages du passé.
Mes maux de tête reprennent.
Je proposerai deux films dès que cette migraine sera passée.
En tout cas je ne regrette pas l'idée du club. Je m'amuse comme un p'tit fou avec les visionnages du passé.
Je proposerai deux films dès que cette migraine sera passée.
En tout cas je ne regrette pas l'idée du club. Je m'amuse comme un p'tit fou avec les visionnages du passé.
Mais t'a quel âge putain ?
On se verra à la fête Richter !
on s'inscrit où ?
Salut khey
Bienvenue sur le topax.
L'accès au SCC est libre.
Tu peux rejoindre le train en marche.
En ce moment nous sommes sur la deuxième thématique : celle des années 60.
https://onche.org/topic/4[...]re-club/8#message_8424011
Des films ont été proposés.
Le but c'est de les regarder et tu peux également en proposer.
Nous les prenons sur YGG, le seul site où l'on peut les pêcher.
Il n'y a pas de limite de temps, pas d'obligations.
Le but c'est d'enrichir sa culture cinématographique en regardant des films que l'on aurait jamais pensé regarder.
Bienvenue sur le topax.
L'accès au SCC est libre.
Tu peux rejoindre le train en marche.
En ce moment nous sommes sur la deuxième thématique : celle des années 60.
Des films ont été proposés.
Le but c'est de les regarder et tu peux également en proposer.
Nous les prenons sur YGG, le seul site où l'on peut les pêcher.
Il n'y a pas de limite de temps, pas d'obligations.
Le but c'est d'enrichir sa culture cinématographique en regardant des films que l'on aurait jamais pensé regarder.
Je propose également un film que j'ai toujours voulu voir : Rosemary's baby.
De Roman Polanski.
Ce film a énormément impacté la culture populaire. Beaucoup d'artistes ou de groupes en ont fait référence.
Qualifié comme un chef d'oeuvre.
Rosemary's baby. Drame, Epouvante-horreur, Thriller.
Malgré les conseils de leur vieil ami Hutch, Guy Woodhouse et sa jeune femme, enceinte, s'installent dans un immeuble new-yorkais vétuste, considéré par leur ami comme une demeure maléfique. Aussitôt, leurs voisins, Minnie et Roman Castevet, vieux couple d'Europe centrale, imposent leur amitié et leurs services. Si Guy accepte facilement ce voisinage, Rosemary s'en inquiète...
De Roman Polanski.
Ce film a énormément impacté la culture populaire. Beaucoup d'artistes ou de groupes en ont fait référence.
Qualifié comme un chef d'oeuvre.
Rosemary's baby. Drame, Epouvante-horreur, Thriller.
Malgré les conseils de leur vieil ami Hutch, Guy Woodhouse et sa jeune femme, enceinte, s'installent dans un immeuble new-yorkais vétuste, considéré par leur ami comme une demeure maléfique. Aussitôt, leurs voisins, Minnie et Roman Castevet, vieux couple d'Europe centrale, imposent leur amitié et leurs services. Si Guy accepte facilement ce voisinage, Rosemary s'en inquiète...
Bonsoir mes kheys, je vais proposer un film pour ma première fois :
...et pour quelques dollars de plus - Sergio Leone - 1965 - Western
Vous connaissez sans doute Le Bon, La Brute et Le Truand, avec le magnifique Clint Eastwood, qui joue avec le ténébreux Lee Van Cleef, vous les retrouverez ici en compagnie de Gian Maria Volontè
L'histoire de chasse à l'homme, de chasse aux primes et surtout, d'une vengeance, d'un frère qui cherche à châtier le meurtrier de sa sœur.
Avec la musique d'Ennio Morricone, ce chef d'oeuvre est souvent mésestimé, en comparaison du bon, la brute et le truand, qui lui a volé la vedette.
...et pour quelques dollars de plus - Sergio Leone - 1965 - Western
Vous connaissez sans doute Le Bon, La Brute et Le Truand, avec le magnifique Clint Eastwood, qui joue avec le ténébreux Lee Van Cleef, vous les retrouverez ici en compagnie de Gian Maria Volontè
L'histoire de chasse à l'homme, de chasse aux primes et surtout, d'une vengeance, d'un frère qui cherche à châtier le meurtrier de sa sœur.
Avec la musique d'Ennio Morricone, ce chef d'oeuvre est souvent mésestimé, en comparaison du bon, la brute et le truand, qui lui a volé la vedette.
Bonsoir mes kheys, je vais proposer un film pour ma première fois :
...et pour quelques dollars de plus - Sergio Leone - 1965 - Western
Vous connaissez sans doute Le Bon, La Brute et Le Truand, avec le magnifique Clint Eastwood, qui joue avec le ténébreux Lee Van Cleef, vous les retrouverez ici en compagnie de Gian Maria Volontè
L'histoire de chasse à l'homme, de chasse aux primes et surtout, d'une vengeance, d'un frère qui cherche à châtier le meurtrier de sa sœur.
Avec la musique d'Ennio Morricone, ce chef d'oeuvre est souvent mésestimé, en comparaison du bon, la brute et le truand, qui lui a volé la vedette.
...et pour quelques dollars de plus - Sergio Leone - 1965 - Western
Vous connaissez sans doute Le Bon, La Brute et Le Truand, avec le magnifique Clint Eastwood, qui joue avec le ténébreux Lee Van Cleef, vous les retrouverez ici en compagnie de Gian Maria Volontè
L'histoire de chasse à l'homme, de chasse aux primes et surtout, d'une vengeance, d'un frère qui cherche à châtier le meurtrier de sa sœur.
Avec la musique d'Ennio Morricone, ce chef d'oeuvre est souvent mésestimé, en comparaison du bon, la brute et le truand, qui lui a volé la vedette.
@Blondin , c'est pour toi