Ce sujet a été résolu
Ça fait très lyrique, sûrement une transposition mot pour mot de la tragédie de Shakespeare
L'homme en noir dans Kamelot, c'est pas le Méléagant ? possible que je me trompe mais c'est sa désignation justement: l'homme en noir
L'homme en noir dans Kamelot, c'est pas le Méléagant ? possible que je me trompe mais c'est sa désignation justement: l'homme en noir
il y a un an
Après Othello
Je vais enchaîner avec le 7ème sceau. Le dernier film en date proposé par le Saturne Culture Club.
Le film est considéré comme un classique du cinéma mondial, ainsi que l'un des plus grands films de tous les temps. Il a établi Bergman en tant que réalisateur de renommée mondiale, contenant des scènes qui sont devenues emblématiques grâce aux hommages, à l'analyse critique et aux parodies.
Le Septième Sceau est un film ouvertement métaphysique. Le cinéaste y pose de manière très explicite la question de l'existence de Dieu et du sens à donner à la vie. Ces thématiques se retrouvent dans une très grande partie de l'oeuvre du cinéaste. Elles sont à la base même de films comme Le Silence, Les Communiants et Persona. Ici, deux conceptions s'affrontent. Antonius Block ne cesse de se tourmenter sur la survie de l'âme après la mort tandis que Jof et Mia, diminutifs de Joseph et Marie, profitent des simples joies de leur présence sur terre et de leur amour.
C'est soit ça, soit la Starac
Le choix est vite fait
Bon visionnage à ceux qui le regarderont
Je vais enchaîner avec le 7ème sceau. Le dernier film en date proposé par le Saturne Culture Club.
Le film est considéré comme un classique du cinéma mondial, ainsi que l'un des plus grands films de tous les temps. Il a établi Bergman en tant que réalisateur de renommée mondiale, contenant des scènes qui sont devenues emblématiques grâce aux hommages, à l'analyse critique et aux parodies.
Le Septième Sceau est un film ouvertement métaphysique. Le cinéaste y pose de manière très explicite la question de l'existence de Dieu et du sens à donner à la vie. Ces thématiques se retrouvent dans une très grande partie de l'oeuvre du cinéaste. Elles sont à la base même de films comme Le Silence, Les Communiants et Persona. Ici, deux conceptions s'affrontent. Antonius Block ne cesse de se tourmenter sur la survie de l'âme après la mort tandis que Jof et Mia, diminutifs de Joseph et Marie, profitent des simples joies de leur présence sur terre et de leur amour.
C'est soit ça, soit la Starac
Le choix est vite fait
Bon visionnage à ceux qui le regarderont
il y a un an
J'ai fini le Septième Sceau et c'était WOW.
C'est toujours plus facile de descendre un film que l'on a pas aimé que de dire pourquoi on a été bluffé par un film.
Cette quette spirituelle et métaphysique était sublime.
J'ai du me repasser 3 fois la scène où le chevalier se confesse au parloir pour exprimer son besoin de connaissance car il ne croit plus aux superstitions de l'Eglise.
Il est désabusé par le genre humain. Il connait trop ses vices, son hypocrisie, sa violence aveugle.
Il est vide de toute émotion dans ce monde ravagé par la Peste, la folie des hommes, la chasse aux sorcières pour donner une forme au mal. Il faut forcément donner une forme à la crainte.
Il rencontre Jof, le jongleur, et sa femme Mia qui évoquent l'histoire de Joseph et Marie, d'autant plus qu'ils sont maintenant parents d'un bébé.
Jof, artiste de la scène, se plonge dans un univers imaginaire où il crée des récits et compose des chansons. Son objectif principal est de divertir son public, incarnant ainsi la joie simple de vivre.
Le point d'orgue de ma pensée, c'est la scène de l'auberge que je trouve vraiment prenante. On voit la foule prendre plaisir à tétaniser Jof. Ils prennent un plaisir malsain, goguenard, à le voir être effrayé et perdre sa joie de vivre.
Ils ne veulent pas être seuls à être tétanisés par la crainte de la mort, au néant qui les attend.
C'est tellement propre à " l'effet de groupe " comme on dit aujourd'hui.
Les autres ne supportent pas de te voir heureux et de ne pas vivre dans la crainte du lendemain.
Il faut que tu sois " comme eux " pour qu'ils te tolèrent.
L'iconographie du Moyen-âge est tellement bien représentée ! Un mélange entre la terreur de la mort et le dévouement envers l'église.
La partie d'échecs qui continue au fil des évènements. La scène du bol de lait et des fraises, le bonheur d'un instant que l'on aurait voulu éternel.
Le retour du chevalier chez lui, comme Ulysse qui rentre à Ithaque.
C'est un film que l'on doit surement apprécier à chaque visionnage. J'ai adoré.
C'est toujours plus facile de descendre un film que l'on a pas aimé que de dire pourquoi on a été bluffé par un film.
Cette quette spirituelle et métaphysique était sublime.
J'ai du me repasser 3 fois la scène où le chevalier se confesse au parloir pour exprimer son besoin de connaissance car il ne croit plus aux superstitions de l'Eglise.
Il est désabusé par le genre humain. Il connait trop ses vices, son hypocrisie, sa violence aveugle.
Il est vide de toute émotion dans ce monde ravagé par la Peste, la folie des hommes, la chasse aux sorcières pour donner une forme au mal. Il faut forcément donner une forme à la crainte.
Il rencontre Jof, le jongleur, et sa femme Mia qui évoquent l'histoire de Joseph et Marie, d'autant plus qu'ils sont maintenant parents d'un bébé.
Jof, artiste de la scène, se plonge dans un univers imaginaire où il crée des récits et compose des chansons. Son objectif principal est de divertir son public, incarnant ainsi la joie simple de vivre.
Le point d'orgue de ma pensée, c'est la scène de l'auberge que je trouve vraiment prenante. On voit la foule prendre plaisir à tétaniser Jof. Ils prennent un plaisir malsain, goguenard, à le voir être effrayé et perdre sa joie de vivre.
Ils ne veulent pas être seuls à être tétanisés par la crainte de la mort, au néant qui les attend.
C'est tellement propre à " l'effet de groupe " comme on dit aujourd'hui.
Les autres ne supportent pas de te voir heureux et de ne pas vivre dans la crainte du lendemain.
Il faut que tu sois " comme eux " pour qu'ils te tolèrent.
L'iconographie du Moyen-âge est tellement bien représentée ! Un mélange entre la terreur de la mort et le dévouement envers l'église.
La partie d'échecs qui continue au fil des évènements. La scène du bol de lait et des fraises, le bonheur d'un instant que l'on aurait voulu éternel.
Le retour du chevalier chez lui, comme Ulysse qui rentre à Ithaque.
C'est un film que l'on doit surement apprécier à chaque visionnage. J'ai adoré.
il y a un an
Extrait du Septième Sceau d’I.Bergman. Le passage que j'ai trouvé vraiment magnifique.
-Je veux me confesser avec loyauté, mais mon coeur est vide. Le vide est le miroir de mon visage. Je suis pris de dégoût et d’épouvante. Mon mépris des hommes m’a rejeté de leur communauté. Je vis dans un monde de fantômes, prisonnier de mes rêves.
-Mais tu ne veux pas mourir.
-Si, je le veux
-Qu’attends-tu?
-La connaissance
-Ou des garanties.
-Appelle ça comme tu veux. Est-ce si impensable de comprendre Dieu avec ses sens? Pourquoi se cache-t-il derrière des promesses à demi-articulées et des miracles invisibles? Croire aux croyants, si on ne croit pas. Qu’advient-il de nous qui voulons mais ne pouvons croire, de ceux qui ne veulent ni ne peuvent croire? Pourquoi ne puis-je tuer Dieu en moi? Pourquoi continue-t-il de vivre de façon douloureuse et avilissante? Je veux le chasser de mon coeur. Mais il reste une moqueuse réalité qui me poursuit. Tu m’entends. Je veux savoir. Pas croire. Pas supposer, mais savoir. Je veux que Dieu me tende la main mais il se tait. Des ténèbres je crie vers lui., mais il n’y a personne.
-C’est peut-être cela.
-Alors la vie est une crainte insensée! On ne peut vivre face à la mort et au néant de tout.
-La plupart ne pensent ni à la Mort ni au Néant.
-Puis ils touchent au cap et voient les ténèbres.
-Oui, ce jour là.
-Je comprends. A notre crainte, il nous faut faire une image que nous appelons Dieu
-Tu t’alarmes.
-La mort m’a visité ce matin. Nous jouons aux échecs. Ce délai me permet de vaquer à une affaire importante
-Quelle affaire?
-Ma vie durant, j’ai cherché, erré, discouru. Tout était dénué de sens. Je le dis sans amertume ni contrition car je sais qu’il en est de même pour tous. Je veux utiliser ce délai à quelque chose qui ait un sens.
-C’est pourquoi tu joues aux échecs avec la Mort?
-C’est une habile tacticienne. Mais je n’ai encore perdu aucune pièce.
-Comment espères-tu la déjouer?
-Elle n’a pas découvert ma combinaison. Je détruirai l’un de ses flancs.
[La Mort se dévoile]
-Je m’en souviendrai.
-Traîtresse, tu m’as trompée
-Maintenant je te laisse. La prochaine fois, le délai sera expiré pour toi et tes amis.
-Tu me révéleras tes secrets?
-Je n’ai pas de secrets
-Alors tu ne sais rien?
-Non, rien.
-Je veux me confesser avec loyauté, mais mon coeur est vide. Le vide est le miroir de mon visage. Je suis pris de dégoût et d’épouvante. Mon mépris des hommes m’a rejeté de leur communauté. Je vis dans un monde de fantômes, prisonnier de mes rêves.
-Mais tu ne veux pas mourir.
-Si, je le veux
-Qu’attends-tu?
-La connaissance
-Ou des garanties.
-Appelle ça comme tu veux. Est-ce si impensable de comprendre Dieu avec ses sens? Pourquoi se cache-t-il derrière des promesses à demi-articulées et des miracles invisibles? Croire aux croyants, si on ne croit pas. Qu’advient-il de nous qui voulons mais ne pouvons croire, de ceux qui ne veulent ni ne peuvent croire? Pourquoi ne puis-je tuer Dieu en moi? Pourquoi continue-t-il de vivre de façon douloureuse et avilissante? Je veux le chasser de mon coeur. Mais il reste une moqueuse réalité qui me poursuit. Tu m’entends. Je veux savoir. Pas croire. Pas supposer, mais savoir. Je veux que Dieu me tende la main mais il se tait. Des ténèbres je crie vers lui., mais il n’y a personne.
-C’est peut-être cela.
-Alors la vie est une crainte insensée! On ne peut vivre face à la mort et au néant de tout.
-La plupart ne pensent ni à la Mort ni au Néant.
-Puis ils touchent au cap et voient les ténèbres.
-Oui, ce jour là.
-Je comprends. A notre crainte, il nous faut faire une image que nous appelons Dieu
-Tu t’alarmes.
-La mort m’a visité ce matin. Nous jouons aux échecs. Ce délai me permet de vaquer à une affaire importante
-Quelle affaire?
-Ma vie durant, j’ai cherché, erré, discouru. Tout était dénué de sens. Je le dis sans amertume ni contrition car je sais qu’il en est de même pour tous. Je veux utiliser ce délai à quelque chose qui ait un sens.
-C’est pourquoi tu joues aux échecs avec la Mort?
-C’est une habile tacticienne. Mais je n’ai encore perdu aucune pièce.
-Comment espères-tu la déjouer?
-Elle n’a pas découvert ma combinaison. Je détruirai l’un de ses flancs.
[La Mort se dévoile]
-Je m’en souviendrai.
-Traîtresse, tu m’as trompée
-Maintenant je te laisse. La prochaine fois, le délai sera expiré pour toi et tes amis.
-Tu me révéleras tes secrets?
-Je n’ai pas de secrets
-Alors tu ne sais rien?
-Non, rien.
il y a un an
Ok,ok donc le septième sceau
Je vais m'abstenir de donner un avis critique vu qu'il n'y a rien a jeter, peut-être quelques longueurs ici et la mais ça sert son propos
J'ai mis du temps a me mettre dedans et a apprécier la quête du Chevalier Block mais quand tu es dedans, quel film franchement
La Mort implacable que tu ne peux tromper, Jöns et son approche terre-à-terre, Le Chevalier Block (monsieur Max von Sydow bordel, paix a ton âme) qui dans son répit avant son trépas essaie de trouver la réponse
Il me manque une belle plume et du vocabulaire pour dire tout le bien que j'en pense et il y a sûrement eu focus de ma part sur certaines scènes notamment celle du bûcher ou la vaine tromperie de l'acteur qui finit par se faire avoir par la Mort qui scie l'arbre ou il a grimpé
La partie d'échecs qui ne fait que retarder l'inévitable pour le chevalier Block, quel film franchement
Je vais m'abstenir de donner un avis critique vu qu'il n'y a rien a jeter, peut-être quelques longueurs ici et la mais ça sert son propos
J'ai mis du temps a me mettre dedans et a apprécier la quête du Chevalier Block mais quand tu es dedans, quel film franchement
La Mort implacable que tu ne peux tromper, Jöns et son approche terre-à-terre, Le Chevalier Block (monsieur Max von Sydow bordel, paix a ton âme) qui dans son répit avant son trépas essaie de trouver la réponse
Il me manque une belle plume et du vocabulaire pour dire tout le bien que j'en pense et il y a sûrement eu focus de ma part sur certaines scènes notamment celle du bûcher ou la vaine tromperie de l'acteur qui finit par se faire avoir par la Mort qui scie l'arbre ou il a grimpé
La partie d'échecs qui ne fait que retarder l'inévitable pour le chevalier Block, quel film franchement
il y a un an
Tapukoko
1 an
Ok,ok donc le septième sceau
Je vais m'abstenir de donner un avis critique vu qu'il n'y a rien a jeter, peut-être quelques longueurs ici et la mais ça sert son propos
J'ai mis du temps a me mettre dedans et a apprécier la quête du Chevalier Block mais quand tu es dedans, quel film franchement
La Mort implacable que tu ne peux tromper, Jöns et son approche terre-à-terre, Le Chevalier Block (monsieur Max von Sydow bordel, paix a ton âme) qui dans son répit avant son trépas essaie de trouver la réponse
Il me manque une belle plume et du vocabulaire pour dire tout le bien que j'en pense et il y a sûrement eu focus de ma part sur certaines scènes notamment celle du bûcher ou la vaine tromperie de l'acteur qui finit par se faire avoir par la Mort qui scie l'arbre ou il a grimpé
La partie d'échecs qui ne fait que retarder l'inévitable pour le chevalier Block, quel film franchement
Je vais m'abstenir de donner un avis critique vu qu'il n'y a rien a jeter, peut-être quelques longueurs ici et la mais ça sert son propos
J'ai mis du temps a me mettre dedans et a apprécier la quête du Chevalier Block mais quand tu es dedans, quel film franchement
La Mort implacable que tu ne peux tromper, Jöns et son approche terre-à-terre, Le Chevalier Block (monsieur Max von Sydow bordel, paix a ton âme) qui dans son répit avant son trépas essaie de trouver la réponse
Il me manque une belle plume et du vocabulaire pour dire tout le bien que j'en pense et il y a sûrement eu focus de ma part sur certaines scènes notamment celle du bûcher ou la vaine tromperie de l'acteur qui finit par se faire avoir par la Mort qui scie l'arbre ou il a grimpé
La partie d'échecs qui ne fait que retarder l'inévitable pour le chevalier Block, quel film franchement
Salut khey.
Pareil que toi. Beaucoup de mal à m'y mettre, pas mal de longueurs et ensuite j'ai été touché par beaucoup de scènes.
J'y ai repensé après le visionnage.
C'est sûrement là tout l'intérêt du film, être envahi par les questions intérieures car on sait que nous n'obtiendrons aucune réponse.
On a vu pas mal de films, tous dans un registre différent. Je suis content de ces visionnages
Pareil que toi. Beaucoup de mal à m'y mettre, pas mal de longueurs et ensuite j'ai été touché par beaucoup de scènes.
J'y ai repensé après le visionnage.
C'est sûrement là tout l'intérêt du film, être envahi par les questions intérieures car on sait que nous n'obtiendrons aucune réponse.
On a vu pas mal de films, tous dans un registre différent. Je suis content de ces visionnages
il y a un an
Salut khey
C'est en lisant ton retour que j'ai compris pourquoi j'avais été transporté par l'univers d'Othello au delà de la prestation d'Orson Welles. L'utilisation des plans larges et du décor est très convaincante. Je trouve qu'il n'y a rien de mieux qu'une architecture comme celle de Venise pour poser ce genre d'intrigues sous forme de complot et de trahison. C'est très romanesque.
Le Saturne Culture Club a dépassé mes premières attentes pour son début.
J'ai découvert plein de nouvelles choses grâce à vos participations à @tapukoko et toi.
Je réfléchissais hier justement à une suite à donner, à une thématique.
Je n'ai pas encore d'idées. Tu en as ?
C'est en lisant ton retour que j'ai compris pourquoi j'avais été transporté par l'univers d'Othello au delà de la prestation d'Orson Welles. L'utilisation des plans larges et du décor est très convaincante. Je trouve qu'il n'y a rien de mieux qu'une architecture comme celle de Venise pour poser ce genre d'intrigues sous forme de complot et de trahison. C'est très romanesque.
Le Saturne Culture Club a dépassé mes premières attentes pour son début.
J'ai découvert plein de nouvelles choses grâce à vos participations à @tapukoko et toi.
Je réfléchissais hier justement à une suite à donner, à une thématique.
Je n'ai pas encore d'idées. Tu en as ?
il y a un an
Salut les clés
Histoire de laisser le temps a @Lulu de trouver une thématique, j'ai une ou deux propositions si ça intéresse
La Poison
Paul Braconnier et sa femme Blandine n'ont qu'une seule idée en tête : trouver le moyen d'assassiner l'autre sans risque. Paul rencontre dans ce but un célèbre avocat qui lui explique comment procéder.
la Rue de la honte
La vie quotidienne de prostituées travaillant dans une maison de passes de Tokyo à un moment où le gouvernement délibère sur l'adoption ou non d'une loi visant à interdire la prostitution au Japon.
C'est que des propositions, j'en aurais bien d'autres vu que j'ai essayé de poncer la recherche ygg sur 1950 jusqu'à 1956 pour l'instant
Histoire de laisser le temps a @Lulu de trouver une thématique, j'ai une ou deux propositions si ça intéresse
La Poison
Paul Braconnier et sa femme Blandine n'ont qu'une seule idée en tête : trouver le moyen d'assassiner l'autre sans risque. Paul rencontre dans ce but un célèbre avocat qui lui explique comment procéder.
la Rue de la honte
La vie quotidienne de prostituées travaillant dans une maison de passes de Tokyo à un moment où le gouvernement délibère sur l'adoption ou non d'une loi visant à interdire la prostitution au Japon.
C'est que des propositions, j'en aurais bien d'autres vu que j'ai essayé de poncer la recherche ygg sur 1950 jusqu'à 1956 pour l'instant
il y a un an
Tapukoko
1 an
Salut les clés
Histoire de laisser le temps a @Lulu de trouver une thématique, j'ai une ou deux propositions si ça intéresse
La Poison
Paul Braconnier et sa femme Blandine n'ont qu'une seule idée en tête : trouver le moyen d'assassiner l'autre sans risque. Paul rencontre dans ce but un célèbre avocat qui lui explique comment procéder.
la Rue de la honte
La vie quotidienne de prostituées travaillant dans une maison de passes de Tokyo à un moment où le gouvernement délibère sur l'adoption ou non d'une loi visant à interdire la prostitution au Japon.
C'est que des propositions, j'en aurais bien d'autres vu que j'ai essayé de poncer la recherche ygg sur 1950 jusqu'à 1956 pour l'instant
Histoire de laisser le temps a @Lulu de trouver une thématique, j'ai une ou deux propositions si ça intéresse
La Poison
Paul Braconnier et sa femme Blandine n'ont qu'une seule idée en tête : trouver le moyen d'assassiner l'autre sans risque. Paul rencontre dans ce but un célèbre avocat qui lui explique comment procéder.
la Rue de la honte
La vie quotidienne de prostituées travaillant dans une maison de passes de Tokyo à un moment où le gouvernement délibère sur l'adoption ou non d'une loi visant à interdire la prostitution au Japon.
C'est que des propositions, j'en aurais bien d'autres vu que j'ai essayé de poncer la recherche ygg sur 1950 jusqu'à 1956 pour l'instant
Salut @tapukoko
Super suggestions. J'ai envie de voir les deux du coup.
Le cinéma japonais de cette époque est très riche, autant en profiter.
J'aime les deux idées de film. Je les ajouterai
Je propose de continuer encore sur le thème des années 50.
Pour la suite, j'avais dans l'idée de la " sci-fi kitsch " mais je me suis dit que ça risquerait plus de dégouter du visionnage qu'autre chose.
Est ce qu'on a vraiment envie de perdre son temps avec des mauvaises productions plutôt que des oeuvres qui au final nous inspirent ?
Ou continuer sur la décennie d'après, les années 60.
Ou choisir un thème spécifique. Je n'ai pas encore d'idées.
Super suggestions. J'ai envie de voir les deux du coup.
Le cinéma japonais de cette époque est très riche, autant en profiter.
J'aime les deux idées de film. Je les ajouterai
Je propose de continuer encore sur le thème des années 50.
Pour la suite, j'avais dans l'idée de la " sci-fi kitsch " mais je me suis dit que ça risquerait plus de dégouter du visionnage qu'autre chose.
Est ce qu'on a vraiment envie de perdre son temps avec des mauvaises productions plutôt que des oeuvres qui au final nous inspirent ?
Ou continuer sur la décennie d'après, les années 60.
Ou choisir un thème spécifique. Je n'ai pas encore d'idées.
il y a un an
Salut @tapukoko
Super suggestions. J'ai envie de voir les deux du coup.
Le cinéma japonais de cette époque est très riche, autant en profiter.
J'aime les deux idées de film. Je les ajouterai
Je propose de continuer encore sur le thème des années 50.
Pour la suite, j'avais dans l'idée de la " sci-fi kitsch " mais je me suis dit que ça risquerait plus de dégouter du visionnage qu'autre chose.
Est ce qu'on a vraiment envie de perdre son temps avec des mauvaises productions plutôt que des oeuvres qui au final nous inspirent ?
Ou continuer sur la décennie d'après, les années 60.
Ou choisir un thème spécifique. Je n'ai pas encore d'idées.
Super suggestions. J'ai envie de voir les deux du coup.
Le cinéma japonais de cette époque est très riche, autant en profiter.
J'aime les deux idées de film. Je les ajouterai
Je propose de continuer encore sur le thème des années 50.
Pour la suite, j'avais dans l'idée de la " sci-fi kitsch " mais je me suis dit que ça risquerait plus de dégouter du visionnage qu'autre chose.
Est ce qu'on a vraiment envie de perdre son temps avec des mauvaises productions plutôt que des oeuvres qui au final nous inspirent ?
Ou continuer sur la décennie d'après, les années 60.
Ou choisir un thème spécifique. Je n'ai pas encore d'idées.
Re, clé
Pour la suite, c'est toi qui voit, les thématiques que tu entrevois pour la suite donne envie et vont permettre d'explorer davantage
Pour la Sci-fi kitsch, faut voir ce que tu entends par la, j'aurais tendance a mettre les films de Kaijus ( les vieux Godzilla) dedans
C'est bien mais la technique en a pris un sacré coup depuis
Pour la suite, c'est toi qui voit, les thématiques que tu entrevois pour la suite donne envie et vont permettre d'explorer davantage
Pour la Sci-fi kitsch, faut voir ce que tu entends par la, j'aurais tendance a mettre les films de Kaijus ( les vieux Godzilla) dedans
C'est bien mais la technique en a pris un sacré coup depuis
il y a un an
Salut les kheys. J'ai rajouté les deux films de @tapukoko qui ont l'air vraiment très bien.
C'est toujours autant la galère à trouver des vieux films sans YGG par contre. Quelle tristesse.
C'est toujours autant la galère à trouver des vieux films sans YGG par contre. Quelle tristesse.
il y a un an
Salut khey. J'adore ton idée des thèmes vagues et précis.
Rien que le terme " Nuit " est très inspirant.
Ca pourrait être un titre, comme ça pourrait évoquer le fait que cela ne se passe pas durant la journée, renvoyer au néant, ou même que les protagonistes soient aveugles.
Je vois ce que tu veux dire. Il n'en faut pas plus parfois pour susciter l'inspiration.
Je vais chercher les deux films proposer par tapukoko et ensuite j'enchaînerai avec cette thématique pour découvrir de nouvelles oeuvres à regarder.
Merci bcp.
Rien que le terme " Nuit " est très inspirant.
Ca pourrait être un titre, comme ça pourrait évoquer le fait que cela ne se passe pas durant la journée, renvoyer au néant, ou même que les protagonistes soient aveugles.
Je vois ce que tu veux dire. Il n'en faut pas plus parfois pour susciter l'inspiration.
Je vais chercher les deux films proposer par tapukoko et ensuite j'enchaînerai avec cette thématique pour découvrir de nouvelles oeuvres à regarder.
Merci bcp.
il y a un an
Lulu
1 an
Salut les kheys. J'ai rajouté les deux films de @tapukoko qui ont l'air vraiment très bien.
C'est toujours autant la galère à trouver des vieux films sans YGG par contre. Quelle tristesse.
C'est toujours autant la galère à trouver des vieux films sans YGG par contre. Quelle tristesse.
Je suis désolé khey, j'ai fait avec le catalogue ygg la recherche pour principalement avoir de la disponibilité sans avoir a chercher ailleurs
redis moi quand c'est le changement de thème pour pas surcharger la page
redis moi quand c'est le changement de thème pour pas surcharger la page
il y a un an
Je suis désolé khey, j'ai fait avec le catalogue ygg la recherche pour principalement avoir de la disponibilité sans avoir a chercher ailleurs
redis moi quand c'est le changement de thème pour pas surcharger la page
redis moi quand c'est le changement de thème pour pas surcharger la page
Salut khey.
Oui c'est normal en même temps, YGG c'est ZE PLACE to be.
J'ai encore fait le filou et me suis recréé un compte qui va surement très vite sauter
Je télécharge tes deux films.
Oui c'est normal en même temps, YGG c'est ZE PLACE to be.
J'ai encore fait le filou et me suis recréé un compte qui va surement très vite sauter
Je télécharge tes deux films.
il y a un an
Salut khey.
Figure toi que j'ai adoré. J'ai tout visionné d'une traite sans m'ennuyer. Franchement c'était une superbe pioche de @tapukoko
Premier point qui m'a tout de suite mis dans le bain, le film s'ouvre sur une discussion entre la tenancière de cette maison de passes où tout se joue et un policier.
Je ne sais pas si c'était fait sciemment pour un public étranger mais je trouve que ça aide énormément à comprendre le contexte du film: la période d'après guerre, la loi du gouvernement qui veut mettre un terme à la prostitution, les enjeux économiques que ça représente.
On découvre toutes les femmes qui y travaillent et les raisons qui les motivent : subvenir à leurs besoins, éponger des dettes ou tout simplement car elles ne savent pas faire autre chose.
Un très bon point là aussi, le film ne se veut pas du tout misérabiliste.
C'est ça qui est étonnant et rend le visionnage plus léger.
Tu as l'impression que c'est presque une comédie alors que la honte est présente à chaque instant, exprimée de différente manières.
Le temps qui passe et qui rend ces prostituées moins glorieuses, la honte que leur entourage subit en sachant qu'elles s'adonnent à ça mais aussi la dignité qu'elles gardent en toute circonstances, Japon oblige.
Je pense sincèrement qu'il n'y a que les films asiatiques qui oscillent si bien entre drame et comédie.
Je n'avais pas du tout capté durant tout le visionnage que "Mickey", la prostituée totalement américanisée et désinvolte était l'actrice ayant jouée dans Rashomon.
La scène de fin est atroce.
Et le film se clôture très brutalement sur elle.
Très bon visionnage me concernant.
Premier point qui m'a tout de suite mis dans le bain, le film s'ouvre sur une discussion entre la tenancière de cette maison de passes où tout se joue et un policier.
Je ne sais pas si c'était fait sciemment pour un public étranger mais je trouve que ça aide énormément à comprendre le contexte du film: la période d'après guerre, la loi du gouvernement qui veut mettre un terme à la prostitution, les enjeux économiques que ça représente.
On découvre toutes les femmes qui y travaillent et les raisons qui les motivent : subvenir à leurs besoins, éponger des dettes ou tout simplement car elles ne savent pas faire autre chose.
Un très bon point là aussi, le film ne se veut pas du tout misérabiliste.
C'est ça qui est étonnant et rend le visionnage plus léger.
Tu as l'impression que c'est presque une comédie alors que la honte est présente à chaque instant, exprimée de différente manières.
Le temps qui passe et qui rend ces prostituées moins glorieuses, la honte que leur entourage subit en sachant qu'elles s'adonnent à ça mais aussi la dignité qu'elles gardent en toute circonstances, Japon oblige.
Je pense sincèrement qu'il n'y a que les films asiatiques qui oscillent si bien entre drame et comédie.
Je n'avais pas du tout capté durant tout le visionnage que "Mickey", la prostituée totalement américanisée et désinvolte était l'actrice ayant jouée dans Rashomon.
La scène de fin est atroce.
Et le film se clôture très brutalement sur elle.
Très bon visionnage me concernant.
il y a un an
Bon, je suis un peu a la bourre
j'ai vu la Poison cet aprem et attention, s'il y a quelques fulgurances ici et la, ce n'est pas un très grand film
Le film arrive à avoir des longueurs en expédiant son propos, c'est assez étrange a appréhender
Par exemple, il n'y a pas deux personnages principaux mais trois, tant le troisième est développé vis a vis des deux autres qui ne sont au final que des gens qui ont trop vécus ensemble et qui se voue une haine réciproque
L'un est calculateur et l'autre est juste une alcoolique notoire
les fulgurances sont là néanmoins, un repas a couteaux tirés accompagné par une musique d'amour, la rencontre avec l'avocat qui a droit à une pertinente mais longue mise en contexte pour expliquer le pourquoi du comment de son personnage ( un roi de l'acquittement dévoué aux criminels), les enfants qui reproduisent le procès pour "jouer"
Michel Simon qui survole le film encore une fois après "la beauté du Diable", cette espèce de je ne sais quoi qui fait que le film sans lui serait bien terne,mélange de présence et de charisme d'une gueule
Trop rien a dire sur l'interprète de sa femme qui fait le taf de tirer la gueule, jeu extrêmement minimaliste qui fait penser que si Michel Simon n'illustre pas toute la situation par une forme de désarroi et une idée fixe, ba, elle fait juste la gueule et se laisse aller
peut-être un biais de ma part aussi mais personnage de l'avocat très bien écrit quoique toujours mis longuement en avant, un segment qui te fait penser que s'il y avait un film juste sur lui, le film serait carrément regardable et intéressant a voir tant il a a raconter dans sa caricature de pourri
J'ai fini, ce que je pourrais raconter ne pourrait s'apparenter qu'à des spoils, c'est pas mauvais mais ce n'est pas excellent non plus, je préfère prévenir
j'ai vu la Poison cet aprem et attention, s'il y a quelques fulgurances ici et la, ce n'est pas un très grand film
Le film arrive à avoir des longueurs en expédiant son propos, c'est assez étrange a appréhender
Par exemple, il n'y a pas deux personnages principaux mais trois, tant le troisième est développé vis a vis des deux autres qui ne sont au final que des gens qui ont trop vécus ensemble et qui se voue une haine réciproque
L'un est calculateur et l'autre est juste une alcoolique notoire
les fulgurances sont là néanmoins, un repas a couteaux tirés accompagné par une musique d'amour, la rencontre avec l'avocat qui a droit à une pertinente mais longue mise en contexte pour expliquer le pourquoi du comment de son personnage ( un roi de l'acquittement dévoué aux criminels), les enfants qui reproduisent le procès pour "jouer"
Michel Simon qui survole le film encore une fois après "la beauté du Diable", cette espèce de je ne sais quoi qui fait que le film sans lui serait bien terne,mélange de présence et de charisme d'une gueule
Trop rien a dire sur l'interprète de sa femme qui fait le taf de tirer la gueule, jeu extrêmement minimaliste qui fait penser que si Michel Simon n'illustre pas toute la situation par une forme de désarroi et une idée fixe, ba, elle fait juste la gueule et se laisse aller
peut-être un biais de ma part aussi mais personnage de l'avocat très bien écrit quoique toujours mis longuement en avant, un segment qui te fait penser que s'il y avait un film juste sur lui, le film serait carrément regardable et intéressant a voir tant il a a raconter dans sa caricature de pourri
J'ai fini, ce que je pourrais raconter ne pourrait s'apparenter qu'à des spoils, c'est pas mauvais mais ce n'est pas excellent non plus, je préfère prévenir
il y a un an
Tapukoko
1 an
Bon, je suis un peu a la bourre
j'ai vu la Poison cet aprem et attention, s'il y a quelques fulgurances ici et la, ce n'est pas un très grand film
Le film arrive à avoir des longueurs en expédiant son propos, c'est assez étrange a appréhender
Par exemple, il n'y a pas deux personnages principaux mais trois, tant le troisième est développé vis a vis des deux autres qui ne sont au final que des gens qui ont trop vécus ensemble et qui se voue une haine réciproque
L'un est calculateur et l'autre est juste une alcoolique notoire
les fulgurances sont là néanmoins, un repas a couteaux tirés accompagné par une musique d'amour, la rencontre avec l'avocat qui a droit à une pertinente mais longue mise en contexte pour expliquer le pourquoi du comment de son personnage ( un roi de l'acquittement dévoué aux criminels), les enfants qui reproduisent le procès pour "jouer"
Michel Simon qui survole le film encore une fois après "la beauté du Diable", cette espèce de je ne sais quoi qui fait que le film sans lui serait bien terne,mélange de présence et de charisme d'une gueule
Trop rien a dire sur l'interprète de sa femme qui fait le taf de tirer la gueule, jeu extrêmement minimaliste qui fait penser que si Michel Simon n'illustre pas toute la situation par une forme de désarroi et une idée fixe, ba, elle fait juste la gueule et se laisse aller
peut-être un biais de ma part aussi mais personnage de l'avocat très bien écrit quoique toujours mis longuement en avant, un segment qui te fait penser que s'il y avait un film juste sur lui, le film serait carrément regardable et intéressant a voir tant il a a raconter dans sa caricature de pourri
J'ai fini, ce que je pourrais raconter ne pourrait s'apparenter qu'à des spoils, c'est pas mauvais mais ce n'est pas excellent non plus, je préfère prévenir
j'ai vu la Poison cet aprem et attention, s'il y a quelques fulgurances ici et la, ce n'est pas un très grand film
Le film arrive à avoir des longueurs en expédiant son propos, c'est assez étrange a appréhender
Par exemple, il n'y a pas deux personnages principaux mais trois, tant le troisième est développé vis a vis des deux autres qui ne sont au final que des gens qui ont trop vécus ensemble et qui se voue une haine réciproque
L'un est calculateur et l'autre est juste une alcoolique notoire
les fulgurances sont là néanmoins, un repas a couteaux tirés accompagné par une musique d'amour, la rencontre avec l'avocat qui a droit à une pertinente mais longue mise en contexte pour expliquer le pourquoi du comment de son personnage ( un roi de l'acquittement dévoué aux criminels), les enfants qui reproduisent le procès pour "jouer"
Michel Simon qui survole le film encore une fois après "la beauté du Diable", cette espèce de je ne sais quoi qui fait que le film sans lui serait bien terne,mélange de présence et de charisme d'une gueule
Trop rien a dire sur l'interprète de sa femme qui fait le taf de tirer la gueule, jeu extrêmement minimaliste qui fait penser que si Michel Simon n'illustre pas toute la situation par une forme de désarroi et une idée fixe, ba, elle fait juste la gueule et se laisse aller
peut-être un biais de ma part aussi mais personnage de l'avocat très bien écrit quoique toujours mis longuement en avant, un segment qui te fait penser que s'il y avait un film juste sur lui, le film serait carrément regardable et intéressant a voir tant il a a raconter dans sa caricature de pourri
J'ai fini, ce que je pourrais raconter ne pourrait s'apparenter qu'à des spoils, c'est pas mauvais mais ce n'est pas excellent non plus, je préfère prévenir
Merci pour ton retour khey, j'ai pas encore maté.
C'est bizarre mais depuis que j'ai commencé à regarder des films en noir et blanc avec le SCC j'ai du mal à me passionner pour les films à la télé
C'est bizarre mais depuis que j'ai commencé à regarder des films en noir et blanc avec le SCC j'ai du mal à me passionner pour les films à la télé
il y a un an
il y a un an