Ce sujet a été résolu
Je viens de terminer le film Rashomon.
J'ai a-do-ré

Excellent le film Rashomon.
Enormément d'élements qui m'ont beaucoup marqués.
1) D'abord l'acteur qui joue Tajomoru. Je trouve qu'il dégage une puissance particulière, une aura de force comme les acteurs du théâtre no (le théâtre traditionnel). L'acteur est incroyablement charismatique. Il crève l'écran.
On dirait un peu un khey. Il est fougueux et suit ses envies du moment. C'est un simple d'esprit qui semble totalement zinzolax mais on se rend compte qu'il a des convictions au fur et à mesure que la réalité surgit.
Tout ce qu'il veut il, il le prend.
Les objets de valeur, l'honneur d'un homme, la dignité de sa femme, le fait de travailler ou de vivre de ses larcins.
Il est dans l'action et non la réflexion. Il ne pense pas aux conséquences de ses actes.
2) Un aspect m'a beaucoup interpellé. Quelque chose que l'on retrouve exclusivement dans la culture japonaise : la perversion dans l'érotisme.
Le fait de vouloir humilier l'homme devant sa femme, s'attarder à le rappeler, évoquer des détails (la corde qui rentre dans sa chair), le sentiment d'impuissance qui en découle.
Cette perversité malsaine est propre aux japonais. Un mélange d'érotisme et de manipulation. On le retrouve dans tellement de mangas.
3) L'idée des différentes versions qui se confrontent est sublime. Tous les protagonistes ne voient que la vérité qui les arrangent. L'homme que l'on voit au début, étranger à l'affaire et qui veut tout savoir sur les faits, rappelle que l'homme est un être purement égoïste. Même ceux qui prêchent la bonne morale aux autres ont bien souvent les mains sales (cf le bucheron).
Ils mentent, trichent, rejouent la réalité à leur façon, ne prennent que ce qui les arrangent.
On pourra reprocher beaucoup de longueurs mais j'ai adoré l'histoire en elle-même qui va jusqu'à faire parler les morts.
Génial.
J'ai a-do-ré
Excellent le film Rashomon.
Enormément d'élements qui m'ont beaucoup marqués.
1) D'abord l'acteur qui joue Tajomoru. Je trouve qu'il dégage une puissance particulière, une aura de force comme les acteurs du théâtre no (le théâtre traditionnel). L'acteur est incroyablement charismatique. Il crève l'écran.
On dirait un peu un khey. Il est fougueux et suit ses envies du moment. C'est un simple d'esprit qui semble totalement zinzolax mais on se rend compte qu'il a des convictions au fur et à mesure que la réalité surgit.
Tout ce qu'il veut il, il le prend.
Les objets de valeur, l'honneur d'un homme, la dignité de sa femme, le fait de travailler ou de vivre de ses larcins.
Il est dans l'action et non la réflexion. Il ne pense pas aux conséquences de ses actes.
2) Un aspect m'a beaucoup interpellé. Quelque chose que l'on retrouve exclusivement dans la culture japonaise : la perversion dans l'érotisme.
Le fait de vouloir humilier l'homme devant sa femme, s'attarder à le rappeler, évoquer des détails (la corde qui rentre dans sa chair), le sentiment d'impuissance qui en découle.
Cette perversité malsaine est propre aux japonais. Un mélange d'érotisme et de manipulation. On le retrouve dans tellement de mangas.
3) L'idée des différentes versions qui se confrontent est sublime. Tous les protagonistes ne voient que la vérité qui les arrangent. L'homme que l'on voit au début, étranger à l'affaire et qui veut tout savoir sur les faits, rappelle que l'homme est un être purement égoïste. Même ceux qui prêchent la bonne morale aux autres ont bien souvent les mains sales (cf le bucheron).
Ils mentent, trichent, rejouent la réalité à leur façon, ne prennent que ce qui les arrangent.
On pourra reprocher beaucoup de longueurs mais j'ai adoré l'histoire en elle-même qui va jusqu'à faire parler les morts.
Génial.
il y a un an
BlueRider_5DX
1 an
Pourquoi ce nom ?
il y a un an
Je l'ai écrit dans la F.A.Q
Tout premier post. Tu peux pas te tromper.
La vraie raison maintenant ?
Nous sommes un.
il y a un an
Quelques anecdotes récupérées sur le film Rashomon.
🪐Le film a été réalisé pendant la période d'occupation américaine du Japon, durant laquelle la production cinématographique était étroitement contrôlée et pouvait mener à des interdictions d'exploitation immédiates. L'évocation de samouraïs et de combats au sabre était interdite.
Akira Kurosawa rencontra beaucoup de difficultés pour produire son film, qui ne fut autorisé que par l'assouplissement de la censure due à la guerre de Corée.
🪐Il serait aussi possible de voir dans le film deux thèmes qui ont profondément marqué le Japon. D'abord, les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki : Kurosawa y ferait référence lorsque le bandit, lors de son procès, lève ses yeux pensifs vers le ciel, et que le plan suivant montre longuement un gigantesque nuage. Ensuite, le procès de Tokyo qui venait de s'achever et dont l'empereur avait été tenu à l'écart sans être jugé : on pourrait y voir un lien avec le fait que la sentence du procès du bandit n'est pas prononcée. Ces deux thèmes auraient probablement été perçus par le public japonais de l'époque
🪐Akira Kurosawa suggère que son œuvre révèle l'incapacité de l'homme à être honnête, non seulement avec les autres, mais surtout avec lui-même.
« L’Homme est incapable d’être honnête avec lui-même. Il est incapable de parler honnêtement de lui-même sans embellir le tableau. Ce scénario parle de gens comme ça (ce genre d’individus qui ne peuvent survivre sans mentir pour se montrer meilleur qu’ils ne le sont vraiment. Il montre également que ce besoin de faussement se flatter continue même dans la tombe puisque même le personnage mort ne peut s’empêcher de mentir sur lui-même en parlant à travers le médium). L’égoïsme est un péché que l’être humain porte en lui depuis la naissance et c’est le plus difficile à combattre. »
🪐Le film a été réalisé pendant la période d'occupation américaine du Japon, durant laquelle la production cinématographique était étroitement contrôlée et pouvait mener à des interdictions d'exploitation immédiates. L'évocation de samouraïs et de combats au sabre était interdite.
Akira Kurosawa rencontra beaucoup de difficultés pour produire son film, qui ne fut autorisé que par l'assouplissement de la censure due à la guerre de Corée.
🪐Il serait aussi possible de voir dans le film deux thèmes qui ont profondément marqué le Japon. D'abord, les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki : Kurosawa y ferait référence lorsque le bandit, lors de son procès, lève ses yeux pensifs vers le ciel, et que le plan suivant montre longuement un gigantesque nuage. Ensuite, le procès de Tokyo qui venait de s'achever et dont l'empereur avait été tenu à l'écart sans être jugé : on pourrait y voir un lien avec le fait que la sentence du procès du bandit n'est pas prononcée. Ces deux thèmes auraient probablement été perçus par le public japonais de l'époque
🪐Akira Kurosawa suggère que son œuvre révèle l'incapacité de l'homme à être honnête, non seulement avec les autres, mais surtout avec lui-même.
« L’Homme est incapable d’être honnête avec lui-même. Il est incapable de parler honnêtement de lui-même sans embellir le tableau. Ce scénario parle de gens comme ça (ce genre d’individus qui ne peuvent survivre sans mentir pour se montrer meilleur qu’ils ne le sont vraiment. Il montre également que ce besoin de faussement se flatter continue même dans la tombe puisque même le personnage mort ne peut s’empêcher de mentir sur lui-même en parlant à travers le médium). L’égoïsme est un péché que l’être humain porte en lui depuis la naissance et c’est le plus difficile à combattre. »
il y a un an
Je suis dans le pétrin pour trouver des films, j'ai été " ousté " de Ygg, les inscriptions sont fermées et j'ai pas d'autres comtpes.
Du jour au lendemain, sans prévenir
il y a un an
Lulu
1 an
Quelques anecdotes récupérées sur le film Rashomon.
🪐Le film a été réalisé pendant la période d'occupation américaine du Japon, durant laquelle la production cinématographique était étroitement contrôlée et pouvait mener à des interdictions d'exploitation immédiates. L'évocation de samouraïs et de combats au sabre était interdite.
Akira Kurosawa rencontra beaucoup de difficultés pour produire son film, qui ne fut autorisé que par l'assouplissement de la censure due à la guerre de Corée.
🪐Il serait aussi possible de voir dans le film deux thèmes qui ont profondément marqué le Japon. D'abord, les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki : Kurosawa y ferait référence lorsque le bandit, lors de son procès, lève ses yeux pensifs vers le ciel, et que le plan suivant montre longuement un gigantesque nuage. Ensuite, le procès de Tokyo qui venait de s'achever et dont l'empereur avait été tenu à l'écart sans être jugé : on pourrait y voir un lien avec le fait que la sentence du procès du bandit n'est pas prononcée. Ces deux thèmes auraient probablement été perçus par le public japonais de l'époque
🪐Akira Kurosawa suggère que son œuvre révèle l'incapacité de l'homme à être honnête, non seulement avec les autres, mais surtout avec lui-même.
« L’Homme est incapable d’être honnête avec lui-même. Il est incapable de parler honnêtement de lui-même sans embellir le tableau. Ce scénario parle de gens comme ça (ce genre d’individus qui ne peuvent survivre sans mentir pour se montrer meilleur qu’ils ne le sont vraiment. Il montre également que ce besoin de faussement se flatter continue même dans la tombe puisque même le personnage mort ne peut s’empêcher de mentir sur lui-même en parlant à travers le médium). L’égoïsme est un péché que l’être humain porte en lui depuis la naissance et c’est le plus difficile à combattre. »
🪐Le film a été réalisé pendant la période d'occupation américaine du Japon, durant laquelle la production cinématographique était étroitement contrôlée et pouvait mener à des interdictions d'exploitation immédiates. L'évocation de samouraïs et de combats au sabre était interdite.
Akira Kurosawa rencontra beaucoup de difficultés pour produire son film, qui ne fut autorisé que par l'assouplissement de la censure due à la guerre de Corée.
🪐Il serait aussi possible de voir dans le film deux thèmes qui ont profondément marqué le Japon. D'abord, les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki : Kurosawa y ferait référence lorsque le bandit, lors de son procès, lève ses yeux pensifs vers le ciel, et que le plan suivant montre longuement un gigantesque nuage. Ensuite, le procès de Tokyo qui venait de s'achever et dont l'empereur avait été tenu à l'écart sans être jugé : on pourrait y voir un lien avec le fait que la sentence du procès du bandit n'est pas prononcée. Ces deux thèmes auraient probablement été perçus par le public japonais de l'époque
🪐Akira Kurosawa suggère que son œuvre révèle l'incapacité de l'homme à être honnête, non seulement avec les autres, mais surtout avec lui-même.
« L’Homme est incapable d’être honnête avec lui-même. Il est incapable de parler honnêtement de lui-même sans embellir le tableau. Ce scénario parle de gens comme ça (ce genre d’individus qui ne peuvent survivre sans mentir pour se montrer meilleur qu’ils ne le sont vraiment. Il montre également que ce besoin de faussement se flatter continue même dans la tombe puisque même le personnage mort ne peut s’empêcher de mentir sur lui-même en parlant à travers le médium). L’égoïsme est un péché que l’être humain porte en lui depuis la naissance et c’est le plus difficile à combattre. »
Infos intéressantes.
Film d'époque semblant relever d'un genre très codifié, Rashōmon emprunte à des styles de jeu inhabituels, venus du théâtre traditionnel japonais, notamment de certains styles correspondant à l'époque à laquelle est située l'action (aux alentours de l'an 1000) comme le Sarugaku. Celui-ci se caractérise par des outrances dans l'interprétation, qui mobilise volontiers hurlements et visages grimaçants.
Je ne connaissais que le jeu de théâtre de No et de Kabuki.
Film d'époque semblant relever d'un genre très codifié, Rashōmon emprunte à des styles de jeu inhabituels, venus du théâtre traditionnel japonais, notamment de certains styles correspondant à l'époque à laquelle est située l'action (aux alentours de l'an 1000) comme le Sarugaku. Celui-ci se caractérise par des outrances dans l'interprétation, qui mobilise volontiers hurlements et visages grimaçants.
Je ne connaissais que le jeu de théâtre de No et de Kabuki.
il y a un an
Je viens de finir Rashomon et je crois que je suis passé complètement a côté de son propos
c'est pas mauvais mais ça me touche absolument pas, ça cabotine beaucoup en dehors du personnage de Tajomoru qui est le plus gros plus du film de part son investissement dans son interprétation
je crois que ce qui me bloque, c'est l'absence de vrai dénouement, c'est pas inintéressant, c'est que tu es face a une approche ou tout le monde s'arrange avec la vérité et qu'au final, ba rien
Histoire de ne pas sembler d'une mauvaise foi crasse, je me suis mis en tête de lire des critiques Sens critique sur le film pour comprendre a quel moment j'ai bien pu décrocher et être autant dans l'incompréhension face a ce film
Donc des bonnes, des mauvaise et ça parle énormément du rôle de la pluie, de l'ambiance générale et honnêtement, on dirait un film que tout le monde dit aimer parce que sinon tu n'es pas un cinéphile, certaines critiques ressemblent à des délires de celui qui trouvera le sens le plus caché au film
Je suis sûrement nerf par mes attentes ou le fait de ne jamais avoir été confronté au style de Kurosawa, c'est possible aussi, je ne ferme pas la porte a en regarder d'autres du réalisateur
me jetez pas la pierre, ça se regarde même si l'absence de vérité absolue me fait me dire " ok mais du coup ? "
une fois, tout les éléments en poche, on te laisse un peu de côté avec tes questionnements
c'est pas mauvais mais ça me touche absolument pas, ça cabotine beaucoup en dehors du personnage de Tajomoru qui est le plus gros plus du film de part son investissement dans son interprétation
je crois que ce qui me bloque, c'est l'absence de vrai dénouement, c'est pas inintéressant, c'est que tu es face a une approche ou tout le monde s'arrange avec la vérité et qu'au final, ba rien
Histoire de ne pas sembler d'une mauvaise foi crasse, je me suis mis en tête de lire des critiques Sens critique sur le film pour comprendre a quel moment j'ai bien pu décrocher et être autant dans l'incompréhension face a ce film
Donc des bonnes, des mauvaise et ça parle énormément du rôle de la pluie, de l'ambiance générale et honnêtement, on dirait un film que tout le monde dit aimer parce que sinon tu n'es pas un cinéphile, certaines critiques ressemblent à des délires de celui qui trouvera le sens le plus caché au film
Je suis sûrement nerf par mes attentes ou le fait de ne jamais avoir été confronté au style de Kurosawa, c'est possible aussi, je ne ferme pas la porte a en regarder d'autres du réalisateur
me jetez pas la pierre, ça se regarde même si l'absence de vérité absolue me fait me dire " ok mais du coup ? "
une fois, tout les éléments en poche, on te laisse un peu de côté avec tes questionnements
il y a un an
Tapukoko
1 an
Je viens de finir Rashomon et je crois que je suis passé complètement a côté de son propos
c'est pas mauvais mais ça me touche absolument pas, ça cabotine beaucoup en dehors du personnage de Tajomoru qui est le plus gros plus du film de part son investissement dans son interprétation
je crois que ce qui me bloque, c'est l'absence de vrai dénouement, c'est pas inintéressant, c'est que tu es face a une approche ou tout le monde s'arrange avec la vérité et qu'au final, ba rien
Histoire de ne pas sembler d'une mauvaise foi crasse, je me suis mis en tête de lire des critiques Sens critique sur le film pour comprendre a quel moment j'ai bien pu décrocher et être autant dans l'incompréhension face a ce film
Donc des bonnes, des mauvaise et ça parle énormément du rôle de la pluie, de l'ambiance générale et honnêtement, on dirait un film que tout le monde dit aimer parce que sinon tu n'es pas un cinéphile, certaines critiques ressemblent à des délires de celui qui trouvera le sens le plus caché au film
Je suis sûrement nerf par mes attentes ou le fait de ne jamais avoir été confronté au style de Kurosawa, c'est possible aussi, je ne ferme pas la porte a en regarder d'autres du réalisateur
me jetez pas la pierre, ça se regarde même si l'absence de vérité absolue me fait me dire " ok mais du coup ? "
une fois, tout les éléments en poche, on te laisse un peu de côté avec tes questionnements
c'est pas mauvais mais ça me touche absolument pas, ça cabotine beaucoup en dehors du personnage de Tajomoru qui est le plus gros plus du film de part son investissement dans son interprétation
je crois que ce qui me bloque, c'est l'absence de vrai dénouement, c'est pas inintéressant, c'est que tu es face a une approche ou tout le monde s'arrange avec la vérité et qu'au final, ba rien
Histoire de ne pas sembler d'une mauvaise foi crasse, je me suis mis en tête de lire des critiques Sens critique sur le film pour comprendre a quel moment j'ai bien pu décrocher et être autant dans l'incompréhension face a ce film
Donc des bonnes, des mauvaise et ça parle énormément du rôle de la pluie, de l'ambiance générale et honnêtement, on dirait un film que tout le monde dit aimer parce que sinon tu n'es pas un cinéphile, certaines critiques ressemblent à des délires de celui qui trouvera le sens le plus caché au film
Je suis sûrement nerf par mes attentes ou le fait de ne jamais avoir été confronté au style de Kurosawa, c'est possible aussi, je ne ferme pas la porte a en regarder d'autres du réalisateur
me jetez pas la pierre, ça se regarde même si l'absence de vérité absolue me fait me dire " ok mais du coup ? "
une fois, tout les éléments en poche, on te laisse un peu de côté avec tes questionnements
salut khey. Déjà je te rassure. Aucun problème que t'as détesté si d'autres ont aimé.
C'est tout le but du topic en fait.
Découvrir des nouveaux horizons sans savoir sur quoi on va tomber.
Je comprends ce que tu veux dire dans le sens où il m'a fallu du temps pour rentrer dans l'histoire.
Le film se veut très expérimental car Kurosawa avait la nostalgie des films muets et de leur esthétique.
C'est quelque chose qui l'a beaucoup hanté d'après son autobiographie et qu'il a tenté de recréer avec ce film.
Oui je suis pareil que toi quand je lis des critiques sur sens critique
Les gens ont tout compris mieux que tout le monde même quand le réalisateur ou les scénaristes disent le contraire en général.
" c tro profon tu peux pas comprendre
"
Ton point de vue rejoint en fait l'accueil qui a été réservé au Japon.
Kurosawa dit qu'il a toujours été mieux accueilli à l'étranger quand les Japonais ne comprenaient pas où il voulait en venir.
Moi j'y ai vu vraiment l'impossibilité pour l'Homme de se tenir dans la vérité.
C'est tout le but du topic en fait.
Découvrir des nouveaux horizons sans savoir sur quoi on va tomber.
Je comprends ce que tu veux dire dans le sens où il m'a fallu du temps pour rentrer dans l'histoire.
Le film se veut très expérimental car Kurosawa avait la nostalgie des films muets et de leur esthétique.
C'est quelque chose qui l'a beaucoup hanté d'après son autobiographie et qu'il a tenté de recréer avec ce film.
Oui je suis pareil que toi quand je lis des critiques sur sens critique
Les gens ont tout compris mieux que tout le monde même quand le réalisateur ou les scénaristes disent le contraire en général.
" c tro profon tu peux pas comprendre
Ton point de vue rejoint en fait l'accueil qui a été réservé au Japon.
Kurosawa dit qu'il a toujours été mieux accueilli à l'étranger quand les Japonais ne comprenaient pas où il voulait en venir.
Moi j'y ai vu vraiment l'impossibilité pour l'Homme de se tenir dans la vérité.
il y a un an
Merci bcp khey.
On est vraiment dans le pétrin sans YGG en fait quand on recherche quelque chose qui n'est pas mainstream car c'est mission impossible.
J'ai réussi a recréer un compte, je vais essayer les astuces postées mais je te remercie pour ton aide. Je te crierai au secours si ça foire
On est vraiment dans le pétrin sans YGG en fait quand on recherche quelque chose qui n'est pas mainstream car c'est mission impossible.
J'ai réussi a recréer un compte, je vais essayer les astuces postées mais je te remercie pour ton aide. Je te crierai au secours si ça foire
il y a un an
salut khey. Déjà je te rassure. Aucun problème que t'as détesté si d'autres ont aimé.
C'est tout le but du topic en fait.
Découvrir des nouveaux horizons sans savoir sur quoi on va tomber.
Je comprends ce que tu veux dire dans le sens où il m'a fallu du temps pour rentrer dans l'histoire.
Le film se veut très expérimental car Kurosawa avait la nostalgie des films muets et de leur esthétique.
C'est quelque chose qui l'a beaucoup hanté d'après son autobiographie et qu'il a tenté de recréer avec ce film.
Oui je suis pareil que toi quand je lis des critiques sur sens critique
Les gens ont tout compris mieux que tout le monde même quand le réalisateur ou les scénaristes disent le contraire en général.
" c tro profon tu peux pas comprendre
"
Ton point de vue rejoint en fait l'accueil qui a été réservé au Japon.
Kurosawa dit qu'il a toujours été mieux accueilli à l'étranger quand les Japonais ne comprenaient pas où il voulait en venir.
Moi j'y ai vu vraiment l'impossibilité pour l'Homme de se tenir dans la vérité.
C'est tout le but du topic en fait.
Découvrir des nouveaux horizons sans savoir sur quoi on va tomber.
Je comprends ce que tu veux dire dans le sens où il m'a fallu du temps pour rentrer dans l'histoire.
Le film se veut très expérimental car Kurosawa avait la nostalgie des films muets et de leur esthétique.
C'est quelque chose qui l'a beaucoup hanté d'après son autobiographie et qu'il a tenté de recréer avec ce film.
Oui je suis pareil que toi quand je lis des critiques sur sens critique
Les gens ont tout compris mieux que tout le monde même quand le réalisateur ou les scénaristes disent le contraire en général.
" c tro profon tu peux pas comprendre
Ton point de vue rejoint en fait l'accueil qui a été réservé au Japon.
Kurosawa dit qu'il a toujours été mieux accueilli à l'étranger quand les Japonais ne comprenaient pas où il voulait en venir.
Moi j'y ai vu vraiment l'impossibilité pour l'Homme de se tenir dans la vérité.
Disons que c'est un film qui a des critiques dithyrambiques et toi, tu es là a te dire " j'évite un max les super-productions, pas réticent a regarder des petites trouvailles ici et la et je me penche sur ce film et je comprends rien a ce qu'il a voulu me proposer bon ba pas besoin de test, je suis officiellement con"
j'aime bien comprendre les choses, même si j'y connais rien,j'ai le truc de chercher a refaire mon retard quand je me penche sur un sujet que je ne maîtrise pas
Enfin bref, j'ai booké quatres films de Kurosawa en plus pour l'adaptation que ça prendra
- l'Ange Ivre
- Sanjuro
- les Bas-fonds
- Kagemusha
aucune idée si c'est les meilleurs mais chaque thématique me parle
- Les Hussards aussi vu que c'est une proposition du Saturne
Je relance d'un Othello, l'adaptation de Orson Welles de ce qu'a fait Shakespeare
Synopsis : À Venise, les succès militaires du général Othello, dit le maure, et son mariage avec la belle Desdémona, fille du sénateur Barbantio, suscitent à la fois l'admiration et la jalousie. Iago, lieutenant d'Othello, va semer le doute dans l'esprit de son général quant à la fidélité de son épouse. Cupide, Iago ne cherche qu'à assouvir son ambition, et tente de parvenir à ses fins en manipulant adroitement chaque personnage.
Si ça donne envie a quelqu'un, c'est une humble contribution
Faudra d'ailleurs que je change de méthode de recherche, les années 50 se limite pas a 100 films qui apparaissent dans tous les tops, il y a d'autres trucs a voir,d'autres propositions
j'aime bien comprendre les choses, même si j'y connais rien,j'ai le truc de chercher a refaire mon retard quand je me penche sur un sujet que je ne maîtrise pas
Enfin bref, j'ai booké quatres films de Kurosawa en plus pour l'adaptation que ça prendra
- l'Ange Ivre
- Sanjuro
- les Bas-fonds
- Kagemusha
aucune idée si c'est les meilleurs mais chaque thématique me parle
- Les Hussards aussi vu que c'est une proposition du Saturne
Je relance d'un Othello, l'adaptation de Orson Welles de ce qu'a fait Shakespeare
Synopsis : À Venise, les succès militaires du général Othello, dit le maure, et son mariage avec la belle Desdémona, fille du sénateur Barbantio, suscitent à la fois l'admiration et la jalousie. Iago, lieutenant d'Othello, va semer le doute dans l'esprit de son général quant à la fidélité de son épouse. Cupide, Iago ne cherche qu'à assouvir son ambition, et tente de parvenir à ses fins en manipulant adroitement chaque personnage.
Si ça donne envie a quelqu'un, c'est une humble contribution
Faudra d'ailleurs que je change de méthode de recherche, les années 50 se limite pas a 100 films qui apparaissent dans tous les tops, il y a d'autres trucs a voir,d'autres propositions
il y a un an
Je te rejoins khey. J'en ai pensé exactement la même chose.
Le réalisateur a mis en avant la guerre des vaincus. Ca se sent dans le film. Il y a une vision très pessimiste tout du long concernant la perte de foi en l'humanité.
Au final il nous laisse juge de savoir qui dit la vérité ou se console dans le mensonge.
On ne voit à aucun moment à quoi ressemble le magistrat. C'est le spectateur lui-même.
Le réalisateur a mis en avant la guerre des vaincus. Ca se sent dans le film. Il y a une vision très pessimiste tout du long concernant la perte de foi en l'humanité.
Au final il nous laisse juge de savoir qui dit la vérité ou se console dans le mensonge.
On ne voit à aucun moment à quoi ressemble le magistrat. C'est le spectateur lui-même.
il y a un an
Pas de souci khey.
On a commencé avec La beauté du diable, ensuite Rashomon, et après les Hussards.
C'est pas une course, ni une compétition. C'est une façon de découvrir de nouveaux horizonches.
On a commencé avec La beauté du diable, ensuite Rashomon, et après les Hussards.
C'est pas une course, ni une compétition. C'est une façon de découvrir de nouveaux horizonches.
il y a un an
Disons que c'est un film qui a des critiques dithyrambiques et toi, tu es là a te dire " j'évite un max les super-productions, pas réticent a regarder des petites trouvailles ici et la et je me penche sur ce film et je comprends rien a ce qu'il a voulu me proposer bon ba pas besoin de test, je suis officiellement con"
j'aime bien comprendre les choses, même si j'y connais rien,j'ai le truc de chercher a refaire mon retard quand je me penche sur un sujet que je ne maîtrise pas
Enfin bref, j'ai booké quatres films de Kurosawa en plus pour l'adaptation que ça prendra
- l'Ange Ivre
- Sanjuro
- les Bas-fonds
- Kagemusha
aucune idée si c'est les meilleurs mais chaque thématique me parle
- Les Hussards aussi vu que c'est une proposition du Saturne
Je relance d'un Othello, l'adaptation de Orson Welles de ce qu'a fait Shakespeare
Synopsis : À Venise, les succès militaires du général Othello, dit le maure, et son mariage avec la belle Desdémona, fille du sénateur Barbantio, suscitent à la fois l'admiration et la jalousie. Iago, lieutenant d'Othello, va semer le doute dans l'esprit de son général quant à la fidélité de son épouse. Cupide, Iago ne cherche qu'à assouvir son ambition, et tente de parvenir à ses fins en manipulant adroitement chaque personnage.
Si ça donne envie a quelqu'un, c'est une humble contribution
Faudra d'ailleurs que je change de méthode de recherche, les années 50 se limite pas a 100 films qui apparaissent dans tous les tops, il y a d'autres trucs a voir,d'autres propositions
j'aime bien comprendre les choses, même si j'y connais rien,j'ai le truc de chercher a refaire mon retard quand je me penche sur un sujet que je ne maîtrise pas
Enfin bref, j'ai booké quatres films de Kurosawa en plus pour l'adaptation que ça prendra
- l'Ange Ivre
- Sanjuro
- les Bas-fonds
- Kagemusha
aucune idée si c'est les meilleurs mais chaque thématique me parle
- Les Hussards aussi vu que c'est une proposition du Saturne
Je relance d'un Othello, l'adaptation de Orson Welles de ce qu'a fait Shakespeare
Synopsis : À Venise, les succès militaires du général Othello, dit le maure, et son mariage avec la belle Desdémona, fille du sénateur Barbantio, suscitent à la fois l'admiration et la jalousie. Iago, lieutenant d'Othello, va semer le doute dans l'esprit de son général quant à la fidélité de son épouse. Cupide, Iago ne cherche qu'à assouvir son ambition, et tente de parvenir à ses fins en manipulant adroitement chaque personnage.
Si ça donne envie a quelqu'un, c'est une humble contribution
Faudra d'ailleurs que je change de méthode de recherche, les années 50 se limite pas a 100 films qui apparaissent dans tous les tops, il y a d'autres trucs a voir,d'autres propositions
Oui je vois ce que tu veux dire, mais c'est comme tout, ça s'apprend. Le sentiment de frustration d'être passé à côté.
Le propre de l'être humain c'est justement son évolution.
J'ai écouté cette vidéo qui parle de Rashomon aujourd'hui, ça pourrait te donner quelques clefs.
Le propre de l'être humain c'est justement son évolution.
J'ai écouté cette vidéo qui parle de Rashomon aujourd'hui, ça pourrait te donner quelques clefs.
il y a un an
il y a un an
Lulu
1 an
Je télécharge les Hussards.
Je suis en train de regarder le video-club sur Rashomon, a peu près 1/4 de vidéo, il parle des critiques japonaises qui étaient mitigés sur ce film et qui vendait selon eux, "un Japon de carte postale"
Mais c'est normal en fait et ça a attrait a l'habitude et la nature humaine
On ne voit pas ce que l'on a et on convoite ce que les autres ont en plus
Le cinéma français de nos jours (pour l'exemple) a tendance a donner une matière taillée et randomisé facile a consommer et a comprende, ba, c'est pas spécialement excitant a regarder vu que c'est assez brut
Mais je suppose que des étrangers regardent ça et se disent que c'est bien parce qu'ils n'ont pas l'habitude de regarder l'enième drame française ou comédie
pour nous
Je continue et je reviens taleur
Mais c'est normal en fait et ça a attrait a l'habitude et la nature humaine
On ne voit pas ce que l'on a et on convoite ce que les autres ont en plus
Le cinéma français de nos jours (pour l'exemple) a tendance a donner une matière taillée et randomisé facile a consommer et a comprende, ba, c'est pas spécialement excitant a regarder vu que c'est assez brut
Mais je suppose que des étrangers regardent ça et se disent que c'est bien parce qu'ils n'ont pas l'habitude de regarder l'enième drame française ou comédie
pour nous
Je continue et je reviens taleur
il y a un an