Ce sujet a été résolu
C'est la première armée à l'avoir pratiquée à grande échelle et avec succès alors que c'était pas du tout évident pour la plupart des pays à l'époque
il y a 2 ans
La difficulté côté soviétique se situe davantage dans le fait de devoir compenser leurs pertes importantes par des soldats aussi bien entraînés. Sans oublier l'arrivée du T 34 85 à nouvelle tourelle qui demandera une formation accentuée de tankiste ainsi que le fait de devoir retirer des tankistes, et notamment ceux des T 34 76 pour les former et les familiariser aux nouveau T 34 85. Concernant la Ostheer, ce sera au niveau de l'infanterie que cela posera problèmes, notamment à cause des pertes endurées à durant les opérations Koutouzov et Rumiantsev, respectivement à Orel et à Kharkov.
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il y a 2 ans
Pour ce qui est de l'opération Rumiantsev, Staline voulait lancer à l'assaut les front de Voronej et de Steppe dès le 23 juillet, date de leur retour sur leurs positions de départ. Mais Joukov comme Vassilevski protestent, arguant l'affaiblissement des blindés durant la phase défensive à Koursk. Non seulement il faut attendre le retour des tankistes blessés à cause de la crise d'effectifs que connaissent les Soviétiques dans ce domaine mais en plus de cela, il faut attendre la réparations de plusieurs dizaines de chars. La planification doit également être repensée étant donné que le Front de Steppe, en tant que réserve du côté de Vatounine a servi de réservoir à ce dernier lorsque Vatounine connaissait des difficultés face à Manstein. C'est d'autant plus compliqué que les souvenirs des contre attaques de Manstein reste présent. Or c'est lui qu'il faudra affronter au cours de cette opération. Staline accepte finalement de décaler la date au début du mois d'aout. Le plan établi par Joukov est typique venant de lui, à savoir à la fois simple et brutal. Lui qui est connu pour se servir de ses armées comme d'une masse plus que jouant la maneuvre. Le plan en question implique 3 armées du Front de la Steppe, à savoir la majeure partie de la 7ème Armée de la Garde, la 53 et la 69ème Armées, commandées par les généraux soviétiques Choumilov, Kriuchenkin et Managarov ainsi que 2 armées du côté du Front de Voronej, à savoir les 5ème et 6ème Armées de la Garde, respectivement dirigées par les généraux soviétiques Zhadov et Chistiakiv, qui doivent percer la défense allemande au nord ouest de Bielgorod à la jonction entre la 4ème Armée Panzer et le détachement de Kempf. Ensuite, les 4 Corps mécanisés ou blindés rattachés à ces armées ( 2 pour le Front Steppe, 2 pour le Front Voronej ), élargissent la brèche, les tanks de Vatounine devant repousser les forces de la 4ème Panzer vers l'Ouest et ceux de Koniev devant repousser le détachement de Kempf vers le Sud.
Enfin, les 1ère et 5ème Armées de tanks de Katoukov et Rotmistrov, exploitent dans la profondeur en plongeant vers le sud, l'objectif étant de capturer le centre logistique qu'est Bogoduchov puis de se rabattre vers le sud est dans une optique d'encerclement de Kharkov. Malgré la simplicité apparente du plan établi, la coordination est tout sauf facile. En effet, les attaques sont échelonnés entre le 3 et le 8 aout, de telle sorte que les Armées doivent attaquer l'une après l'autre, l'objectif visé étant logiquement de disperser les forces de Manstein et de profiter de la supériorité numérique en hommes comme en matériel et d'épuiser les réserves allemandes. Or dans le nord ouest de Bielgorod sont concentrées les meilleures unités allemandes se trouvant dans le secteur. Or c'est dans cette zone que devra être porté le premier coup, qui se devra d'être le plus efficace possible. Il s'agit d'affaiblir les forces de Manstein afin de les désunir et permettre aux Armées qui attaqueront les jours suivant de percer plus facilement les défenses ennemies. De plus, l'Armée rouge bénéficie dans ce secteur d'un affaiblissement non négligeable des forces de la Wehrmacht étant donné que la puissante division de la Grossdeutschland est partie pour Orel et que la Leibstandarte, elle, a été rapatriée vers l'Ouest, en Italie. De plus, les Soviétiques ont réussit à faire croire aux Allemands qu'une grande offensive se préparait à l'extrêmité sud ouest du saillant de Koursk. La double offensive, l'une se situant sur la grande boucle du Donetz dans la région d'Izium, l'autre sur le Misous, au nord de Godolaievka, en revanche, n'est pas masquée par les Soviétiques. Au contraire même. Une fois la double offensive débutée, les 2 importantes divisions allemandes que sont la Das Reich et le Totankopf sont envoyés sur le Mious, ce qui était le but rechercher par les Soviétiques.
Malgré la fin de la double offensive de manière définitive le 3 aout et de lourdes pertes côté soviétiques, la 6ème Armée allemande a tout de même perdu 23 855 hommes si on en croit du moins l'historien Earl Ziemke. dans son ouvrage consacré sur le sujet : From Stalingrad to Berlin à la page 138.
Enfin, les 1ère et 5ème Armées de tanks de Katoukov et Rotmistrov, exploitent dans la profondeur en plongeant vers le sud, l'objectif étant de capturer le centre logistique qu'est Bogoduchov puis de se rabattre vers le sud est dans une optique d'encerclement de Kharkov. Malgré la simplicité apparente du plan établi, la coordination est tout sauf facile. En effet, les attaques sont échelonnés entre le 3 et le 8 aout, de telle sorte que les Armées doivent attaquer l'une après l'autre, l'objectif visé étant logiquement de disperser les forces de Manstein et de profiter de la supériorité numérique en hommes comme en matériel et d'épuiser les réserves allemandes. Or dans le nord ouest de Bielgorod sont concentrées les meilleures unités allemandes se trouvant dans le secteur. Or c'est dans cette zone que devra être porté le premier coup, qui se devra d'être le plus efficace possible. Il s'agit d'affaiblir les forces de Manstein afin de les désunir et permettre aux Armées qui attaqueront les jours suivant de percer plus facilement les défenses ennemies. De plus, l'Armée rouge bénéficie dans ce secteur d'un affaiblissement non négligeable des forces de la Wehrmacht étant donné que la puissante division de la Grossdeutschland est partie pour Orel et que la Leibstandarte, elle, a été rapatriée vers l'Ouest, en Italie. De plus, les Soviétiques ont réussit à faire croire aux Allemands qu'une grande offensive se préparait à l'extrêmité sud ouest du saillant de Koursk. La double offensive, l'une se situant sur la grande boucle du Donetz dans la région d'Izium, l'autre sur le Misous, au nord de Godolaievka, en revanche, n'est pas masquée par les Soviétiques. Au contraire même. Une fois la double offensive débutée, les 2 importantes divisions allemandes que sont la Das Reich et le Totankopf sont envoyés sur le Mious, ce qui était le but rechercher par les Soviétiques.
Malgré la fin de la double offensive de manière définitive le 3 aout et de lourdes pertes côté soviétiques, la 6ème Armée allemande a tout de même perdu 23 855 hommes si on en croit du moins l'historien Earl Ziemke. dans son ouvrage consacré sur le sujet : From Stalingrad to Berlin à la page 138.
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il y a 2 ans
L'offensive débute le 5 aout comme prévu au nord ouest de Bielgorod avec une préparation d'artillerie pour commencer à affaiblir la première ligne de défense allemande. L'allongement des tirs constituent le signal de l'assaut de l'infanterie soviétique. Plusieurs kilomètres sont effectués au cours de la percée venue des 5ème et 6ème Armées de la Garde, ainsi que de la 53ème Armée. La 6ème Armée de la Garde détruit la 167 ème division d'infanterie allemande. Les éléments de pointe des 2 Armées de tanks sont introduits aussitôt, à savoir les 1ère et 5ème Garde. L'avancée est telle qu'en même pas 1 journée l'avancée est de plus de 25 kilomètres. Ce qui entraîne la rupture de la voie ferrée reliant Bielgorod et Tomarovka.
Si Manstein s'attendait à une attaque, il ne pouvait pas prévoir qu'elle serait aussi forte à cause du fait que nombre de ces unités avait déjà été fortement abimes plusieurs semaines auparavant à Koursk. Malgré l'embarquement dans des trains de Totenkpof et de Das Reich, la 4ème Armée Panzer, en attendant leur arrivée, est obligée de lutter seule de son côté. Si le Front de Voronej se comporte parfaitement, le Front de la Steppe a un peu plus de mal à franchir le Donetz au sud et à l'est de Bielgorod. De telle sorte qu'il faudra attendre le 8 aout pour que le XIème Corps allemand, dirigé par Raus, constitué des 320ème, 106ème et 168ème divisions, reculent de leur position. Ainsi, de 42 955 hommes en état de se battre la veille de l'opération Citadelle le 4 juillet, elle passe à seulement plus de 16 000 après l'opération Rumiantsev à la fin du mois d'aout. Sachant que les 27 000 pertes allemandes n'ont été remplacées qu'à même pas 30%. Le 5 aout, Bielgorod est reconquise par la 89ème division de la Garde Soviétique du Front de la Steppe tout comme Orel est liberée le 5 aout également. Rien n'y fait malgré la résistance acharnée côté allemand comme on a pu le constater à Borisovka et à Graivoron avec 5 divisions d'infanterie allemande.
De plus, les attaques menées par les 27ème, 38ème et 40ème Armées font que les divisions Panzers ne peuvent que très difficilement maneuvrer. Le front est ainsi percé de 50 kilomètres à la fin de la journée du 7 aout.
Si Manstein s'attendait à une attaque, il ne pouvait pas prévoir qu'elle serait aussi forte à cause du fait que nombre de ces unités avait déjà été fortement abimes plusieurs semaines auparavant à Koursk. Malgré l'embarquement dans des trains de Totenkpof et de Das Reich, la 4ème Armée Panzer, en attendant leur arrivée, est obligée de lutter seule de son côté. Si le Front de Voronej se comporte parfaitement, le Front de la Steppe a un peu plus de mal à franchir le Donetz au sud et à l'est de Bielgorod. De telle sorte qu'il faudra attendre le 8 aout pour que le XIème Corps allemand, dirigé par Raus, constitué des 320ème, 106ème et 168ème divisions, reculent de leur position. Ainsi, de 42 955 hommes en état de se battre la veille de l'opération Citadelle le 4 juillet, elle passe à seulement plus de 16 000 après l'opération Rumiantsev à la fin du mois d'aout. Sachant que les 27 000 pertes allemandes n'ont été remplacées qu'à même pas 30%. Le 5 aout, Bielgorod est reconquise par la 89ème division de la Garde Soviétique du Front de la Steppe tout comme Orel est liberée le 5 aout également. Rien n'y fait malgré la résistance acharnée côté allemand comme on a pu le constater à Borisovka et à Graivoron avec 5 divisions d'infanterie allemande.
De plus, les attaques menées par les 27ème, 38ème et 40ème Armées font que les divisions Panzers ne peuvent que très difficilement maneuvrer. Le front est ainsi percé de 50 kilomètres à la fin de la journée du 7 aout.
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il y a 2 ans
Au niveau des pertes globales, si on en croit le général et historien Krivochéev, l'opération Citadelle aurait à elle seule coûté plus de 12% des effectifs engagées dans la bataille. Sachant qu'à l'extrême gauche du saillant de Koursk, les 38ème, 60ème et 65ème Armées n'ont pas été directement impliquées dans la bataille. Les pertes des unités varient allant au niveau divisionnaire de 20 à 70%. Pour un total de plus de 80% des pertes Soviétiques attribuables à la tenaille sud de Manstein. Pas trop surprenant de ce point de vue là.
Cependant, un autre historien russe, un certain Boris Sokolov a mis en cause les chiffres de Krivochéev de 1993. Dans le cadre d'un ouvrage paru en 1996 auquel d'autres auteurs ont participé, il parle d'incohérences de nombre de sources, relevant un recensement du nombre de soldats au Front du Centre de 738 000 hommes le 5 puis de 645 000 hommes le 12 juillet, ce qui parait impossible. Cela signifierait qu'il y ait eu 92 700 pertes et ce malgré le fait que Krivochéev estime les pertes à 33 897 seulement durant la même période. Pour Sokolov, les pertes s'élèvent en réalité à 317 000 au total dont 90 000 pour le Front du Centre et 227 000 pour les Front Voronej et Steppe. Difficile de savoir qui est le plus proche de la réalité étant donné la vieille habitude de l'Armée rouge à compter ses morts et ses blessés de manière chaotique tout au long de la guerre, ce qui donne en fin de compte des sources assez incohérentes. Pour Krivochéev, il y a eu 230 000 pertes subies par l'Armée rouge durant Citadelle entre le 5 et le 23 juillet. Sachant qu'en 37 jours de combat, la bataille de l'Orel a eu pour résultat la perte de 429 890 soldats au total. Soit respectivement 12 105 et 11 618 pertes pour Citadelle et Orel. Et ce malgré le fait qu'à Orel l'Armée rouge ait été à l'offensive tout en disposant de meilleurs conditions qu'à Koursk. Pour l'opération Rumiantsev, les chiffres sont de 255 566 pertes au total sur 21 jours soit 12 169 par jour.
Cependant, un autre historien russe, un certain Boris Sokolov a mis en cause les chiffres de Krivochéev de 1993. Dans le cadre d'un ouvrage paru en 1996 auquel d'autres auteurs ont participé, il parle d'incohérences de nombre de sources, relevant un recensement du nombre de soldats au Front du Centre de 738 000 hommes le 5 puis de 645 000 hommes le 12 juillet, ce qui parait impossible. Cela signifierait qu'il y ait eu 92 700 pertes et ce malgré le fait que Krivochéev estime les pertes à 33 897 seulement durant la même période. Pour Sokolov, les pertes s'élèvent en réalité à 317 000 au total dont 90 000 pour le Front du Centre et 227 000 pour les Front Voronej et Steppe. Difficile de savoir qui est le plus proche de la réalité étant donné la vieille habitude de l'Armée rouge à compter ses morts et ses blessés de manière chaotique tout au long de la guerre, ce qui donne en fin de compte des sources assez incohérentes. Pour Krivochéev, il y a eu 230 000 pertes subies par l'Armée rouge durant Citadelle entre le 5 et le 23 juillet. Sachant qu'en 37 jours de combat, la bataille de l'Orel a eu pour résultat la perte de 429 890 soldats au total. Soit respectivement 12 105 et 11 618 pertes pour Citadelle et Orel. Et ce malgré le fait qu'à Orel l'Armée rouge ait été à l'offensive tout en disposant de meilleurs conditions qu'à Koursk. Pour l'opération Rumiantsev, les chiffres sont de 255 566 pertes au total sur 21 jours soit 12 169 par jour.
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il y a 2 ans
Au niveau des pertes globales, si on en croit le général et historien Krivochéev, l'opération Citadelle aurait à elle seule coûté plus de 12% des effectifs engagées dans la bataille. Sachant qu'à l'extrême gauche du saillant de Koursk, les 38ème, 60ème et 65ème Armées n'ont pas été directement impliquées dans la bataille. Les pertes des unités varient allant au niveau divisionnaire de 20 à 70%. Pour un total de plus de 80% des pertes Soviétiques attribuables à la tenaille sud de Manstein. Pas trop surprenant de ce point de vue là. Cependant, un autre historien russe, un certain Boris Sokolov a mis en cause les chiffres de Krivochéev de 1993. Dans le cadre d'un ouvrage paru en 1996 auquel d'autres auteurs ont participé, il parle d'incohérences de nombre de sources, relevant un recensement du nombre de soldats au Front du Centre de 738 000 hommes le 5 puis de 645 000 hommes le 12 juillet, ce qui parait impossible. Cela signifierait qu'il y ait eu 92 700 pertes et ce malgré le fait que Krivochéev estime les pertes à 33 897 seulement durant la même période. Pour Sokolov, les pertes s'élèvent en réalité à 317 000 au total dont 90 000 pour le Front du Centre et 227 000 pour les Front Voronej et Steppe. Difficile de savoir qui est le plus proche de la réalité étant donné la vieille habitude de l'Armée rouge à compter ses morts et ses blessés de manière chaotique tout au long de la guerre, ce qui donne en fin de compte des sources assez incohérentes. Pour Krivochéev, il y a eu 230 000 pertes subies par l'Armée rouge durant Citadelle entre le 5 et le 23 juillet. Sachant qu'en 37 jours de combat, la bataille de l'Orel a eu pour résultat la perte de 429 890 soldats au total. Soit respectivement 12 105 et 11 618 pertes pour Citadelle et Orel. Et ce malgré le fait qu'à Orel l'Armée rouge ait été à l'offensive tout en disposant de meilleurs conditions qu'à Koursk. Pour l'opération Rumiantsev, les chiffres sont de 255 566 pertes au total sur 21 jours soit 12 169 par jour.
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il y a 2 ans
Copiés collés de mes précédents topics + ajout histoire de mettre CentNeufJours en sueur encore une fois. J'aime bien le faire chier et mettre en relief son ignorance aux yeux du reste do forum.
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il y a 2 ans
En bref, c'était la première fois de la Seconde Guerre mondiale que les soviétiques réussissait à battre les Allemands en dehors des conditions hivernales. Jusque-là, les Allemands avaient dominé les batailles de l'été que ce soit en 1941 ou encore en 1942.
C'était la première fois qu'une attaque de type Blitzkrieg était repoussée. Les Allemands avaient prévu d'encercler un saillant (renflement de la ligne) pour piéger plusieurs dizaines de milliers de soldats soviétiques, ce qu'ils avaient fait à plusieurs reprises au cours des deux derniers étés avec peu ou pas de résistance. Les Soviétiques ont répliqué en préparant soigneusement le terrain que les Allemands étaient susceptibles d'attaquer pour empêcher les chars d'avancer, puis en lançant leurs forces de première ligne directement sur les deux colonnes de chars qui se formaient de chaque côté du saillant. Là où auparavant les Allemands n'avaient aucun problème à avancer de miles et km en une journée, ils avaient maintenant du mal à avancer de quelques yards ou mètres.
C'était la première fois que les Allemands utilisaient leur nouveau super-char, le Panzer, qui était à peu près un canon anti-aérien sur roues. Il pouvait facilement abattre une cible à 2 km, se déplacer incroyablement rapidement sur un terrain plat et était pratiquement invulnérable aux tirs ennemis. En revanche, il était difficile à produire et avait une maniabilité limitée en raison de sa taille et de son poids. A Koursk, le terrain n'était pas à son goût, il était entouré de cibles plus rapprochées et avait du mal à sortir d'une zone restreinte. C'était un match pour n'importe quel char mais avait une efficacité limitée sur un champ de bataille en constante évolution avec des chars plus petits se déplaçant rapidement.
C'était la première fois qu'une attaque de type Blitzkrieg était repoussée. Les Allemands avaient prévu d'encercler un saillant (renflement de la ligne) pour piéger plusieurs dizaines de milliers de soldats soviétiques, ce qu'ils avaient fait à plusieurs reprises au cours des deux derniers étés avec peu ou pas de résistance. Les Soviétiques ont répliqué en préparant soigneusement le terrain que les Allemands étaient susceptibles d'attaquer pour empêcher les chars d'avancer, puis en lançant leurs forces de première ligne directement sur les deux colonnes de chars qui se formaient de chaque côté du saillant. Là où auparavant les Allemands n'avaient aucun problème à avancer de miles et km en une journée, ils avaient maintenant du mal à avancer de quelques yards ou mètres.
C'était la première fois que les Allemands utilisaient leur nouveau super-char, le Panzer, qui était à peu près un canon anti-aérien sur roues. Il pouvait facilement abattre une cible à 2 km, se déplacer incroyablement rapidement sur un terrain plat et était pratiquement invulnérable aux tirs ennemis. En revanche, il était difficile à produire et avait une maniabilité limitée en raison de sa taille et de son poids. A Koursk, le terrain n'était pas à son goût, il était entouré de cibles plus rapprochées et avait du mal à sortir d'une zone restreinte. C'était un match pour n'importe quel char mais avait une efficacité limitée sur un champ de bataille en constante évolution avec des chars plus petits se déplaçant rapidement.
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il y a 2 ans
Pour résumer autrement et plus simplement Koursk, Trois lignes fortement fortifiées ont été construites avec des champs de mines, des tranchées et des emplacements de canons. Mais le manque de canons antichar restait une préoccupation majeure. Cependant, l’Armée rouge espérait que ses tactiques défensives permettraient de combler cette lacune. Des canons antichars étaient répartis tout le long du front. Mais l’expérience du combat a prouvé qu’ils étaient plus efficaces regroupés. Les canons étaient bien retranchés et couvraient toutes les directions. Chaque point fort contenait jusqu'à 20 canons antichar de 447 mm et des dizaines de fusils antichar PTRS 41. La distance entre les points forts voisins était de 600 à 800 mètres. Si les chars allemands se trouvaient entre 2 points forts, ils devraient exposer leurs blindages latéraux les plus faibles aux canons antichar soviétiques. Il fallut plusieurs semaines de travail éreintant pour construire les points forts et les fossés antichar. Mickail Badigin, mitrailleur antichar, se souvient : « Il a fallu creuser 30 mètres cubes de terre avec un canon antichar de 45 millimètres. Nous avons creusé plus que la plupart des gens ne le feront dans leur vie entière. L'Armée rouge a creusé 4 200 kilomètres de terre. Des tranchées ont été creusées le long du seul front de Voronej. Si elles avaient été creusées en ligne droite, elles s'étendraient de Moscou à Madrid. Le Front central a creusé encore 5 000 kilomètres de tranchées. 2 000 kilomètres de routes ont été construits, ainsi que 686 ponts. Et 300 000 wagons chargés de fournitures et d'équipements ont été livrés au saillant de Koursk. Le saillant de Koursk était désormais la position la plus fortement fortifiée de toute l'histoire de la guerre. Les 445 000 hommes et 1 500 chars du groupe d'armées Sud seraient lancés contre lui depuis le sud. Ils font face au Front Voronej commandé par Nikolaï Vatounine avec 626 000 hommes et 1 700 chars. Au Nord, l'attaque sera menée par Von Kluge depuis le Groupe Armée Centre avec 332 000 hommes et 1 000 chars. Face à eux, les Soviétiques Front du Centre commandé par le général Konstantin Rokossovsky avec 712 000 hommes et 1 800 chars.
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il y a 2 ans
En outre, davantage de troupes soviétiques furent rassemblées dans une réserve stratégique appelée Front des steppes sous le commandement du général Ivan Koniev. La situation de Rokossovsky était plutôt difficile. Il savait que l'assaut allemand devrait venir d'une brèche de 90 kilomètres dans la forêt. Mais les troupes de Vatounin se trouvaient dans une vaste steppe. Rien ne restreignait les mouvements de l'ennemi. Ils pouvaient attaquer de n'importe où. Tout comme Rokossovsky, Vatounin était considéré comme l'un des commandants les plus talentueux parmi les commandants de l'Armée rouge. Son passé paysan et sa ferveur communiste en font un favori de Joseph Staline. C'était un théoricien très respecté de ses adversaires. Certains généraux allemands le surnommaient : Le Grand Maître. Vatounin ne survivra cependant pas à la guerre car il fut tué en 1944 dans une embuscade tendue par les nationalistes ukrainiens en février 1944. Son Front était sur le point de faire face à l'un des assauts militaires les plus puissants de l'histoire. Vatounin, contrairement à Model, était un spécialiste de l'attaque plus que de la défense. Il lui faudrait encore mener la plus grande bataille défensive de l’époque russe et soviétique. Alors que l’Armée rouge se prépare au combat, les ingénieurs se mettent au travail. Un champ de mines dense a été posé autour de chaque point fort. Les deuxième et troisième lignes n’ont pas été autant minées que la première. Au lieu de cela, on leur assigna des unités de génie mobiles dans des camions et des chariots tirés par des chevaux. Leur tâche consistait à poser des champs de mines à la volée sur le chemin des chars ennemis qui avançaient. Un général allemand a noté : « La vitesse à laquelle ils pouvaient poser un champ de mines était étonnante. Les Russes ont posé plus de 30 000 mines en seulement 2 ou 3 jours. Pendant ce temps, les recrues de l'Armée rouge étaient entraînées à vaincre leur peur des chars. envoyés dans leurs tranchées et écrasés par leurs propres chars, ils appelaient cela " Repassage ". Ils étaient également entraînés au lancer de grenades antichars et de cocktails molotov.
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il y a 2 ans
L’Armée rouge a parcouru ses unités d’artillerie avec l’une des couches de canons les plus précises. Les meilleurs sont devenus des artilleurs antichar avec des salaires et des rations améliorés. Ils se sont entraînés dur jusqu'à ce qu'ils soient capables de repérer le point faible d'un char et de viser le canon. 4 régiments étaient armés de canons antichars allemands capturés à Stalingrad plus tôt dans l'année. L'armée de l'air de l'Armée rouge a également reçu de nouvelles armes antichar. Ils avaient attaqué avec une grosse bombe de 50 kg. Mais il était difficile de toucher correctement une cible en mouvement depuis les airs. Les nouvelles bombes ne pesaient que 1,5 kg mais pouvaient pénétrer jusqu'à 100 millimètres de blindage. Comme les chars allemands avaient un blindage beaucoup plus fin sur le dessus, c'était assez facile pour renverser n'importe quel Panzer allemand. 48 bombettes ont été emballées dans un conteneur. Un avion d'attaque au sol Sturmovik pourrait transporter 4 de ces conteneurs. C'était suffisant pour potentiellement dévaster une colonne entière de chars sur un trajet de 200 mètres. Alors que l’attente du début de l’assaut allemand s’éternisait, certains commandants soviétiques devinrent de plus en plus inquiets. Vatounin a exhorté à plusieurs reprises la Stavka à attaquer en premier. " Nous devons saisir l'occasion " " L'ennemi n'attaque pas ", a-t-il déclaré. " L'automne arrive et tous nos projets auront été vains ". " Arrêtons de creuser et lançons d'abord notre attaque ". Mais la réponse était toujours d’attendre. Pendant ce temps, les cartes allemandes contenaient des cartes qui récupéraient avec précision les positions soviétiques et traçaient toutes leurs positions grâce à leur reconnaissance aérienne dans la Luftwaffe. De nombreuses unités soviétiques ont été contraintes de se déplacer. Cette fois, ils ont accordé plus d’attention au camouflage aérien. Pour la troisième fois, la Stavka a averti ses troupes que l'attaque allemande était imminente. Mais à ce moment-là, de fausses alertes commençaient à jouer sur les nerfs des troupes en première ligne. Lev Makilin a déclaré : « On croyait clairement que les Allemands allaient bientôt attaquer. Toutes les unités de nos divisions étaient en état d'alerte.
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il y a 2 ans
En conclusion, les Soviétiques ont gagné, pas artistiquement et pas économiquement, mais assez solidement, et ce malgré des pertes plus importantes en hommes et en matériels.
La bataille s'est déroulée autour de trois villes réparties le long d'une ligne ferroviaire nord-sud dans le centre de la Russie et le nord de l'Ukraine : du nord au sud, Orel, Koursk et Kharkov.
A la fin de la campagne d'hiver 1942/1943, les Allemands tiennent Orel et un saillant N, E et S de celui-ci. Les Soviétiques tenaient Koursk et un saillant faisant saillie au N, à l'O et au S de celui-ci.
Les Allemands tenaient Kharkov, et un saillant faisant saillie de celui-ci se terminant à Belgorod. La chose évidente sur la carte était que les Allemands attaquent au sud d'Orel et au nord de Belgorod et prennent Koursk et coupent les Soviétiques défendant ce saillant, en supposant, bien sûr, que les Soviétiques ne soient pas trop nombreux. [Ils étaient].
La chose évidente du point de vue soviétique était de préparer la défense du saillant de Koursk en profondeur et de poster des réserves suffisantes pour faire face à toute pénétration allemande, la contre-attaquer, et si les Allemands n'étaient pas trop bons dans la guerre des chars mobiles, détruire la pénétration. [Ils étaient trop bons pour permettre ce rêve chimérique trop ambitieux de détruire la pénétration d'un seul coup].
Pour les Soviétiques, au cours de la bataille, les choses allaient et venaient. Ils ont eu une bonne première semaine dans le nord, où les forces de Rokossovsky ont bourré l'attaque allemande presque à la ligne de mêlée et leur propre offensive contre la face nord du saillant d'Orel a gagné du terrain. Leur pire journée était assez bonne : la charge de chars du 12 juillet à Prokhorovka, qui dans la propagande soviétique était un engagement de réunion culminant qui a condamné les Panzers, était en fait un faux visage. Les chars soviétiques ont chargé une force de chars SS allemande qui était prête et attendait derrière un fossé antichar que les Soviétiques eux-mêmes avaient construit, mais la force de chars chargée de la mission d'attaque n'en avait pas entendu parler. Les Soviétiques ont perdu 300 chars en tuant seulement une douzaine ou deux chars allemands. Mais même cela suffisait.
La bataille s'est déroulée autour de trois villes réparties le long d'une ligne ferroviaire nord-sud dans le centre de la Russie et le nord de l'Ukraine : du nord au sud, Orel, Koursk et Kharkov.
A la fin de la campagne d'hiver 1942/1943, les Allemands tiennent Orel et un saillant N, E et S de celui-ci. Les Soviétiques tenaient Koursk et un saillant faisant saillie au N, à l'O et au S de celui-ci.
Les Allemands tenaient Kharkov, et un saillant faisant saillie de celui-ci se terminant à Belgorod. La chose évidente sur la carte était que les Allemands attaquent au sud d'Orel et au nord de Belgorod et prennent Koursk et coupent les Soviétiques défendant ce saillant, en supposant, bien sûr, que les Soviétiques ne soient pas trop nombreux. [Ils étaient].
La chose évidente du point de vue soviétique était de préparer la défense du saillant de Koursk en profondeur et de poster des réserves suffisantes pour faire face à toute pénétration allemande, la contre-attaquer, et si les Allemands n'étaient pas trop bons dans la guerre des chars mobiles, détruire la pénétration. [Ils étaient trop bons pour permettre ce rêve chimérique trop ambitieux de détruire la pénétration d'un seul coup].
Pour les Soviétiques, au cours de la bataille, les choses allaient et venaient. Ils ont eu une bonne première semaine dans le nord, où les forces de Rokossovsky ont bourré l'attaque allemande presque à la ligne de mêlée et leur propre offensive contre la face nord du saillant d'Orel a gagné du terrain. Leur pire journée était assez bonne : la charge de chars du 12 juillet à Prokhorovka, qui dans la propagande soviétique était un engagement de réunion culminant qui a condamné les Panzers, était en fait un faux visage. Les chars soviétiques ont chargé une force de chars SS allemande qui était prête et attendait derrière un fossé antichar que les Soviétiques eux-mêmes avaient construit, mais la force de chars chargée de la mission d'attaque n'en avait pas entendu parler. Les Soviétiques ont perdu 300 chars en tuant seulement une douzaine ou deux chars allemands. Mais même cela suffisait.
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il y a 2 ans
La doublure argentée du fiasco était que les Allemands avaient l'intention de s'attaquer ce jour-là et de prendre Prokhorovka, puis de remonter vers Oboyan (porte sud de Koursk). C'était une ambition irréaliste et char ou pas, ils n'allaient pas pouvoir le faire. Mais en l'occurrence, l'infanterie soviétique et les réserves antichars ont eu le temps d'atteindre ce village et d'y préparer les défenses. Le lendemain, si les Allemands avaient tenté d'avancer sur le village, la défense aurait été prête.
Les Allemands, décontenancés par l'ampleur des attaques soviétiques du 12 juillet, décidèrent assez judicieusement de r s'adapter et de tenter quelque chose qui était en fait dans leurs moyens avec un peu de chance et avec suffisamment d'erreurs tactiques soviétiques : enfermer le 69ème armée soviétique entre le 2nd corps Panzer SS et le détachement d'armée Kempf, qui opérait dans la même zone.
Cela signifiait oublier Koursk. L'attaque à la pince nord du saillant d'Orel avait complètement échoué et était alors mise en danger par une attaque soviétique du nord d'Orel qui arrivait derrière le flanc nord allemand. La pince du sud, dont les efforts allaient être dénués de sens puisque les deux pinces devaient gagner pour que le plan de Koursk fonctionne, s'est tournée vers la tâche de tuer la 69e armée soviétique.
Si cela avait entièrement réussi, cela aurait donné aux Allemands un modeste prix de consolation pour l'échec de leurs plus grandes ambitions. En l'occurrence, environ la moitié de la 69e armée s'est enfuie et les combats n'étaient pas déséquilibrés en faveur des Allemands. Le but de toute l'opération de Koursk était que les Allemands perdaient leur saillant d'Orel et voyaient l'avantage de leurs blindés diminuer. En termes de forces perdues, les Allemands ont perdu moins et pouvaient compter un coup d'État si vous voulez, mais les Soviétiques pouvaient se permettre leurs propres pertes et après Koursk, ils avaient l'initiative. À la mi-août, ils avaient obtenu Orel et étaient en bonne voie pour prendre Kharkov.
Les Allemands, décontenancés par l'ampleur des attaques soviétiques du 12 juillet, décidèrent assez judicieusement de r s'adapter et de tenter quelque chose qui était en fait dans leurs moyens avec un peu de chance et avec suffisamment d'erreurs tactiques soviétiques : enfermer le 69ème armée soviétique entre le 2nd corps Panzer SS et le détachement d'armée Kempf, qui opérait dans la même zone.
Cela signifiait oublier Koursk. L'attaque à la pince nord du saillant d'Orel avait complètement échoué et était alors mise en danger par une attaque soviétique du nord d'Orel qui arrivait derrière le flanc nord allemand. La pince du sud, dont les efforts allaient être dénués de sens puisque les deux pinces devaient gagner pour que le plan de Koursk fonctionne, s'est tournée vers la tâche de tuer la 69e armée soviétique.
Si cela avait entièrement réussi, cela aurait donné aux Allemands un modeste prix de consolation pour l'échec de leurs plus grandes ambitions. En l'occurrence, environ la moitié de la 69e armée s'est enfuie et les combats n'étaient pas déséquilibrés en faveur des Allemands. Le but de toute l'opération de Koursk était que les Allemands perdaient leur saillant d'Orel et voyaient l'avantage de leurs blindés diminuer. En termes de forces perdues, les Allemands ont perdu moins et pouvaient compter un coup d'État si vous voulez, mais les Soviétiques pouvaient se permettre leurs propres pertes et après Koursk, ils avaient l'initiative. À la mi-août, ils avaient obtenu Orel et étaient en bonne voie pour prendre Kharkov.
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il y a 2 ans
Quant à la question de savoir si l'Armée rouge était devenue supérieure à la Wehrmacht à partir de l'année 1943, la réponse est oui, en nombre, puisque l'armée rouge était plus nombreuse que l'armée allemande dans un rapport de 2/1 en février 1943. La Russie avait quelque 6 millions de soldats rassemblés sur le front de bataille contre seulement 3 millions d'Allemands. Les Russes ont toujours eu une division blindée supérieure ayant quelque 22000 chars par rapport à une volaille 3000 chars allemands principalement Panzer mk III qui était inférieur au T - 34 et KV -1 le seul domaine où les Allemands avaient un net avantage était avec leur avion de chasse ayant l'utilisation du ME 109 et du FW 190, JU - 87 & 88, et une bonne efficacité allemande à l'ancienne qui était l'une des raisons pour lesquelles l'infanterie allemande a pu avancer malgré la rencontre de chars russes supérieurs. Aucune des armes antichars actuelles ne fonctionnait sur le T - 34 ou le KV-1. Pour lutter contre cela, le Panzergrenadier allemand essaierait d'attirer les chars russes dans une embuscade où ils pourraient tirer à bout portant sur les chars par les côtés et l'arrière. à des distances inférieures à 50 m, en désespoir de cause, les Allemands ont eu recours au canon antiaérien de 88 mm.
Oui, en conclusion, l'armée rouge était supérieure à l'armée allemande en nombre, la seule raison pour laquelle ils ont été forcés de battre en retraite au début de la Grande Guerre patriotique était due à une combinaison de surprise, étant très mal organisée, manquant d'un approvisionnement adéquat en munitions , et une rupture de la structure de commandement due aux purges de Staline dans les années 1930.
Oui, en conclusion, l'armée rouge était supérieure à l'armée allemande en nombre, la seule raison pour laquelle ils ont été forcés de battre en retraite au début de la Grande Guerre patriotique était due à une combinaison de surprise, étant très mal organisée, manquant d'un approvisionnement adéquat en munitions , et une rupture de la structure de commandement due aux purges de Staline dans les années 1930.
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il y a 2 ans
Sources : "Koursk, les 40 jours qui ont ruiné la Wehrmacht"
Ecrit par Jean Lopez, le plus grand spécialiste français du front de l'est et du conflit germano soviétique.
"L'armée d'Hitler. La Wehrmacht, les nazis et la guerre"
écrit par Bartov Omer, professeur américain d'histoire contemporaine
"Kursk, the Air Battle : July 1943"
Ecrit par Bergstrom Christer, spécialiste suédois des campagnes aériennes sur le front de l'est
"Vor 60 Jahre, Prochorowka
Ecrit par Brand Dieter, général de la Bundeswehr en retraite.
" La guerre à l'est "
Ecrit par Clark Allan,
"The road to Berlin, Stalin's war in Germany" volume 2
Ecrit par John Erickson, historien militaire britannique
"The Battle of Kursk"
Ecrit par David Glantz et Johnattan House,
"Opération terre brûlée. De la Volga à la Vistule. Décembre 1942 aout 1944"
Ecrit par Carell Paul
"Koursk, le choc des blindés"
Ecrit par Jukes Geoffrey
"Das Gesetz des Handelns, die Operation Zitadelle, 1943"
Ecrit par Klink Ernst
"Die Offensive gegen Kursk, 1943, Legende, Mythen und Propaganda".
Ecrit par Roman Toppel, historien allemand
"Kursk 1943, a statistical analysis"
Ecrit par Niklas Zetterling et Anders Frankson, historiens allemands
"La Russie en guerre" les 2 volumes
Ecrit par Alexander Werth, correspondant du Sunday Time et de la BBC à Moscou
""Analyzing World War II, Easter Front Battle" Journal of Slavic Military Studies, volume 11
Ecrit là aussi par Niklas Zetterling et Anders Frankson
"Stalingrad to Berlin, The German defeat in the East"
Ecrit par Earl Ziemke, historien militaire américain
"Colossus Reborn, The Red Army at war, 1941-194"
Ecrit par David Glantz
"Panzer Battles"
Ecrit par Mellenthin, ancien chef d'état major du XXXXVIIIème Corps Panzer durant la WW2.
"Kursk, the German view" Firsthand accoutns of the germans commanders who planned and executed the largest tank battle in history
Ecrit par Steven Newton, historien américain ayant étudié la guerre civile en Amérique et la Seconde Guerre Mondiale.
"Operation Citadel, Kursk and Orel : The Greatest tank Battle of the Second World War"
Ecrit par Janusz Piekalkiewicz, ancien résistant de l'armée intérieure polonaise et devenu journaliste et cinéaste s'étant par la suite spécialisé dans l'histoire militaire grand public.
Ecrit par Jean Lopez, le plus grand spécialiste français du front de l'est et du conflit germano soviétique.
"L'armée d'Hitler. La Wehrmacht, les nazis et la guerre"
écrit par Bartov Omer, professeur américain d'histoire contemporaine
"Kursk, the Air Battle : July 1943"
Ecrit par Bergstrom Christer, spécialiste suédois des campagnes aériennes sur le front de l'est
"Vor 60 Jahre, Prochorowka
Ecrit par Brand Dieter, général de la Bundeswehr en retraite.
" La guerre à l'est "
Ecrit par Clark Allan,
"The road to Berlin, Stalin's war in Germany" volume 2
Ecrit par John Erickson, historien militaire britannique
"The Battle of Kursk"
Ecrit par David Glantz et Johnattan House,
"Opération terre brûlée. De la Volga à la Vistule. Décembre 1942 aout 1944"
Ecrit par Carell Paul
"Koursk, le choc des blindés"
Ecrit par Jukes Geoffrey
"Das Gesetz des Handelns, die Operation Zitadelle, 1943"
Ecrit par Klink Ernst
"Die Offensive gegen Kursk, 1943, Legende, Mythen und Propaganda".
Ecrit par Roman Toppel, historien allemand
"Kursk 1943, a statistical analysis"
Ecrit par Niklas Zetterling et Anders Frankson, historiens allemands
"La Russie en guerre" les 2 volumes
Ecrit par Alexander Werth, correspondant du Sunday Time et de la BBC à Moscou
""Analyzing World War II, Easter Front Battle" Journal of Slavic Military Studies, volume 11
Ecrit là aussi par Niklas Zetterling et Anders Frankson
"Stalingrad to Berlin, The German defeat in the East"
Ecrit par Earl Ziemke, historien militaire américain
"Colossus Reborn, The Red Army at war, 1941-194"
Ecrit par David Glantz
"Panzer Battles"
Ecrit par Mellenthin, ancien chef d'état major du XXXXVIIIème Corps Panzer durant la WW2.
"Kursk, the German view" Firsthand accoutns of the germans commanders who planned and executed the largest tank battle in history
Ecrit par Steven Newton, historien américain ayant étudié la guerre civile en Amérique et la Seconde Guerre Mondiale.
"Operation Citadel, Kursk and Orel : The Greatest tank Battle of the Second World War"
Ecrit par Janusz Piekalkiewicz, ancien résistant de l'armée intérieure polonaise et devenu journaliste et cinéaste s'étant par la suite spécialisé dans l'histoire militaire grand public.
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il y a 2 ans
Le lieutenant Roshchenko, pilote de l'Ilyushin II 4, a déclaré : « De loin, nous pouvions voir que quelque chose d'inimaginable avait commencé le long de la ligne de front. Les deux camps tiraient intensément. » Dès que les canons soviétiques se sont arrêtés, l'air s'est rempli d'obus allemands. . L'objectif était d'affaiblir la défense de l'Armée rouge avant l'assaut. Lev Malkin disait : "Le bruit de l'explosion nous a fait sauter de notre lit de planches dans nos pirogues, saisir nos mitraillettes et courir dans nos tranchées". Le bombardement allemand dura plus d'une heure. L'attaque commença alors avec des avions, des unités d'infanterie, des divisions de chars, le plus grand engagement de chars de tous les temps. Une tankette radiocommandée ouvre la voie pour dégager la voie à travers les mines soviétiques. Ces machines ont ouvert la voie aux chasseurs de chars Ferdinand. Mais il n’était pas facile de trouver le moyen le plus sûr avec ces innombrables explosions. Les Allemands se sont heurtés à 500 kilomètres de tranchées antichar. Les fossés ont dû être détruits par des attaques précises de bombardiers en piqué. La blietzkrieg allemande était réduite à néant depuis le premier jour. Les unités allemandes se retrouvèrent prises dans un labyrinthe de défenses soviétiques. Lorsqu'ils dépassaient un point fortifié, ils étaient pris dans le feu de son voisin. Le général allemand Von Mallenthin écrivait : Les Russes étaient bons en camouflage.
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il y a 2 ans
"Aucun champ de mines ou point d'appui antichar n'a été détecté avant que le premier char ne soit détruit par une mine ou que le premier canon antichar russe n'ouvre le feu." Cependant, la puissance de feu et l’expérience allemandes en matière de tir ont commencé à faire pencher la balance en faveur de la Wehrmacht et des SS. Ils commencèrent à concentrer leurs efforts sur quelques secteurs étroits du front. Les unités Panzer allemandes ont attaqué en formation en V. Sa pointe était formée par les chars lourds Tigre allemands qui détruisaient les canons antichars soviétiques à longue portée. Des chars moyens et légers suivirent. Lorsque les Allemands réussirent à briser un trou dans les défenses, ils se précipitèrent pour l'exploiter. Le groupe d'armées Sud était soutenu par près de 400 avions le premier jour de la bataille. Ils ont fait pleuvoir des bombes sur les points forts soviétiques. Ils ont également bombardé des champs de mines pour dégager des voies pour les panzers qui avançaient. Il fallut 17 heures à la IIe SS Panzer Corp pour percer la première ligne de défense soviétique. Vatounin a répondu en envoyant la 1ère armée blindée. Katoukov se souvient d'un rapport d'un de ses commandants de brigade : " Burda a commencé son rapport. L'ennemi attaquait sans cesse la position avec cinquante à cent chars à la fois. Les Tigres et les Panthers arrivaient en premier. " Il est difficile de s'en occuper, dit-il. " Vous leur tirez dessus mais l'obus ne fait que ricocher. Alors quel est le résultat ? " Des pertes, des pertes terribles, Monsieur. Environ 60% de la brigade." Un char soviétique T 34 76 devait s'éloigner d'au moins 500 mètres d'un Panther ou d'un Tigre pour avoir une chance de le détruire par son blindage latéral ou même par derrière. Les Panthers et Tigres allemands, quant à eux, pouvait pénétrer le T 34 à une distance de 2 kilomètres dans son blindage avant. Les pertes de la 1ère Armée blindée ont forcé Katoukov à partager ses inquiétudes avec le général Vatounin. Mais il n'y a eu aucun changement dans l'ordre. Alors qu'il se préparait pour un nouvel assaut suicidaire, Le téléphone sonna à son quartier général et Staline demanda à Katukov de donner son avis sur les lignes d'action possibles.
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il y a 2 ans
Katukov proposa de creuser les chars et de laisser l'ennemi s'approcher à bout portant avant d'ouvrir le feu. Après être resté silencieux pendant un moment, il accepta. Les chars de Katukov prirent des positions défensives aux côtés de l'infanterie et de l'artillerie. Mais lorsque le 5e Corps blindé des gardes de Stalingrad du général Kravchenko fut menacé d'être encerclé, le colonel Nikoforov arriva à son quartier général avec des ordres spéciaux du commandant de l'armée. Il a crié à Kravchenko qu'il devait lancer une contre-attaque immédiate. Les contre-attaques de Kravchenko se sont dirigées directement vers les chars lourds de la 2e division SS Panzer. Avec la moitié de ses véhicules détruits, il réussit à peine à sortir de l'encerclement avec les restes de ses troupes. Pendant ce temps, dans le secteur nord, Rokossovsky ordonnait également une contre-attaque. Près du village d'Olkhovatka, le 6 juillet, la 2e armée blindée du général Rodin reçut l'ordre d'attaquer. L'attaque clandestine n'a pas réussi à déloger les divisions panzer de Model. Plus tard dans la journée, ils attaquèrent une fois de plus malgré de violents orages. Avançant contre un canon allemand puissant et précis, la division de chars soviétiques subit de nombreuses pertes en hommes et en machines. Mais au moins, ils ont réussi à bloquer l’avancée de Model. La 2e armée blindée passe sur la défensive. Avec une nouvelle division blindée allemande, l'attaque reprit. Ils se précipitèrent droit sur les chars soviétiques camouflés. La gare en ruine du train Ponyri est devenue le théâtre de violents combats. Les Allemands rassemblèrent leurs canons automoteurs Ferdinand et Brummbar survivants dans une force opérationnelle et tentèrent de le prendre d'assaut. Les Allemands unis commencèrent à prendre du retard sur les troupes soviétiques qui tenaient la station. Mais ensuite, ils se sont retrouvés dans l'une des « poches de tir » préparées par l'Armée rouge. C'est ici que le sergent Mickael Fomin, officier du 159e régiment d'artillerie de la garde, a reçu le titre de héros de l'Union soviétique pour la destruction de 7 chars allemands. Il a continué à se battre même blessé.
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il y a 2 ans
La poche de feu était une tactique utilisée par les canons antichar soviétiques travaillant ensemble pour attirer les chars allemands dans une embuscade. Certaines armes servaient d'appât, ouvrant le feu à longue portée et attirant le char ennemi vers elles. Une fois à portée, les batteries antichar camouflées sur leur flanc ouvriraient le feu. À une distance de 200 à 300 mètres, il y avait de fortes chances de le tuer. La 9e armée de Model n'avait pas réussi à réussir une percée ni à Olkhovatka ni à Ponyri. Au cinquième jour de la bataille, l’offensive du nord était à bout de souffle. Rokossovsky avait accompli sa tâche : épuiser l'ennemi. Il était maintenant temps de penser à une attaque. Au téléphone avec Staline et Joukov, on lui annonça la date, le 12 juillet. Tandis que les Allemands étaient tenus au nord, au sud, la bataille entrait dans sa phase la plus critique. Ici, les Allemands disposaient de plus de marges de manœuvre à travers la steppe ouverte. Malgré la perte de leurs chars, ils ont brisé les 2 premières lignes défensives soviétiques. L'Armée rouge a dépêché des renforts dans la zone de percée allemande. Les Allemands disposaient de plus de 200 Panthers au début de la bataille. Après 16 jours de combats, ils n'étaient plus que 16. Les nouveaux antichars soviétiques furent une mauvaise surprise pour les Allemands. Un seul coup pourrait potentiellement détruire un char. Mais les divisions de panzers Waffen SS qui menaient la charge étaient expérimentées, déterminées et habiles tactiquement. Point fort après point fort, ils se frayèrent un chemin jusqu'au cœur des défenses soviétiques. La percée en rase campagne semblait imminente. Un rapport d'opération soviétique déclarait : « Les circonstances qui ont permis aux chars ennemis d'avancer étaient les suivantes : alors que nos chars et nos camions se retiraient, ils étaient suivis de près par l'ennemi, et il était impossible de poser des mines antichar sur les routes pour les retenir. "
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il y a 2 ans
Sur onche les notifications sont là de toute façon. Donc si tu réponds à quelqu'un, il le verra.
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il y a 2 ans