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Les Héros incompris
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Jean Moulin et La Résistance
L'armée Britannique
Autre
Je ne fais confiance qu'à @Joe_Valezy sur ce forum Membre fondateur de la Cosa Nostra, avec Joe et @Paulo
il y a 2 ans
Les nazis
Pardonnez moi cher monsieur mais je vois pas de qui vous parlez
26 ans d'existence, 14 dans l'âme,26 de vide
il y a 2 ans
T'inquiète, ya un dlc dédié à la France qui sort dans 40 minutes
26 ans d'existence, 14 dans l'âme,26 de vide
il y a 2 ans
Pardonnez moi cher monsieur mais je vois pas de qui vous parlez
Un petit cours d’histoire :
De 1933 à 1945, l’Allemagne était dirigée par Hitler, qui a remilitarisé fortement le pays et était jusqu’en 1942 la première puissance militaire mondiale.
Après Stalingrad ça commencé à sentir le roussi et les américains + les russes ont mis la pression
De 1933 à 1945, l’Allemagne était dirigée par Hitler, qui a remilitarisé fortement le pays et était jusqu’en 1942 la première puissance militaire mondiale.
Après Stalingrad ça commencé à sentir le roussi et les américains + les russes ont mis la pression
il y a 2 ans
Un petit cours d’histoire :
De 1933 à 1945, l’Allemagne était dirigée par Hitler, qui a remilitarisé fortement le pays et était jusqu’en 1942 la première puissance militaire mondiale.
Après Stalingrad ça commencé à sentir le roussi et les américains + les russes ont mis la pression
De 1933 à 1945, l’Allemagne était dirigée par Hitler, qui a remilitarisé fortement le pays et était jusqu’en 1942 la première puissance militaire mondiale.
Après Stalingrad ça commencé à sentir le roussi et les américains + les russes ont mis la pression
Aaaah oui, les Héros incompris, pardon j'avais pas saisie
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il y a 2 ans
Un petit cours d’histoire :
De 1933 à 1945, l’Allemagne était dirigée par Hitler, qui a remilitarisé fortement le pays et était jusqu’en 1942 la première puissance militaire mondiale.
Après Stalingrad ça commencé à sentir le roussi et les américains + les russes ont mis la pression
De 1933 à 1945, l’Allemagne était dirigée par Hitler, qui a remilitarisé fortement le pays et était jusqu’en 1942 la première puissance militaire mondiale.
Après Stalingrad ça commencé à sentir le roussi et les américains + les russes ont mis la pression
Donc vers la fin c’est surtout l’armée américaine qui devenue la première puissance militaire car aucune de ses infrastructures ( sauf dans le pacifique n’avait morfé + une forte industrie militaire mise en place par Roosevelt
il y a 2 ans
À 1v1, il me semble que l'Allemagne écrasait n'importe quel pays. Mais les guerres, c'est jamais du 1v1
🛌
il y a 2 ans
Rappel des faits.
Il est évident que durant 1941 et 1942 le commandement soviétique n'était pas à la hauteur, de même que leur logistique et la qualité de leur matériel pour les avions.
Cependant, le ministre de la Propagande Joseph Goebbels avait admis le 2 juillet 1941 que l'armée rouge opposait une résistance tenace. Ce n'est pas comme si ça avait été une réussite totale même durant l'été. La bataille de Smolensk déjà en fournit un exemple parfait. On parle d'une bataille qui a duré bien plus longtemps que prévu. Dès le mois de juillet et d'aout malgré les avancées allemandes, on se doutait que ce ne serait pas aussi simple. je m'explique : Les 21 premiers jours selon les secteurs, les Allemands ont avancé entre 500 et 600 kilomètres selon les secteurs. Au mois d'aout et de septembre les avancées se réduisaient à quelque chose comme une centaine de kilomètres voire 200 kilomètres. Manifestement quelque chose n'allait pas côté allemand. Que ce soit un front trop grand pour pas assez de soldats ou du côté d'une logistique allemande relativement défaillante. L'opération Barbarossa était censé vaincre l'URSS.
Donc en définitive, ce n'était pas vraiment une réussite. Hitler voulait vaincre l'URSS en 4 mois, Goebbels pensait que ce serait encore plus rapide. Quand on voit où en étaient les Allemands en octobre à galérer avec la raspoutitsa et les différentes résistances soviétiques, on voyait bien que l'opération avait de grandes chances d'échouer. La contre offensive de Moscou en décembre 1941 l'a confirmé.
Aussi, Le général Franz Halder favorable au plan d’attaque de l’opération Barbarossa, faisait savoir que la résistance soviétique était acharnée dès les premières semaines.
Sans oublier les char KV 1 et T 34 qui ralentissaient considérablement les troupes allemande sen plus des partisans sur les arrières qui posaient problèmes aux communications allemandes.
Il est évident que durant 1941 et 1942 le commandement soviétique n'était pas à la hauteur, de même que leur logistique et la qualité de leur matériel pour les avions.
Cependant, le ministre de la Propagande Joseph Goebbels avait admis le 2 juillet 1941 que l'armée rouge opposait une résistance tenace. Ce n'est pas comme si ça avait été une réussite totale même durant l'été. La bataille de Smolensk déjà en fournit un exemple parfait. On parle d'une bataille qui a duré bien plus longtemps que prévu. Dès le mois de juillet et d'aout malgré les avancées allemandes, on se doutait que ce ne serait pas aussi simple. je m'explique : Les 21 premiers jours selon les secteurs, les Allemands ont avancé entre 500 et 600 kilomètres selon les secteurs. Au mois d'aout et de septembre les avancées se réduisaient à quelque chose comme une centaine de kilomètres voire 200 kilomètres. Manifestement quelque chose n'allait pas côté allemand. Que ce soit un front trop grand pour pas assez de soldats ou du côté d'une logistique allemande relativement défaillante. L'opération Barbarossa était censé vaincre l'URSS.
Donc en définitive, ce n'était pas vraiment une réussite. Hitler voulait vaincre l'URSS en 4 mois, Goebbels pensait que ce serait encore plus rapide. Quand on voit où en étaient les Allemands en octobre à galérer avec la raspoutitsa et les différentes résistances soviétiques, on voyait bien que l'opération avait de grandes chances d'échouer. La contre offensive de Moscou en décembre 1941 l'a confirmé.
Aussi, Le général Franz Halder favorable au plan d’attaque de l’opération Barbarossa, faisait savoir que la résistance soviétique était acharnée dès les premières semaines.
Sans oublier les char KV 1 et T 34 qui ralentissaient considérablement les troupes allemande sen plus des partisans sur les arrières qui posaient problèmes aux communications allemandes.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
En soit sachant que les résultats de l'armée rouge ont été désastreux en Finlande. An ajoutant à cela l'impopularité de Staline auprès de la paysannerie soviétique à cause des épisodes de collectivisation forcées notamment, l'ambiance de xénophobie qui régnait en URSS notamment à l'égard des nationalités des pays limitrophes. Plus, les purges ayant décapité le haut commandement, sachant qu'en plus de cela, l'encadrement était médiocre et peu formé comparé à l'encadrement allemand.
Cela alors qu'au même moment, la Wehrmacht roulait sur la Pologne puis sur la France, considérée comme ayant l'une des toutes meilleures armées du monde à ce moment là, au fond ce n'est pas incompréhensible.
La combinaison entre la faiblesse de la logistique, la grandeur de l'espace à dominer, le manque de cohérence sur le plan opérationnel et stratégique par rapport à leur adversaire ainsi que la sous estimation de l'armée rouge aura été une combinaison mortelle pour la Wehrmacht.
Cela alors qu'au même moment, la Wehrmacht roulait sur la Pologne puis sur la France, considérée comme ayant l'une des toutes meilleures armées du monde à ce moment là, au fond ce n'est pas incompréhensible.
La combinaison entre la faiblesse de la logistique, la grandeur de l'espace à dominer, le manque de cohérence sur le plan opérationnel et stratégique par rapport à leur adversaire ainsi que la sous estimation de l'armée rouge aura été une combinaison mortelle pour la Wehrmacht.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
Malgré cela, Staline a mieux préparé son pays à la guerre que le tsar. Entre 1941 et 1945 les usines soviétiques produisent et livrent 25 fois plus de munitions que ne l'avaient fait les leurs devancières entre 1914 et 1917. Soit plus que les autres pays y compris les Etats Unis que ce soit pour le premier ou le second conflit mondial. Staline avait je le rappelle tout sacrifié quasiment à l'industrialisation de son pays. Cela a été lancé à l'occasion de son premier plan quinquennal de 1929. L'industrie lourde, la défense et la métallurgie ont reçu les deux tiers de l'investissement total du gouvernement. Rien que le part des dépenses militaires passent de 19% en 1936 à 31,5% en 1939. Rien qu'en 1933, 3830 chars sont sortis des usines pour 2 661 avions, plus 4 600 tubes d'artillerie, ce qui représente un total atteint nul part d'ailleurs dans le monde. En bref, nul pays n'a mieux réarmé que l'URSS contrairement à une vieille croyance qui veuille que ce soit l'Allemagne qui ait le mieux ou le plus massivement réarmé.
Cependant parmi les désavantages de cette industrialisation forcée et rapide, l'écrasement de la consommation civile à des niveaux extrêmement bas. Sans oublier l'apport de matériel obsolètes pour beaucoup. Rien qu'en 1941, plus de 30% des chars sont obsolètes soit un tiers et près de 40% des avions soviétiques sont obsolètes. Sans oublier les logements insalubres et surpeuplés. A partie de 1930, 9000 entreprises industrielles sont crées dont 1219 consacrés entièrement à l'armement et aux munitions. Rien que l'usine de Tcheliabink parvient à produire 3 600 chars qu'ils soient KV ou T 34. Soit 85% de la production combinées des blindés allemands.
Les fusils soviétiques Tokarev ont un plus gros volume de feu que les Mauser allemands par exemple. Plus le canon F 22 de 76 mm et des mortiers lourds équivalents à ceux des allemands. Même un modèle de char comme le BT 7 souvent présenté comme étant obsolète à cause de la minceur de son blindage avait pour lui la vitesse et l'efficacité de son canon. Seule l'artillerie anti aérienne voire anti char ont vraiment fait défaut au début de la guerre. Mais les faiblesses les plus flagrantes se situaient davantage au niveau de la transmission et des radios ainsi que des camions, des armes automatiques légères. Puis, les bombardiers soviétiques Sturmoviket Pe 2 ainsi que les chasseurs MiG 3, Yak 1 ainsi que LaGG3 font de plus en plus leur apparition.
De plus, la guerre d'Espagne a délivré des renseignements importants aux Soviétiques. Les rapports de combat envoyés d'Espagne par les tankistes se trouvant sous l'égide de Pavlov à ce moment là, pointaient 4 faiblesses majeurs des T 26 et des BT 5, que ce soit au niveau du système de double traction, roues et chenilles, trop fragile, un faible canon de 45 mm, un moteur à essence pouvant provoquer des incendies et un blindage frontal beaucoup trop léger face aux canons anti chars. C'est à partir de cette expérience que naitra le T 34. Le 27 février 1939 en effet, le projet est accepter à l'issue d'une réunion du Comité de défense. L'usine des locomotives numéro 183 doit faire le travail. Kochkine anime le bureau d'études de l'usine en question. De ce projet naitra d'abord le A 32 avec un blindage frontal certes plus léger que celui demandé par Pavlov mais compensé en partie par le fait que celui ci soit incliné à 30 degrés. Envoyé par trains à Kubinka pour les essais, Pavlov informe à Vorochilov qu'il est possible que le A 32 renommé A 34, puisse être équipe du moteur V 2 et de 4 mitrailleuses plus un canon F 32. Sans oublier un blindage plus épais permis par le système de tractions.
Le 26 avril 1940, Pavlov défend devant le Haut Conseil Militaire le remplacement des T 26 et des BT notamment les BT 5 par le T 34, le KV 1 et également un engin blindé amphibie certes moins connu, le T 40. La résolution est émise par le conseil et entérinée le 7 juin1940 via un décret du Conseil des commissaires du people ainsi que le bureau politique. 600 T 34 sont prévue rien que pour 1940. En 1941 l'objectif est multiplié par 4.
Une fois l'opération Barbarossa commencée, le Panzer 38(t) a une fois de plus montré sa valeur en tant que char léger, capable d'affronter les chars légers russes BT7 pendant la phase initiale de l'invasion de l'Union soviétique. Cependant, une fois qu'il a commencé à rencontrer des chars russes plus importants (les T-34 et les KV), l'époque du service de première ligne était révolue pour le 38 (t). Relégué à des affectations loin du front, il a continué à servir dans des régions telles que les Balkans et d'autres régions de l'arrière faisant un devoir anti-partisan tout au long de la guerre.
Cependant parmi les désavantages de cette industrialisation forcée et rapide, l'écrasement de la consommation civile à des niveaux extrêmement bas. Sans oublier l'apport de matériel obsolètes pour beaucoup. Rien qu'en 1941, plus de 30% des chars sont obsolètes soit un tiers et près de 40% des avions soviétiques sont obsolètes. Sans oublier les logements insalubres et surpeuplés. A partie de 1930, 9000 entreprises industrielles sont crées dont 1219 consacrés entièrement à l'armement et aux munitions. Rien que l'usine de Tcheliabink parvient à produire 3 600 chars qu'ils soient KV ou T 34. Soit 85% de la production combinées des blindés allemands.
Les fusils soviétiques Tokarev ont un plus gros volume de feu que les Mauser allemands par exemple. Plus le canon F 22 de 76 mm et des mortiers lourds équivalents à ceux des allemands. Même un modèle de char comme le BT 7 souvent présenté comme étant obsolète à cause de la minceur de son blindage avait pour lui la vitesse et l'efficacité de son canon. Seule l'artillerie anti aérienne voire anti char ont vraiment fait défaut au début de la guerre. Mais les faiblesses les plus flagrantes se situaient davantage au niveau de la transmission et des radios ainsi que des camions, des armes automatiques légères. Puis, les bombardiers soviétiques Sturmoviket Pe 2 ainsi que les chasseurs MiG 3, Yak 1 ainsi que LaGG3 font de plus en plus leur apparition.
De plus, la guerre d'Espagne a délivré des renseignements importants aux Soviétiques. Les rapports de combat envoyés d'Espagne par les tankistes se trouvant sous l'égide de Pavlov à ce moment là, pointaient 4 faiblesses majeurs des T 26 et des BT 5, que ce soit au niveau du système de double traction, roues et chenilles, trop fragile, un faible canon de 45 mm, un moteur à essence pouvant provoquer des incendies et un blindage frontal beaucoup trop léger face aux canons anti chars. C'est à partir de cette expérience que naitra le T 34. Le 27 février 1939 en effet, le projet est accepter à l'issue d'une réunion du Comité de défense. L'usine des locomotives numéro 183 doit faire le travail. Kochkine anime le bureau d'études de l'usine en question. De ce projet naitra d'abord le A 32 avec un blindage frontal certes plus léger que celui demandé par Pavlov mais compensé en partie par le fait que celui ci soit incliné à 30 degrés. Envoyé par trains à Kubinka pour les essais, Pavlov informe à Vorochilov qu'il est possible que le A 32 renommé A 34, puisse être équipe du moteur V 2 et de 4 mitrailleuses plus un canon F 32. Sans oublier un blindage plus épais permis par le système de tractions.
Le 26 avril 1940, Pavlov défend devant le Haut Conseil Militaire le remplacement des T 26 et des BT notamment les BT 5 par le T 34, le KV 1 et également un engin blindé amphibie certes moins connu, le T 40. La résolution est émise par le conseil et entérinée le 7 juin1940 via un décret du Conseil des commissaires du people ainsi que le bureau politique. 600 T 34 sont prévue rien que pour 1940. En 1941 l'objectif est multiplié par 4.
Une fois l'opération Barbarossa commencée, le Panzer 38(t) a une fois de plus montré sa valeur en tant que char léger, capable d'affronter les chars légers russes BT7 pendant la phase initiale de l'invasion de l'Union soviétique. Cependant, une fois qu'il a commencé à rencontrer des chars russes plus importants (les T-34 et les KV), l'époque du service de première ligne était révolue pour le 38 (t). Relégué à des affectations loin du front, il a continué à servir dans des régions telles que les Balkans et d'autres régions de l'arrière faisant un devoir anti-partisan tout au long de la guerre.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
La raison pour laquelle ils pensaient qu'ils avaient une chance de gagner était basée uniquement sur une hypothèse. Ils pensaient que la vitesse à laquelle ils avançaient pendant l'invasion et les lourdes pertes causeraient d'énormes dommages au moral soviétique à la fois dans l'armée et parmi les gens ordinaires. Ils s'attendaient à une reddition rapide et à un chaos total au sein de l'Union soviétique avant 1942. Bien sûr, nous savons que cela ne s'est jamais produit. Le courage et l'esprit dont a fait preuve l'Union soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale n'ont pas d'égal. Ils ont gagné des batailles où ils avaient un ratio de pertes de 7 contre 1, et ils ont toujours lancé des forces sur l'ennemi sans tenir compte de ce qu'ils perdraient pour cela.
L'une des raisons de l'espoir de victoire des Allemands à l'issue de cette invasion était leur intelligence militaire insuffisante. Maintenant, je trouve que le rôle du renseignement pendant la Seconde Guerre mondiale est exagéré , car même si vous savez où se trouve le clou, vous avez toujours besoin d'un marteau. Cependant, dans ce cas, c'était l'une des principales raisons pour lesquelles l'Allemagne avait de telles attentes à l'égard de cette guerre avec l'Union soviétique. Avant l'invasion, les connaissances de l'Allemagne sur l'Union soviétique étaient les suivantes : ils savaient que l'Union soviétique avait 150 divisions prêtes et armées, et que leurs effectifs étaient capables de former 50 divisions supplémentaires, mais ils n'avaient pas l'équipement nécessaire pour les armer correctement. Pendant la bataille de Stalingrad, les services de renseignement allemands étaient toujours convaincus que l'armée soviétique était au bord de l'effondrement, incapable de renforcer ou de former des divisions avec suffisamment d'effectifs. Pour comprendre à quel point cette information était erronée, il faut savoir qu'entre le début de l'invasion et la chute de Berlin, l'Union soviétique avait mobilisé 800 divisions, quatre fois plus importantes que ce que les Allemands pensaient pouvoir faire. Mais pour leur donner droit, à ce moment-là, l'Allemagne avait perdu 800 000 hommes contre plus de 5 millions de victimes soviétiques. Les services de renseignement allemands n'avaient pas uniquement tort de considérer qu'il ne serait pas possible pour l'Union soviétique de mobiliser un grand nombre de divisions dépourvues de l'équipement suffisant. Cependant, l'un des aspects clés qu'ils n'ont pas pris en compte était l'expédition de ravitaillement des Alliés vers l'Union soviétique, ce qui a considérablement accéléré le processus de mobilisation.
Je dois noter que les pertes de l'Allemagne n'étaient pas insignifiantes et que les premiers mois de l'opération Barbarossa n'étaient pas aussi fluides qu'on le décrit habituellement pour l'Allemagne. L'Allemagne avait perdu des divisions et des équipements précieux et expérimentés au cours de son avance initiale, ce qui les avait considérablement affaiblis en comparant leur situation au début de l'invasion et lorsqu'ils étaient aux portes de Moscou.
La raison la plus importante de son échec est que les Allemands pensaient que l'Union soviétique se rendrait tôt, mais l'Union soviétique a mené la guerre comme si c'était la vie ou la mort parce que c'était le cas.
L'une des raisons de l'espoir de victoire des Allemands à l'issue de cette invasion était leur intelligence militaire insuffisante. Maintenant, je trouve que le rôle du renseignement pendant la Seconde Guerre mondiale est exagéré , car même si vous savez où se trouve le clou, vous avez toujours besoin d'un marteau. Cependant, dans ce cas, c'était l'une des principales raisons pour lesquelles l'Allemagne avait de telles attentes à l'égard de cette guerre avec l'Union soviétique. Avant l'invasion, les connaissances de l'Allemagne sur l'Union soviétique étaient les suivantes : ils savaient que l'Union soviétique avait 150 divisions prêtes et armées, et que leurs effectifs étaient capables de former 50 divisions supplémentaires, mais ils n'avaient pas l'équipement nécessaire pour les armer correctement. Pendant la bataille de Stalingrad, les services de renseignement allemands étaient toujours convaincus que l'armée soviétique était au bord de l'effondrement, incapable de renforcer ou de former des divisions avec suffisamment d'effectifs. Pour comprendre à quel point cette information était erronée, il faut savoir qu'entre le début de l'invasion et la chute de Berlin, l'Union soviétique avait mobilisé 800 divisions, quatre fois plus importantes que ce que les Allemands pensaient pouvoir faire. Mais pour leur donner droit, à ce moment-là, l'Allemagne avait perdu 800 000 hommes contre plus de 5 millions de victimes soviétiques. Les services de renseignement allemands n'avaient pas uniquement tort de considérer qu'il ne serait pas possible pour l'Union soviétique de mobiliser un grand nombre de divisions dépourvues de l'équipement suffisant. Cependant, l'un des aspects clés qu'ils n'ont pas pris en compte était l'expédition de ravitaillement des Alliés vers l'Union soviétique, ce qui a considérablement accéléré le processus de mobilisation.
Je dois noter que les pertes de l'Allemagne n'étaient pas insignifiantes et que les premiers mois de l'opération Barbarossa n'étaient pas aussi fluides qu'on le décrit habituellement pour l'Allemagne. L'Allemagne avait perdu des divisions et des équipements précieux et expérimentés au cours de son avance initiale, ce qui les avait considérablement affaiblis en comparant leur situation au début de l'invasion et lorsqu'ils étaient aux portes de Moscou.
La raison la plus importante de son échec est que les Allemands pensaient que l'Union soviétique se rendrait tôt, mais l'Union soviétique a mené la guerre comme si c'était la vie ou la mort parce que c'était le cas.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans