La MEILLEURE ARMÉE de la 2NDE GUERRE MONDIALE

La 4ème Panzerarme qui dispose de presque 150 000 hommes mais seulement 50 chars met son LIXème Corps contre la 60ème Armée et les VII et XIIIème COrps contre la 38ème Armée. 150 pièces Pak sont mis entre Kiev et la 38ème Armée. Les 7ème et 8ème divisions Panzers constituent les réserves tactiques de la Wehrmacht peu dotées en chars. Malgré tout, la réserve oéprative composé des 400 chars des XXIVème et XXXXVIIIème Panzerkorps restent importants. La moitié se trouve devant le saillant de Boukrine à 70 kilomètres de Kiev tandis que le reste est dispersé autour de Kirovograd situé à plus de 230 kilomètres de Kiev. Le rapport de forces est de 2,4 contre 1 pour l'infanterie et 10 contre 1 pour les chars sans compter la réserve opérative qui n'arrivera au mieux que 3 jours après le début des opérations soit au mieux 5 contre 1. Les attaques des 27ème et 60ème Armées le 1er novembre fixent les divisions de Hoth. Puis le jour de l'attaque le 7ème Corps d'artillerie de rupture enclenche son barrage d'artillerie avec plus de 4 700 canons pour la 38ème Armée seulement et sur les 6 principaux kilomètres une densité de 344 par kilomètre. La concentration d'artillerie la plus massive de toute la guerre sur un secteur aussi réduit. 500 000 obus sont lancés en 40 minutes avec pour résultat des 68ème et 88ème Divisions allemandes très affaiblies. Les champs de mines et les communications n'existent plus. Les 50ème et 51ème Corps s'élancent. Mais la voie ferrée Kiev Korosten n'est pas atteinte par la 38ème Armée. Et la 7ème division Panzer enclenche sa contre attaque depuis Pusha Voditza. Mais la profondeur de l'attaque est de 7 kilomètres le premier jour. De plus les 27ème et 40ème Armées au sud à Boukrine attaquent pour faire encore une diversion même si les Allemands ne tombent pas dans le piège.

La 20ème Panzergrenadier du général Jauer va vers Kiev et arrive à Vita Litovskaia à 8 kilomètres au sud de la capitale Ukrainienne où les armes antichars de 57 mm de la 71ème division du colonel Slivine de la 38ème Armée arrive. Or le colonel Slivine avait occupé l'îlot de Kazatchi durant la nuit du 3 au 4 novembre avant de couper la route et la voie ferrée longeant le Dniepr. Le détour est effectué par Jauer mais laisse des forces pour stopper la menace venant sur le flanc de la 4ème Panzerme. Mais Vatounine engage ses 27ème et 40ème Armées pour la bataille de Kiev. Au nord de la 38ème Armée à 30 kilomètres, la jonction entre les 217ème et 340ème divisions d'infanterie est détruite par le 30ème COrps de la 60ème Armée soviétique g^race à 2 briagades et 1 régiment blindé d'accompagnement malgré une contre attaque du 276ème Bataillon de StuG. L'assaut du 23ème Corps de la 38ème Armée est renforcée le 4 novembre et le 6ème Corps blindé de la Garde et la 9ème Corps mécanisé arrivent également pour avancer de 20 kilomètres entre la rivière Irpen et Kiev. Les attaques des 20ème Panzergrenadier et 7ème division Panzer les mettent en difficulté néanmoins. Puscha Voditza reste donc allemand pour le moment. Mais la 7ème division Panzer doit reculer de près de 3 kilomètres à cause d'un nouveau barrage du 7ème Corps d'artillerie de rupture. De plus, 3 Corps de fusiliers soviétiques prennent la deuxième ligne de défense allemande. Priorka tombe également sous les coups du 51ème Corps.

Devant Sviatochino la nuit du 4 au 5 novembre, une centaine de T 34 76 arrivent montés par 2 bataillons de fusiliers. Ils sont juste au bord de la route Kiev Zhitomir désormais. La 55ème Brigade fait le trou également à Sviatoshino pour aller coupé la dernière voie ferrée sortant de Kiev tandis qu'au nord c'est Kravchenko qui atteint la périphérie de la ville. Le 5 novembre au soir, la 3ème Armées de tanks rétrocède ses positions à la 38ème Armées qui fait donner son 21ème Corps pour prendre la ville. Les Allemands s'enfuient vers le sud.

La 60ème Armée continue d'avancer au nord tandis que l'Irpen est bordée par le 23ème Corps de la 38ème Armée. La 60ème Armée avance entre les 183ème, 208ème, 217ème et 340ème Divisions d'infanterie. La ville ukrainienne de Dymer est repris par l'Armée rouge tandis qu'un régiment avancé de la 141ème Division de fusiliers de la Garde prend Katiouchanka pour finalement arriver au bord de la rivière Sdwisch à l'ouest à plus de 20 kilomètres de Katiouchanka. L'évacuation de Kiev commence durant la nuit du 5 au 6 novembre, ordre donné par le colonel général Hoth. La 3ème Armée de tanks de la Garde met ses 6ème et 7ème Corps blindés de la Garde dont 2 brigades sont mis en place face au recul du VIIème Corps allemand reculant vers le sud ouest dans des allures de retraite. Le cours moyen du Dniepr est en cours d'enveloppement. Fastov est le prochain objectif. Ce dernier est un carrefou ferroviaire reliant le Groupe d'Armées sud via une voie ferrée parallèle au Dniepr. Sauf que le 6 novembre au soir, les éléments blindés soviétiques les plus avancées se trouvent déjà à 5 kilomètres de Fastov après avoir avancé de plus de 40 kilomètres. Vers le sud ouest la 3ème Armée de tanks de le Garde continue d'aller, dont le 7ème Corps blindé de la Garde vers Vassilkov tandis que le 6ème aidé par la 91ème Brigade blindée indépendante dirigée par le colonel Jakubowsku fonce vers Fastov. La 7ème Division Panzer part de Fastov le 7 novembre. La 1er Corps de cavalerie de la Garde de Baranov est mis sur la droite de la 3ème Armée de tanks de la GArde pour protéger son flanc. Finalement le 7 novembre c'est l'axe Zhitomir Berditchev qui est visé. les 27ème et 40ème Armées doivent prendre Belaia Tcherkov et Kagarlyk. Le 6 novembre, la 25ème division Panzer est positionné au sein de la 4ème Armée Panzer par Manstein avec ordre de tenir Fastov.

Pour ce qui est de l'offensive du Dombass.

Avec la bataille de Koursk faisant rage au nord et d'importantes réserves retirées de la 1re Panzerarmee et de la 6e armée pour permettre une si grande offensive, la situation allemande dans la région du Donbass n'est pas particulièrement solide. La 1re Panzerarmee de Mackensen n'a pas de divisions blindée à sa disposition, et dispose à la place de neuf divisions d'infanterie, considérablement éclaircies pour la poussée du général Manstein sur la partie sud du saillant de Koursk. De même, la 6e armée, qui vient à peine d'être reconstituée après son anéantissement à Stalingrad, se voit attribuer huit divisions d'infanterie et une division de montagne

Les troupes occupant ce secteur du front ne sont pas aussi bien équipées que leurs homologues du nord, et certaines divisions de terrain de la Luftwaffe sont incluses dans l'ordre de bataille des 6e et 1re Panzerarmee. Pour aggraver les choses, les remplacements n'avaient pas suivi les pertes croissantes sur le front de l'Est dans son ensemble, et ce secteur n'était pas différent. Une précédente offensive soviétique dans la région est repoussée avec l'aide des SS et de divisions Panzer régulières, mais celles-ci ont depuis été supprimées pour traiter des questions plus urgentes au nord ; en particulier les batailles autour de Kharkov. Par conséquent, le 16 août 1943, lorsque l'Armée rouge lance son attaque, les forces allemandes dans cette zone ont du mal à tenir la ligne sans l'aide des fleuves Donets et Mious, ou d'un solide soutien blindé pour repousser l'assaut soviétique.

Après l'échec de l'offensive quelques semaines plus tôt, la Stavka ordonne aux fronts du Sud-Ouest et du Sud de reconsidérer leur attaque et de se préparer à une nouvelle offensive plus tard en août. Semblable à l'offensive de juillet, les Soviétiques ont pour objectif d'encercler le gros de la 6e armée en fermant l'écart autour de la ville de Stalino. Du nord, les 8e et 3e armées de la Garde doivent frapper vers le sud en direction de Debal'cevo, tandis que les 44e (ru), 28e, 2e et 5e armées de choc doivent pousser vers l'ouest et maintenir la pression sur les unités faibles de la 6e armée.

La principale préoccupation du commandant du front du Sud, Fiodor Tolboukhine, repose sur la faiblesse relative de ses unités après les attaques ratées de juillet. Pour cela, il obtient un léger délai de deux jours après le lancement de l'offensive du front du Sud-Ouest contre la 1re Panzerarmee. Ce répit, qui permettra aux Allemands de détecter les intentions des plans soviétiques, est jugé nécessaire pour prévenir un désastre

L'opération Donbass débute le 13 août 1943 avec l'offensive de l'aile droite du front du Sud-Ouest. Ces troupes forcent le Donets et avancent le long de la rive droite de la rivière, aidant le front de la steppe à la libération de Kharkiv.

Le 16 août, les troupes du front du Sud passent à l'offensive et percent la défense allemande sur le fleuve Mious. Entre le 25 août et le matin du 27, les forces soviétiques s'arrêtent brièvement afin d'attendre le renfort de munitions et de fournitures. Malgré cette apparente chance de réformer la ligne et de se retirer vers l'ouest à la meilleure vitesse, le général allemand Hollidt n'obtient aucune approbation, qui entraînera des conséquences désastreuses pour le XXIXe corps. Le 27, l'assaut soviétique reprend pour de bon, et il devient rapidement évident que la 6e armée est sur le point de s'effondrer. Des combats désespérés se déroulent sur tout le front, mais les hommes des 2e armée de la Garde et 5e armée de choc forcent leur chemin, menaçant d'encercler le XXIXe corps6. Le 30 août, Taganrog est libéré en combinaison avec une opération navale. Pendant ce temps, la 13e Panzerdivision tente de rétablir le contact avec le corps isolé, mais en vain.

Le 31 août, une nouvelle tentative est initiée par la 6e armée pour relever et retirer les hommes restants piégés dans la poche. Avec la 17e Panzerdivision en tête et avec le soutien de la 3e division GebirgsJäger, un lien ténu est établi avec le XXIXe corps d'armée. Sous le feu impitoyable de l'artillerie soviétique, la poche est rapidement (bien qu'avec des coûts élevés) évacuée juste au sud de Konkowo. La 15e Luftwaffe Feld-Division subit à elle seule de lourdes pertes, son 30e régiment Lw. Jäger est réduit à 400 hommes, sur un effectif initial de 2 400.

Alors que le groupe d'armées Sud est menacé de démembrement et de destruction, Hitler autorise finalement Manstein à se replier à travers le Dniepr le 15 septembre.

Le 1er septembre, les troupes allemandes ont déjà commencé à battre en retraite sur tout le front du Donbass. Le 5 septembre 1943, les troupes soviétiques libèrent Horlivka et Artemivsk, et le 8 septembre, la plus grande ville du Donbass, Stalino (aujourd'hui Donetsk). Pendant ce temps, l'aile sud de la 1re Panzerarmee a du mal à rester en contact avec les éléments en retraite de la 6e armée allemande. Le 6 septembre 1943, cette section du front est brisée par des combats incessants et la pression de l'Armée rouge. Après la chute de Stalino, le général Manstein est contraint de poursuivre sa retraite vers le Dniepr, tout en étant sous la forte pression des chars soviétiques et des unités mécanisées.

Le 9 septembre, cependant, une occasion se présente à la 1re Panzerarmee. La 3e armée de la Garde, en particulier son 1er corps mécanisé, était surexposée dans l'écart entre les armées allemandes et ses flancs manquent de protection. Un kampfgruppe est rapidement formé à partir d'éléments de la 23e Panzerdivision et de la 16e Panzergrenadier-Division et chargé d'attaquer le 1er corps mécanisé du nord et du sud. En l'espace de trois jours, l'écart est comblé avec succès, la majorité des deux corps soviétiques étant désormais derrière les lignes ennemies7. Malheureusement pour les Allemands, cette victoire ne put être pleinement exploitée et la retraite vers l'ouest se poursuivit.

Pendant le repli, Manstein mène la tactique de la terre la brûlée tandis que les partisans soviétiques gênent l'armée allemande en retraite.

Poursuivant l'ennemi, les troupes du front du Sud-Ouest chassent le 22 septembre les Allemands derrière le Dniepr à Dnipropetrovsk (Dnipro) et Zaporijjia, tandis que les troupes du front du Sud atteignent le même jour le fleuve Molotchna, mettant fin à l'opération Donbass

En février 1943, l'armée russe était 2/1 supérieure à l'armée allemande en nombre, avec environ 6 millions de soldats rassemblés sur le front de bataille, contre seulement 3 millions d'Allemands. Les Russes ont toujours eu une division blindée supérieure avec quelque 22 000 chars par rapport à une volaille de 3 000 chars allemands, principalement des Panzer mk III qui étaient inférieurs au T-34 et au KV-1. Le seul domaine dans lequel les Allemands avaient un net avantage était celui de leurs avions de combat. avoir l'utilisation du ME 109 et des FW 190, JU - 87 et 88, et une bonne vieille efficacité allemande, ce qui était l'une des raisons pour lesquelles l'infanterie allemande a pu avancer malgré la rencontre de chars russes supérieurs. Aucune des armes antichar actuelles ne fonctionnait sur le T-34 ou le KV-1. Pour lutter contre cela, le Panzergrenadier allemand tenterait d'attirer les chars russes dans une embuscade où ils pourraient tirer à bout portant sur les chars depuis les côtés et l'arrière. à des distances inférieures à 50 m, voire plus, par désespoir total, les Allemands ont eu recours au canon anti-aérien de 88 mm. Oui, en conclusion, l'armée russe était supérieure à l'armée allemande en nombre, la seule raison pour laquelle elle a été forcée de battre en retraite au début de la Grande Guerre patriotique était due à une combinaison de surprise, d'être très mal organisée et de manquer de munitions adéquates. , et un effondrement de la structure de commandement dû aux purges de Staline dans les années 1930.

En 1943, le complexe militaire industriel russe dans l’Oural passait à la vitesse supérieure. Cela signifiait que l'Armée rouge recevait davantage de tout, des chars, des canons, des avions, etc.

La fourniture d’équipements alliés a également énormément aidé.

L'armée de l'air russe disposait également de meilleurs avions d'attaque au sol, le YAK et l'IL2, dont le blindage leur permettait d'encaisser les punitions tout en rapatriant leurs pilotes.

En comparaison, en 1943, les Allemands, après avoir perdu la 6e armée à Stalingrad, étaient en retraite sur tous les fronts. Même avec la production du Tiger Mark 1 et du King Tiger, ils n'ont pas pu être produits en nombre suffisant pour apporter une contribution définitive sur le front de l'Est.

Finalement, la Whermacht devenait l'ombre d'elle-même, réduite par le nombre considérable de troupes russes et de matériel que les Allemands ne pouvaient espérer égaler.

Hitler ordonnait tristement à ses généraux de contre-attaquer avec ce qu'il pensait être des divisions complètes, mais en 1943, il était réduit à quelques centaines d'hommes, au mieux.

Il existait autrefois une croyance anhistorique largement répandue selon laquelle la Wehrmacht était une force majoritairement, sinon totalement, motorisée : cette croyance semble avoir heureusement en grande partie disparu aujourd'hui, mais elle a laissé sa place à une croyance tout aussi insensée en cette motorisation dans le monde. La Wehrmacht était une rareté, la propriété d'une poignée de divisions, tandis que le reste était entièrement tiré par des chevaux.

Il est vrai que plus de 600 000 chevaux furent rassemblés pour Barbarossa. Des colonnes de ravitaillement aux cuisines de campagne, ces animaux étaient engagés dans d'innombrables tâches, et sans eux, la tâche de Barbarossa aurait en effet été impossible. Mais ce que les gens ignorent ou oublient, c'est que pour l'opération ont également été rassemblés six cent mille véhicules à moteur : camions, motos, voitures et tracteurs d'artillerie. Pour chaque cheval, il y avait un véhicule à moteur.

Une division de fusiliers soviétiques à pleine puissance, dans sa pleine force de mobilisation, disposerait de 585 camions et véhicules de transport légers. C'était environ dix pour cent de moins que celui de la division d'infanterie allemande moyenne, ce qui, combiné à l'utilisation de camions plus lourds de 2,5 et 3 tonnes dans les divisions allemandes, par rapport à la dépendance terminale des véhicules de 1,5 tonne dans les formations soviétiques qu'une division d'infanterie allemande avait deux fois la capacité de transport de son homologue soviétique. Bien sûr, cela compte dans les effectifs autorisés : et alors que les effectifs autorisés susmentionnés concernaient principalement les divisions allemandes, la plupart des divisions soviétiques à l'Ouest étaient dans leur organisation de temps de paix et, en moyenne, il leur manquait la moitié des camions qui leur étaient autorisés, même dans leur situation réduite. La situation sur le terrain fut bientôt officialisée avec le changement de division de fusiliers TOE en juillet 1941 : les effectifs furent réduits de vingt-cinq pour cent, l'artillerie et les canons antichar réduits à un tiers, et les transports motorisés tombèrent de 607 camions et transports légers. véhicules au 202.

Et d'ailleurs encore une fois je sais que je me répète mais j'insiste là dessus, la seule opération comparable à celle ci côté Soviétique c'est l'opération Victule Oder . Cette dernière permettant aux pointes blindés de Jouk et de Koniev ( respectivement commandants du 1er Front de Biélorussie et du 1er Front Ukrainien ) d'avancer au maximum de 600 km en 18 jours à peine là où les Allemands avaient pénétré de 500 - 600 en territoire ennemi au mieux lors des trois premières semaines de l'opération Barbarossa et ce quand bien même les rapports de forces étaient tout aussi favorables aux allemands pour Barbarossa qu'ils ne l'étaient pour les Soviétiques en 1945 lors de l'opération Vistule Oder ( rappel : les unités soviétiques étaient disposés en profondeur et de manière linéaire à la frontière ce qui faisaient que les allemands étaient lors de l'opération Barbarossa largement en supériorité numérique ). Les rapports de forces étaient concrètement similaires tant pour les blindés, que pour l'artillerie que pour l'infanterie le 12 janvier 1945 qui correspond au début de l'opération Vistule Oder que lors du début de l'opération Barbarossa mais cette fois en faveur des soviétiques, même si la supériorité numérique des soviétiques lors de Vistule Oder était légèrement supérieur pour ce qui est des unités combattantes directement concernées par les combats que la supériorité numérique de la Wehrmacht en 1941 lors de Barbarossa durant les premières semaines.