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Après la défaite russe et le démantèlement :
" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
" C'était du troll s'il-vous-plaît m'envoyer pas des camps de traître pro russe "
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La seule grande raison du retard de l'enclenchement de l'opération Barbarossa en bref, réside dans le débarquement du mouvement d'horlogerie que représente le transport des forces allemandes destinés à entre en URSS. De plus Hitler courrait après plusieurs lièvres à la fois étant donné qu'en plus de la Grèce, Hitler veut engager des forces contre les Iles du Cap Vert, Gibraltar, les Canaries, l'Albanie, l'Egypte et le Maroc avant de vouloir reprendre le bombardement de la Grande Bretagne en avril et mai 1941, ce qui dénote une confusion sur le plan stratégique d'une part et une sous estimation constante de l'Union Soviétique sur le plan militaire.
En plus des 143 divisions allemandes, on a eu 17 divisions roumaines, 16 divisions finlandaises et 2 seulement divisions slovaques. Les 7 divisions italiennes, hongroises et croates n'arriveront qu'au milieu de l'été en juillet en en aout. Hitler n'accepte leur participation que pour des missions de sécurisation des ailes ou des arrières. Il ne fait pas grand chose pour moderniser leurs moyens sur le plan offensif hormis en Finlande, étant donné que Léningrad était la cible du Groupe d'Armée Nord.
En ce qui concerne la Hongrie, le dirigeant Horthy sait que son armée n'est pas moderne. De plus, il veut la conserver sur son sol pour faire pièce aux visées revanchardes de la Roumanie et de la Slovaquie. Il se contente juste d'apporter son soutien à Hitler lorsque celui l'informe le 22 juin 1941 du déclenchement de l'opération Barbarossa. Il ne fait que rompre les relations diplomatiques, avant de finalemùment entrer en guerre le 27 juin 1941 après que la veille, une mobilisation partielle ait lieu, en plus d'une attaque aérienne non identifiées ayant visées deux villes de la Haute Hongrie, soit la Slovaquie Magyare, Kassa et Munkacs. Aujourd'hui on sait qu'il s'agissait d'une provocation allemande pour pousser à l'entrée en guerre de la Hongrie contre l'Union Soviétique.
En plus des 143 divisions allemandes, on a eu 17 divisions roumaines, 16 divisions finlandaises et 2 seulement divisions slovaques. Les 7 divisions italiennes, hongroises et croates n'arriveront qu'au milieu de l'été en juillet en en aout. Hitler n'accepte leur participation que pour des missions de sécurisation des ailes ou des arrières. Il ne fait pas grand chose pour moderniser leurs moyens sur le plan offensif hormis en Finlande, étant donné que Léningrad était la cible du Groupe d'Armée Nord.
En ce qui concerne la Hongrie, le dirigeant Horthy sait que son armée n'est pas moderne. De plus, il veut la conserver sur son sol pour faire pièce aux visées revanchardes de la Roumanie et de la Slovaquie. Il se contente juste d'apporter son soutien à Hitler lorsque celui l'informe le 22 juin 1941 du déclenchement de l'opération Barbarossa. Il ne fait que rompre les relations diplomatiques, avant de finalemùment entrer en guerre le 27 juin 1941 après que la veille, une mobilisation partielle ait lieu, en plus d'une attaque aérienne non identifiées ayant visées deux villes de la Haute Hongrie, soit la Slovaquie Magyare, Kassa et Munkacs. Aujourd'hui on sait qu'il s'agissait d'une provocation allemande pour pousser à l'entrée en guerre de la Hongrie contre l'Union Soviétique.
Batman sera toujours là pour faire régner la justice sur les topics de onche.
il y a 2 ans
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En ce qui concerne la Slovaquie, elle est le pays le plus pauvre et plus petit des Alliés du Reich contre l'URSS en plus d'être le seul avant l'apparition d'un régiment croate et des oustachis croates à appartenir à ce qu'on appelle communément le monde slave. Josef Tiso est le ched de l'état Slovaque. Il a joué le rôle de vassal du Reich sans état d'âme et a calqué son régime sur celui du Reich avec législation antisémite et paramilitaires semblables aux SS à l'appuie.
En l'occurrence Hitler ne veut pas d'une alliance avec la Slovaquie tout comme il ne voulait pas vraiment d'une alliance avec la Slovaquie. Ses généraux insistent en mettant en évidence le fait que les deux divisions slovaques constituées de 28 000 hommes peuvent remplir des missions de sécurisation des arrières du Groupe d'Armée Sud allemand.
En ce qui concerne la Roumanie,
Que ce soit les dirigeants Hongrois, Slovaques ou Roumains, le démoninateur commun est leur anti communisme viscéral.
En l'occurrence Hitler ne veut pas d'une alliance avec la Slovaquie tout comme il ne voulait pas vraiment d'une alliance avec la Slovaquie. Ses généraux insistent en mettant en évidence le fait que les deux divisions slovaques constituées de 28 000 hommes peuvent remplir des missions de sécurisation des arrières du Groupe d'Armée Sud allemand.
En ce qui concerne la Roumanie,
Que ce soit les dirigeants Hongrois, Slovaques ou Roumains, le démoninateur commun est leur anti communisme viscéral.
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il y a 2 ans
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L'URSS, on le sait a enchaîné les revers et les désastre en 1941 jusqu'à la contre offensive de Moscou en décembre 1941. L'historiographie soviétique post stalinienne ainsi que l'historiographie occidentale l'ont résumé jusqu'aux années 1980 au double effet des purges staliniennes et de l'effet de surprise. Pour ce qui est des purges staliniennes, il est incontestable, qu'elles sont affaibli l'Union Soviétique de l'intérieur comme sur le plan international. Sur le plan international en effet, l'URSS apparait comme le nouvel homme malade du concert international de telle sorte que les Allemands comme les Japonais ne le voient plus que comme un colosse aux pieds d'argile d'une part, et d'autre part, du côté des Alliés, l'URSS n'est plus prise en compte en tant que facteur d'alliance contre le fascisme. Sur le plan intérieur, la grande terreur n'a fait qu'ajouter de nouveaux opposants aux épisodes déjà traumatisants qu'ont été la dékoulakization, ainsi que la collectivisation forcée des terres. Staline savait pertinemment, lui qui lisait les rapports du NKVD, qu'en cas de guerre, un front interne s'ouvrirait. Ce n'est pas pour rien que les ordres donnés à la police intérieur concernait justement ce front interne. Les cas de sabotage et d'aides apportées à l'armée Allemande n'étaient pas rares, en particulier dans les pays limitrophes comme en Lituanie, Lettonie ou encore en Ukraine Occidentale.
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il y a 2 ans
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Selon le poète Joseph Outkine : Aucun ennemi ne pourra nous nuire comme Staline l'a fait avec ses procès. Une partie de la paysannerie soviétique n'attendait que l'attaque Allemande pour pouvoir frapper les Bolcheviques par derrière. Malgré cela, un rapport de Mekhlis envoyé à Jdanov était censé montré que Staline était parvenu à atteindre son objectif, à savoir renforcer l'unité de la soviété soviétique. Entre 1937 et 1940, le nombre de communistes dans l'armée, selon ce rapport, a augmenté de 3,5 fois.
Il faut ajouter à cela la croissance folle des effectifs de l'armée Rouge. Car malgré la perte de 27 000 officiers entre 1937 et 1938, la crise de croissance de l'armée Rouge, elle était bien réelle. Cette croissance folle des effectifs a masqué une triple transformation que ce soit au niveau du format, de l'organisation et de l'équipement des forces. En ce qui concerne la mutation du format, en 1928, l'armée de terre, la flotte et l'aviation soviétiques comptent 585 000 hommes au sein de ses unités de réserve territoriale. 4 ans plus tard ce chiffre monte à 842 000 à cause des menaces en Extrême Orient. Cependant, la hausse des effectifs soviétiques n'est pas exceptionnelle si on compare à l'Allemagne, qui passe de 100 000 à 3 millions de soldats entre 1932 et 1939 ou encore aux Etats Unis, qui portent leur effectifs de 330 000 à près de 4 millions et ce en l'espace de seulement trois ans. Cependant malgré les compromis passés en ce qui concerne la qualité des officiers allemands, la croissance des effectifs s'est plutôt bien passé par comparaison avec celle de l'armée Rouge. La campagne de Pologne et l'héritage de la Reichsweir ont bien aidé tout de même. L'armée Rouge, de son côté, s'est noyée dans sa propre montée en puissance. La poussée de 1939 au 1941 achève d'affaiblir l'armée Rouge. en 18 mois, 3 millions de soldats sont incorporés dans les casernes et les camps. Or pour encadrer tout cela, il faut des officiers, 300 000 officiers supplémentaires en l'occurrence par rapport au nombre total des patentés entre 1929 et 1937. Or il n'y a que l'école et la réserve pour les fournir. La réserve ne pouvait en fournir que 10%. Ce qui faisait de l'école la seule institution capable de potentiellement gérer cet excès de croissance des effectifs.
Il faut ajouter à cela la croissance folle des effectifs de l'armée Rouge. Car malgré la perte de 27 000 officiers entre 1937 et 1938, la crise de croissance de l'armée Rouge, elle était bien réelle. Cette croissance folle des effectifs a masqué une triple transformation que ce soit au niveau du format, de l'organisation et de l'équipement des forces. En ce qui concerne la mutation du format, en 1928, l'armée de terre, la flotte et l'aviation soviétiques comptent 585 000 hommes au sein de ses unités de réserve territoriale. 4 ans plus tard ce chiffre monte à 842 000 à cause des menaces en Extrême Orient. Cependant, la hausse des effectifs soviétiques n'est pas exceptionnelle si on compare à l'Allemagne, qui passe de 100 000 à 3 millions de soldats entre 1932 et 1939 ou encore aux Etats Unis, qui portent leur effectifs de 330 000 à près de 4 millions et ce en l'espace de seulement trois ans. Cependant malgré les compromis passés en ce qui concerne la qualité des officiers allemands, la croissance des effectifs s'est plutôt bien passé par comparaison avec celle de l'armée Rouge. La campagne de Pologne et l'héritage de la Reichsweir ont bien aidé tout de même. L'armée Rouge, de son côté, s'est noyée dans sa propre montée en puissance. La poussée de 1939 au 1941 achève d'affaiblir l'armée Rouge. en 18 mois, 3 millions de soldats sont incorporés dans les casernes et les camps. Or pour encadrer tout cela, il faut des officiers, 300 000 officiers supplémentaires en l'occurrence par rapport au nombre total des patentés entre 1929 et 1937. Or il n'y a que l'école et la réserve pour les fournir. La réserve ne pouvait en fournir que 10%. Ce qui faisait de l'école la seule institution capable de potentiellement gérer cet excès de croissance des effectifs.
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il y a 2 ans
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Malgré le quadruplement des académies militaires et autres écoles militaires, moins de la moitié de ce qui est vraiment nécessaire pour l'armée Rouge parvient à être fourni seulement. Du coup, le commissariat à la guerre se tourne vers ceux qui ont servi durant la guerre civile alors même que leur formation a été hâtive en plus d'être dépassée. Sans oublier les jeunesses communistes arrachées des universités techniques pour les mettre dans les corps mécanisés et ce sans formation militaire digne de ce nom. En bref, l'Etat Soviétique a transformé des officiers politiques en chef de bataillons par idéologie. Sans oublier les multiples sous officiers n'ayant même pas terminé l'école primaire. Nombre de lieutenants étaient incapable de lire une carte. Sans oublier les turn overs engendrés par les purges et les création incessantes de nouvelles unités. Il faut savoir qu'un tiers des cadres n'avaient une formation que de quelques semaines si ce n'est aucune formation. 7% ont reçu une éducation militaire comparable à celle de leur adversaire pour 14% 4 années plus tôt.
Pour ce qui est des leçons que l'armée Rouge aurait du tirer des victoires à la pyrrhus lors des combat du lac Khassan, lors de la bataille du Khalkin Gol contre les japonais ou encore le désastre soviétique contre la Finlande, seul la victoire finale a été retenue. Le niveau des pertes ainsi que les multiples défauts de cette armée n'ont pas été pris en compte comme il le fallait. Pourtant, ce n'est pas comme Staline n'avait pas connaissance de la médiocrité de l'armée Rouge. A la différence des Allemands, les Soviétiques ont fait partagé la pénurie des officiers à l'ensemble des unités y compris les plus importantes sur le plan opérationnel à l'image des corps mécanisés de Timochenko qui se feront d'ailleurs massacrer en 1941.
Ce qui a donné l'avantage à l'Union Soviétique contre le Reich a été le fait que son industrie ait été plus efficiente et moins étroite que celle du Reich étant donné que la fabrication des blindés était répartit entre 96 sites contre 250 sites pour le Reich. L'URSS a su rationalisé sa production et à l'adapter en convertissant les usines déjà existantes au lieu d'en construire des nouvelles.
Pour ce qui est des leçons que l'armée Rouge aurait du tirer des victoires à la pyrrhus lors des combat du lac Khassan, lors de la bataille du Khalkin Gol contre les japonais ou encore le désastre soviétique contre la Finlande, seul la victoire finale a été retenue. Le niveau des pertes ainsi que les multiples défauts de cette armée n'ont pas été pris en compte comme il le fallait. Pourtant, ce n'est pas comme Staline n'avait pas connaissance de la médiocrité de l'armée Rouge. A la différence des Allemands, les Soviétiques ont fait partagé la pénurie des officiers à l'ensemble des unités y compris les plus importantes sur le plan opérationnel à l'image des corps mécanisés de Timochenko qui se feront d'ailleurs massacrer en 1941.
Ce qui a donné l'avantage à l'Union Soviétique contre le Reich a été le fait que son industrie ait été plus efficiente et moins étroite que celle du Reich étant donné que la fabrication des blindés était répartit entre 96 sites contre 250 sites pour le Reich. L'URSS a su rationalisé sa production et à l'adapter en convertissant les usines déjà existantes au lieu d'en construire des nouvelles.
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il y a 2 ans
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Malgré cela, Staline a mieux préparé son pays à la guerre que le tsar. Entre 1941 et 1945 les usines soviétiques produisent et livrent 25 fois plus de munitions que ne l'avaient fait les leurs devancières entre 1914 et 1917. Soit plus que les autres pays y compris les Etats Unis que ce soit pour le premier ou le second conflit mondial. Staline avait je le rappelle tout sacrifié quasiment à l'industrialisation de son pays. Cela a été lancé à l'occasion de son premier plan quinquennal de 1929. L'industrie lourde, la défense et la métallurgie ont reçu les deux tiers de l'investissement total du gouvernement. Rien que le part des dépenses militaires passent de 19% en 1936 à 31,5% en 1939. Rien qu'en 1933, 3830 chars sont sortis des usines pour 2 661 avions, plus 4 600 tubes d'artillerie, ce qui représente un total atteint nul part d'ailleurs dans le monde. En bref, nul pays n'a mieux réarmé que l'URSS contrairement à une vieille croyance qui veuille que ce soit l'Allemagne qui ait le mieux ou le plus massivement réarmé.
Cependant parmi les désavantages de cette industrialisation forcée et rapide, l'écrasement de la consommation civile à des niveaux extrêmement bas. Sans oublier l'apport de matériel obsolètes pour beaucoup. Rien qu'en 1941, plus de 30% des chars sont obsolètes soit un tiers et près de 40% des avions soviétiques sont obsolètes. Sans oublier les logements insalubres et surpeuplés. A partie de 1930, 9000 entreprises industrielles sont crées dont 1219 consacrés entièrement à l'armement et aux munitions. Rien que l'usine de Tcheliabink parvient à produire 3 600 chars qu'ils soient KV ou T 34. Soit 85% de la production combinées des blindés allemands.
Cependant parmi les désavantages de cette industrialisation forcée et rapide, l'écrasement de la consommation civile à des niveaux extrêmement bas. Sans oublier l'apport de matériel obsolètes pour beaucoup. Rien qu'en 1941, plus de 30% des chars sont obsolètes soit un tiers et près de 40% des avions soviétiques sont obsolètes. Sans oublier les logements insalubres et surpeuplés. A partie de 1930, 9000 entreprises industrielles sont crées dont 1219 consacrés entièrement à l'armement et aux munitions. Rien que l'usine de Tcheliabink parvient à produire 3 600 chars qu'ils soient KV ou T 34. Soit 85% de la production combinées des blindés allemands.
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il y a 2 ans
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Les fusils soviétiques Tokarev ont un plus gros volument de feu que les Mauser allemands par exemple. Plus le canon F 22 de 76 mm et des mortiers lours équivalents à ceux des allemands. Même un modèle de char comme le BT 7 souvent présenté comme étant obsolète à cause de la minceur de son blindage avait pour lui la vitesse et l'efficacité de son canon. Seule l'artillerie anti aérienne voire anti char ont vraiment fait défaut au début de la guerre. Mais les faiblesses les plus flagrantes se situaient davantage au niveau de la transmission et des radios ainsi que des camions, des armes automatiques légères. Puis, les bombardiers soviétiques Sturmoviket Pe 2 ainsi que les chasseurs MiG 3, Yak 1 ainsi que LaGG3 font de plus en plus leur apparition.
De plus, la guerre d'Espagne a délivré des renseignements importants aux Soviétiques. Les rapports de combat envoyés d'Espagne par les tankistes se trouvant sous l'égide de Pavlov à ce moment là, pointaient 4 faiblesses majeurs des T 26 et des BT 5, que ce soit au niveau du système de double traction, roues et chenilles, trop fragile, un faible canon de 45 mm, un moteur à essence pouvant provoquer des incendies et un blindage frontal beaucoup trop léger face aux canons anti chars. C'est à partir de cette expérience que naitra le T 34. Le 27 février 1939 en effet, le projet est accepter à l'issue d'une réunion du Comité de défense. L'usine des locomotives numéro 183 doit faire le travail. Kochkine anime le bureau d'études de l'usine en question. De ce projet naitra d'abord le A 32 avec un blindage frontal certes plus léger que celui demandé par Pavlov mais compensé en partie par le fait que celui ci soit incliné à 30 degrés. Envoyé par trains à Kubinka pour les essais, Pavlov informe à Vorochilov qu'il est possible que le A 32 renommé A 34, puisse être équipe du moteur V 2 et de 4 mitrailleuse plus un canon F 32. Sans oublier un blindage plus épais permis par le système de tractions.
De plus, la guerre d'Espagne a délivré des renseignements importants aux Soviétiques. Les rapports de combat envoyés d'Espagne par les tankistes se trouvant sous l'égide de Pavlov à ce moment là, pointaient 4 faiblesses majeurs des T 26 et des BT 5, que ce soit au niveau du système de double traction, roues et chenilles, trop fragile, un faible canon de 45 mm, un moteur à essence pouvant provoquer des incendies et un blindage frontal beaucoup trop léger face aux canons anti chars. C'est à partir de cette expérience que naitra le T 34. Le 27 février 1939 en effet, le projet est accepter à l'issue d'une réunion du Comité de défense. L'usine des locomotives numéro 183 doit faire le travail. Kochkine anime le bureau d'études de l'usine en question. De ce projet naitra d'abord le A 32 avec un blindage frontal certes plus léger que celui demandé par Pavlov mais compensé en partie par le fait que celui ci soit incliné à 30 degrés. Envoyé par trains à Kubinka pour les essais, Pavlov informe à Vorochilov qu'il est possible que le A 32 renommé A 34, puisse être équipe du moteur V 2 et de 4 mitrailleuse plus un canon F 32. Sans oublier un blindage plus épais permis par le système de tractions.
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il y a 2 ans
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Le 26 avril 1940, Pavlov défend devant le Haut Conseil Militaire le remplacement des T 26 et des BT notamment les BT 5 par le T 34, le KV 1 et également un engin blindé amphibie certes moins connu, le T 40. La résolution est émise par le conseil et entérinée le 7 jui n1940 via un décret du Conseil des commissaires du people ainsi que le bureau politique. 600 T 34 sont prévue rien que p our 1940. En 1941 l(objectif est multiplié par 4.
Le ministre de la Propagande Joseph Goebbels avait admis le 2 juillet 1941 que l'armée rouge opposait une résistance tenace. Ce n'est pas comme si ça avait été une réussite totale même durant l'été. La bataille de Smolensk déjà en fournit un exemple parfait. On parle d'une bataille qui a duré bien plus longtemps que prévu. Dès le mois de juillet et d'aout malgré les avancées allemandes, on se doutait que ce ne serait pas aussi simple. je m'explique : Les 21 premiers jours selon les secteurs, les Allemands ont avancé entre 500 et 600 kilomètres selon les secteurs. Au mois d'aout et de septembre les avancées se réduisaient à quelque chose comme une centaine de kilomètres voire 200 kilomètres. Manifestement quelque chose n'allait pas côté allemand. Que ce soit un front trop grand pour pas assez de soldats ou du côté d'une logistique allemande relativement défaillante. L'opération Barbarossa était censé vaincre l'URSS. Donc en définitive, ce n'était pas vraiment une réussite. Hitler voulait vaincre l'URSS en 4 mois, Goebbels pensait que ce serait encore plus rapide. Quand on voit où en étaient les Allemands en octobre à galérer avec la raspoutitsa et les différentes résistances soviétiques, on voyait bien que l'opération avait de grandes chances d'échouer. La contre offensive de Moscou en décembre 1941 l'a confirmé.
La combinaison entre la faiblesse de la logistique, la grandeur de l'espace à dominer, le manque de cohérence sur le plan opérationnel et stratégique par rapport à leur adversaire ainsi que la sous estimation de l'armée rouge aura été une combinaison mortelle pour la Wehrmacht.
Le ministre de la Propagande Joseph Goebbels avait admis le 2 juillet 1941 que l'armée rouge opposait une résistance tenace. Ce n'est pas comme si ça avait été une réussite totale même durant l'été. La bataille de Smolensk déjà en fournit un exemple parfait. On parle d'une bataille qui a duré bien plus longtemps que prévu. Dès le mois de juillet et d'aout malgré les avancées allemandes, on se doutait que ce ne serait pas aussi simple. je m'explique : Les 21 premiers jours selon les secteurs, les Allemands ont avancé entre 500 et 600 kilomètres selon les secteurs. Au mois d'aout et de septembre les avancées se réduisaient à quelque chose comme une centaine de kilomètres voire 200 kilomètres. Manifestement quelque chose n'allait pas côté allemand. Que ce soit un front trop grand pour pas assez de soldats ou du côté d'une logistique allemande relativement défaillante. L'opération Barbarossa était censé vaincre l'URSS. Donc en définitive, ce n'était pas vraiment une réussite. Hitler voulait vaincre l'URSS en 4 mois, Goebbels pensait que ce serait encore plus rapide. Quand on voit où en étaient les Allemands en octobre à galérer avec la raspoutitsa et les différentes résistances soviétiques, on voyait bien que l'opération avait de grandes chances d'échouer. La contre offensive de Moscou en décembre 1941 l'a confirmé.
La combinaison entre la faiblesse de la logistique, la grandeur de l'espace à dominer, le manque de cohérence sur le plan opérationnel et stratégique par rapport à leur adversaire ainsi que la sous estimation de l'armée rouge aura été une combinaison mortelle pour la Wehrmacht.
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il y a 2 ans
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La semaine du 5 au 11 décembre est catastrophique pour le IIIème Reich. En effet, le 5, l'Armée rouge lance sa contre offensive devant Moscou qui fait reculer le Groupe d'Armée Centre de 25 à 100 kilomètres selon les secteurs. Le 7 décembre, A pearl Harbor, la flotte américaine est attaquée par la flotte japonaise. Le 11, l'Allemagne, bientôt rejoint par la Croatie et par l'Italie notamment, déclarent la guerrer aux Etats Unis par solidarité avec le Japon. La crise se prolonge durant l'hiver 1941 1942. Elle se termine par la directive assignant les pétroles de Bakou comme objectifs le 5 avril 1942 à travers la directive 41.
Depuis 1938 1939, la stratégie du Reich repose sur le fait de n'avoir à combattre que sur un seul front, conséquence des leçons tirées de la première guerre mondiale. Cele s'est vu en Tchéchoslovaquie, puis en Pologne et en France. Cependant, l'échec de la campagne aérienne de 1940 font que Hitler penser devoir faire une courte exception à cette règle en attaquant l'URSS, ce qui aura pour effet non seulement d'éliminer la menace bolchevique pour l'Europe ainsi perçue par l'Allemagne mais cela est censé faire sortir l'Angleterre de la guerre. Ce serait donc une pierre deux coups. Mais la contre offensive de Moscou signe la fin de Barbarossa ainsi que les espoirs d'une guerre courte. Hitler s'impose une contrainte du temps forte. Car la Wehrmacht doit en avoir finit d'ici l'hiver 1941 1942 et se situer sur la ligne Archangelsk Astrakhan après avoir pris Moscou et s'être emparé des principales ressources de matières possibels de l'Union Soviétique, lui donnant ainsi la possibilité d'une guerre longue. Pour revenir à la contre offensive de Moscou, la deuxième phase débute le 17 décembre contre les Groupes d'Armées Nord, Centre mais aussi Sud en Crimée, se traduisant là aussi par des reculs allant jusqu'à 100 kilomètres. Mais en janvier, les attaques de l'Armée rouge se révèlent infructueuses car l'offensive est stoppée malgré un bilan de 380 000 pertes, morts, bléssés ou disparus. Mais au moins, Staline comme Hitler savent que la guerre sera longue que le Reich devra s'engager sur 2 fronts à terme. Ainsi, l'entrée en guerre des américains ruinent encore plus les espérances d'une guerre courte ainsi que la volonté de se battre sur un seul front pour de bon. Car pour Hitler, affronter les Etats Unis ne pouvaient pas se faire avant avoir vaincu l'URSS et bâti une Europe continentale centrée autour du IIIème Reich. Mais Hitler est soulagé par l'attaque de Pearl Harbor en même temps car il sait que la guerre dans le Pacifique retardera leur entrée en Europe.
Le jugement de Hitler sur l'Armée rouge n'a pas changé malgré le revers devant Moscou. En effet, il voit cette armée comme une armée de slaves fanatisés par le judéo bolchevisme, étant juste capables de tenir un front face à la Wehrmacht que grâce au général hiver ou à leur supériorité numérique. Hitler attribue d'ailleurs l'échec devant Moscou à diverses raisons. Certaines vraies, d'autres fausses. Parmi les raisons évidentes figurent la logistique qui n'a pas tenue le coup, des objectifs trop ambitieux pourdes moyens limités à ce moment là et une météo défavorable même si Hitler mettra cela sur le compte de l'hiver alors que ce sont les boues d'automne qui ont bien plus pénalisé la Wehrmacht que l'hiver en transformant les routes en véritables bourbiers. Parmi les raisons fausses, hormis l'excuse de l'hiver, figurent celle du manque d'entraînement de la troupe pour la défense. Or, l'infanterie a su très bien résisté face aux contre attaques de l'Armée rouge, les SS également. Malgré cela, à Rostov le premier mouvement de retraite intervient le 29 novembre avec Hitler contremandant un ordre donné par Von Rundstedt, patron du Groupe d'Armée Sud, qui démissionne aussitôt. D'un côté on a Hitler qui veut tenir à tout prix et de l'autre ses généraux qui veulent reculer afin d'éviter le plus possible leur destruction et anéantissement débouche sur le limogeage de Von Leev et de Von Bock, commandants des Groupes d'Armées Nord et Centre respectivement. De même que 30 généraux plus Guderian.
Depuis 1938 1939, la stratégie du Reich repose sur le fait de n'avoir à combattre que sur un seul front, conséquence des leçons tirées de la première guerre mondiale. Cele s'est vu en Tchéchoslovaquie, puis en Pologne et en France. Cependant, l'échec de la campagne aérienne de 1940 font que Hitler penser devoir faire une courte exception à cette règle en attaquant l'URSS, ce qui aura pour effet non seulement d'éliminer la menace bolchevique pour l'Europe ainsi perçue par l'Allemagne mais cela est censé faire sortir l'Angleterre de la guerre. Ce serait donc une pierre deux coups. Mais la contre offensive de Moscou signe la fin de Barbarossa ainsi que les espoirs d'une guerre courte. Hitler s'impose une contrainte du temps forte. Car la Wehrmacht doit en avoir finit d'ici l'hiver 1941 1942 et se situer sur la ligne Archangelsk Astrakhan après avoir pris Moscou et s'être emparé des principales ressources de matières possibels de l'Union Soviétique, lui donnant ainsi la possibilité d'une guerre longue. Pour revenir à la contre offensive de Moscou, la deuxième phase débute le 17 décembre contre les Groupes d'Armées Nord, Centre mais aussi Sud en Crimée, se traduisant là aussi par des reculs allant jusqu'à 100 kilomètres. Mais en janvier, les attaques de l'Armée rouge se révèlent infructueuses car l'offensive est stoppée malgré un bilan de 380 000 pertes, morts, bléssés ou disparus. Mais au moins, Staline comme Hitler savent que la guerre sera longue que le Reich devra s'engager sur 2 fronts à terme. Ainsi, l'entrée en guerre des américains ruinent encore plus les espérances d'une guerre courte ainsi que la volonté de se battre sur un seul front pour de bon. Car pour Hitler, affronter les Etats Unis ne pouvaient pas se faire avant avoir vaincu l'URSS et bâti une Europe continentale centrée autour du IIIème Reich. Mais Hitler est soulagé par l'attaque de Pearl Harbor en même temps car il sait que la guerre dans le Pacifique retardera leur entrée en Europe.
Le jugement de Hitler sur l'Armée rouge n'a pas changé malgré le revers devant Moscou. En effet, il voit cette armée comme une armée de slaves fanatisés par le judéo bolchevisme, étant juste capables de tenir un front face à la Wehrmacht que grâce au général hiver ou à leur supériorité numérique. Hitler attribue d'ailleurs l'échec devant Moscou à diverses raisons. Certaines vraies, d'autres fausses. Parmi les raisons évidentes figurent la logistique qui n'a pas tenue le coup, des objectifs trop ambitieux pourdes moyens limités à ce moment là et une météo défavorable même si Hitler mettra cela sur le compte de l'hiver alors que ce sont les boues d'automne qui ont bien plus pénalisé la Wehrmacht que l'hiver en transformant les routes en véritables bourbiers. Parmi les raisons fausses, hormis l'excuse de l'hiver, figurent celle du manque d'entraînement de la troupe pour la défense. Or, l'infanterie a su très bien résisté face aux contre attaques de l'Armée rouge, les SS également. Malgré cela, à Rostov le premier mouvement de retraite intervient le 29 novembre avec Hitler contremandant un ordre donné par Von Rundstedt, patron du Groupe d'Armée Sud, qui démissionne aussitôt. D'un côté on a Hitler qui veut tenir à tout prix et de l'autre ses généraux qui veulent reculer afin d'éviter le plus possible leur destruction et anéantissement débouche sur le limogeage de Von Leev et de Von Bock, commandants des Groupes d'Armées Nord et Centre respectivement. De même que 30 généraux plus Guderian.
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il y a 2 ans
Après la défaite russe et le démantèlement :
" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
" C'était du troll s'il-vous-plaît m'envoyer pas des camps de traître pro russe "
" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
" C'était du troll s'il-vous-plaît m'envoyer pas des camps de traître pro russe "
Le mémorandum de l'OKH est clair quant aux 4 points principaux développés, à savoir que des objectifs fixés devront être atteint dans un temps court, que les alliés de l'Allemagne devront s'impliquer davantage dans cette guerre, que la Japon parviendra à fixer d'importantes forces anglo saxones dans le Pacifique et que par conséquent, dernier point, il sera impossible de mener une guerre sur 2 océans pour les Etats Unis. Or Halder doute sur le fait que la Wehrmacht puisse tenir ses positions sur le front russe, ce qui fait craindre une déroute napoléonienne. L'OKH reconnait ne pas être en capacité de développer une offensive d'envergure pour l'été 1942 qui s'annonce. Le mémorandum du 25 février 1942 par la Direction de la guerre maritime propose une réorientation stratégique globale à Hitler, ayant pris conscience de la mondialisation du conflit. Or à ce moment là, le Japon enchaîne les victoires en s'emparant des Philippines, de la Malaisie, de Singapour, puis de la Birmanie.
Il s'agit pour l'Afrika Korps de Rommel de prendre le canal de Suez puis d'aller en Mésopotamie pour faire la jonction avec les forces allemandes se trouvant du côté de l'Ukraine. Et ces dernières forces devraient après avoir passé le Caucase, descendre en direction des plateaux iraniens pour finalement aller en direction du golfe Persique aux environs à'Abadan et du Koweit. En fin de compte, il s'agit de faire main basse sur le pétrole irakien et iranien. Hitler lui, ne voit ça d'un bon oeil que dans une perspective plus lointaine. Dans l'immédiat, il sait que son pays n'a pas les moyens pour cela. Et il a raison sur ce point là car le Reich n'avait pas les moyens de lancer ses forces vers le Moyen Orient sachant qu'il devrait vaincre l'URSS sur le front de l'est en même temps alors même que la grande majorité des forces s'y trouvaient. En fait pour que cela ait une chance de réussir, il faudrait se placer en défensive sur le front de l'est. C'était possible mais refusé par Hitler. Il veut achever les russes à tout prix. A ce moment là la moitié des avions allemands se trouvaient sur le front de l'est pour plus de trois quarts de ses forces terrestres. Or à ce moment là les seules possibilités de faire sortir l'URSS de la guerre est d'accepter un compromis avec éventuellement retour sur les frontières de 1940 avec quelques concessions territoriales faites à l'Allemagne. A ce stade là, moins de 9 millions de Soviétiques avaient déjà été tués. Il faut dire qu'avec l'Armée rouge dans le dos de la Wehrmacht en permanence, impossible de tenter quoique ce soit. Il faut donc tenter la deuxième solution, à savoir se donner les moyens suffisants pour mener une guerre longue ou pour enlever sa capacité combattive à l'Armée rouge si ce n'est les deux. Les pétroles du Caucase semblent bien remplir ces 2 critères. Mais il faut faire vite. Car Hitler s'est persuadé que le débarquement américain aurait lieu dès la fin de l'année 1942 soit 18 mois avant la réalité.
Impossible de se fournir auprès de ses fournisseurs habituels d'Amérique du sud depuis le blocus imposé par les Alliés, ce qui n'a pas empêché les usines de carburants synthétiques allemandes d'augmenter leur production passant de 2,2 millions en 1939 à 4,1 millions en 1941.
Il s'agit pour l'Afrika Korps de Rommel de prendre le canal de Suez puis d'aller en Mésopotamie pour faire la jonction avec les forces allemandes se trouvant du côté de l'Ukraine. Et ces dernières forces devraient après avoir passé le Caucase, descendre en direction des plateaux iraniens pour finalement aller en direction du golfe Persique aux environs à'Abadan et du Koweit. En fin de compte, il s'agit de faire main basse sur le pétrole irakien et iranien. Hitler lui, ne voit ça d'un bon oeil que dans une perspective plus lointaine. Dans l'immédiat, il sait que son pays n'a pas les moyens pour cela. Et il a raison sur ce point là car le Reich n'avait pas les moyens de lancer ses forces vers le Moyen Orient sachant qu'il devrait vaincre l'URSS sur le front de l'est en même temps alors même que la grande majorité des forces s'y trouvaient. En fait pour que cela ait une chance de réussir, il faudrait se placer en défensive sur le front de l'est. C'était possible mais refusé par Hitler. Il veut achever les russes à tout prix. A ce moment là la moitié des avions allemands se trouvaient sur le front de l'est pour plus de trois quarts de ses forces terrestres. Or à ce moment là les seules possibilités de faire sortir l'URSS de la guerre est d'accepter un compromis avec éventuellement retour sur les frontières de 1940 avec quelques concessions territoriales faites à l'Allemagne. A ce stade là, moins de 9 millions de Soviétiques avaient déjà été tués. Il faut dire qu'avec l'Armée rouge dans le dos de la Wehrmacht en permanence, impossible de tenter quoique ce soit. Il faut donc tenter la deuxième solution, à savoir se donner les moyens suffisants pour mener une guerre longue ou pour enlever sa capacité combattive à l'Armée rouge si ce n'est les deux. Les pétroles du Caucase semblent bien remplir ces 2 critères. Mais il faut faire vite. Car Hitler s'est persuadé que le débarquement américain aurait lieu dès la fin de l'année 1942 soit 18 mois avant la réalité.
Impossible de se fournir auprès de ses fournisseurs habituels d'Amérique du sud depuis le blocus imposé par les Alliés, ce qui n'a pas empêché les usines de carburants synthétiques allemandes d'augmenter leur production passant de 2,2 millions en 1939 à 4,1 millions en 1941.
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il y a 2 ans
Après la défaite russe et le démantèlement :
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Staline tenait déjà tous les pouvoirs en Union Soviétique en tant secrétaire général du parti communiste, seul parti autorisé, et ce depuis 1922. Ensuite, il devient président du conseil du commissaires des peuples de l'Union Soviétique avant de se mettre en position de président du GKO, le comité de défense de l'Etat. En d'autres termes, tout passe par lui. Pour ce qui est de ces compétences, certains ont prétendu qu'ils ne savaient pas lire une carte quand d'autres prétendaient qu'il s'agissait d'un génie. Dans un cas comme dans l'autre, il s'agit de propagandes guidées par la peur, la vengeance voire l'admiration. La bataille de Stalingrad n'aurait même pas eu lieu s'il n'avait pas mis en place des contre attaques pas coordonés durant 1941 et qu'il n'était pas intervenu pour mettre le gros des forces de l'Armée rouge en Ukraine plutôt qu'en Biélorussie. Entre le 22 juin 1941 et le début de la bataille de Stalingrad le 23 aout 1942, Staline est responsable en partie des 10 millions de morts soviétiques civils comme soldats. D'autant plus qu'il est persuadé que Hitler visera encore Moscou et non le Caucase en 1942. Ce que l'on sait c'est que Staline n'a pas fait son service militaire car réforme. Alors que Hitler acquérit son expérience de la guerre via la WW1, Staline, lui, attend la guerre civile pour vraiment se former militairement en Russie. En tant que président du conseil militaire du Front Sud, il aavit contribué à la défense du futur Stalingrad, à savoir Tsaritsyne contre les cosaques blancs de Krasnov même s'il n'a fait que commandé de l'arrière quelques raids de cavalerie. A noter qu'il possède une grande mémoire tout comme Hitler et qu'il dispose d'une très grande capacité de travail. Il discute plusieurs fois par jours avec ses généraux également. Son expérience de vieux chef bolchevique fait qu'il ne s'écroule pas contrairement à une vieille croyance lors des premières semaines de Barbarossa à l'exception des 28, 29 et 30 juin 1941.
Les défauts de Staline sont évidents. Il demande des objectifs irréalistes et néglige les contraintes logistiques. De plus, il ne tient pas compte de la fatigue des hommes ou des conditions sur le terrain. De même, ses objectifs stratégiques au début du conflit sous estiment la Wehrmacht. D'abord, il prévoit la libération de tout le territoire Soviétique d'ici noêl 1942 au début de l'année 1942. En novembre 1941, il avait ainsi déclaré l'Allemagne au bout du rouleau, ne lui donnant que quelques 6 mois voire 12 mois tout au plus. De plus, Staline est connu non seulement pour sa paranoia mais aussi sa brutalité extrême vu qu'il n'hésite pas à menacer chaque général qu'il soupçonne de la moindre trahison. Or, il voit la trahison partout. Cependant, à partir de 1942, il ne fait plus fusiller ses généraux voire ne les met plus à le retraite définitive comme l'a fait Hitler au début de la même année. Maintenant, c'est la rétrogradation qui se voit le plus souvent, avec des commandants de fronts rétrogradés en commandants d'armées, ou des commandants d'armées rétrogradés en chefs de corps, etc... Même le général Kozlov parvient à survivre malgré la défaite de Kertch en mai 1942. Enfin, à partir de l'été 1942, une certaine confiance limitée tout de même fait jour entre Staline et ses généraux vu qu'ils leur laisse la planification de l'opération Uranus par la suite notamment. Les débats vont bon train au sein de la Stavka.
Néanmoins, cela ne fait pas oublier les purges staliniennes ayant affaibli l'Armée rouge. Ces purges faisaient partie d'un plan d'épuration visant l'élite communiste. Les chefs les plus inventifs et créatifs ont péri. Cette génération laissera place à partir du début du conflit et notamment après la contre offensive de Moscou à des talents comme Rokossovski, Joukov, Vassilevski, Vatounine, Antonov, Emerenko, etc... Qui eux au moins se montreront capables d'affronter Staline et à faire valoir des points de vue divergents, ce qui n'était pas le cas de la vieille garde stalinienne de 1940 et de 1941 qui lui était entièrement dévoué sans avoir de grandes compétences pour autant. Encore tout de même en 1941, il fait fusiller une vingtaine de généraux pour avoir retraité sans autorisation ou pour s'être laissé encerclé. Même Hitler n'a pas traité ainsi ses généraux.
Les défauts de Staline sont évidents. Il demande des objectifs irréalistes et néglige les contraintes logistiques. De plus, il ne tient pas compte de la fatigue des hommes ou des conditions sur le terrain. De même, ses objectifs stratégiques au début du conflit sous estiment la Wehrmacht. D'abord, il prévoit la libération de tout le territoire Soviétique d'ici noêl 1942 au début de l'année 1942. En novembre 1941, il avait ainsi déclaré l'Allemagne au bout du rouleau, ne lui donnant que quelques 6 mois voire 12 mois tout au plus. De plus, Staline est connu non seulement pour sa paranoia mais aussi sa brutalité extrême vu qu'il n'hésite pas à menacer chaque général qu'il soupçonne de la moindre trahison. Or, il voit la trahison partout. Cependant, à partir de 1942, il ne fait plus fusiller ses généraux voire ne les met plus à le retraite définitive comme l'a fait Hitler au début de la même année. Maintenant, c'est la rétrogradation qui se voit le plus souvent, avec des commandants de fronts rétrogradés en commandants d'armées, ou des commandants d'armées rétrogradés en chefs de corps, etc... Même le général Kozlov parvient à survivre malgré la défaite de Kertch en mai 1942. Enfin, à partir de l'été 1942, une certaine confiance limitée tout de même fait jour entre Staline et ses généraux vu qu'ils leur laisse la planification de l'opération Uranus par la suite notamment. Les débats vont bon train au sein de la Stavka.
Néanmoins, cela ne fait pas oublier les purges staliniennes ayant affaibli l'Armée rouge. Ces purges faisaient partie d'un plan d'épuration visant l'élite communiste. Les chefs les plus inventifs et créatifs ont péri. Cette génération laissera place à partir du début du conflit et notamment après la contre offensive de Moscou à des talents comme Rokossovski, Joukov, Vassilevski, Vatounine, Antonov, Emerenko, etc... Qui eux au moins se montreront capables d'affronter Staline et à faire valoir des points de vue divergents, ce qui n'était pas le cas de la vieille garde stalinienne de 1940 et de 1941 qui lui était entièrement dévoué sans avoir de grandes compétences pour autant. Encore tout de même en 1941, il fait fusiller une vingtaine de généraux pour avoir retraité sans autorisation ou pour s'être laissé encerclé. Même Hitler n'a pas traité ainsi ses généraux.
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il y a 2 ans
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" Non mais.moi j'ai toujours été pour aucun camp hein , "
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Selon Staline et certains généraux, le manque de nouvelles divisions aurait fait que le Groupe d'Armées Centre n'a pas été reflué jusqu'au Dniepr. L'infanterie avait beau avoir effectué des percées, les forces mobiles d'exploitation étaient trop faibles pour faire ce qui sera fait en 1944 et en 1945 notamment, à savoir la destruction de Groupe d'Armées entiers. En effet en 1941 et 1942, seulement quelques brigades blindées exploitent après la percée. Or ces brigades combattent sans coordination, pour elles même, vu que les chars soviétique ne disposaient pas de radio à l'époque. Et sans soutient aérien ou parachutiste digne de ce nom. Ajoutons à cela le manque d'artillerie et une logistique défaillante, les raisons de l'échec de janvier février 1942 parait évident du côté de l'URSS. Ce n'est qu'en avril qu'apparaîtront les premiers corps blindés bien que pas assez bien formés et fournis. Car il ne suffit pas de coller quelques brigades entre elles pour en faire des corps blindés dignes de ce nom capables de rivaliser avec les Panzerkorps allemands. De plus, malgré les pertes considérables entre le 22 juin 1941 et la fin de la contre offensive de Moscou, cela n'a rien avoir avec le taux de pertes astronomique côté soviétique. Là où les Allemands ont eu 225 000 morts durant cette période, les soviétiques, eux eu 3 millions de pertes, tués, prisonniers ou disparus, rien que durant les 6 mois de Barbarossa côté militaire. On pense côté russe que l'allemand n'attaquera pas avant l'été 1942. Or entretemps, le printemps doit être utilisé de la meilleure des façons en enrôlant de nouvelles forces, en produisant plus de matériels, en formant mieux ses soldats. Ces points là sont débattus au Kremlin durant le mois de mars. Pour ce qui sont des points faibles de l'Armée rouge, outre l'infanterie, l'aviation rouge est totalement surclassée par la Luftwaffe, de telle sorte qu'il lui faudra attendre la bataille de Koursk avant de se montrer vraiment efficace.
Côté blindés, malgré la mauvaise surprise qu'a représenté le T 34 76 pour les Allemands, bon nombre de blindés rouges se sont également révélés obsolètes et leurs pertes ont été supérieures aux pertes allemandes. Les 29 corps mécanisés présents le 22 juin ne suffisent pas malgré leur grand nombre étant donné leur absence de logistique, de communication et de formation digne de ce nom. Sans oublier la coordination inexistante, malgré la présence d'une division d'infanterie motorisée et de deux divisions blindés soit 1000 chars par corps mécanisé en théorie grand maximum.
Côté blindés, malgré la mauvaise surprise qu'a représenté le T 34 76 pour les Allemands, bon nombre de blindés rouges se sont également révélés obsolètes et leurs pertes ont été supérieures aux pertes allemandes. Les 29 corps mécanisés présents le 22 juin ne suffisent pas malgré leur grand nombre étant donné leur absence de logistique, de communication et de formation digne de ce nom. Sans oublier la coordination inexistante, malgré la présence d'une division d'infanterie motorisée et de deux divisions blindés soit 1000 chars par corps mécanisé en théorie grand maximum.
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il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Les gagnants ne sont pas forcément ceux qui ont l'avantage technologique.
Mais quand bien même ce serait le cas qu'il n'y a pas d'avantage que possède l'OTAN par rapport à la Russie au niveau de la technologie militaire. Au niveau des missiles hypersoniques d'ailleurs, l'avantage se trouve clairement côté russe.
Et de toute façon, l'histoire a prouvé à plusieurs reprises que l'avantage technologique ne suffisait pas forcément. Surtout face aux russes. Il faut revenir à la WW2 pour comprendre cela. Et notamment 1942 et 1943.
Mais quand bien même ce serait le cas qu'il n'y a pas d'avantage que possède l'OTAN par rapport à la Russie au niveau de la technologie militaire. Au niveau des missiles hypersoniques d'ailleurs, l'avantage se trouve clairement côté russe.
Et de toute façon, l'histoire a prouvé à plusieurs reprises que l'avantage technologique ne suffisait pas forcément. Surtout face aux russes. Il faut revenir à la WW2 pour comprendre cela. Et notamment 1942 et 1943.
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il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Tout cela fait que Staline n'accorde aucune importance à un rapport de ses services de renseignement qui lui a été présenté le 23 mars 1942, stipulant que l'attaque viserait avant tout le sud et donc le Caucase. De plus, l'affaire Reichel renforce davantage Staline dans ses convictions. A en croire les mémoires de Vassilevski, cette opération a fonctionné puisqu'il y est affirmé que l'attaque principale avait pour but Moscou à partir de Tula. L'histoire de la Grande Guerre Patriotique publié à Moscou en 1961 par l'institut du marxisme léninisme. La biographie de Staline le crédite même d'avoir compris que les Allemands masquaient l'attaque principale vers Moscou par une attaque secondaire en direction du Caucase. Le Front de Briansk commandé par Golikov, bien que mieux garni que le Front du Sud Ouest de Timochenko logiquement étant donné que le premier gardait la route de Moscou, reçoit bien plus d'attention malgré les preuves des préparatifs allemands dans la région de Koursk. Le Front de Briansk attaque même la 2ème armée panzer à cause de la crainte toujours présente d'un enveloppement de Moscou par le sud. Les corps blindés utilisés pour empêcher la 2ème armée panzer de reprendre le terrain perdu le 2 aout ainsi que ses milliers de blindés dont des centaines de T 34 manqueront justement pour bloquer l'avancée allemande vers le Caucase. D'ailleurs, jusqu'en septembre, des effectifs énormes sont jetés dans le saillant de Rjev dans une optique de protection de Moscou par Joukov. En donnant l'ordre de recul aux Fronts du Sud Ouest et du Sud, il s'agit d'échanger de l'espace contre du temps afin que les Allemands dévoilent leurs véritables intentions, étant donné qu'ils peuvent se permettre à ce moment là de lâcher du territoire au sud, ce qui n'est plus possible au centre dans la région de Moscou, pour des raisons évidentes. Pourtant, ce n'est pas comme si le frère d'Avksenti Narikovitch Rapava n'avait pas utilisé comme un espion par Béria.
A la disproportion des forces alloués devant Moscou et celles allouées au sud, s'ajoutent le fait que les réserves soviétiques en hommes sont également plus nombreuses au centre qu'au sud. Et aucune armée de réserve ne se trouve au sud de la ligne allant de Koursk à Voronej. Parmi les armées de réserve stratégique, il n'y en a qu'une en avril 1942, à savoir la 3ème armée de tanks nouvellement formée à 200 kilomètres au sud de Moscou. Ensuite, les 27ème et 53ème armées s'ajoutent à la première en mai 1942. En juin 1942, la 5ème armée de tanks ainsi que la 6ème armée de réserves arrivent. En juillet ce sera carrément 7 unités en plus avec les 1ère et 4ème Armées de tanks auxquelles s'ajoutent les 60ème, 63ème, 64ème, 66ème et enfin la 7ème armée de réserve qui sera la future 62ème armée commandée par Tchouikov à Stalingrad.
A la disproportion des forces alloués devant Moscou et celles allouées au sud, s'ajoutent le fait que les réserves soviétiques en hommes sont également plus nombreuses au centre qu'au sud. Et aucune armée de réserve ne se trouve au sud de la ligne allant de Koursk à Voronej. Parmi les armées de réserve stratégique, il n'y en a qu'une en avril 1942, à savoir la 3ème armée de tanks nouvellement formée à 200 kilomètres au sud de Moscou. Ensuite, les 27ème et 53ème armées s'ajoutent à la première en mai 1942. En juin 1942, la 5ème armée de tanks ainsi que la 6ème armée de réserves arrivent. En juillet ce sera carrément 7 unités en plus avec les 1ère et 4ème Armées de tanks auxquelles s'ajoutent les 60ème, 63ème, 64ème, 66ème et enfin la 7ème armée de réserve qui sera la future 62ème armée commandée par Tchouikov à Stalingrad.
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il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Pour Chapochnikov, il fallait rester en position défensive devant Moscou. Une fois la Wehrmacht usée, l'Armée rouge contre attaquerait. Le gros de l'armée doit donc être devant la capitale selon lui. Vassilevski est d'accord. Ils savent qu'à ce moment là, sur le plan opérationnel et encore plus tactiquement, la Wehrmacht a l'avantage. Joukov se montre quant à lui favorable à une attaque préventive bien qu'il comprend et est d'accord avec la majorité des analyses précédentes. Joukov veut enlever le saillant de Rjev à la Wehrmacht. Staline, qui a écouté les 3 généraux, préfère la frappe préventive de Joukov. Mais il n'agrée pas avec lui sur l'idée d'une frappe préventive devant Moscou. Le commandement suprême ordonne au début du mois de mars à la stavka de se préparer à une défense stratégique. Il s'agit d'offensives d'envergures relativement réduites. Il s'agit de harceler constamment les forces allemandes et retarder au maximum son offensive estivale. 7 points sont visés par Staline, à savoir à Demiansk, à Leningrad, en Carélie, en Crimée, à Kharkov, à Smolensk et à Koursk. Il s'agit pour Staline d'affaiblir le coup ennemi principal.
Finalement, Khrouchtchev, Timochenko et Bagramian se retrouvent au Kremlin avec Staline et Chapochnikov. Finalement on voit les contours non pas d'une offensive locale mais d'une offensive stratégique de grande envergure puisque l'objectif est non seulement Kharkov mais le franchissement du sud du Dniepr plusieurs centaines de kilomètres plus loin. Mais Chapochnikov fait savoir son désaccord face à une opération dont l'Armée rouge n'a à ce moment là pas les moyens de réaliser. Vassilevski fait savoir également que les forces reconstruites difficilement ne peuvent qu'être gravement endommagées. Heureusement pour eux que Staline se retrouve également d'accord sur ce point et trouve ce plan trop ambitieux par rapport aux moyens de l'Armée rouge, lui qui avait pourtant jusque là pour habitude de fixer à l'Armée rouge des objectifs irréalistes. Il demande donc un nouveau plan plus réaliste à Timochenko. Finalement, il retire à ce dernier le commandement du Front de Briansk et le met sous le commandement direct de la Stavka. En effet, c'est ce front là qui barre les directions Orel Toula et Koursk Voronej, jugés comme étant les axes les plus dangereux.
Finalement, Khrouchtchev, Timochenko et Bagramian se retrouvent au Kremlin avec Staline et Chapochnikov. Finalement on voit les contours non pas d'une offensive locale mais d'une offensive stratégique de grande envergure puisque l'objectif est non seulement Kharkov mais le franchissement du sud du Dniepr plusieurs centaines de kilomètres plus loin. Mais Chapochnikov fait savoir son désaccord face à une opération dont l'Armée rouge n'a à ce moment là pas les moyens de réaliser. Vassilevski fait savoir également que les forces reconstruites difficilement ne peuvent qu'être gravement endommagées. Heureusement pour eux que Staline se retrouve également d'accord sur ce point et trouve ce plan trop ambitieux par rapport aux moyens de l'Armée rouge, lui qui avait pourtant jusque là pour habitude de fixer à l'Armée rouge des objectifs irréalistes. Il demande donc un nouveau plan plus réaliste à Timochenko. Finalement, il retire à ce dernier le commandement du Front de Briansk et le met sous le commandement direct de la Stavka. En effet, c'est ce front là qui barre les directions Orel Toula et Koursk Voronej, jugés comme étant les axes les plus dangereux.
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il y a 2 ans
Merde l'occident va donc gagner , merci de la REDDPIL khey
Le plan plus réaliste mis au point consiste à prendre Kharkov suite à un double enveloppement par le nord et par le sud. En effet, à l'est de la ville, le front forme 2 hernies de taille égale où les gros du Front du Sud Ouest ont été massés. Entre Volchansk et Stari Saltov, les Soviétiques tiennent une tête de pont étroite sur la rive occidentale du Donetz. de 40 kilomètres de long pour 9 kilomètres de profondeur. Et c'est de là que vont s'élancer les 21ème, 28ème et 31ème armées respectivement dirigées par le général Gordov, le général Riabitchev et le général Moskalenko, dont on entendra beaucoup parler par la suite notamment à la tête de la 38ème armée. Le tout pour 14 divisions d'infanterie,2 corps de cavalerie et 18 brigades blindées au motorisées. Au sud, c'est à partir d'Izium et son saillant que partent plusieurs armées soviétiques. Ce saillant est long de 300 kilomètres pour une profondeur de 80 kilomètres. Ce saillant s'appelle Lovorvaia Barvenkovo également. Les forces devant s'élancer à partir de se saillant consiste principalement en la 6ème armée soviétique, commandée par le général Gorodnianski, à ne pas confondre avec la 6ème armée allemande qui se fera encercler plus tard à Stalingrad en novembre 1942. Le groupe Bobkin garde le flanc gauche de la 6ème armée soviétique. Le tout pour un total de 10 divisions d'infanterie, 2 corps blindés, un corps de cavalerie et une brigade de chars indépendante. A cela s'ajoute un flanc plus au sud constitué des 57ème et 9ème armées soviétiques, respectivement commandées par le général Podlas et le général Kharitonov, venant tout deux du Front du Sud, lui même sous le commandement du général Malinovski, lui même ayant le très connu Antonov en chef d'état major. Mais ces 2 armées ne disposent que de 11 divisions d'infanterie pour garder un front long de 176 kilomètres. Or, ils affronteront des forces allemandes plus puissantes dans le cadre de l'opération Fridericus.
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il y a 2 ans
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3 grandes victoires marquent le début de la mise en oeuvre du plan Blau en mai et en juin 1942. Les pertes de l'Armée rouge sont considérables et ces pertes affaiblissent le flanc sud. La supériorité du commandement allemand, ainsi que des armes allemandes, a encore joué a plein régime. Concernant la bataille de Kharkov, malgré une enquête de l'état major général de l'armée en 1951, ce désastre soviétique a été caché par les communistes pendant longtemps. En effet, le rapport qui est sorti de l'enquête est demeuré secret. La première étude de fond est mené par l'historien américain David Glantz en 1998. Le groupement sud attaque la 6ème armée allemande le 12 mai après une préparation d'artillerie soviétique. Mais les 21ème, 28ème et 38ème armées tombent sur un ensemble défensif bien organisé qui se fonde sur des champs de mines et une artillerie efficace et puissante. Au final, au prix de 50% de pertes, l'avancée n'atteint que 10 kilomètres au maximum. Mais la 294ème division d'infanterie allemande est grandement endommagé et doit se retirer pour éviter la destruction complète. La protection de Kharkov devient une priorité car c'est une ville où les approvisionnements venant du Reich viennent en grand nombre. Or, les Soviétiques ne se trouvent qu'à quelques 20 kilomètres de là. Ce qui fait que Halder parvient à convaincre Hitler de la nécessité de la 23ème division panzer, des 71ème et 113ème divisions d'infanterie. Il accepte mais l'opération doit être maintenu à la date prévue. Ces unités envoyés devant Kharkov contre attaquent et freinent les Soviétiques puis les obligent à reculer, soutenus par la 8ème Fliegerkorps. A partir du 14 mai, il n'y a plus d'avancée côté soviétique. Puis, les VIIIème et XIème Corps allemands se font attaquer par la 6ème armée soviétique ainsi que le groupement Bobkin. Résultat, sur un front de 45 kilomètres, les Allemands reculent de 12 à 15 kilomètres. Selon le journal de Bock, les Allemands y perdent 16 batteries d'artillerie.
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il y a 2 ans
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Pour sauver la 6ème armée, Hitler refuse de lâcher des unités de Kharkov en vue du plan Blau. Pour lui il faut préserver avant tout les stocks de munitions, de carburants et l'effet de surprise. Il faut doit soit opter poue une petite solution qui consisterait à envoyer la 17ème armée allemande vers Izium en guise de diversion voire pour s'emparer de ponts sur le Donetz. Ou alors pour une grande solution qui consisterait à employer la 1ère armée panzer aux côtés de la 17ème armée allemande pour les envoyer sur les arrières soviétiques. Et ainsi couper les ponts de Balakleia et de Protopopovka. Hitler décide de la grande solution. Mais Von Bock estime que c'est trop risqué car cela signifie lancer les blindés de von Kleist dans une vaste rocade de 200 kilomètres vers Poltava. Or quand Hitler décide d'attaquer par le sud le saillant d'Izium, Timochenko commet une grosse erreur. En effet pour attaquer, les 21ème et 23ème corps blindés de la 6ème armée soviétique doivent se trouver vers l'est pour pouvoir attaquer à l'aube du 16 mai. Le 17 mai justement Bagramian comme Timochenko savent pour l'attaque de Kleist. Mais au début il n'envoie que la 2nd division de cavalerie, de rappeler le 21ème corps blindé vers le sud est et tirer des unités de réserve d'infanterie du Front Sud et de la Stavka. Le 18 mai, Timochenko et Khrouchtchev plaident en faveur d'une continuation de l'offensive alors que Vassilevski qui sait que l'arrière est en train de s'écrouler, voit l'encerclement se dessiner et proteste. Finalement le lendemain au 19 mai, Timochenko se rend à l'évidence et stoppe son offensive. Sauf que cela s'est fait 24 heures trop tard car la 14ème division panzer parvient à prendre Protopopovka. Près de Balakleia elle fait la jonction avec une partie de la 6ème armée allemande de von Paulus. Une poche se forme à l'ouest du Donetz entre le 22 et le 28 mai 1942. Les MG 42 font des ravages et l'aviation hâche les troupes soviétiques. La 38ème armée échoue à percer.
Pour au final seulement 22 000 hommes qui parviennent à s'échapper de l'encerclement. La destruction du saillant d'Izium offre ainsi une meilleure base de départ pour le plan Blau bien qu'une petite tête de pont à l'ouest de la rivière d'Izium est conservée par les Soviets, celle de Starii Saltov. Le général Krivosheev évoque le chiffre de plus de 277 000 pertes dont plus de 170 000 morts ou prisonniers. Au niveau du matériel, cela fait 652 chars, 542 avions et 4 924 canons d'assauts détruits ou capturés. Beaucoup de généraux soviétiques sont morts, bont Gorodniaski, Podlas, Boklin ou encore Kostenko.
Pour au final seulement 22 000 hommes qui parviennent à s'échapper de l'encerclement. La destruction du saillant d'Izium offre ainsi une meilleure base de départ pour le plan Blau bien qu'une petite tête de pont à l'ouest de la rivière d'Izium est conservée par les Soviets, celle de Starii Saltov. Le général Krivosheev évoque le chiffre de plus de 277 000 pertes dont plus de 170 000 morts ou prisonniers. Au niveau du matériel, cela fait 652 chars, 542 avions et 4 924 canons d'assauts détruits ou capturés. Beaucoup de généraux soviétiques sont morts, bont Gorodniaski, Podlas, Boklin ou encore Kostenko.
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il y a 2 ans
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Pour ce qui est des Soviétiques, ils n'ont pas eu de chance car leur offensive a donné sur le point le plus fort côté allemand au sud voire sur tout le front de l'est. Ils sont tombés dans un piège que leur adversaire n'avait même pas tendu. Ils ne savaient pas le 12 mai qu'ils devançaient de 5 jours une attaque allemande. Auraient ils renoncé à l'offensive comme Vassilevski a insisté pour le faire, ils auraient sans doute pas pu empêcher l'armée allemande de décrocher ses premiers succès du plan Blau. Mais au moins auraient ils pu le leur faire payer plus cher en terme de temps, mais aussi de pertes. Or la victoire a été offerte sur un plateau à la Wehrmacht. L'équilibre a été perdue et l'iniviative également et ce pour près de 6 mois. Les profondeurs du Caucause sont à ce moment là ouverts pour le Groupe d'Armée Sud. Il ya plusieurs raisons à cet échec. Déjà, l'aviation a échoué. En effet à ce moment là la Luftwaffe domine encore largement l'aviation rouge. De plus, les taux de disponibilités étaient encore bas tandis que les pilotes étaient peu expérimentés comparés à leurs homologues allemands. Sans oublier que le matériel de qualité était peu présent. A cela s'ajoute une coopération air air et air sol quasiment inexistante ou presque comparé à leur adversaire. De plus, contrairement aux avions allemands, les avions soviétiques ne disposent pour la plupart de leurs avions à ce moment là, ni récepteur, ni émetteur récepteur. Deuxièmement, le renseignement soviétique a été défectueux. En effet, ce dernier n'a vu ni les 4 divisions d'infanterie présentes dans et autour de la ville, ni la division blindée. Ssns oublier les forces de Kleist qui se préparaient à l'assaut au sud de Kharkov. De plus, le front de Choguiev a été énormément dégarnie, laissant la possibilité de sa prise par les Soviétiques et la consolidations de leur défense.
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il y a 2 ans
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Une autre raison réside dans la mauvaise coopération inter fronts côté soviétique. Timochenko a réduit malinovski, commandant du Front du Sud a une défense passive. Même au seins des fronts et notamment du front sud, la coopération était limité à cause des communications défaillantes se reposant trop sur les téléphones dont la liaison est souvent coupée lors des bombardements allemands. De plus, la supériorité en planification stratégique que l'Armée rouge montrera peu à peu à partir de 1943 notamment ne se manifeste clairement pas ici. Au contraire même, les regroupements des forces se sont fait en 1 mois seulement pour une absence de Schwerpunkt. Pour revenir à la coopération entre les unités, celle d'inter armes est tout aussi mauvaise si ce n'est plus. Notamment à cause des retards systématiques de l'artillerie et de l'aviation sur leur infanterie qu'ils ne peuvent pas appuyer comme ils le voudraient. De plus, l'absence de canons automoteurs font que les chars d'accompagnement de l'infanterie et les fantassins accrochés à ces chars sont souvent très exposés. Ensuite, faute de liaisons fiables, les états majors ne parviennent pas passé une journée de faire quoique ce soit concernant ses unités. Enfin, les Corps blindés avaient été mal utilisés en plus d'avoir été formés beaucoup trop tôt la 17 avril soit même pas 1 mois avant le désastre. Car oui, il ne suffit pas de coller 2 brigades de chars et 1 brigade motorisé pour que le tout se transforme en une grande unité performante. Si le reste ne suit pas, ça ne sert à rien.
A cause de la base parfaite qu'elle offre pour les aviosn soviétiques pour attaquer aux puits de pétrole de Ploesti, le fait d'arracher la Crimée à la Russie a été depuis le début de Barbarossa une volonté de Hitler. De plus, il pense que contrôler la Crimée fera entrer la Turquie dans la guerre aux côtés de l'Axe. De plus, Sébastopol est une base importante pour la marine soviétique. En plus de cela, l'Armée rouge exerce le contrôle total de Kertch de l'isthme de Parpatch jusqu'au port de Kertch. Un fossé renforcé par des champs de mines et des barbelés ainsi que des blockhaus, défenses anti chars, renforcent la ligne de défense derrière l'isthme de Parpatch. Les 44ème, 47ème et 51ème armées doivent garder cette zone. Côté allemand, la 11ème armée doit enlever cette zone aux soviétiques pour sécuriser ses arrières avant de se tourner vers Sébastopol. Pour cela, cette armée dispose de 5 divisions d'infanterie répartis entre les XXXème et les XXXXIIème Corps, de 3 divisions roumaines appartenant au 7ème corps ainsi que de la 22ème Panzzerdivisionen. A cause des mer noir et d'azov, seule l'assaut frontal est possible.
A cause de la base parfaite qu'elle offre pour les aviosn soviétiques pour attaquer aux puits de pétrole de Ploesti, le fait d'arracher la Crimée à la Russie a été depuis le début de Barbarossa une volonté de Hitler. De plus, il pense que contrôler la Crimée fera entrer la Turquie dans la guerre aux côtés de l'Axe. De plus, Sébastopol est une base importante pour la marine soviétique. En plus de cela, l'Armée rouge exerce le contrôle total de Kertch de l'isthme de Parpatch jusqu'au port de Kertch. Un fossé renforcé par des champs de mines et des barbelés ainsi que des blockhaus, défenses anti chars, renforcent la ligne de défense derrière l'isthme de Parpatch. Les 44ème, 47ème et 51ème armées doivent garder cette zone. Côté allemand, la 11ème armée doit enlever cette zone aux soviétiques pour sécuriser ses arrières avant de se tourner vers Sébastopol. Pour cela, cette armée dispose de 5 divisions d'infanterie répartis entre les XXXème et les XXXXIIème Corps, de 3 divisions roumaines appartenant au 7ème corps ainsi que de la 22ème Panzzerdivisionen. A cause des mer noir et d'azov, seule l'assaut frontal est possible.
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il y a 2 ans