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Non mais sérieusement c'est quoi et qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça
il y a un jour
Non mais sérieusement c'est quoi et qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça
C'est la surprise
il y a un jour
C'est la surprise
OK mais pourquoi je l'aurais ? J'ai fait quoi de mal ?
il y a un jour
OK mais pourquoi je l'aurais ? J'ai fait quoi de mal ?
Les nobles sont fâchés
il y a un jour
Les nobles sont fâchés
Et ? Tu m'a dit que je risquait pas de coup d'état et quand je t'ai demandé si ça valait la peine de stabiliser stabiliser avant de centraliser tu m'as dit que non
il y a un jour
Et ? Tu m'a dit que je risquait pas de coup d'état et quand je t'ai demandé si ça valait la peine de stabiliser stabiliser avant de centraliser tu m'as dit que non
J'ai dit ça quand pour le coup d'état ?
Et oui j'ai dit ça parce que dans tous les cas t'aurais pris ça
Et oui j'ai dit ça parce que dans tous les cas t'aurais pris ça
il y a un jour
J'ai dit ça quand pour le coup d'état ?
Et oui j'ai dit ça parce que dans tous les cas t'aurais pris ça
Et oui j'ai dit ça parce que dans tous les cas t'aurais pris ça
il y a un jour
À destination des princes, électeurs et États du Saint-Empire,
L’Empereur rappelle solennellement que le SERG repose sur un équilibre fragile, fondé sur le droit impérial, la concertation entre États et le respect des institutions communes.
Toute réforme touchant à l’ordre religieux, aux finances ecclésiastiques ou aux relations avec le Saint-Siège ne saurait être menée unilatéralement par un prince, qui n’a jamais manqué d’énergie pour semer la zizanie au sein de l’Empire.
L’Empereur rappelle également les faits : lorsque le Duché de Milan, État membre du Saint-Empire, fut attaqué par la France, c’est l’Empereur qui prit ses responsabilités. Les armes impériales ont prévalu, l’offensive française a été repoussée, et Milan a été protégé.
Là où certains princes, au premier rang desquels la Bohême-Hongrie, étaient prêts à abandonner un confrère impérial à son sort, l’Empereur a assumé son devoir de protection, démontrant que l’autorité impériale n’est ni abstraite ni hésitante.
Sous couvert de préserver la paix et l’unité de la chrétienté, la Bohême-Hongrie engage en réalité une politique qui fracture l’unité religieuse de l’Empire, conteste l’autorité des conciles impériaux à venir, encourage la désobéissance aux institutions impériales, et ouvre la voie à une division durable entre princes, au bénéfice exclusif des puissances extérieures qui n’attendent que l’affaiblissement de l’Empire.
Les conséquences de cette politique sont déjà visibles au sein du Royaume de Bohème-Hongrie : troubles intérieurs, divisions confessionnelles et désordres ouverts dans certaines parties du royaume, révélant combien des réformes menées sans cadre impérial fragilisent l’autorité princière au lieu de la renforcer.
Je constate également une contradiction manifeste : Vladislas II proclame la cohésion tout en appelant à la sécession religieuse, refuser la guerre tout en acceptant l’abandon des États impériaux attaqués, se dire défenseur de la stabilité tout en en sapant les fondements.
En conséquence, et conformément à ses prérogatives impériales, Sa Majesté annonce pour ce tour les mesures suivantes :
- Condamnation officielle des actes unilatéraux du Roi de Bohême-Hongrie comme contraires à l’ordre impérial.
- Suspension de tout soutien impérial à ses initiatives diplomatiques et religieuses tant qu’elles ne seront pas soumises à examen collectif.
- Convocation renforcée de la Diète impériale, au sein de laquelle les décisions touchant à la réforme de l’Église seront étudiées par le Conseil théologique impérial, récemment établi à cette fin, et présidé non par l'Autriche mais par Mayence.
- Toute poursuite de cette politique pourra entraîner des sanctions plus lourdes, allant jusqu’à l’isolement politique, l’intervention impériale dans les affaires internes, voire l’application de mesures coercitives prévues par le droit impérial.
Enfin, l’Empereur s’adresse aux princes allemands :
Ce chemin n’est pas celui de la réforme raisonnée, mais celui du morcellement. Aujourd’hui la Bohême défie Rome et abandonne Milan ; demain, les princes se défieront entre eux. Un Empire divisé ne survit pas.
L’Empereur rappelle solennellement que le SERG repose sur un équilibre fragile, fondé sur le droit impérial, la concertation entre États et le respect des institutions communes.
Toute réforme touchant à l’ordre religieux, aux finances ecclésiastiques ou aux relations avec le Saint-Siège ne saurait être menée unilatéralement par un prince, qui n’a jamais manqué d’énergie pour semer la zizanie au sein de l’Empire.
L’Empereur rappelle également les faits : lorsque le Duché de Milan, État membre du Saint-Empire, fut attaqué par la France, c’est l’Empereur qui prit ses responsabilités. Les armes impériales ont prévalu, l’offensive française a été repoussée, et Milan a été protégé.
Là où certains princes, au premier rang desquels la Bohême-Hongrie, étaient prêts à abandonner un confrère impérial à son sort, l’Empereur a assumé son devoir de protection, démontrant que l’autorité impériale n’est ni abstraite ni hésitante.
Sous couvert de préserver la paix et l’unité de la chrétienté, la Bohême-Hongrie engage en réalité une politique qui fracture l’unité religieuse de l’Empire, conteste l’autorité des conciles impériaux à venir, encourage la désobéissance aux institutions impériales, et ouvre la voie à une division durable entre princes, au bénéfice exclusif des puissances extérieures qui n’attendent que l’affaiblissement de l’Empire.
Les conséquences de cette politique sont déjà visibles au sein du Royaume de Bohème-Hongrie : troubles intérieurs, divisions confessionnelles et désordres ouverts dans certaines parties du royaume, révélant combien des réformes menées sans cadre impérial fragilisent l’autorité princière au lieu de la renforcer.
Je constate également une contradiction manifeste : Vladislas II proclame la cohésion tout en appelant à la sécession religieuse, refuser la guerre tout en acceptant l’abandon des États impériaux attaqués, se dire défenseur de la stabilité tout en en sapant les fondements.
En conséquence, et conformément à ses prérogatives impériales, Sa Majesté annonce pour ce tour les mesures suivantes :
- Condamnation officielle des actes unilatéraux du Roi de Bohême-Hongrie comme contraires à l’ordre impérial.
- Suspension de tout soutien impérial à ses initiatives diplomatiques et religieuses tant qu’elles ne seront pas soumises à examen collectif.
- Convocation renforcée de la Diète impériale, au sein de laquelle les décisions touchant à la réforme de l’Église seront étudiées par le Conseil théologique impérial, récemment établi à cette fin, et présidé non par l'Autriche mais par Mayence.
- Toute poursuite de cette politique pourra entraîner des sanctions plus lourdes, allant jusqu’à l’isolement politique, l’intervention impériale dans les affaires internes, voire l’application de mesures coercitives prévues par le droit impérial.
Enfin, l’Empereur s’adresse aux princes allemands :
Ce chemin n’est pas celui de la réforme raisonnée, mais celui du morcellement. Aujourd’hui la Bohême défie Rome et abandonne Milan ; demain, les princes se défieront entre eux. Un Empire divisé ne survit pas.
@Armouare
À destination des Princes, Électeurs et États du Saint‑Empire
Princes et Électeurs,
L’Empereur a cru bon de couvrir ses desseins de beaux apparats et de paroles séduisantes. Mais derrière ces formules, chacun peut discerner la vérité : il ne s’agit point de préserver la justice, mais d’ériger un régime tyrannique.
Sous le masque de l’unité, il pousse en réalité au schisme politique et religieux, divisant les princes et les peuples au profit de sa seule maison.
Sous le mot de « paix », il cache un projet guerrier, dont l’objectif véritable est de s’emparer de ma Couronne, qu’il convoite depuis de longues années.
Sous ses belles paroles sur le respect du droit et de l’ordre impérial, il détourne les forces des États allemands au seul bénéfice de l’Autriche.
Je rappelle également à tous que l’Empereur a publiquement annoncé son souhait d’organiser un complot pour me renverser. Voilà la preuve manifeste que son autorité n’est pas guidée par la justice, mais par l’ambition personnelle et la volonté de domination.
Je proclame donc :
- Que la Bohême‑Hongrie demeure fidèle à l’ordre véritable de l’Empire, fondé sur la liberté des princes et le respect des souverainetés.
- Que toute tentative de coercition ou d’isolement ne sera pas reçue comme une mesure de paix, mais comme une agression contre l’équilibre impérial.
- Que les princes doivent ouvrir les yeux : l’Empereur ne défend pas Rome, ni l’unité, ni la justice ; il défend l’Autriche et ses ambitions dynastiques.
Je vous appelle à ne point céder à ses artifices. Car si aujourd’hui il condamne la Bohême‑Hongrie, demain il condamnera chacun de vous, et l’Empire ne sera plus qu’un instrument au service d’une seule maison.
Ainsi, je déclare solennellement que la Bohême‑Hongrie poursuivra ses réformes dans la fidélité à la Foi Véritable et dans le respect des libertés princières, et qu’elle ne se soumettra point à un projet de tyrannie déguisé en unité.
Fait à Prague, en ce jour, par la grâce de Dieu et la volonté des peuples.
À destination des Princes, Électeurs et États du Saint‑Empire
Princes et Électeurs,
L’Empereur a cru bon de couvrir ses desseins de beaux apparats et de paroles séduisantes. Mais derrière ces formules, chacun peut discerner la vérité : il ne s’agit point de préserver la justice, mais d’ériger un régime tyrannique.
Sous le masque de l’unité, il pousse en réalité au schisme politique et religieux, divisant les princes et les peuples au profit de sa seule maison.
Sous le mot de « paix », il cache un projet guerrier, dont l’objectif véritable est de s’emparer de ma Couronne, qu’il convoite depuis de longues années.
Sous ses belles paroles sur le respect du droit et de l’ordre impérial, il détourne les forces des États allemands au seul bénéfice de l’Autriche.
Je rappelle également à tous que l’Empereur a publiquement annoncé son souhait d’organiser un complot pour me renverser. Voilà la preuve manifeste que son autorité n’est pas guidée par la justice, mais par l’ambition personnelle et la volonté de domination.
Je proclame donc :
- Que la Bohême‑Hongrie demeure fidèle à l’ordre véritable de l’Empire, fondé sur la liberté des princes et le respect des souverainetés.
- Que toute tentative de coercition ou d’isolement ne sera pas reçue comme une mesure de paix, mais comme une agression contre l’équilibre impérial.
- Que les princes doivent ouvrir les yeux : l’Empereur ne défend pas Rome, ni l’unité, ni la justice ; il défend l’Autriche et ses ambitions dynastiques.
Je vous appelle à ne point céder à ses artifices. Car si aujourd’hui il condamne la Bohême‑Hongrie, demain il condamnera chacun de vous, et l’Empire ne sera plus qu’un instrument au service d’une seule maison.
Ainsi, je déclare solennellement que la Bohême‑Hongrie poursuivra ses réformes dans la fidélité à la Foi Véritable et dans le respect des libertés princières, et qu’elle ne se soumettra point à un projet de tyrannie déguisé en unité.
Fait à Prague, en ce jour, par la grâce de Dieu et la volonté des peuples.
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a un jour
Ouais mais là c'est une révolte
il y a un jour
Ouais mais là c'est une révolte
Excuse moi mais c'est pareil
Et tu ne m'as non plus pas prévenu afin que je fasse mes actions en conséquence
Et tu ne m'as non plus pas prévenu afin que je fasse mes actions en conséquence
il y a un jour
Excuse moi mais c'est pareil
Et tu ne m'as non plus pas prévenu afin que je fasse mes actions en conséquence
Et tu ne m'as non plus pas prévenu afin que je fasse mes actions en conséquence
Je vais pas tout te dire non plus
Surtout avec tous les messages dans tes bilans qui te disaient "les nobles sont énervés"
Surtout avec tous les messages dans tes bilans qui te disaient "les nobles sont énervés"
il y a un jour
il y a un jour
Je vais pas tout te dire non plus
Surtout avec tous les messages dans tes bilans qui te disaient "les nobles sont énervés"
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Ouais mais comment tu veux que je les calmes ?
il y a un jour
Ouais mais comment tu veux que je les calmes ?
Là tu vas avoir l'occasion
il y a un jour
Tu m offre quoi pour venir t aider?
il y a un jour
Je vais pas tout te dire non plus
Surtout avec tous les messages dans tes bilans qui te disaient "les nobles sont énervés"
Surtout avec tous les messages dans tes bilans qui te disaient "les nobles sont énervés"
Je peux au moins avoir une estimation de leur force de frappe ?
il y a un jour
Je peux au moins avoir une estimation de leur force de frappe ?
Au prochain tour ouais
il y a un jour
Tu m offre quoi pour venir t aider?
Mec le temps que tu vienne je vais crever 5 fois
il y a un jour



















