Ce sujet a été résolu
Du calme, il t'a rien dit de spécial, juste qu'il a du boulot et qu'il a pas forcément le temps d'être giga actif
Perso je suis coincé en boutique toute la semaine, mais au moins j'ai un poste de travail que je peux utiliser comme je veux, c'est pas forcément le cas de tout le monde
Perso je suis coincé en boutique toute la semaine, mais au moins j'ai un poste de travail que je peux utiliser comme je veux, c'est pas forcément le cas de tout le monde
T'as pas connaissance de ce qui a été dit en mp
il y a 2 jours
@Armouare
Or
Sans surprise je depense le gros en fantassin pour compenser les Pertes. 9000 fantassins pour - 22.5k.
Avec le reste je construis une Académie dans la Capital qui sera utilisé pour former une armée de gouverneur et collecteur d’impôt (Voir PA) - 5k
Politque
J’envoie des émissaires en Arménie qui auront pour but de leur expliquer que la Perse est affaiblie mais en aucun cas hors jeu et reste une menace. Ils proposeront à la cours Arménienne de devenir un Vassal de l'Empire Ottoman pour une protection de leur frontière contre n'importe quel agresseur, ainsi qu'une garantie de non ingérence dans leur Nation en échange d'un tribut.
La Guerre contre l'Egypte continue.
PS
Une nouvelle loi [25 PA] - J'instaure une loi qui oblige toutes les villes de l'Empire à faire remonter leur état financier beaucoup plus souvent dans le plus d'optimiser l’Impôt et à terme augmenter les revenus de l'État.
Réforme gouvernementale [50 PA] pour faire baisser la corruption. -5
Je revendique le dulkadir [50 PA]
Je stock les PA pour le prochain tour
Or
Politque
PS
il y a 2 jours
@armouare j'envoie une dizaine de prêtre orthodoxe à venise
@TrissMeripute ne t'inquiète pas c'est juste des affaires religieuses
@TrissMeripute ne t'inquiète pas c'est juste des affaires religieuses
il y a 2 jours
tu veux te rapprocher du Vatican pour mettre un pape barbu ?
il y a 2 jours
Armouare
2j
Royaume de Bohême-Hongrie @Lunarion
Dirigeant : Vladislas II Jagellon (57)
Héritier : Louis Jagellon (8)
Possessions : Royaume de Bohème ; Royaume de Hongrie ; Royaume de Croatie
Revendications :
Guerre :
Budget : 15K d'or (+)
Population : 2 500 000 ; Stabilité : 70 ; Point d'Autorité : 120 ; Légitimité : moyenne ; Centralisation : 10/100 ; Tradition militaire : 29 ; Capacité terrestre : 24k /25 - 60/100 ; Capacité navale : 2 /18 ; Prestige : 100 ; Corruption : 4
La ligue n'intéresse que tièdement la Saxe. Les autres états curieux souhaiteraient savoir concrètement les ambitions de cette ligue.
Deux révoltes éclatent en Hongrie suite à la sécession avec le pouvoir Pontifical. Les clercs de Bohême soutiennent ardemment ce changement.

Dirigeant : Vladislas II Jagellon (57)
Héritier : Louis Jagellon (8)
Possessions : Royaume de Bohème ; Royaume de Hongrie ; Royaume de Croatie
Revendications :
Guerre :
Budget : 15K d'or (+)
Population : 2 500 000 ; Stabilité : 70 ; Point d'Autorité : 120 ; Légitimité : moyenne ; Centralisation : 10/100 ; Tradition militaire : 29 ; Capacité terrestre : 24k /25 - 60/100 ; Capacité navale : 2 /18 ; Prestige : 100 ; Corruption : 4
La ligue n'intéresse que tièdement la Saxe. Les autres états curieux souhaiteraient savoir concrètement les ambitions de cette ligue.
Deux révoltes éclatent en Hongrie suite à la sécession avec le pouvoir Pontifical. Les clercs de Bohême soutiennent ardemment ce changement.
J'ai du mal à suivre les guerres mais j'annonce d'ores et déjà que j'annulerai toutes les sanctions économiques lorsque l'Italie sera en paix.
La ligue de Prague entend faire pression sur le Saint-Siège afin d'obtenir une Réforme comprenant la suppression des impôts qui financent les guerres du Pape, la suppression des indulgences, la lutte contre la corruption, la lutte contre l'accumulation de biens par le Haut Clergé, la lutte contre les influences étrangères et contre les guerres d'influence au sein de l'Eglise et de ses filles (Eglises nationales, locales), la refonte des impôts ecclésiastiques, une plus grande liberté d'opinion et d'expression, une plus grande tolérance à l'égard des autres chrétiens, et une réforme plus globale des ministères et institutions de l'Eglise afin de permettre une plus grande souplesse et de se rapprocher des premiers catholiques et de la Tradition.
Concernant l'Empereur, la ligue se donne pour mission de faire entendre la voix des réformistes au sein de l'Empire et d'obtenir une Diète concernant une éventuelle réforme de l'Empire. Nous réclamons une plus grande neutralité géopolitique de l'Empire et la systématisation de l'usage de la voie diplomatique avant d'entrer en guerre. Nous voulons que la distinction entre les guerres de l'Autriche et les guerres du Saint-Empire soit plus claire afin que les moyens de nos Etats ne soient pas utilisées à des fins personnelles qui ne nous apporteront aucun bénéfice. En clair, nous voulons que l'Empereur nous écoute plus et qu'il ne nous entraîne plus dans de dangereuses décisions sans nous demander notre avis.
Maintenant, les révoltes...Laissez-moi vous conter comment j'ai réussi à les neutraliser :
Après que j'eus proclamé ma Pragmatique Sanction, mon principal ministre vint m'annoncer que deux révoltes s'étaient levées au sein du Royaume de Hongrie : l'une, furieuse et déchaînée, prête à incendier les campagnes, mais disposant de peu de moyens et constituée de peu d'hommes; l'autre, plus modérée mais habitée par un doute plus profond et mieux organisée.
Je sentis alors que la Providence me mettait à l’épreuve. La première insurrection, je la fis écraser sans hésitation, car elle n’était qu’un tumulte aveugle menaçant l’ordre divin. Mais à propos de la seconde, je répondis avec gravité :
« Je comprends leurs craintes. La Hongrie est une terre meurtrie, qui porte encore les cicatrices des années de souffrance. Ma Pragmatique Sanction peut sembler ajouter au désarroi. Qu’ils sachent pourtant que je n’ai point renié la Foi Véritable. Qu’une cathédrale s’élève en Hongrie, comme un signe de ma fidélité. Qu’en mon nom soient versées trois mille pièces d’or aux hospices, et deux mille autres afin que tout le peuple partage un repas sacré au sein des églises de nos Royaumes. »
Ainsi en ai-je décidé. Et par cette œuvre de pierre et de charité, l'ire s’apaisa, les cœurs troublés retrouvèrent la paix, et je compris que la main de la Providence avait guidé ma décision.
Au sein du Royaume, des témoignages apparaissent et se diffusent :
Ce mercredi des cendres, alors que je flânais dans les rues de Prague, mes pas me conduisirent vers une scène qui marqua mon âme. J’aperçus Sa Majesté, humble dans sa grandeur, distribuant du pain aux miséreux. La noblesse de ce geste, si simple et pourtant si éclatant, éveilla en moi une compassion profonde et une admiration sincère.
Je m’approchai, le cœur battant, et saluai Sa Majesté. Sa réponse, empreinte de chaleur et de sincérité, me toucha au plus intime ; elle me sublima, comme si la voix royale portait en elle une lumière intérieure.
Au fil de notre échange, mon regard se posa sur un détail discret mais révélateur : Sa Majesté portait, sous ses habits, un cilice et une croix de bois. Ce signe secret de pénitence et de fidélité me bouleversa. J’y vis la preuve que le Roi, au-delà de la couronne et des fastes, demeure un serviteur de la Foi Véritable, lié à la Providence par une discipline silencieuse.
L'idée que Vladislas II Jagellon est l'un des rois catholiques les plus pieux se répand. Certains disent même qu'il est un saint.
Ciao les révoltés et les critiques.
Et avec mes 5k restants je construis 5 baraquements.
Normalement j'ai tout utilisé.
La ligue de Prague entend faire pression sur le Saint-Siège afin d'obtenir une Réforme comprenant la suppression des impôts qui financent les guerres du Pape, la suppression des indulgences, la lutte contre la corruption, la lutte contre l'accumulation de biens par le Haut Clergé, la lutte contre les influences étrangères et contre les guerres d'influence au sein de l'Eglise et de ses filles (Eglises nationales, locales), la refonte des impôts ecclésiastiques, une plus grande liberté d'opinion et d'expression, une plus grande tolérance à l'égard des autres chrétiens, et une réforme plus globale des ministères et institutions de l'Eglise afin de permettre une plus grande souplesse et de se rapprocher des premiers catholiques et de la Tradition.
Concernant l'Empereur, la ligue se donne pour mission de faire entendre la voix des réformistes au sein de l'Empire et d'obtenir une Diète concernant une éventuelle réforme de l'Empire. Nous réclamons une plus grande neutralité géopolitique de l'Empire et la systématisation de l'usage de la voie diplomatique avant d'entrer en guerre. Nous voulons que la distinction entre les guerres de l'Autriche et les guerres du Saint-Empire soit plus claire afin que les moyens de nos Etats ne soient pas utilisées à des fins personnelles qui ne nous apporteront aucun bénéfice. En clair, nous voulons que l'Empereur nous écoute plus et qu'il ne nous entraîne plus dans de dangereuses décisions sans nous demander notre avis.
Maintenant, les révoltes...Laissez-moi vous conter comment j'ai réussi à les neutraliser :
Extrait des Chroniques de la Couronne, journal intime de Vladislas II Jagellon
Après que j'eus proclamé ma Pragmatique Sanction, mon principal ministre vint m'annoncer que deux révoltes s'étaient levées au sein du Royaume de Hongrie : l'une, furieuse et déchaînée, prête à incendier les campagnes, mais disposant de peu de moyens et constituée de peu d'hommes; l'autre, plus modérée mais habitée par un doute plus profond et mieux organisée.
Je sentis alors que la Providence me mettait à l’épreuve. La première insurrection, je la fis écraser sans hésitation, car elle n’était qu’un tumulte aveugle menaçant l’ordre divin. Mais à propos de la seconde, je répondis avec gravité :
« Je comprends leurs craintes. La Hongrie est une terre meurtrie, qui porte encore les cicatrices des années de souffrance. Ma Pragmatique Sanction peut sembler ajouter au désarroi. Qu’ils sachent pourtant que je n’ai point renié la Foi Véritable. Qu’une cathédrale s’élève en Hongrie, comme un signe de ma fidélité. Qu’en mon nom soient versées trois mille pièces d’or aux hospices, et deux mille autres afin que tout le peuple partage un repas sacré au sein des églises de nos Royaumes. »
Ainsi en ai-je décidé. Et par cette œuvre de pierre et de charité, l'ire s’apaisa, les cœurs troublés retrouvèrent la paix, et je compris que la main de la Providence avait guidé ma décision.
Au sein du Royaume, des témoignages apparaissent et se diffusent :
Chroniques d'un Aristocrate
Ce mercredi des cendres, alors que je flânais dans les rues de Prague, mes pas me conduisirent vers une scène qui marqua mon âme. J’aperçus Sa Majesté, humble dans sa grandeur, distribuant du pain aux miséreux. La noblesse de ce geste, si simple et pourtant si éclatant, éveilla en moi une compassion profonde et une admiration sincère.
Je m’approchai, le cœur battant, et saluai Sa Majesté. Sa réponse, empreinte de chaleur et de sincérité, me toucha au plus intime ; elle me sublima, comme si la voix royale portait en elle une lumière intérieure.
Au fil de notre échange, mon regard se posa sur un détail discret mais révélateur : Sa Majesté portait, sous ses habits, un cilice et une croix de bois. Ce signe secret de pénitence et de fidélité me bouleversa. J’y vis la preuve que le Roi, au-delà de la couronne et des fastes, demeure un serviteur de la Foi Véritable, lié à la Providence par une discipline silencieuse.
L'idée que Vladislas II Jagellon est l'un des rois catholiques les plus pieux se répand. Certains disent même qu'il est un saint.
Ciao les révoltés et les critiques.
Et avec mes 5k restants je construis 5 baraquements.
Normalement j'ai tout utilisé.
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 jours
Armouare
2j
Concernant la paix France - Autriche, faudra faire ça avant la fin du tour (donc demain vers 22H)
il y a 2 jours
J'ai du mal à suivre les guerres mais j'annonce d'ores et déjà que j'annulerai toutes les sanctions économiques lorsque l'Italie sera en paix.
La ligue de Prague entend faire pression sur le Saint-Siège afin d'obtenir une Réforme comprenant la suppression des impôts qui financent les guerres du Pape, la suppression des indulgences, la lutte contre la corruption, la lutte contre l'accumulation de biens par le Haut Clergé, la lutte contre les influences étrangères et contre les guerres d'influence au sein de l'Eglise et de ses filles (Eglises nationales, locales), la refonte des impôts ecclésiastiques, une plus grande liberté d'opinion et d'expression, une plus grande tolérance à l'égard des autres chrétiens, et une réforme plus globale des ministères et institutions de l'Eglise afin de permettre une plus grande souplesse et de se rapprocher des premiers catholiques et de la Tradition.
Concernant l'Empereur, la ligue se donne pour mission de faire entendre la voix des réformistes au sein de l'Empire et d'obtenir une Diète concernant une éventuelle réforme de l'Empire. Nous réclamons une plus grande neutralité géopolitique de l'Empire et la systématisation de l'usage de la voie diplomatique avant d'entrer en guerre. Nous voulons que la distinction entre les guerres de l'Autriche et les guerres du Saint-Empire soit plus claire afin que les moyens de nos Etats ne soient pas utilisées à des fins personnelles qui ne nous apporteront aucun bénéfice. En clair, nous voulons que l'Empereur nous écoute plus et qu'il ne nous entraîne plus dans de dangereuses décisions sans nous demander notre avis.
Maintenant, les révoltes...Laissez-moi vous conter comment j'ai réussi à les neutraliser :
Après que j'eus proclamé ma Pragmatique Sanction, mon principal ministre vint m'annoncer que deux révoltes s'étaient levées au sein du Royaume de Hongrie : l'une, furieuse et déchaînée, prête à incendier les campagnes, mais disposant de peu de moyens et constituée de peu d'hommes; l'autre, plus modérée mais habitée par un doute plus profond et mieux organisée.
Je sentis alors que la Providence me mettait à l’épreuve. La première insurrection, je la fis écraser sans hésitation, car elle n’était qu’un tumulte aveugle menaçant l’ordre divin. Mais à propos de la seconde, je répondis avec gravité :
« Je comprends leurs craintes. La Hongrie est une terre meurtrie, qui porte encore les cicatrices des années de souffrance. Ma Pragmatique Sanction peut sembler ajouter au désarroi. Qu’ils sachent pourtant que je n’ai point renié la Foi Véritable. Qu’une cathédrale s’élève en Hongrie, comme un signe de ma fidélité. Qu’en mon nom soient versées trois mille pièces d’or aux hospices, et deux mille autres afin que tout le peuple partage un repas sacré au sein des églises de nos Royaumes. »
Ainsi en ai-je décidé. Et par cette œuvre de pierre et de charité, l'ire s’apaisa, les cœurs troublés retrouvèrent la paix, et je compris que la main de la Providence avait guidé ma décision.
Au sein du Royaume, des témoignages apparaissent et se diffusent :
Ce mercredi des cendres, alors que je flânais dans les rues de Prague, mes pas me conduisirent vers une scène qui marqua mon âme. J’aperçus Sa Majesté, humble dans sa grandeur, distribuant du pain aux miséreux. La noblesse de ce geste, si simple et pourtant si éclatant, éveilla en moi une compassion profonde et une admiration sincère.
Je m’approchai, le cœur battant, et saluai Sa Majesté. Sa réponse, empreinte de chaleur et de sincérité, me toucha au plus intime ; elle me sublima, comme si la voix royale portait en elle une lumière intérieure.
Au fil de notre échange, mon regard se posa sur un détail discret mais révélateur : Sa Majesté portait, sous ses habits, un cilice et une croix de bois. Ce signe secret de pénitence et de fidélité me bouleversa. J’y vis la preuve que le Roi, au-delà de la couronne et des fastes, demeure un serviteur de la Foi Véritable, lié à la Providence par une discipline silencieuse.
L'idée que Vladislas II Jagellon est l'un des rois catholiques les plus pieux se répand. Certains disent même qu'il est un saint.
Ciao les révoltés et les critiques.
Et avec mes 5k restants je construis 5 baraquements.
Normalement j'ai tout utilisé.
La ligue de Prague entend faire pression sur le Saint-Siège afin d'obtenir une Réforme comprenant la suppression des impôts qui financent les guerres du Pape, la suppression des indulgences, la lutte contre la corruption, la lutte contre l'accumulation de biens par le Haut Clergé, la lutte contre les influences étrangères et contre les guerres d'influence au sein de l'Eglise et de ses filles (Eglises nationales, locales), la refonte des impôts ecclésiastiques, une plus grande liberté d'opinion et d'expression, une plus grande tolérance à l'égard des autres chrétiens, et une réforme plus globale des ministères et institutions de l'Eglise afin de permettre une plus grande souplesse et de se rapprocher des premiers catholiques et de la Tradition.
Concernant l'Empereur, la ligue se donne pour mission de faire entendre la voix des réformistes au sein de l'Empire et d'obtenir une Diète concernant une éventuelle réforme de l'Empire. Nous réclamons une plus grande neutralité géopolitique de l'Empire et la systématisation de l'usage de la voie diplomatique avant d'entrer en guerre. Nous voulons que la distinction entre les guerres de l'Autriche et les guerres du Saint-Empire soit plus claire afin que les moyens de nos Etats ne soient pas utilisées à des fins personnelles qui ne nous apporteront aucun bénéfice. En clair, nous voulons que l'Empereur nous écoute plus et qu'il ne nous entraîne plus dans de dangereuses décisions sans nous demander notre avis.
Maintenant, les révoltes...Laissez-moi vous conter comment j'ai réussi à les neutraliser :
Extrait des Chroniques de la Couronne, journal intime de Vladislas II Jagellon
Après que j'eus proclamé ma Pragmatique Sanction, mon principal ministre vint m'annoncer que deux révoltes s'étaient levées au sein du Royaume de Hongrie : l'une, furieuse et déchaînée, prête à incendier les campagnes, mais disposant de peu de moyens et constituée de peu d'hommes; l'autre, plus modérée mais habitée par un doute plus profond et mieux organisée.
Je sentis alors que la Providence me mettait à l’épreuve. La première insurrection, je la fis écraser sans hésitation, car elle n’était qu’un tumulte aveugle menaçant l’ordre divin. Mais à propos de la seconde, je répondis avec gravité :
« Je comprends leurs craintes. La Hongrie est une terre meurtrie, qui porte encore les cicatrices des années de souffrance. Ma Pragmatique Sanction peut sembler ajouter au désarroi. Qu’ils sachent pourtant que je n’ai point renié la Foi Véritable. Qu’une cathédrale s’élève en Hongrie, comme un signe de ma fidélité. Qu’en mon nom soient versées trois mille pièces d’or aux hospices, et deux mille autres afin que tout le peuple partage un repas sacré au sein des églises de nos Royaumes. »
Ainsi en ai-je décidé. Et par cette œuvre de pierre et de charité, l'ire s’apaisa, les cœurs troublés retrouvèrent la paix, et je compris que la main de la Providence avait guidé ma décision.
Au sein du Royaume, des témoignages apparaissent et se diffusent :
Chroniques d'un Aristocrate
Ce mercredi des cendres, alors que je flânais dans les rues de Prague, mes pas me conduisirent vers une scène qui marqua mon âme. J’aperçus Sa Majesté, humble dans sa grandeur, distribuant du pain aux miséreux. La noblesse de ce geste, si simple et pourtant si éclatant, éveilla en moi une compassion profonde et une admiration sincère.
Je m’approchai, le cœur battant, et saluai Sa Majesté. Sa réponse, empreinte de chaleur et de sincérité, me toucha au plus intime ; elle me sublima, comme si la voix royale portait en elle une lumière intérieure.
Au fil de notre échange, mon regard se posa sur un détail discret mais révélateur : Sa Majesté portait, sous ses habits, un cilice et une croix de bois. Ce signe secret de pénitence et de fidélité me bouleversa. J’y vis la preuve que le Roi, au-delà de la couronne et des fastes, demeure un serviteur de la Foi Véritable, lié à la Providence par une discipline silencieuse.
L'idée que Vladislas II Jagellon est l'un des rois catholiques les plus pieux se répand. Certains disent même qu'il est un saint.
Ciao les révoltés et les critiques.
Et avec mes 5k restants je construis 5 baraquements.
Normalement j'ai tout utilisé.
Tu fais des sanction contre moi où pas, vu que la guerre de Naples et Venise est terminée
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 2 jours
J'ai du mal à suivre les guerres mais j'annonce d'ores et déjà que j'annulerai toutes les sanctions économiques lorsque l'Italie sera en paix.
La ligue de Prague entend faire pression sur le Saint-Siège afin d'obtenir une Réforme comprenant la suppression des impôts qui financent les guerres du Pape, la suppression des indulgences, la lutte contre la corruption, la lutte contre l'accumulation de biens par le Haut Clergé, la lutte contre les influences étrangères et contre les guerres d'influence au sein de l'Eglise et de ses filles (Eglises nationales, locales), la refonte des impôts ecclésiastiques, une plus grande liberté d'opinion et d'expression, une plus grande tolérance à l'égard des autres chrétiens, et une réforme plus globale des ministères et institutions de l'Eglise afin de permettre une plus grande souplesse et de se rapprocher des premiers catholiques et de la Tradition.
Concernant l'Empereur, la ligue se donne pour mission de faire entendre la voix des réformistes au sein de l'Empire et d'obtenir une Diète concernant une éventuelle réforme de l'Empire. Nous réclamons une plus grande neutralité géopolitique de l'Empire et la systématisation de l'usage de la voie diplomatique avant d'entrer en guerre. Nous voulons que la distinction entre les guerres de l'Autriche et les guerres du Saint-Empire soit plus claire afin que les moyens de nos Etats ne soient pas utilisées à des fins personnelles qui ne nous apporteront aucun bénéfice. En clair, nous voulons que l'Empereur nous écoute plus et qu'il ne nous entraîne plus dans de dangereuses décisions sans nous demander notre avis.
Maintenant, les révoltes...Laissez-moi vous conter comment j'ai réussi à les neutraliser :
Après que j'eus proclamé ma Pragmatique Sanction, mon principal ministre vint m'annoncer que deux révoltes s'étaient levées au sein du Royaume de Hongrie : l'une, furieuse et déchaînée, prête à incendier les campagnes, mais disposant de peu de moyens et constituée de peu d'hommes; l'autre, plus modérée mais habitée par un doute plus profond et mieux organisée.
Je sentis alors que la Providence me mettait à l’épreuve. La première insurrection, je la fis écraser sans hésitation, car elle n’était qu’un tumulte aveugle menaçant l’ordre divin. Mais à propos de la seconde, je répondis avec gravité :
« Je comprends leurs craintes. La Hongrie est une terre meurtrie, qui porte encore les cicatrices des années de souffrance. Ma Pragmatique Sanction peut sembler ajouter au désarroi. Qu’ils sachent pourtant que je n’ai point renié la Foi Véritable. Qu’une cathédrale s’élève en Hongrie, comme un signe de ma fidélité. Qu’en mon nom soient versées trois mille pièces d’or aux hospices, et deux mille autres afin que tout le peuple partage un repas sacré au sein des églises de nos Royaumes. »
Ainsi en ai-je décidé. Et par cette œuvre de pierre et de charité, l'ire s’apaisa, les cœurs troublés retrouvèrent la paix, et je compris que la main de la Providence avait guidé ma décision.
Au sein du Royaume, des témoignages apparaissent et se diffusent :
Ce mercredi des cendres, alors que je flânais dans les rues de Prague, mes pas me conduisirent vers une scène qui marqua mon âme. J’aperçus Sa Majesté, humble dans sa grandeur, distribuant du pain aux miséreux. La noblesse de ce geste, si simple et pourtant si éclatant, éveilla en moi une compassion profonde et une admiration sincère.
Je m’approchai, le cœur battant, et saluai Sa Majesté. Sa réponse, empreinte de chaleur et de sincérité, me toucha au plus intime ; elle me sublima, comme si la voix royale portait en elle une lumière intérieure.
Au fil de notre échange, mon regard se posa sur un détail discret mais révélateur : Sa Majesté portait, sous ses habits, un cilice et une croix de bois. Ce signe secret de pénitence et de fidélité me bouleversa. J’y vis la preuve que le Roi, au-delà de la couronne et des fastes, demeure un serviteur de la Foi Véritable, lié à la Providence par une discipline silencieuse.
L'idée que Vladislas II Jagellon est l'un des rois catholiques les plus pieux se répand. Certains disent même qu'il est un saint.
Ciao les révoltés et les critiques.
Et avec mes 5k restants je construis 5 baraquements.
Normalement j'ai tout utilisé.
La ligue de Prague entend faire pression sur le Saint-Siège afin d'obtenir une Réforme comprenant la suppression des impôts qui financent les guerres du Pape, la suppression des indulgences, la lutte contre la corruption, la lutte contre l'accumulation de biens par le Haut Clergé, la lutte contre les influences étrangères et contre les guerres d'influence au sein de l'Eglise et de ses filles (Eglises nationales, locales), la refonte des impôts ecclésiastiques, une plus grande liberté d'opinion et d'expression, une plus grande tolérance à l'égard des autres chrétiens, et une réforme plus globale des ministères et institutions de l'Eglise afin de permettre une plus grande souplesse et de se rapprocher des premiers catholiques et de la Tradition.
Concernant l'Empereur, la ligue se donne pour mission de faire entendre la voix des réformistes au sein de l'Empire et d'obtenir une Diète concernant une éventuelle réforme de l'Empire. Nous réclamons une plus grande neutralité géopolitique de l'Empire et la systématisation de l'usage de la voie diplomatique avant d'entrer en guerre. Nous voulons que la distinction entre les guerres de l'Autriche et les guerres du Saint-Empire soit plus claire afin que les moyens de nos Etats ne soient pas utilisées à des fins personnelles qui ne nous apporteront aucun bénéfice. En clair, nous voulons que l'Empereur nous écoute plus et qu'il ne nous entraîne plus dans de dangereuses décisions sans nous demander notre avis.
Maintenant, les révoltes...Laissez-moi vous conter comment j'ai réussi à les neutraliser :
Extrait des Chroniques de la Couronne, journal intime de Vladislas II Jagellon
Après que j'eus proclamé ma Pragmatique Sanction, mon principal ministre vint m'annoncer que deux révoltes s'étaient levées au sein du Royaume de Hongrie : l'une, furieuse et déchaînée, prête à incendier les campagnes, mais disposant de peu de moyens et constituée de peu d'hommes; l'autre, plus modérée mais habitée par un doute plus profond et mieux organisée.
Je sentis alors que la Providence me mettait à l’épreuve. La première insurrection, je la fis écraser sans hésitation, car elle n’était qu’un tumulte aveugle menaçant l’ordre divin. Mais à propos de la seconde, je répondis avec gravité :
« Je comprends leurs craintes. La Hongrie est une terre meurtrie, qui porte encore les cicatrices des années de souffrance. Ma Pragmatique Sanction peut sembler ajouter au désarroi. Qu’ils sachent pourtant que je n’ai point renié la Foi Véritable. Qu’une cathédrale s’élève en Hongrie, comme un signe de ma fidélité. Qu’en mon nom soient versées trois mille pièces d’or aux hospices, et deux mille autres afin que tout le peuple partage un repas sacré au sein des églises de nos Royaumes. »
Ainsi en ai-je décidé. Et par cette œuvre de pierre et de charité, l'ire s’apaisa, les cœurs troublés retrouvèrent la paix, et je compris que la main de la Providence avait guidé ma décision.
Au sein du Royaume, des témoignages apparaissent et se diffusent :
Chroniques d'un Aristocrate
Ce mercredi des cendres, alors que je flânais dans les rues de Prague, mes pas me conduisirent vers une scène qui marqua mon âme. J’aperçus Sa Majesté, humble dans sa grandeur, distribuant du pain aux miséreux. La noblesse de ce geste, si simple et pourtant si éclatant, éveilla en moi une compassion profonde et une admiration sincère.
Je m’approchai, le cœur battant, et saluai Sa Majesté. Sa réponse, empreinte de chaleur et de sincérité, me toucha au plus intime ; elle me sublima, comme si la voix royale portait en elle une lumière intérieure.
Au fil de notre échange, mon regard se posa sur un détail discret mais révélateur : Sa Majesté portait, sous ses habits, un cilice et une croix de bois. Ce signe secret de pénitence et de fidélité me bouleversa. J’y vis la preuve que le Roi, au-delà de la couronne et des fastes, demeure un serviteur de la Foi Véritable, lié à la Providence par une discipline silencieuse.
L'idée que Vladislas II Jagellon est l'un des rois catholiques les plus pieux se répand. Certains disent même qu'il est un saint.
Ciao les révoltés et les critiques.
Et avec mes 5k restants je construis 5 baraquements.
Normalement j'ai tout utilisé.
@Lazuli lis le passage sur la ligue
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 jours
Tu fais des sanction contre moi où pas, vu que la guerre de Naples et Venise est terminée
Si t'as arrêté tous les conflits contre Venise et la France ainsi que ton expansion en Italie oui, sinon non.
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 jours
J'ai du mal à suivre les guerres mais j'annonce d'ores et déjà que j'annulerai toutes les sanctions économiques lorsque l'Italie sera en paix.
La ligue de Prague entend faire pression sur le Saint-Siège afin d'obtenir une Réforme comprenant la suppression des impôts qui financent les guerres du Pape, la suppression des indulgences, la lutte contre la corruption, la lutte contre l'accumulation de biens par le Haut Clergé, la lutte contre les influences étrangères et contre les guerres d'influence au sein de l'Eglise et de ses filles (Eglises nationales, locales), la refonte des impôts ecclésiastiques, une plus grande liberté d'opinion et d'expression, une plus grande tolérance à l'égard des autres chrétiens, et une réforme plus globale des ministères et institutions de l'Eglise afin de permettre une plus grande souplesse et de se rapprocher des premiers catholiques et de la Tradition.
Concernant l'Empereur, la ligue se donne pour mission de faire entendre la voix des réformistes au sein de l'Empire et d'obtenir une Diète concernant une éventuelle réforme de l'Empire. Nous réclamons une plus grande neutralité géopolitique de l'Empire et la systématisation de l'usage de la voie diplomatique avant d'entrer en guerre. Nous voulons que la distinction entre les guerres de l'Autriche et les guerres du Saint-Empire soit plus claire afin que les moyens de nos Etats ne soient pas utilisées à des fins personnelles qui ne nous apporteront aucun bénéfice. En clair, nous voulons que l'Empereur nous écoute plus et qu'il ne nous entraîne plus dans de dangereuses décisions sans nous demander notre avis.
Maintenant, les révoltes...Laissez-moi vous conter comment j'ai réussi à les neutraliser :
Après que j'eus proclamé ma Pragmatique Sanction, mon principal ministre vint m'annoncer que deux révoltes s'étaient levées au sein du Royaume de Hongrie : l'une, furieuse et déchaînée, prête à incendier les campagnes, mais disposant de peu de moyens et constituée de peu d'hommes; l'autre, plus modérée mais habitée par un doute plus profond et mieux organisée.
Je sentis alors que la Providence me mettait à l’épreuve. La première insurrection, je la fis écraser sans hésitation, car elle n’était qu’un tumulte aveugle menaçant l’ordre divin. Mais à propos de la seconde, je répondis avec gravité :
« Je comprends leurs craintes. La Hongrie est une terre meurtrie, qui porte encore les cicatrices des années de souffrance. Ma Pragmatique Sanction peut sembler ajouter au désarroi. Qu’ils sachent pourtant que je n’ai point renié la Foi Véritable. Qu’une cathédrale s’élève en Hongrie, comme un signe de ma fidélité. Qu’en mon nom soient versées trois mille pièces d’or aux hospices, et deux mille autres afin que tout le peuple partage un repas sacré au sein des églises de nos Royaumes. »
Ainsi en ai-je décidé. Et par cette œuvre de pierre et de charité, l'ire s’apaisa, les cœurs troublés retrouvèrent la paix, et je compris que la main de la Providence avait guidé ma décision.
Au sein du Royaume, des témoignages apparaissent et se diffusent :
Ce mercredi des cendres, alors que je flânais dans les rues de Prague, mes pas me conduisirent vers une scène qui marqua mon âme. J’aperçus Sa Majesté, humble dans sa grandeur, distribuant du pain aux miséreux. La noblesse de ce geste, si simple et pourtant si éclatant, éveilla en moi une compassion profonde et une admiration sincère.
Je m’approchai, le cœur battant, et saluai Sa Majesté. Sa réponse, empreinte de chaleur et de sincérité, me toucha au plus intime ; elle me sublima, comme si la voix royale portait en elle une lumière intérieure.
Au fil de notre échange, mon regard se posa sur un détail discret mais révélateur : Sa Majesté portait, sous ses habits, un cilice et une croix de bois. Ce signe secret de pénitence et de fidélité me bouleversa. J’y vis la preuve que le Roi, au-delà de la couronne et des fastes, demeure un serviteur de la Foi Véritable, lié à la Providence par une discipline silencieuse.
L'idée que Vladislas II Jagellon est l'un des rois catholiques les plus pieux se répand. Certains disent même qu'il est un saint.
Ciao les révoltés et les critiques.
Et avec mes 5k restants je construis 5 baraquements.
Normalement j'ai tout utilisé.
La ligue de Prague entend faire pression sur le Saint-Siège afin d'obtenir une Réforme comprenant la suppression des impôts qui financent les guerres du Pape, la suppression des indulgences, la lutte contre la corruption, la lutte contre l'accumulation de biens par le Haut Clergé, la lutte contre les influences étrangères et contre les guerres d'influence au sein de l'Eglise et de ses filles (Eglises nationales, locales), la refonte des impôts ecclésiastiques, une plus grande liberté d'opinion et d'expression, une plus grande tolérance à l'égard des autres chrétiens, et une réforme plus globale des ministères et institutions de l'Eglise afin de permettre une plus grande souplesse et de se rapprocher des premiers catholiques et de la Tradition.
Concernant l'Empereur, la ligue se donne pour mission de faire entendre la voix des réformistes au sein de l'Empire et d'obtenir une Diète concernant une éventuelle réforme de l'Empire. Nous réclamons une plus grande neutralité géopolitique de l'Empire et la systématisation de l'usage de la voie diplomatique avant d'entrer en guerre. Nous voulons que la distinction entre les guerres de l'Autriche et les guerres du Saint-Empire soit plus claire afin que les moyens de nos Etats ne soient pas utilisées à des fins personnelles qui ne nous apporteront aucun bénéfice. En clair, nous voulons que l'Empereur nous écoute plus et qu'il ne nous entraîne plus dans de dangereuses décisions sans nous demander notre avis.
Maintenant, les révoltes...Laissez-moi vous conter comment j'ai réussi à les neutraliser :
Extrait des Chroniques de la Couronne, journal intime de Vladislas II Jagellon
Après que j'eus proclamé ma Pragmatique Sanction, mon principal ministre vint m'annoncer que deux révoltes s'étaient levées au sein du Royaume de Hongrie : l'une, furieuse et déchaînée, prête à incendier les campagnes, mais disposant de peu de moyens et constituée de peu d'hommes; l'autre, plus modérée mais habitée par un doute plus profond et mieux organisée.
Je sentis alors que la Providence me mettait à l’épreuve. La première insurrection, je la fis écraser sans hésitation, car elle n’était qu’un tumulte aveugle menaçant l’ordre divin. Mais à propos de la seconde, je répondis avec gravité :
« Je comprends leurs craintes. La Hongrie est une terre meurtrie, qui porte encore les cicatrices des années de souffrance. Ma Pragmatique Sanction peut sembler ajouter au désarroi. Qu’ils sachent pourtant que je n’ai point renié la Foi Véritable. Qu’une cathédrale s’élève en Hongrie, comme un signe de ma fidélité. Qu’en mon nom soient versées trois mille pièces d’or aux hospices, et deux mille autres afin que tout le peuple partage un repas sacré au sein des églises de nos Royaumes. »
Ainsi en ai-je décidé. Et par cette œuvre de pierre et de charité, l'ire s’apaisa, les cœurs troublés retrouvèrent la paix, et je compris que la main de la Providence avait guidé ma décision.
Au sein du Royaume, des témoignages apparaissent et se diffusent :
Chroniques d'un Aristocrate
Ce mercredi des cendres, alors que je flânais dans les rues de Prague, mes pas me conduisirent vers une scène qui marqua mon âme. J’aperçus Sa Majesté, humble dans sa grandeur, distribuant du pain aux miséreux. La noblesse de ce geste, si simple et pourtant si éclatant, éveilla en moi une compassion profonde et une admiration sincère.
Je m’approchai, le cœur battant, et saluai Sa Majesté. Sa réponse, empreinte de chaleur et de sincérité, me toucha au plus intime ; elle me sublima, comme si la voix royale portait en elle une lumière intérieure.
Au fil de notre échange, mon regard se posa sur un détail discret mais révélateur : Sa Majesté portait, sous ses habits, un cilice et une croix de bois. Ce signe secret de pénitence et de fidélité me bouleversa. J’y vis la preuve que le Roi, au-delà de la couronne et des fastes, demeure un serviteur de la Foi Véritable, lié à la Providence par une discipline silencieuse.
L'idée que Vladislas II Jagellon est l'un des rois catholiques les plus pieux se répand. Certains disent même qu'il est un saint.
Ciao les révoltés et les critiques.
Et avec mes 5k restants je construis 5 baraquements.
Normalement j'ai tout utilisé.
Certains états Allemands sont intéressés de se joindre à la Bohême mais ne saisissent pas l'idée de se composer dans une alliance militaire si les revendications sont politiques et religieuses
il y a 2 jours
Certains états Allemands sont intéressés de se joindre à la Bohême mais ne saisissent pas l'idée de se composer dans une alliance militaire si les revendications sont politiques et religieuses
ah mais c'est une alliance militaire la ligue ?
je croyais justement que c'était une alliance politique et que le militaire relevait de l'empereur
je croyais justement que c'était une alliance politique et que le militaire relevait de l'empereur
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 jours
ah mais c'est une alliance militaire la ligue ?
je croyais justement que c'était une alliance politique et que le militaire relevait de l'empereur
je croyais justement que c'était une alliance politique et que le militaire relevait de l'empereur
Oui c'est une alliance militaire
il y a 2 jours
Oui c'est une alliance militaire
dans ce cas le côté militaire est là pour nous défendre d'une éventuelle guerre religieuse (du Saint-Siège par exemple) contre les Etats réformistes
on a vu que le pape attaquait sans vergogne et refusait toute discussion, donc ça se tient une défense commune
on a vu que le pape attaquait sans vergogne et refusait toute discussion, donc ça se tient une défense commune
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
il y a 2 jours
Armouare
2j
Archiduché d'Autriche - Saint Empire Romain Germanique @Lazuli
Dirigeant : Maximilien Ier de Habsbourg (54) - Blanche-Marie Sforza (42)
Successeur : Ferdinand de Habsbourg (10)
Possessions : Archiduché d'Autriche ; Saint-Empire Romain Germanique ; Comté de Franche-Comté ; Pays-Bas autrichiens ; Royaume de Moravie
Revendications : Royaume de Bohème ; Royaume de Hongrie
Guerre : Royaume de France
Budget : 45.5K d'or (+)
Population : 1 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 150 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 40/100 ; Tradition militaire : 26 ; Capacité terrestre : 34k /44 - 120 / 200 ; Capacité navale : 10 / 30 ; Corruption : 7
L'électorat de Mayence demande à présider ce conseil théologique.
Les débats concernant la plainte se terminent cette année et elle est publiée. Le pape est accusé de se servir de la religion pour des aspirations financières et une réponse est demandée. Néanmoins, le conseil théologique censure certaines revendications trop vindicatives.
La noblesse supporte l'effort de guerre et soutient Maximilien dans la défense de l'Italie face à la France.

Dirigeant : Maximilien Ier de Habsbourg (54) - Blanche-Marie Sforza (42)
Successeur : Ferdinand de Habsbourg (10)
Possessions : Archiduché d'Autriche ; Saint-Empire Romain Germanique ; Comté de Franche-Comté ; Pays-Bas autrichiens ; Royaume de Moravie
Revendications : Royaume de Bohème ; Royaume de Hongrie
Guerre : Royaume de France
Budget : 45.5K d'or (+)
Population : 1 500 000 ; Stabilité : 80 ; Point d'Autorité : 150 ; Légitimité : forte ; Centralisation : 40/100 ; Tradition militaire : 26 ; Capacité terrestre : 34k /44 - 120 / 200 ; Capacité navale : 10 / 30 ; Corruption : 7
L'électorat de Mayence demande à présider ce conseil théologique.
Les débats concernant la plainte se terminent cette année et elle est publiée. Le pape est accusé de se servir de la religion pour des aspirations financières et une réponse est demandée. Néanmoins, le conseil théologique censure certaines revendications trop vindicatives.
La noblesse supporte l'effort de guerre et soutient Maximilien dans la défense de l'Italie face à la France.
À destination des princes, électeurs et États du Saint-Empire,
L’Empereur rappelle solennellement que le SERG repose sur un équilibre fragile, fondé sur le droit impérial, la concertation entre États et le respect des institutions communes.
Toute réforme touchant à l’ordre religieux, aux finances ecclésiastiques ou aux relations avec le Saint-Siège ne saurait être menée unilatéralement par un prince, qui n’a jamais manqué d’énergie pour semer la zizanie au sein de l’Empire.
L’Empereur rappelle également les faits : lorsque le Duché de Milan, État membre du Saint-Empire, fut attaqué par la France, c’est l’Empereur qui prit ses responsabilités. Les armes impériales ont prévalu, l’offensive française a été repoussée, et Milan a été protégé.
Là où certains princes, au premier rang desquels la Bohême-Hongrie, étaient prêts à abandonner un confrère impérial à son sort, l’Empereur a assumé son devoir de protection, démontrant que l’autorité impériale n’est ni abstraite ni hésitante.
Sous couvert de préserver la paix et l’unité de la chrétienté, la Bohême-Hongrie engage en réalité une politique qui fracture l’unité religieuse de l’Empire, conteste l’autorité des conciles impériaux à venir, encourage la désobéissance aux institutions impériales, et ouvre la voie à une division durable entre princes, au bénéfice exclusif des puissances extérieures qui n’attendent que l’affaiblissement de l’Empire.
Les conséquences de cette politique sont déjà visibles au sein du Royaume de Bohème-Hongrie : troubles intérieurs, divisions confessionnelles et désordres ouverts dans certaines parties du royaume, révélant combien des réformes menées sans cadre impérial fragilisent l’autorité princière au lieu de la renforcer.
Je constate également une contradiction manifeste : Vladislas II proclame la cohésion tout en appelant à la sécession religieuse, refuser la guerre tout en acceptant l’abandon des États impériaux attaqués, se dire défenseur de la stabilité tout en en sapant les fondements.
En conséquence, et conformément à ses prérogatives impériales, Sa Majesté annonce pour ce tour les mesures suivantes :
- Condamnation officielle des actes unilatéraux du Roi de Bohême-Hongrie comme contraires à l’ordre impérial.
- Suspension de tout soutien impérial à ses initiatives diplomatiques et religieuses tant qu’elles ne seront pas soumises à examen collectif.
- Convocation renforcée de la Diète impériale, au sein de laquelle les décisions touchant à la réforme de l’Église seront étudiées par le Conseil théologique impérial, récemment établi à cette fin, et présidé non par l'Autriche mais par Mayence.
- Toute poursuite de cette politique pourra entraîner des sanctions plus lourdes, allant jusqu’à l’isolement politique, l’intervention impériale dans les affaires internes, voire l’application de mesures coercitives prévues par le droit impérial.
Enfin, l’Empereur s’adresse aux princes allemands :
Ce chemin n’est pas celui de la réforme raisonnée, mais celui du morcellement. Aujourd’hui la Bohême défie Rome et abandonne Milan ; demain, les princes se défieront entre eux. Un Empire divisé ne survit pas.
L’Empereur rappelle solennellement que le SERG repose sur un équilibre fragile, fondé sur le droit impérial, la concertation entre États et le respect des institutions communes.
Toute réforme touchant à l’ordre religieux, aux finances ecclésiastiques ou aux relations avec le Saint-Siège ne saurait être menée unilatéralement par un prince, qui n’a jamais manqué d’énergie pour semer la zizanie au sein de l’Empire.
L’Empereur rappelle également les faits : lorsque le Duché de Milan, État membre du Saint-Empire, fut attaqué par la France, c’est l’Empereur qui prit ses responsabilités. Les armes impériales ont prévalu, l’offensive française a été repoussée, et Milan a été protégé.
Là où certains princes, au premier rang desquels la Bohême-Hongrie, étaient prêts à abandonner un confrère impérial à son sort, l’Empereur a assumé son devoir de protection, démontrant que l’autorité impériale n’est ni abstraite ni hésitante.
Sous couvert de préserver la paix et l’unité de la chrétienté, la Bohême-Hongrie engage en réalité une politique qui fracture l’unité religieuse de l’Empire, conteste l’autorité des conciles impériaux à venir, encourage la désobéissance aux institutions impériales, et ouvre la voie à une division durable entre princes, au bénéfice exclusif des puissances extérieures qui n’attendent que l’affaiblissement de l’Empire.
Les conséquences de cette politique sont déjà visibles au sein du Royaume de Bohème-Hongrie : troubles intérieurs, divisions confessionnelles et désordres ouverts dans certaines parties du royaume, révélant combien des réformes menées sans cadre impérial fragilisent l’autorité princière au lieu de la renforcer.
Je constate également une contradiction manifeste : Vladislas II proclame la cohésion tout en appelant à la sécession religieuse, refuser la guerre tout en acceptant l’abandon des États impériaux attaqués, se dire défenseur de la stabilité tout en en sapant les fondements.
En conséquence, et conformément à ses prérogatives impériales, Sa Majesté annonce pour ce tour les mesures suivantes :
- Condamnation officielle des actes unilatéraux du Roi de Bohême-Hongrie comme contraires à l’ordre impérial.
- Suspension de tout soutien impérial à ses initiatives diplomatiques et religieuses tant qu’elles ne seront pas soumises à examen collectif.
- Convocation renforcée de la Diète impériale, au sein de laquelle les décisions touchant à la réforme de l’Église seront étudiées par le Conseil théologique impérial, récemment établi à cette fin, et présidé non par l'Autriche mais par Mayence.
- Toute poursuite de cette politique pourra entraîner des sanctions plus lourdes, allant jusqu’à l’isolement politique, l’intervention impériale dans les affaires internes, voire l’application de mesures coercitives prévues par le droit impérial.
Enfin, l’Empereur s’adresse aux princes allemands :
Ce chemin n’est pas celui de la réforme raisonnée, mais celui du morcellement. Aujourd’hui la Bohême défie Rome et abandonne Milan ; demain, les princes se défieront entre eux. Un Empire divisé ne survit pas.
il y a 2 jours
dans ce cas le côté militaire est là pour nous défendre d'une éventuelle guerre religieuse (du Saint-Siège par exemple) contre les Etats réformistes
on a vu que le pape attaquait sans vergogne et refusait toute discussion, donc ça se tient une défense commune
on a vu que le pape attaquait sans vergogne et refusait toute discussion, donc ça se tient une défense commune
L'électorat de Saxe se joint à la Bohême. Aucun autre état n'est intéressé pour le moment.
il y a 2 jours
Si t'as arrêté tous les conflits contre Venise et la France ainsi que ton expansion en Italie oui, sinon non.
Tu crois vraiment avoir un poids sur mon économie
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 2 jours
À destination des princes, électeurs et États du Saint-Empire,
L’Empereur rappelle solennellement que le SERG repose sur un équilibre fragile, fondé sur le droit impérial, la concertation entre États et le respect des institutions communes.
Toute réforme touchant à l’ordre religieux, aux finances ecclésiastiques ou aux relations avec le Saint-Siège ne saurait être menée unilatéralement par un prince, qui n’a jamais manqué d’énergie pour semer la zizanie au sein de l’Empire.
L’Empereur rappelle également les faits : lorsque le Duché de Milan, État membre du Saint-Empire, fut attaqué par la France, c’est l’Empereur qui prit ses responsabilités. Les armes impériales ont prévalu, l’offensive française a été repoussée, et Milan a été protégé.
Là où certains princes, au premier rang desquels la Bohême-Hongrie, étaient prêts à abandonner un confrère impérial à son sort, l’Empereur a assumé son devoir de protection, démontrant que l’autorité impériale n’est ni abstraite ni hésitante.
Sous couvert de préserver la paix et l’unité de la chrétienté, la Bohême-Hongrie engage en réalité une politique qui fracture l’unité religieuse de l’Empire, conteste l’autorité des conciles impériaux à venir, encourage la désobéissance aux institutions impériales, et ouvre la voie à une division durable entre princes, au bénéfice exclusif des puissances extérieures qui n’attendent que l’affaiblissement de l’Empire.
Les conséquences de cette politique sont déjà visibles au sein du Royaume de Bohème-Hongrie : troubles intérieurs, divisions confessionnelles et désordres ouverts dans certaines parties du royaume, révélant combien des réformes menées sans cadre impérial fragilisent l’autorité princière au lieu de la renforcer.
Je constate également une contradiction manifeste : Vladislas II proclame la cohésion tout en appelant à la sécession religieuse, refuser la guerre tout en acceptant l’abandon des États impériaux attaqués, se dire défenseur de la stabilité tout en en sapant les fondements.
En conséquence, et conformément à ses prérogatives impériales, Sa Majesté annonce pour ce tour les mesures suivantes :
- Condamnation officielle des actes unilatéraux du Roi de Bohême-Hongrie comme contraires à l’ordre impérial.
- Suspension de tout soutien impérial à ses initiatives diplomatiques et religieuses tant qu’elles ne seront pas soumises à examen collectif.
- Convocation renforcée de la Diète impériale, au sein de laquelle les décisions touchant à la réforme de l’Église seront étudiées par le Conseil théologique impérial, récemment établi à cette fin, et présidé non par l'Autriche mais par Mayence.
- Toute poursuite de cette politique pourra entraîner des sanctions plus lourdes, allant jusqu’à l’isolement politique, l’intervention impériale dans les affaires internes, voire l’application de mesures coercitives prévues par le droit impérial.
Enfin, l’Empereur s’adresse aux princes allemands :
Ce chemin n’est pas celui de la réforme raisonnée, mais celui du morcellement. Aujourd’hui la Bohême défie Rome et abandonne Milan ; demain, les princes se défieront entre eux. Un Empire divisé ne survit pas.
L’Empereur rappelle solennellement que le SERG repose sur un équilibre fragile, fondé sur le droit impérial, la concertation entre États et le respect des institutions communes.
Toute réforme touchant à l’ordre religieux, aux finances ecclésiastiques ou aux relations avec le Saint-Siège ne saurait être menée unilatéralement par un prince, qui n’a jamais manqué d’énergie pour semer la zizanie au sein de l’Empire.
L’Empereur rappelle également les faits : lorsque le Duché de Milan, État membre du Saint-Empire, fut attaqué par la France, c’est l’Empereur qui prit ses responsabilités. Les armes impériales ont prévalu, l’offensive française a été repoussée, et Milan a été protégé.
Là où certains princes, au premier rang desquels la Bohême-Hongrie, étaient prêts à abandonner un confrère impérial à son sort, l’Empereur a assumé son devoir de protection, démontrant que l’autorité impériale n’est ni abstraite ni hésitante.
Sous couvert de préserver la paix et l’unité de la chrétienté, la Bohême-Hongrie engage en réalité une politique qui fracture l’unité religieuse de l’Empire, conteste l’autorité des conciles impériaux à venir, encourage la désobéissance aux institutions impériales, et ouvre la voie à une division durable entre princes, au bénéfice exclusif des puissances extérieures qui n’attendent que l’affaiblissement de l’Empire.
Les conséquences de cette politique sont déjà visibles au sein du Royaume de Bohème-Hongrie : troubles intérieurs, divisions confessionnelles et désordres ouverts dans certaines parties du royaume, révélant combien des réformes menées sans cadre impérial fragilisent l’autorité princière au lieu de la renforcer.
Je constate également une contradiction manifeste : Vladislas II proclame la cohésion tout en appelant à la sécession religieuse, refuser la guerre tout en acceptant l’abandon des États impériaux attaqués, se dire défenseur de la stabilité tout en en sapant les fondements.
En conséquence, et conformément à ses prérogatives impériales, Sa Majesté annonce pour ce tour les mesures suivantes :
- Condamnation officielle des actes unilatéraux du Roi de Bohême-Hongrie comme contraires à l’ordre impérial.
- Suspension de tout soutien impérial à ses initiatives diplomatiques et religieuses tant qu’elles ne seront pas soumises à examen collectif.
- Convocation renforcée de la Diète impériale, au sein de laquelle les décisions touchant à la réforme de l’Église seront étudiées par le Conseil théologique impérial, récemment établi à cette fin, et présidé non par l'Autriche mais par Mayence.
- Toute poursuite de cette politique pourra entraîner des sanctions plus lourdes, allant jusqu’à l’isolement politique, l’intervention impériale dans les affaires internes, voire l’application de mesures coercitives prévues par le droit impérial.
Enfin, l’Empereur s’adresse aux princes allemands :
Ce chemin n’est pas celui de la réforme raisonnée, mais celui du morcellement. Aujourd’hui la Bohême défie Rome et abandonne Milan ; demain, les princes se défieront entre eux. Un Empire divisé ne survit pas.
Je valide vos décisions et le royaume d'Espagne sera toujours à vos côtés
J'aime le Christ Et l'argent
Moi
il y a 2 jours





























