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Tu es au courant que ton propos va dans mon sens, je parle d'un canon ancien, là, tu me dis que c'est progressivement, mais tu parlais d'apocryphes, comment tu devines ce qui est authentique et en quoi les Témoins suivent ce que faisaient ceux d'avant Nicée ?
:PepeMontre:
Les juifs n'ont jamais accepté comme canon les apocryphes tels que tobit, judith ou 3 esdras

Ce sont les catholiques qui les ont canonisé au concile de trent pour lutter contre le protestantisme

:presence_imperiale:
il y a un mois
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L’idée que le canon s’est formé organiquement est historiquement intenable, jusqu’au IVᵉ siècle, aucun consensus universel n’existait sur plusieurs livres. Des textes aujourd’hui apocryphes figuraient encore dans des Bibles officielles. Les conciles d’Hippone et Carthage ont clairement décidé de la liste définitive, comme le prouvent leurs actes conservés. La persécution de Dèce n’a jamais effacé un canon préexistant, elle n’a fait que détruire des copies, pas résoudre les désaccords.

:PepeMontre:
ça n'a pas été décidé par le concile de carthage

ils n'ont fait que redécouvrir ce que les chrétiens du 1er siècle savaient déjà

:presence_imperiale:
il y a un mois
Les juifs n'ont jamais accepté comme canon les apocryphes tels que tobit, judith ou 3 esdras

Ce sont les catholiques qui les ont canonisé au concile de trent pour lutter contre le protestantisme

:presence_imperiale:
Tobit et Judith, ces livres apparaissent dans la Septante (LXX), la traduction grecque de la Bible hébraïque réalisée entre le IIIᵉ et le IIᵉ siècle avant J.-C. à Alexandrie. La Septante était largement utilisée par les juifs hellénisés, surtout en diaspora. Cela prouve que, historiquement, certains juifs ont reconnu ces livres comme faisant autorité dans un contexte grec.

D'ailleurs, pour information, des chrétiens et plus tard, des juifs vont utiliser des concepts grecs pour modifier la nature de leur divinité en distant, parfait, par exemple, les juifs actuels ne suivent pas en majorité le dieu décrit dans la Torah qui est colérique, temporel et donc imparfait, ils suivent des écrits qui viennent plus tard sous Maimonide, le Talmud en faisant en sorte que leur divinité soit perçue comme parfaite et distante, ils l'ont changé car ils ont vu que le christianisme avait une influence notable et que cela n'allait pas avec les versets criminels esclavagistes, donc ils ont fait des interprétations visant à dénaturer la nature divine pour qu'elle soit plus présentable face au divin chrétien décrit dans certains dogmes.

3 Esdras / 1 Esdras (selon le décompte grec). Ce livre est inclus dans plusieurs codex anciens : Codex Vaticanus, Codex Sinaiticus. Il était lu dans certaines synagogues grecques, bien qu’il n’ait pas été accepté dans le canon hébreu final. Canon hébreu final (Tanakh / Massorétique), fixé vers la fin du Ier siècle après J.-C., probablement sous l’influence des synodes de Jamnia/Yavneh (vers 90-100). À ce moment-là, Tobit, Judith, 1-2 Esdras, Sagesse, Siracide, Baruch ne sont pas inclus.

:PepeMontre:
Big nigger cock. Jew Women want big black cocks deep inside
il y a un mois
ça n'a pas été décidé par le concile de carthage

ils n'ont fait que redécouvrir ce que les chrétiens du 1er siècle savaient déjà

:presence_imperiale:
Le Concile de Carthage (397) n’a pas seulement redécouvert le canon, il a pris une décision normative contraignante. Les chrétiens du Ier siècle n’avaient pas fixé de canon universel : des livres étaient contestés, certains lus seulement dans certaines Églises. Les manuscrits du IVᵉ siècle et les écrits patristiques montrent que le canon était encore fluide avant ces conciles. Affirmer que Carthage a juste “redécouvert” le savoir du Ier siècle est faux historiquement, car le concile a résolu des divergences régionales et fixé un standard officiel.


:PepeMontre:
Big nigger cock. Jew Women want big black cocks deep inside
il y a un mois
ça n'a pas été décidé par le concile de carthage

ils n'ont fait que redécouvrir ce que les chrétiens du 1er siècle savaient déjà

:presence_imperiale:
Les Témoins de Jéhovah ont tort lorsqu’ils affirment que le canon du Nouveau Testament était fixé dès le Ier siècle, que les livres apocryphes n’ont jamais été acceptés, et que leur canon TMN reflète la Bible originale ; tous ces points sont contredits par des manuscrits, des conciles et les Pères de l’Église.
:PepeMontre:
Big nigger cock. Jew Women want big black cocks deep inside
il y a un mois
Tobit et Judith, ces livres apparaissent dans la Septante (LXX), la traduction grecque de la Bible hébraïque réalisée entre le IIIᵉ et le IIᵉ siècle avant J.-C. à Alexandrie. La Septante était largement utilisée par les juifs hellénisés, surtout en diaspora. Cela prouve que, historiquement, certains juifs ont reconnu ces livres comme faisant autorité dans un contexte grec.

D'ailleurs, pour information, des chrétiens et plus tard, des juifs vont utiliser des concepts grecs pour modifier la nature de leur divinité en distant, parfait, par exemple, les juifs actuels ne suivent pas en majorité le dieu décrit dans la Torah qui est colérique, temporel et donc imparfait, ils suivent des écrits qui viennent plus tard sous Maimonide, le Talmud en faisant en sorte que leur divinité soit perçue comme parfaite et distante, ils l'ont changé car ils ont vu que le christianisme avait une influence notable et que cela n'allait pas avec les versets criminels esclavagistes, donc ils ont fait des interprétations visant à dénaturer la nature divine pour qu'elle soit plus présentable face au divin chrétien décrit dans certains dogmes.

3 Esdras / 1 Esdras (selon le décompte grec). Ce livre est inclus dans plusieurs codex anciens : Codex Vaticanus, Codex Sinaiticus. Il était lu dans certaines synagogues grecques, bien qu’il n’ait pas été accepté dans le canon hébreu final. Canon hébreu final (Tanakh / Massorétique), fixé vers la fin du Ier siècle après J.-C., probablement sous l’influence des synodes de Jamnia/Yavneh (vers 90-100). À ce moment-là, Tobit, Judith, 1-2 Esdras, Sagesse, Siracide, Baruch ne sont pas inclus.

:PepeMontre:
Merci de confirmer ce que j'ai dit
:presence_imperiale:
il y a un mois
ça n'a pas été décidé par le concile de carthage

ils n'ont fait que redécouvrir ce que les chrétiens du 1er siècle savaient déjà

:presence_imperiale:
On compterait à peu près pour les Témoins de Jéhovah, environ 0,35 % du total des chrétiens. En 2023, les Témoins de Jéhovah étaient environ 8,7 millions dans le monde, selon les statistiques officielles de leur organisation.

:PepeMontre:
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il y a un mois
Les Témoins de Jéhovah ont tort lorsqu’ils affirment que le canon du Nouveau Testament était fixé dès le Ier siècle, que les livres apocryphes n’ont jamais été acceptés, et que leur canon TMN reflète la Bible originale ; tous ces points sont contredits par des manuscrits, des conciles et les Pères de l’Église.
:PepeMontre:
Le Nouveau Testament lui-même témoigne que certains écrits étaient déjà reconnus comme Écriture au 1er siècle, comme les lettres de Paul que Pierre qualifie d’Écritures (2 Pierre 3:15-16).

Plusieurs auteurs chrétiens du 1er siècle, comme Clément de Rome et Polycarpe, citent les mêmes livres que nous retrouvons dans le canon actuel de 66 livres. Les apocryphes ne sont ni cités comme Écriture par Jésus ni par les apôtres, et ils étaient largement écartés par la communauté juive et chrétienne primitive.

:presence_imperiale:
il y a un mois
Merci de confirmer ce que j'ai dit
:presence_imperiale:
De confirmer que tu es un ahuri qui a affirmé plein de choses et que tu ne lis pas ?
:PepeMontre:
Big nigger cock. Jew Women want big black cocks deep inside
il y a un mois
On compterait à peu près pour les Témoins de Jéhovah, environ 0,35 % du total des chrétiens. En 2023, les Témoins de Jéhovah étaient environ 8,7 millions dans le monde, selon les statistiques officielles de leur organisation.

:PepeMontre:
Oui, Jésus a dit que les vrais chrétiens seraient une minorité
:presence_imperiale:


Matthieu 7:13-14
Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent.
il y a un mois
De confirmer que tu es un ahuri qui a affirmé plein de choses et que tu ne lis pas ?
:PepeMontre:
Les Juifs n'ont jamais accepté les apocryphes comme canon comme le dit ton message

C'est aux juifs que Jéhovah a donné la responsabilité d'être les gardiens des écritures saintes

Les gentiles sont ceux qui ont ajouté au texte sacré
:presence_imperiale:
il y a un mois
Le Nouveau Testament lui-même témoigne que certains écrits étaient déjà reconnus comme Écriture au 1er siècle, comme les lettres de Paul que Pierre qualifie d’Écritures (2 Pierre 3:15-16).

Plusieurs auteurs chrétiens du 1er siècle, comme Clément de Rome et Polycarpe, citent les mêmes livres que nous retrouvons dans le canon actuel de 66 livres. Les apocryphes ne sont ni cités comme Écriture par Jésus ni par les apôtres, et ils étaient largement écartés par la communauté juive et chrétienne primitive.

:presence_imperiale:
Historiquement, il est incorrect d’affirmer que le canon biblique, tel que nous le connaissons aujourd’hui, était universellement reconnu dès le Ier siècle. Les lettres de Paul, bien que respectées par certaines communautés, n’étaient pas toutes considérées comme inspirées à l’unanimité, et 2 Pierre, probablement rédigée après la majorité des lettres pauliennes, ne prouve aucun canon fixé à cette époque. Les Pères de l’Église primitive tels que Clément de Rome et Polycarpe citent seulement certains livres qui se retrouveront plus tard dans le Nouveau Testament, mais ils ne citent pas l’intégralité des 27 livres canoniques modernes, ce qui montre que l’acceptation était partielle et régionale.

De plus, les textes dits apocryphes, comme l’Épître de Barnabé ou le Pasteur d’Hermas, étaient largement lus et respectés dans diverses communautés chrétiennes, et des manuscrits du IVᵉ siècle tels que le Codex Sinaiticus les contiennent, prouvant qu’ils avaient une valeur liturgique et doctrinale reconnue. Dans le cas de l’Ancien Testament, des livres tels que Tobit, Judith, Sagesse ou Siracide faisaient partie de la Septante et étaient acceptés par les Juifs hellénisés avant même l’émergence du christianisme, tandis que le canon massorétique hébraïque, qui les exclut, ne sera fixé qu’à la fin du Ier siècle.

Ainsi, le canon officiel du Nouveau Testament ne sera fixé que par les conciles africains d’Hippone (393) et de Carthage (397), et l’Ancien Testament canonique sera confirmé par le Concile de Trente au XVIᵉ siècle, ce qui démontre que l’idée d’un canon pleinement reconnu par Jésus, les apôtres ou les premières communautés chrétiennes est historiquement inexacte. En réalité, la fixation du canon fut un processus progressif, conflictuel et centralisé, et non une évidence naturelle ou unanime dès le Ier siècle.

:PepeMontre:
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il y a un mois
Historiquement, il est incorrect d’affirmer que le canon biblique, tel que nous le connaissons aujourd’hui, était universellement reconnu dès le Ier siècle. Les lettres de Paul, bien que respectées par certaines communautés, n’étaient pas toutes considérées comme inspirées à l’unanimité, et 2 Pierre, probablement rédigée après la majorité des lettres pauliennes, ne prouve aucun canon fixé à cette époque. Les Pères de l’Église primitive tels que Clément de Rome et Polycarpe citent seulement certains livres qui se retrouveront plus tard dans le Nouveau Testament, mais ils ne citent pas l’intégralité des 27 livres canoniques modernes, ce qui montre que l’acceptation était partielle et régionale.

De plus, les textes dits apocryphes, comme l’Épître de Barnabé ou le Pasteur d’Hermas, étaient largement lus et respectés dans diverses communautés chrétiennes, et des manuscrits du IVᵉ siècle tels que le Codex Sinaiticus les contiennent, prouvant qu’ils avaient une valeur liturgique et doctrinale reconnue. Dans le cas de l’Ancien Testament, des livres tels que Tobit, Judith, Sagesse ou Siracide faisaient partie de la Septante et étaient acceptés par les Juifs hellénisés avant même l’émergence du christianisme, tandis que le canon massorétique hébraïque, qui les exclut, ne sera fixé qu’à la fin du Ier siècle.

Ainsi, le canon officiel du Nouveau Testament ne sera fixé que par les conciles africains d’Hippone (393) et de Carthage (397), et l’Ancien Testament canonique sera confirmé par le Concile de Trente au XVIᵉ siècle, ce qui démontre que l’idée d’un canon pleinement reconnu par Jésus, les apôtres ou les premières communautés chrétiennes est historiquement inexacte. En réalité, la fixation du canon fut un processus progressif, conflictuel et centralisé, et non une évidence naturelle ou unanime dès le Ier siècle.

:PepeMontre:
Il est vrai que la reconnaissance universelle du canon a été progressive, mais plusieurs écrits du Nouveau Testament étaient déjà largement reconnus comme inspirés au 1er siècle, comme le montrent les références croisées entre auteurs apostoliques (par exemple, 1 Timothée 5:18 cite Luc 10:7 comme « Écriture »).

La lettre de 2 Pierre, tout en étant plus tardive, atteste que les lettres de Paul étaient déjà regroupées et considérées comme Écriture par les premières communautés (2 Pierre 3:15-16). Les Pères apostoliques comme Clément de Rome et Polycarpe n’avaient pas pour but de citer l’ensemble du canon, mais ils se réfèrent de manière explicite ou implicite à de nombreux livres aujourd’hui canoniques, ce qui montre une reconnaissance déjà solide et répandue.

Les textes apocryphes comme le Pasteur d’Hermas étaient lus pour l’édification, mais ils étaient distingués des Écritures inspirées, comme en témoigne le Canon de Muratori (IIe siècle), qui établit clairement cette distinction. Enfin, si le canon a été officiellement confirmé par des conciles ultérieurs, ces décisions n’ont pas créé le canon mais ont reconnu une tradition scripturaire déjà largement établie dans les Églises depuis le 1er siècle.

:presence_imperiale:
il y a un mois
Les Juifs n'ont jamais accepté les apocryphes comme canon comme le dit ton message

C'est aux juifs que Jéhovah a donné la responsabilité d'être les gardiens des écritures saintes

Les gentiles sont ceux qui ont ajouté au texte sacré
:presence_imperiale:
Tu parles comme un juif mais les juifs te voient comme un clown qui veut les imiter en ayant un texte plus récent qui voudrait faire croire que des textes écrits seraient une autorité fiable et concrète du divin, alors qu'on sait tous que tous les textes sont écrits par des mortels qui ont décidé des versets et ont changé de version en route.
:PepeMontre:
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il y a un mois
Tu parles comme un juif mais les juifs te voient comme un clown qui veut les imiter en ayant un texte plus récent qui voudrait faire croire que des textes écrits seraient une autorité fiable et concrète du divin, alors qu'on sait tous que tous les textes sont écrits par des mortels qui ont décidé des versets et ont changé de version en route.
:PepeMontre:
Le Nouveau Testament a été écrit par des juifs
:presence_imperiale:
il y a un mois
Il est vrai que la reconnaissance universelle du canon a été progressive, mais plusieurs écrits du Nouveau Testament étaient déjà largement reconnus comme inspirés au 1er siècle, comme le montrent les références croisées entre auteurs apostoliques (par exemple, 1 Timothée 5:18 cite Luc 10:7 comme « Écriture »).

La lettre de 2 Pierre, tout en étant plus tardive, atteste que les lettres de Paul étaient déjà regroupées et considérées comme Écriture par les premières communautés (2 Pierre 3:15-16). Les Pères apostoliques comme Clément de Rome et Polycarpe n’avaient pas pour but de citer l’ensemble du canon, mais ils se réfèrent de manière explicite ou implicite à de nombreux livres aujourd’hui canoniques, ce qui montre une reconnaissance déjà solide et répandue.

Les textes apocryphes comme le Pasteur d’Hermas étaient lus pour l’édification, mais ils étaient distingués des Écritures inspirées, comme en témoigne le Canon de Muratori (IIe siècle), qui établit clairement cette distinction. Enfin, si le canon a été officiellement confirmé par des conciles ultérieurs, ces décisions n’ont pas créé le canon mais ont reconnu une tradition scripturaire déjà largement établie dans les Églises depuis le 1er siècle.

:presence_imperiale:
Il est vrai que certains livres du Nouveau Testament étaient lus et respectés dans certaines communautés chrétiennes primitives, et que des textes apocryphes comme le Pasteur d’Hermas ou l’Épître de Barnabé étaient employés pour l’édification et distingués des Écritures inspirées, comme le montre le Canon de Muratori (vers 170-200). Cependant, aucun de ces faits ne remet en cause l’essentiel : le canon complet du Nouveau Testament n’était pas fixé au Ier siècle. Les citations partielles de Clément de Rome ou de Polycarpe, ainsi que les références de 1 Timothée 5:18 et de 2 Pierre 3:15-16, montrent seulement que certains livres étaient respectés ou cités dans certaines communautés, mais elles ne prouvent pas une reconnaissance universelle et systématique de l’ensemble des 27 livres. De plus, les manuscrits du IVᵉ siècle, comme le Codex Sinaiticus, témoignent encore de la présence de textes apocryphes dans des collections utilisées par les Églises, ce qui confirme que le canon n’était pas uniformisé.

Les conciles africains d’Hippone (393) et de Carthage (397) ont pris des décisions normatives pour fixer officiellement le canon du Nouveau Testament, et le Concile de Trente (1546) a confirmé la tradition de l’Ancien Testament, y compris les livres deutérocanoniques. Ainsi, même si certains livres étaient lus et respectés, la fixation canonique est le résultat d’un processus progressif, conflictuel et centralisé, et non d’une connaissance universelle du Ier siècle.
:PepeMontre:
Big nigger cock. Jew Women want big black cocks deep inside
il y a un mois
Il est vrai que certains livres du Nouveau Testament étaient lus et respectés dans certaines communautés chrétiennes primitives, et que des textes apocryphes comme le Pasteur d’Hermas ou l’Épître de Barnabé étaient employés pour l’édification et distingués des Écritures inspirées, comme le montre le Canon de Muratori (vers 170-200). Cependant, aucun de ces faits ne remet en cause l’essentiel : le canon complet du Nouveau Testament n’était pas fixé au Ier siècle. Les citations partielles de Clément de Rome ou de Polycarpe, ainsi que les références de 1 Timothée 5:18 et de 2 Pierre 3:15-16, montrent seulement que certains livres étaient respectés ou cités dans certaines communautés, mais elles ne prouvent pas une reconnaissance universelle et systématique de l’ensemble des 27 livres. De plus, les manuscrits du IVᵉ siècle, comme le Codex Sinaiticus, témoignent encore de la présence de textes apocryphes dans des collections utilisées par les Églises, ce qui confirme que le canon n’était pas uniformisé.

Les conciles africains d’Hippone (393) et de Carthage (397) ont pris des décisions normatives pour fixer officiellement le canon du Nouveau Testament, et le Concile de Trente (1546) a confirmé la tradition de l’Ancien Testament, y compris les livres deutérocanoniques. Ainsi, même si certains livres étaient lus et respectés, la fixation canonique est le résultat d’un processus progressif, conflictuel et centralisé, et non d’une connaissance universelle du Ier siècle.
:PepeMontre:
Le processus de formation du canon biblique n’a pas été dicté par un concile unique, mais s’est fait progressivement, au fur et à mesure que les écrits étaient reconnus comme inspirés par Dieu. Les livres bibliques n’ont pas reçu leur autorité d’une décision humaine : ils ont été reconnus comme ayant déjà autorité en raison de leur contenu, de leur lien avec un prophète (dans l’Ancien Testament) ou un apôtre (dans le Nouveau Testament), et de leur usage régulier dans l’Église.

Pour l’Ancien Testament, les Juifs reconnaissaient déjà un ensemble de textes comme inspirés, bien avant la venue du Christ. Jésus et les auteurs du Nouveau Testament ont validé ce canon juif en le citant abondamment sans jamais remettre en question son autorité.

Concernant le Nouveau Testament, les premiers chrétiens ont rapidement identifié certains écrits comme faisant autorité, en particulier ceux rédigés par les apôtres ou leurs proches collaborateurs. Ces écrits circulaient dans les églises, étaient lus lors des cultes et considérés comme normatifs. Au fil du temps, face à l’émergence de faux écrits et d’enseignements hérétiques, l’Église a été amenée à affirmer de manière plus formelle quels textes étaient véritablement inspirés.

Des critères ont été appliqués pour cette reconnaissance : l’authenticité apostolique, la conformité doctrinale avec l’enseignement reçu, et l’acceptation universelle dans les églises. Ce processus n’était pas arbitraire, mais guidé par la conviction que Dieu avait déjà inspiré certains écrits, et que l’Église ne faisait que reconnaître cette inspiration.

:presence_imperiale:
il y a un mois
Le Nouveau Testament a été écrit par des juifs
:presence_imperiale:
L’affirmation selon laquelle le Nouveau Testament a été écrit par des juifs est historiquement et doctrinalement fausse. Certes, plusieurs auteurs étaient des juifs mais ils ont été convertis, comme Paul, Matthieu ou Pierre, mais leur naissance ne détermine pas le contenu de leurs écrits. Tous ces auteurs avaient renoncé aux pratiques strictes du judaïsme du Ier siècle et avaient adhéré au christianisme naissant, qui enseignait des doctrines radicalement différentes : le salut par la foi en Christ plutôt que par l’observance de la Loi, l’inclusion des païens dans la communauté sans circoncision, et la reconnaissance de Jésus comme Messie spirituel et rédempteur, contrairement à l’attente messianique juive de l’époque.

Même les Évangiles et les lettres de Paul, reflètent un dogme chrétien distinct, centré sur la nouvelle alliance et la résurrection du Christ. Par conséquent, l’affirmation est fausse dans sa formulation, car elle confond l’origine d'appartenance religieuse familiale des auteurs avec l’identité religieuse et doctrinale de leurs écrits : le Nouveau Testament est un corpus résolument chrétien, et non un texte juif.
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:PepeMontre:
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il y a un mois
L’affirmation selon laquelle le Nouveau Testament a été écrit par des juifs est historiquement et doctrinalement fausse. Certes, plusieurs auteurs étaient des juifs mais ils ont été convertis, comme Paul, Matthieu ou Pierre, mais leur naissance ne détermine pas le contenu de leurs écrits. Tous ces auteurs avaient renoncé aux pratiques strictes du judaïsme du Ier siècle et avaient adhéré au christianisme naissant, qui enseignait des doctrines radicalement différentes : le salut par la foi en Christ plutôt que par l’observance de la Loi, l’inclusion des païens dans la communauté sans circoncision, et la reconnaissance de Jésus comme Messie spirituel et rédempteur, contrairement à l’attente messianique juive de l’époque.

Même les Évangiles et les lettres de Paul, reflètent un dogme chrétien distinct, centré sur la nouvelle alliance et la résurrection du Christ. Par conséquent, l’affirmation est fausse dans sa formulation, car elle confond l’origine d'appartenance religieuse familiale des auteurs avec l’identité religieuse et doctrinale de leurs écrits : le Nouveau Testament est un corpus résolument chrétien, et non un texte juif.
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:PepeMontre:
1. Qui a fixé le canon ?

C’est Jéhovah Dieu lui-même qui, en tant que “Grand Bibliothécaire”, a fixé les critères et supervisé la sélection des écrits inspirés. Ce n’est pas une décision humaine, même si des catalogues ont été rédigés plus tard.

2. Critères de sélection (canonicité)

Les livres retenus dans le canon devaient :

Harmoniser avec le reste des Écritures, et ne pas contenir de contradictions.

Diriger les hommes vers le culte de Dieu et non vers la superstition ou l’idolâtrie.

Prouver leur inspiration divine, par leur puissance, leur exactitude et leur unité.

Être exacts historiquement et doctrinalement.

Faire preuve d’une influence spirituelle puissante, en glorifiant le nom de Dieu et en soutenant ses desseins.

3. Canon des Écritures hébraïques

Le canon a commencé avec les écrits de Moïse, acceptés dès l’origine.

Ezra et Néhémie ont joué un rôle clé dans la compilation finale vers la fin du Ve siècle av. n. è.

Le canon traditionnel juif comporte 24 livres (les mêmes que les 39 livres actuels, mais regroupés différemment).

Jésus et les rédacteurs chrétiens se sont référés uniquement à ces livres, ce qui confirme leur canonicité.

Aucun livre postérieur à Malaki et Néhémie n’a été reconnu comme inspiré.

4. Rejet des livres apocryphes

Des livres comme Tobie, Judith, 1 et 2 Maccabées, etc., n'ont pas été reconnus comme inspirés car ils ne satisfaisaient pas aux critères.

Ils ont été ajoutés tardivement au canon catholique lors du concile de Trente en 1546, mais Jésus, les apôtres, Josèphe et Jérôme ne les ont jamais considérés comme inspirés.

5. Canon des Écritures grecques chrétiennes (Nouveau Testament)

Le canon des 27 livres a été reconnu progressivement dès le IIe siècle.

Des documents comme le Canon de Muratori (IIe siècle) montrent qu’une majorité des livres étaient déjà acceptés.

Les quelques livres contestés (comme Hébreux ou Jacques) ont été acceptés plus tard car ils ont démontré leur inspiration.

Ce n’est pas l’Église catholique qui a décidé du canon, mais Dieu, en guidant les premiers chrétiens par son esprit.

6. Conclusion

La composition du canon biblique est donc le fruit :

D’un processus guidé par Dieu, pas d’une décision humaine.

De critères spirituels objectifs, pas de traditions religieuses.

D’un accord progressif mais clair parmi les croyants inspirés dès le début.

C’est ce processus qui a permis de fixer la Bible telle que nous la connaissons aujourd’hui : 66 livres inspirés, unis par un seul Auteur : Jéhovah Dieu.

:presence_imperiale:
il y a un mois
L’affirmation selon laquelle le Nouveau Testament a été écrit par des juifs est historiquement et doctrinalement fausse. Certes, plusieurs auteurs étaient des juifs mais ils ont été convertis, comme Paul, Matthieu ou Pierre, mais leur naissance ne détermine pas le contenu de leurs écrits. Tous ces auteurs avaient renoncé aux pratiques strictes du judaïsme du Ier siècle et avaient adhéré au christianisme naissant, qui enseignait des doctrines radicalement différentes : le salut par la foi en Christ plutôt que par l’observance de la Loi, l’inclusion des païens dans la communauté sans circoncision, et la reconnaissance de Jésus comme Messie spirituel et rédempteur, contrairement à l’attente messianique juive de l’époque.

Même les Évangiles et les lettres de Paul, reflètent un dogme chrétien distinct, centré sur la nouvelle alliance et la résurrection du Christ. Par conséquent, l’affirmation est fausse dans sa formulation, car elle confond l’origine d'appartenance religieuse familiale des auteurs avec l’identité religieuse et doctrinale de leurs écrits : le Nouveau Testament est un corpus résolument chrétien, et non un texte juif.
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:PepeMontre:
Tous les rédacteurs du Nouveau Testament étaient juifs, de religion chrétienne

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il y a un mois