Ce sujet a été résolu
Les boomers ne peuvent pas comprendre quelque chose qu'ils n'ont pas vécu.
C'est générationnel
Tout comme nous on ne peut pas comprendre le plein emploi, les années hipies, la croissance eco a 15% par an, un pays 100% blanc, ect...
C'est générationnel
Tout comme nous on ne peut pas comprendre le plein emploi, les années hipies, la croissance eco a 15% par an, un pays 100% blanc, ect...
Ils pourraient essayer si ils avaient un minimum d'empathie et d'amour pour leur progéniture
il y a 3 jours
Ils ont pas tort. Les hommes sont ceux qui dirigent une société, donnent le ton et appliquent les mœurs. S'ils délaissent cette responsabilité tout part en couille et c'est de la faute à personne d'autre.
Blâmer la dynamique sexuelle moderne sur les femmes est lâche et de la pure idiotie étant donné que la nature féminine est connue depuis toujours et n'a jamais changé. Les hommes sont devenus des fiotes et ont laissé les juifs se hisser au sommet de toutes leurs institutions. Le résultat est logique.
Blâmer la dynamique sexuelle moderne sur les femmes est lâche et de la pure idiotie étant donné que la nature féminine est connue depuis toujours et n'a jamais changé. Les hommes sont devenus des fiotes et ont laissé les juifs se hisser au sommet de toutes leurs institutions. Le résultat est logique.
le problème c'est que la société met la femme à égalité avec les hommes, donc c'est biaisé dés le départ, il faut donc ne plus participer à cette mascarade
⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝ Mieux vaut être raciste que mort ⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜ ONE TWO THREE NIKE L'ALGERIE
il y a 2 jours
Mes parents boomers (enfin surtout ma mère) comprennent pas pourquoi je trouve pas de meuf, j'essaie de leur expliquer que tout leonde galère mais ils pensent que je cherche des excuses
"T'as qu'à sortir et trouver un travail tu auras une copine"
"T'as qu'à sortir et trouver un travail tu auras une copine"
il y a 2 jours
le problème c'est que la société met la femme à égalité avec les hommes, donc c'est biaisé dés le départ, il faut donc ne plus participer à cette mascarade
Je suis d'accord là-dessus, personnellement je fais le strict minimum niveau boulot, temps libre lecture, spor + lecture le weekend, branlette quotidienne pour satisfaire la libido et basta.
il y a 2 jours
Unibi
3j
Big chaud, les Onchois n'ont toujours pas compris les bases primodiales de la nature...
1 femelle vaut TOUJOURS 10 males.
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En fonction de l’espèce, de l’écosystème, des comportements sociaux, et de la pression de sélection naturelle, plusieurs tendances générales ont été observées :
1. Taux de mortalité élevé chez les jeunes mâles
Chez de nombreuses espèces de mammifères, une forte mortalité juvénile est constatée, en particulier chez les mâles, pour plusieurs raisons :
Moins bien protégés ou moins nourris que les femelles (selon les espèces).
Comportements plus risqués ou plus mobiles qui augmentent l’exposition aux prédateurs.
Compétition intrasexuelle qui commence tôt (dans les espèces sociales notamment).
Exemple : chez les rongeurs sauvages, il est courant que moins de 20 % des mâles atteignent l'âge de reproduction.
2. Compétition sexuelle : un facteur majeur
Chez les espèces polygynes (ex. : cerfs, lions, éléphants de mer), la majorité des mâles ne se reproduisent jamais. En effet, seuls les mâles dominants ou les plus forts réussissent à monopoliser l'accès aux femelles.
Dans ces espèces, jusqu'à 90 % des mâles peuvent mourir sans jamais s’être reproduits, non pas parce qu’ils sont morts jeunes, mais parce qu’ils n’ont jamais gagné l'accès aux femelles.
Conclusion factuelle
Il est raisonnable de dire que, dans la nature, une proportion significative de mammifères mâles — souvent plus de 50 %, parfois jusqu’à 90 % selon les espèces — meurent ou échouent à se reproduire au cours de leur vie.
Cela résulte d’une combinaison de facteurs : mortalité précoce, compétition pour l’accès aux femelles, et dynamique sociale.
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En bref on est surpopulation masculine depuis presque 100 ans déjà.
1 femelle vaut TOUJOURS 10 males.
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En fonction de l’espèce, de l’écosystème, des comportements sociaux, et de la pression de sélection naturelle, plusieurs tendances générales ont été observées :
1. Taux de mortalité élevé chez les jeunes mâles
Chez de nombreuses espèces de mammifères, une forte mortalité juvénile est constatée, en particulier chez les mâles, pour plusieurs raisons :
Moins bien protégés ou moins nourris que les femelles (selon les espèces).
Comportements plus risqués ou plus mobiles qui augmentent l’exposition aux prédateurs.
Compétition intrasexuelle qui commence tôt (dans les espèces sociales notamment).
Exemple : chez les rongeurs sauvages, il est courant que moins de 20 % des mâles atteignent l'âge de reproduction.
2. Compétition sexuelle : un facteur majeur
Chez les espèces polygynes (ex. : cerfs, lions, éléphants de mer), la majorité des mâles ne se reproduisent jamais. En effet, seuls les mâles dominants ou les plus forts réussissent à monopoliser l'accès aux femelles.
Dans ces espèces, jusqu'à 90 % des mâles peuvent mourir sans jamais s’être reproduits, non pas parce qu’ils sont morts jeunes, mais parce qu’ils n’ont jamais gagné l'accès aux femelles.
Conclusion factuelle
Il est raisonnable de dire que, dans la nature, une proportion significative de mammifères mâles — souvent plus de 50 %, parfois jusqu’à 90 % selon les espèces — meurent ou échouent à se reproduire au cours de leur vie.
Cela résulte d’une combinaison de facteurs : mortalité précoce, compétition pour l’accès aux femelles, et dynamique sociale.
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En bref on est surpopulation masculine depuis presque 100 ans déjà.
Pour rappel se reproduire n’est pas une question de mérite, même chez des espèces avantagés certaines ne se reproduisent pas contrairement à d’autres qualifiés de défavorisés, c’est important de le préciser.
il y a 2 jours