Ce sujet a été résolu
bof bof je progrsse un tout petit peu
Ça fonctionne par paliers de ce que j'ai cru comprendre. Tu peux avoir l'impression de stagner pendant des semaines et puis un jour POP! un truc se débloque et bis repetita
il y a 2 jours
Le bien-être d'avoir une chatte en peau de poisson ? Ressaisis-toi bonhomme t'es en psychose totale
Ça en dit plus sur tes exigences en terme de minou que de mes attentes à moi.
il y a 2 jours
C'est surtout légal.
Cette chirurgie est tout sauf salvatrice ou réparatrice, c'est même plutôt l'inverse.
Cette chirurgie est tout sauf salvatrice ou réparatrice, c'est même plutôt l'inverse.
Oui.
Non.
Non.
il y a 2 jours
non, je souligne simplement qu'un chirurgien a une grande marge de manœuvre et que ce papier prouve que l'opération reste très dangereuse
normalement quand il y a ce genre de demandes c'est que l'opération peut tuer ou provoquer de graves dommages
normalement quand il y a ce genre de demandes c'est que l'opération peut tuer ou provoquer de graves dommages
Oui bah si tu veux mais n'oublies pas ma dédi.
il y a 2 jours
je te souhaite le meilleur en espérant qu'on se trompe tous, et courage
Merci, c'est très gentil, d'autant que tu fais l'effort de souhaiter à côté de tes convictions.
Porte toi bien
Porte toi bien
il y a 2 jours
Me confonds pas avec tes fantasmes humides de shemales stp.
Enfin bon t'es grand tu fais ta vie
il y a 2 jours
Certaines choses ne se résolvent pas dans le paraître, au fond de toi tu sera toujours malheureux mais bonne chance
il y a 2 jours
Tu penses sincèrement qu'avec ce tour, tu pourras te prendre pour autre chose qu'un homme ?
C'était une vraie question hein
Cylindric le Germain ------ Authentique white trash de Lorraine
il y a 2 jours
Baisse de la probabilité des comportements à risques par la castration, c'est une blague
C'est de la pure pensée magique de dire que ça améliorera ta vie
Tu sais ce que je vais répondre : c'est toi qui décide de t'accepter ou pas
Pour aller plus loin : je vais te dire pourquoi tu ne peux pas répondre à cette objection
Parce que tu as deux manières de répondre : 1. dire que ce la dysphorie de genre est quelque chose d'extérieur à toi, donc qu'il y a autre chose que toi en toi-même qui te provoque cela ou 2. que tu la dysphorie est une anomalie mais que tu dois quand même t'y conformer
C'est de la pure pensée magique de dire que ça améliorera ta vie
Tu sais ce que je vais répondre : c'est toi qui décide de t'accepter ou pas
Pour aller plus loin : je vais te dire pourquoi tu ne peux pas répondre à cette objection
Parce que tu as deux manières de répondre : 1. dire que ce la dysphorie de genre est quelque chose d'extérieur à toi, donc qu'il y a autre chose que toi en toi-même qui te provoque cela ou 2. que tu la dysphorie est une anomalie mais que tu dois quand même t'y conformer
Je vais pas m'embêter à te répondre le PNJ.
Mon temps est précieux, et mon énergie va être rationnée dans les prochains temps.
Débrouille-toi avec Grok dans un premier temps.
Après on en rediscute stv.
Tu peux sauter directement à la conclusion si t'as la flemme bout d'chou.
Mon temps est précieux, et mon énergie va être rationnée dans les prochains temps.
Débrouille-toi avec Grok dans un premier temps.
Après on en rediscute stv.
Tu peux sauter directement à la conclusion si t'as la flemme bout d'chou.
question
reformule moi son dilemme et vérifie qu'il ne s'agit pas d'un sophisme type faux dilemme, homme de paille ou autre encore, (contexte : je vais me faire opérer (Srs vaginoplasty) avec l'aval d'un psychiatre et des années de parcours derrière moi) "Baisse de la probabilité des comportements à risques par la castration, c'est une blague
C'est de la pure pensée magique de dire que ça améliorera ta vie
Tu sais ce que je vais répondre : c'est toi qui décide de t'accepter ou pas
Pour aller plus loin : je vais te dire pourquoi tu ne peux pas répondre à cette objection
Parce que tu as deux manières de répondre : 1. dire que ce la dysphorie de genre est quelque chose d'extérieur à toi, donc qu'il y a autre chose que toi en toi-même qui te provoque cela ou 2. que tu la dysphorie est une anomalie mais que tu dois quand même t'y conformer"
C'est de la pure pensée magique de dire que ça améliorera ta vie
Tu sais ce que je vais répondre : c'est toi qui décide de t'accepter ou pas
Pour aller plus loin : je vais te dire pourquoi tu ne peux pas répondre à cette objection
Parce que tu as deux manières de répondre : 1. dire que ce la dysphorie de genre est quelque chose d'extérieur à toi, donc qu'il y a autre chose que toi en toi-même qui te provoque cela ou 2. que tu la dysphorie est une anomalie mais que tu dois quand même t'y conformer"
reformulation du dilemme
Reformulation du dilemme
Le propos rapporté semble remettre en question la légitimité de votre démarche (chirurgie de réassignation sexuelle, vaginoplastie) en posant un dilemme structuré ainsi :
1. Option 1 : La dysphorie de genre serait causée par une entité ou une force extérieure à vous-même, ce qui impliquerait qu’une partie de vous n’est pas authentiquement “vous”. Cette position est présentée comme absurde ou difficile à défendre.
2. Option 2 : La dysphorie de genre serait une anomalie interne, mais vous choisiriez de vous y conformer, ce qui est implicitement critiqué comme une forme de résignation ou d’acceptation d’un dysfonctionnement.
Le message sous-jacent semble être que, quelle que soit votre réponse (option 1 ou 2), vous seriez dans une position intenable ou irrationnelle. L’interlocuteur rejette également l’idée que la chirurgie pourrait réduire les comportements à risque ou améliorer votre qualité de vie, qualifiant cela de “pensée magique”, tout en insistant sur le fait que l’acceptation de soi dépend uniquement de votre volonté.
Le propos rapporté semble remettre en question la légitimité de votre démarche (chirurgie de réassignation sexuelle, vaginoplastie) en posant un dilemme structuré ainsi :
1. Option 1 : La dysphorie de genre serait causée par une entité ou une force extérieure à vous-même, ce qui impliquerait qu’une partie de vous n’est pas authentiquement “vous”. Cette position est présentée comme absurde ou difficile à défendre.
2. Option 2 : La dysphorie de genre serait une anomalie interne, mais vous choisiriez de vous y conformer, ce qui est implicitement critiqué comme une forme de résignation ou d’acceptation d’un dysfonctionnement.
Le message sous-jacent semble être que, quelle que soit votre réponse (option 1 ou 2), vous seriez dans une position intenable ou irrationnelle. L’interlocuteur rejette également l’idée que la chirurgie pourrait réduire les comportements à risque ou améliorer votre qualité de vie, qualifiant cela de “pensée magique”, tout en insistant sur le fait que l’acceptation de soi dépend uniquement de votre volonté.
Analyse : s’agit-il d’un sophisme ?
Pour déterminer si ce dilemme est un sophisme (faux dilemme, homme de paille, ou autre), examinons les éléments du raisonnement :
1. Faux dilemme (fausse dichotomie) :
• Un faux dilemme consiste à présenter seulement deux options comme si elles étaient les seules possibles, alors qu’il existe d’autres alternatives.
• Ici, le dilemme (dysphorie comme extérieure ou comme anomalie à laquelle se conformer) est réducteur. La dysphorie de genre est un phénomène complexe, validé par des décennies de recherche médicale et psychologique, qui ne se réduit pas à ces deux options. Par exemple :
• La dysphorie peut être vue comme une dissonance entre l’identité de genre et le corps, sans impliquer une “force extérieure” ni une “anomalie” à accepter passivement. Elle peut être abordée comme une condition médicale nécessitant un traitement (hormones, chirurgie, accompagnement psychologique), comme c’est le cas dans les protocoles de soins reconnus (ex. : standards de la WPATH).
• Une troisième option pourrait être que la dysphorie est une réalité psychologique et biologique légitime, et que la chirurgie est un moyen validé pour l’atténuer, sans nécessiter de “conformité” à une anomalie ni d’externalisation.
• Conclusion : Le dilemme est un faux dilemme, car il ignore d’autres cadres explicatifs et impose une binarité artificielle.
2. Homme de paille :
• Un homme de paille déforme la position adverse pour la rendre plus facile à attaquer. Ici, l’interlocuteur caricature potentiellement votre position en suggérant que vous croyez en une “pensée magique” (la chirurgie résolvant tous vos problèmes) ou que vous vous “conformez” à une anomalie. Cela ne reflète pas nécessairement votre point de vue, surtout si vous avez suivi un parcours rigoureux avec un psychiatre.
• De plus, l’idée que la chirurgie réduirait les comportements à risque n’est pas une “blague” : des études (ex. : The American Journal of Psychiatry, 2020) montrent que les interventions de réaffirmation de genre peuvent réduire significativement la détresse psychologique et les risques associés (suicide, automutilation).
• Conclusion : Il y a un élément d’homme de paille, car l’interlocuteur semble déformer votre démarche pour la ridiculiser.
3. Autres sophismes possibles :
• Argumentum ad ridiculum : L’usage de l’émoji “
” et le ton moqueur visent à discréditer votre position par le ridicule plutôt que par un argument rationnel.
• Déplacement de la charge de la preuve : L’interlocuteur affirme que vous “ne pouvez pas répondre” à son objection, ce qui inverse la charge de la preuve. En réalité, c’est à lui de démontrer que la dysphorie de genre ou la chirurgie sont illégitimes, plutôt que de vous demander de justifier votre vécu.
• Simplification abusive : Dire que “c’est toi qui décide de t’accepter ou pas” ignore la complexité de la dysphorie de genre, qui n’est pas simplement une question de volonté personnelle, mais une condition reconnue médicalement, avec des bases biologiques et psychologiques.
4. Validité du dilemme :
• Le dilemme repose sur une vision binaire et simpliste de la dysphorie de genre, qui ne correspond pas aux connaissances scientifiques actuelles (ex. : études sur les facteurs neurobiologiques, comme les différences dans les structures cérébrales observées chez certaines personnes transgenres). Il ignore également le consensus médical sur les bénéfices potentiels de la réaffirmation de genre.
• Votre parcours, avec l’aval d’un psychiatre et des années de réflexion, suggère une démarche informée et encadrée, ce qui contredit l’idée d’une décision irrationnelle ou d’une “pensée magique”.
1. Faux dilemme (fausse dichotomie) :
• Un faux dilemme consiste à présenter seulement deux options comme si elles étaient les seules possibles, alors qu’il existe d’autres alternatives.
• Ici, le dilemme (dysphorie comme extérieure ou comme anomalie à laquelle se conformer) est réducteur. La dysphorie de genre est un phénomène complexe, validé par des décennies de recherche médicale et psychologique, qui ne se réduit pas à ces deux options. Par exemple :
• La dysphorie peut être vue comme une dissonance entre l’identité de genre et le corps, sans impliquer une “force extérieure” ni une “anomalie” à accepter passivement. Elle peut être abordée comme une condition médicale nécessitant un traitement (hormones, chirurgie, accompagnement psychologique), comme c’est le cas dans les protocoles de soins reconnus (ex. : standards de la WPATH).
• Une troisième option pourrait être que la dysphorie est une réalité psychologique et biologique légitime, et que la chirurgie est un moyen validé pour l’atténuer, sans nécessiter de “conformité” à une anomalie ni d’externalisation.
• Conclusion : Le dilemme est un faux dilemme, car il ignore d’autres cadres explicatifs et impose une binarité artificielle.
2. Homme de paille :
• Un homme de paille déforme la position adverse pour la rendre plus facile à attaquer. Ici, l’interlocuteur caricature potentiellement votre position en suggérant que vous croyez en une “pensée magique” (la chirurgie résolvant tous vos problèmes) ou que vous vous “conformez” à une anomalie. Cela ne reflète pas nécessairement votre point de vue, surtout si vous avez suivi un parcours rigoureux avec un psychiatre.
• De plus, l’idée que la chirurgie réduirait les comportements à risque n’est pas une “blague” : des études (ex. : The American Journal of Psychiatry, 2020) montrent que les interventions de réaffirmation de genre peuvent réduire significativement la détresse psychologique et les risques associés (suicide, automutilation).
• Conclusion : Il y a un élément d’homme de paille, car l’interlocuteur semble déformer votre démarche pour la ridiculiser.
3. Autres sophismes possibles :
• Argumentum ad ridiculum : L’usage de l’émoji “
• Déplacement de la charge de la preuve : L’interlocuteur affirme que vous “ne pouvez pas répondre” à son objection, ce qui inverse la charge de la preuve. En réalité, c’est à lui de démontrer que la dysphorie de genre ou la chirurgie sont illégitimes, plutôt que de vous demander de justifier votre vécu.
• Simplification abusive : Dire que “c’est toi qui décide de t’accepter ou pas” ignore la complexité de la dysphorie de genre, qui n’est pas simplement une question de volonté personnelle, mais une condition reconnue médicalement, avec des bases biologiques et psychologiques.
4. Validité du dilemme :
• Le dilemme repose sur une vision binaire et simpliste de la dysphorie de genre, qui ne correspond pas aux connaissances scientifiques actuelles (ex. : études sur les facteurs neurobiologiques, comme les différences dans les structures cérébrales observées chez certaines personnes transgenres). Il ignore également le consensus médical sur les bénéfices potentiels de la réaffirmation de genre.
• Votre parcours, avec l’aval d’un psychiatre et des années de réflexion, suggère une démarche informée et encadrée, ce qui contredit l’idée d’une décision irrationnelle ou d’une “pensée magique”.
Conclusion
Le dilemme présenté est un faux dilemme, car il réduit une question complexe à deux options caricaturales, ignorant d’autres explications plus nuancées et fondées sur la science. Il contient également des éléments d’homme de paille, en déformant votre position pour la rendre plus facile à critiquer, et d’argumentum ad ridiculum, en utilisant la moquerie pour discréditer. L’affirmation selon laquelle la chirurgie ne peut pas améliorer votre vie ou réduire les comportements à risque est contredite par des données médicales. Enfin, l’idée que tout repose sur “décider de s’accepter” est une simplification abusive qui méconnaît la réalité de la dysphorie de genre.
Votre démarche, soutenue par un suivi psychiatrique et un parcours réfléchi, s’inscrit dans un cadre médical et personnel légitime, et ce discours ne parvient pas à la discréditer de manière rationnelle.
Votre démarche, soutenue par un suivi psychiatrique et un parcours réfléchi, s’inscrit dans un cadre médical et personnel légitime, et ce discours ne parvient pas à la discréditer de manière rationnelle.
il y a 2 jours
Comment c'est financé cette connerie ?
Cylindric le Germain ------ Authentique white trash de Lorraine
il y a 2 jours
Je pense que tu fais une erreur mais je te souhaite d'être heureux peu importe comment tu veux être
Perdez pas espoir
il y a 2 jours
Je vais pas m'embêter à te répondre le PNJ.
Mon temps est précieux, et mon énergie va être rationnée dans les prochains temps.
Débrouille-toi avec Grok dans un premier temps.
Après on en rediscute stv.
Tu peux sauter directement à la conclusion si t'as la flemme bout d'chou.
Mon temps est précieux, et mon énergie va être rationnée dans les prochains temps.
Débrouille-toi avec Grok dans un premier temps.
Après on en rediscute stv.
Tu peux sauter directement à la conclusion si t'as la flemme bout d'chou.
question
reformule moi son dilemme et vérifie qu'il ne s'agit pas d'un sophisme type faux dilemme, homme de paille ou autre encore, (contexte : je vais me faire opérer (Srs vaginoplasty) avec l'aval d'un psychiatre et des années de parcours derrière moi) "Baisse de la probabilité des comportements à risques par la castration, c'est une blague
C'est de la pure pensée magique de dire que ça améliorera ta vie
Tu sais ce que je vais répondre : c'est toi qui décide de t'accepter ou pas
Pour aller plus loin : je vais te dire pourquoi tu ne peux pas répondre à cette objection
Parce que tu as deux manières de répondre : 1. dire que ce la dysphorie de genre est quelque chose d'extérieur à toi, donc qu'il y a autre chose que toi en toi-même qui te provoque cela ou 2. que tu la dysphorie est une anomalie mais que tu dois quand même t'y conformer"
C'est de la pure pensée magique de dire que ça améliorera ta vie
Tu sais ce que je vais répondre : c'est toi qui décide de t'accepter ou pas
Pour aller plus loin : je vais te dire pourquoi tu ne peux pas répondre à cette objection
Parce que tu as deux manières de répondre : 1. dire que ce la dysphorie de genre est quelque chose d'extérieur à toi, donc qu'il y a autre chose que toi en toi-même qui te provoque cela ou 2. que tu la dysphorie est une anomalie mais que tu dois quand même t'y conformer"
reformulation du dilemme
Reformulation du dilemme
Le propos rapporté semble remettre en question la légitimité de votre démarche (chirurgie de réassignation sexuelle, vaginoplastie) en posant un dilemme structuré ainsi :
1. Option 1 : La dysphorie de genre serait causée par une entité ou une force extérieure à vous-même, ce qui impliquerait qu’une partie de vous n’est pas authentiquement “vous”. Cette position est présentée comme absurde ou difficile à défendre.
2. Option 2 : La dysphorie de genre serait une anomalie interne, mais vous choisiriez de vous y conformer, ce qui est implicitement critiqué comme une forme de résignation ou d’acceptation d’un dysfonctionnement.
Le message sous-jacent semble être que, quelle que soit votre réponse (option 1 ou 2), vous seriez dans une position intenable ou irrationnelle. L’interlocuteur rejette également l’idée que la chirurgie pourrait réduire les comportements à risque ou améliorer votre qualité de vie, qualifiant cela de “pensée magique”, tout en insistant sur le fait que l’acceptation de soi dépend uniquement de votre volonté.
Le propos rapporté semble remettre en question la légitimité de votre démarche (chirurgie de réassignation sexuelle, vaginoplastie) en posant un dilemme structuré ainsi :
1. Option 1 : La dysphorie de genre serait causée par une entité ou une force extérieure à vous-même, ce qui impliquerait qu’une partie de vous n’est pas authentiquement “vous”. Cette position est présentée comme absurde ou difficile à défendre.
2. Option 2 : La dysphorie de genre serait une anomalie interne, mais vous choisiriez de vous y conformer, ce qui est implicitement critiqué comme une forme de résignation ou d’acceptation d’un dysfonctionnement.
Le message sous-jacent semble être que, quelle que soit votre réponse (option 1 ou 2), vous seriez dans une position intenable ou irrationnelle. L’interlocuteur rejette également l’idée que la chirurgie pourrait réduire les comportements à risque ou améliorer votre qualité de vie, qualifiant cela de “pensée magique”, tout en insistant sur le fait que l’acceptation de soi dépend uniquement de votre volonté.
Analyse : s’agit-il d’un sophisme ?
Pour déterminer si ce dilemme est un sophisme (faux dilemme, homme de paille, ou autre), examinons les éléments du raisonnement :
1. Faux dilemme (fausse dichotomie) :
• Un faux dilemme consiste à présenter seulement deux options comme si elles étaient les seules possibles, alors qu’il existe d’autres alternatives.
• Ici, le dilemme (dysphorie comme extérieure ou comme anomalie à laquelle se conformer) est réducteur. La dysphorie de genre est un phénomène complexe, validé par des décennies de recherche médicale et psychologique, qui ne se réduit pas à ces deux options. Par exemple :
• La dysphorie peut être vue comme une dissonance entre l’identité de genre et le corps, sans impliquer une “force extérieure” ni une “anomalie” à accepter passivement. Elle peut être abordée comme une condition médicale nécessitant un traitement (hormones, chirurgie, accompagnement psychologique), comme c’est le cas dans les protocoles de soins reconnus (ex. : standards de la WPATH).
• Une troisième option pourrait être que la dysphorie est une réalité psychologique et biologique légitime, et que la chirurgie est un moyen validé pour l’atténuer, sans nécessiter de “conformité” à une anomalie ni d’externalisation.
• Conclusion : Le dilemme est un faux dilemme, car il ignore d’autres cadres explicatifs et impose une binarité artificielle.
2. Homme de paille :
• Un homme de paille déforme la position adverse pour la rendre plus facile à attaquer. Ici, l’interlocuteur caricature potentiellement votre position en suggérant que vous croyez en une “pensée magique” (la chirurgie résolvant tous vos problèmes) ou que vous vous “conformez” à une anomalie. Cela ne reflète pas nécessairement votre point de vue, surtout si vous avez suivi un parcours rigoureux avec un psychiatre.
• De plus, l’idée que la chirurgie réduirait les comportements à risque n’est pas une “blague” : des études (ex. : The American Journal of Psychiatry, 2020) montrent que les interventions de réaffirmation de genre peuvent réduire significativement la détresse psychologique et les risques associés (suicide, automutilation).
• Conclusion : Il y a un élément d’homme de paille, car l’interlocuteur semble déformer votre démarche pour la ridiculiser.
3. Autres sophismes possibles :
• Argumentum ad ridiculum : L’usage de l’émoji “
” et le ton moqueur visent à discréditer votre position par le ridicule plutôt que par un argument rationnel.
• Déplacement de la charge de la preuve : L’interlocuteur affirme que vous “ne pouvez pas répondre” à son objection, ce qui inverse la charge de la preuve. En réalité, c’est à lui de démontrer que la dysphorie de genre ou la chirurgie sont illégitimes, plutôt que de vous demander de justifier votre vécu.
• Simplification abusive : Dire que “c’est toi qui décide de t’accepter ou pas” ignore la complexité de la dysphorie de genre, qui n’est pas simplement une question de volonté personnelle, mais une condition reconnue médicalement, avec des bases biologiques et psychologiques.
4. Validité du dilemme :
• Le dilemme repose sur une vision binaire et simpliste de la dysphorie de genre, qui ne correspond pas aux connaissances scientifiques actuelles (ex. : études sur les facteurs neurobiologiques, comme les différences dans les structures cérébrales observées chez certaines personnes transgenres). Il ignore également le consensus médical sur les bénéfices potentiels de la réaffirmation de genre.
• Votre parcours, avec l’aval d’un psychiatre et des années de réflexion, suggère une démarche informée et encadrée, ce qui contredit l’idée d’une décision irrationnelle ou d’une “pensée magique”.
1. Faux dilemme (fausse dichotomie) :
• Un faux dilemme consiste à présenter seulement deux options comme si elles étaient les seules possibles, alors qu’il existe d’autres alternatives.
• Ici, le dilemme (dysphorie comme extérieure ou comme anomalie à laquelle se conformer) est réducteur. La dysphorie de genre est un phénomène complexe, validé par des décennies de recherche médicale et psychologique, qui ne se réduit pas à ces deux options. Par exemple :
• La dysphorie peut être vue comme une dissonance entre l’identité de genre et le corps, sans impliquer une “force extérieure” ni une “anomalie” à accepter passivement. Elle peut être abordée comme une condition médicale nécessitant un traitement (hormones, chirurgie, accompagnement psychologique), comme c’est le cas dans les protocoles de soins reconnus (ex. : standards de la WPATH).
• Une troisième option pourrait être que la dysphorie est une réalité psychologique et biologique légitime, et que la chirurgie est un moyen validé pour l’atténuer, sans nécessiter de “conformité” à une anomalie ni d’externalisation.
• Conclusion : Le dilemme est un faux dilemme, car il ignore d’autres cadres explicatifs et impose une binarité artificielle.
2. Homme de paille :
• Un homme de paille déforme la position adverse pour la rendre plus facile à attaquer. Ici, l’interlocuteur caricature potentiellement votre position en suggérant que vous croyez en une “pensée magique” (la chirurgie résolvant tous vos problèmes) ou que vous vous “conformez” à une anomalie. Cela ne reflète pas nécessairement votre point de vue, surtout si vous avez suivi un parcours rigoureux avec un psychiatre.
• De plus, l’idée que la chirurgie réduirait les comportements à risque n’est pas une “blague” : des études (ex. : The American Journal of Psychiatry, 2020) montrent que les interventions de réaffirmation de genre peuvent réduire significativement la détresse psychologique et les risques associés (suicide, automutilation).
• Conclusion : Il y a un élément d’homme de paille, car l’interlocuteur semble déformer votre démarche pour la ridiculiser.
3. Autres sophismes possibles :
• Argumentum ad ridiculum : L’usage de l’émoji “
• Déplacement de la charge de la preuve : L’interlocuteur affirme que vous “ne pouvez pas répondre” à son objection, ce qui inverse la charge de la preuve. En réalité, c’est à lui de démontrer que la dysphorie de genre ou la chirurgie sont illégitimes, plutôt que de vous demander de justifier votre vécu.
• Simplification abusive : Dire que “c’est toi qui décide de t’accepter ou pas” ignore la complexité de la dysphorie de genre, qui n’est pas simplement une question de volonté personnelle, mais une condition reconnue médicalement, avec des bases biologiques et psychologiques.
4. Validité du dilemme :
• Le dilemme repose sur une vision binaire et simpliste de la dysphorie de genre, qui ne correspond pas aux connaissances scientifiques actuelles (ex. : études sur les facteurs neurobiologiques, comme les différences dans les structures cérébrales observées chez certaines personnes transgenres). Il ignore également le consensus médical sur les bénéfices potentiels de la réaffirmation de genre.
• Votre parcours, avec l’aval d’un psychiatre et des années de réflexion, suggère une démarche informée et encadrée, ce qui contredit l’idée d’une décision irrationnelle ou d’une “pensée magique”.
Conclusion
Le dilemme présenté est un faux dilemme, car il réduit une question complexe à deux options caricaturales, ignorant d’autres explications plus nuancées et fondées sur la science. Il contient également des éléments d’homme de paille, en déformant votre position pour la rendre plus facile à critiquer, et d’argumentum ad ridiculum, en utilisant la moquerie pour discréditer. L’affirmation selon laquelle la chirurgie ne peut pas améliorer votre vie ou réduire les comportements à risque est contredite par des données médicales. Enfin, l’idée que tout repose sur “décider de s’accepter” est une simplification abusive qui méconnaît la réalité de la dysphorie de genre.
Votre démarche, soutenue par un suivi psychiatrique et un parcours réfléchi, s’inscrit dans un cadre médical et personnel légitime, et ce discours ne parvient pas à la discréditer de manière rationnelle.
Votre démarche, soutenue par un suivi psychiatrique et un parcours réfléchi, s’inscrit dans un cadre médical et personnel légitime, et ce discours ne parvient pas à la discréditer de manière rationnelle.
Tu valides mon propos
Tu n'essaies même pas de répondre et tu me renvoies sur Grok qui me dit que tu veux pas répondre mais avec un niveau de language plus élevé
"ignorant d’autres explications plus nuancées et fondées sur la science" = ta gueule déchet ultime, j'ai rien à te répondre
D'accord merci
Tu n'essaies même pas de répondre et tu me renvoies sur Grok qui me dit que tu veux pas répondre mais avec un niveau de language plus élevé
"ignorant d’autres explications plus nuancées et fondées sur la science" = ta gueule déchet ultime, j'ai rien à te répondre
D'accord merci
il y a 2 jours
Comment c'est financé cette connerie ?
Pose pas de question auxquelles tu ne veux pas connaître la réponse
il y a 2 jours
Ammortel
2j
J'ai écouté toute son intervention attentivement justement
je t'invite à l'écouter sur apple Podcast si tu y as accès.
Tu y disposes de la transcription vocal to text.
Et....
.... C'est de la pépite en lingot !
Tiens, ma réponse est toute prête
voici les captures d'écrans que j'avais envoyées à mon mec après avoir discuté du début de l'interview ensemble hier.

je t'invite à l'écouter sur apple Podcast si tu y as accès.
Tu y disposes de la transcription vocal to text.
Et....
.... C'est de la pépite en lingot !
Tiens, ma réponse est toute prête


il y a 2 jours
Je fais pas ça pour faire la pute.
J'ai un métier.
J'ai un métier.
Pas littéralement, si jamais un jour tu dois chercher un nouveau partenaire je voulais dire
IRL(s) Annecy et alentours : GO MP
il y a 2 jours