Ce sujet a été résolu
Mais pourquo ivous FAITES PAS CA EN MP
Je suis sur téléphone, c'est déjà chiant de développer sur le topic, mais alors en mp c'est abominable
il y a 2 heures
Bien membré comment ?
Au moins 12 cm ( taille élevée étant donné que j'ai 10 cm et que c'est déjà quand même assez grand)
Surhomme
il y a 2 heures

Je vais lui faire sa petite coloration bicolore
L'Espion qui m'a tirée
il y a 2 heures
Au moins 12 cm ( taille élevée étant donné que j'ai 10 cm et que c'est déjà quand même assez grand)
Ah oui
L'Espion qui m'a tirée
il y a 2 heures
il y a 2 heures
Delit
2h
Si vous volez connaitre sa taille dites lui de venir me voir je mesurerai avec ma bouche
L'Espion qui m'a tirée
il y a 2 heures
on est a un stade ou bethesda devrait faire un jeux bac a sable et laisser les moddeur faire le reste
C'est plus ou moins ce qu'ils font à chaque fois quand on y pense
C'est impressionnant le nombre de mods que les gens font
C'est impressionnant le nombre de mods que les gens font
il y a 2 heures
Delit
2h
Si vous volez connaitre sa taille dites lui de venir me voir je mesurerai avec ma bouche
Je peux aussi prendre dans mon cul je connais mon colon par coeur
Surhomme
il y a 2 heures
Je peux aussi prendre dans mon cul je connais mon colon par coeur
il y a 2 heures
Je peux aussi prendre dans mon cul je connais mon colon par coeur
ptn
il y a 2 heures
Oui l'expression de perspectivisme est sûrement inadéquate, mais il me semble que nous saisissons bien la même idée, en atteste ton image du point de fuite objectif (bien trouvée)
Mais je rebondis sur l'infini, corrige-moi si je fais fausse route ou si le saut est trop anticipé : de la même manière que le phénomène contraint à reconnaître un principe indubitable extérieur et antérieur (l'être), l'expérience de la finitude contraint à reconnaître un principe indubitable extrafinitaire. Dans la réduction au fini et le refus de la préséance de l'infini, on retrouve la même contradiction que tu décris. Enft qu'est-ce qui m'empêche de tenir le même raisonnement dès lors où la finitude est une structure de l'apparaitre. Mutadis mutandis, les rapports sont similaires, non ? Donnant-donné / acte-phénomène / infini-fini. La raison du fini est l'infini, celui-là n'est intelligible qu'à partir d'un principe qui excède la finitude. En ce sens, l'infinité absolue est le fondement et la mesure la plus adéquate de tout ce qui est. On ne peut reconnaître le fini que par contact avec l'infinité, dans l'infinité et par l'infinité. Dès lors, le fond extra- est tout autant l'être que l'infini, et a fortiori, le principe d'actualité de toute apparition est l'être infini, lequel devient dans l'ordre logique la condition préalable à la connaissance et la définition complète de tout être créé
Sur un ton moins péremptoire, je comprends que, phénoménologiquement, la limite ne pose pas l'infini en acte, mais seulement un indéfini (ou un hors-limite). Dès lors, l'apparition n'exige pas formellement l'infini contrairement à l'être. Mais j'ai envie de faire ce saut
Au reste, c'est très bien, j'aime beaucoup l'approche
Mais je rebondis sur l'infini, corrige-moi si je fais fausse route ou si le saut est trop anticipé : de la même manière que le phénomène contraint à reconnaître un principe indubitable extérieur et antérieur (l'être), l'expérience de la finitude contraint à reconnaître un principe indubitable extrafinitaire. Dans la réduction au fini et le refus de la préséance de l'infini, on retrouve la même contradiction que tu décris. Enft qu'est-ce qui m'empêche de tenir le même raisonnement dès lors où la finitude est une structure de l'apparaitre. Mutadis mutandis, les rapports sont similaires, non ? Donnant-donné / acte-phénomène / infini-fini. La raison du fini est l'infini, celui-là n'est intelligible qu'à partir d'un principe qui excède la finitude. En ce sens, l'infinité absolue est le fondement et la mesure la plus adéquate de tout ce qui est. On ne peut reconnaître le fini que par contact avec l'infinité, dans l'infinité et par l'infinité. Dès lors, le fond extra- est tout autant l'être que l'infini, et a fortiori, le principe d'actualité de toute apparition est l'être infini, lequel devient dans l'ordre logique la condition préalable à la connaissance et la définition complète de tout être créé
Sur un ton moins péremptoire, je comprends que, phénoménologiquement, la limite ne pose pas l'infini en acte, mais seulement un indéfini (ou un hors-limite). Dès lors, l'apparition n'exige pas formellement l'infini contrairement à l'être. Mais j'ai envie de faire ce saut
Au reste, c'est très bien, j'aime beaucoup l'approche
le passage du phénomène à l'acte est assez spontané d'un point de vue critique, parce que même si Husserl ou Heidegger ont tenté de faire rentrer l'acte dans la phénoménalité, en pratique on voit bien que le phénomène se donne et que l'acte ne se donne mais s'actualise et demande un travail réflexif de la conscience pour être saisi. on trouve l'acte dans la réflexion sur l'expérience vécue. le passage du fini à l'infini, tu l'as remarqué, est beaucoup moins évident, parce que l'infini colle moins "au corps" de la conscience, on passe facilement du fini à à l'indéfini en constatant le "plus-grand-que-notre-finitude", mais il n'y a rien d'évident dans l'idée que le fini nécessite l'infini, on ne peut atteindre l'infini, en partant de l'expérience de la conscience, qu'en remarquant les problèmes que cause la limitation de l'être à la finitude (si tout est fini ou indéfini, alors il n'y a pas d'absolu, donc rien qui puisse être susceptible de fonder le vrai, le bon, le beau... quelque chose comme ça, à raffiner). je suis d'accord qu'il faut aboutir à l'infini à terme, mais enfin faire de la distinction fini/infini quelque chose qui se présente spontanément à l'intelligence je trouve ça difficile à justifier, enfin c'est une construction qui vient après (j'aime bien ton idée de faire de l'infini la condition de la possibilité de l'actualité, même si encore une fois ça demande une justification qui n'est pas évidente)
Ariane, ma sœur, de quel amour blessée, Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée
il y a une heure
Apex
1h
Couchez ensemble qu'on en finisse
Je vais commencer sur toi
L'Espion qui m'a tirée
il y a une heure
Là où la pensée de Levinas est scéniquement circonscrite, horizontale et spirituellement nulle en raison de sa confusion de l'être et sa "préservation" (avec lui Dieu devient un ne-pas-etre, c'est que je t'avais déjà dit la dernière fois). Il me semble que la pensée de Marion (que je connais mal) est un peu plus subtile et intéressante. De la même manière que le pseudo-denys n'utilise pas l'être pour nommer Dieu mais plutôt, entre autres, la charité, Marion nomme Dieu amour. Il pense la transcendance à partir de l'amour (car il dépasse toute dénégation), et de là découlent les notions de don total et d'abandon. Son entreprise me fait penser à celle de Pascal contre une certaine métaphysique, pour eviter l'usage d'idoles conceptuelles qui permettent de penser dieu sans Dieu, il déconceptualise (ou décatégorise) Dieu. De ce que je crois savoir, son travail n'est pas inintéressant
oui tu as raison je devrais l'étudier plus en détail, mais je trouve ça dommage de se lancer dans ce genre de quêtes ambigües alors qu'il y a déjà toute une philosophie chrétienne qui répond aux problèmes de la pensée moderne, qui peut être utile à beaucoup de personnes égarées, qui ne demande qu'à être synthétisée et enseignée, et que personne ne connaît à part une poignée d'érudits
Ariane, ma sœur, de quel amour blessée, Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée
il y a une heure
Apex
1h
Couchez ensemble qu'on en finisse
En pratique on voit bien que le phénomène se donne et que l'acte ne se donne mais s'actualise et demande un travail réflexif de la conscience pour être saisi
il y a une heure
Je vais commencer sur toi
Tu essayes de rendre jaloux ton sisiphounet ?
il y a une heure













