Ce sujet a été résolu
Jouer aux jeux vidéos en 2025 🤣
J'en connais qui ont pas des grosses factures d’eau 🤣🤣🤣🤣
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L'Espion qui m'a tirée
il y a 3 heures
Me fais pas rire comme ca a 9h23
Il est si tôt...
L'Espion qui m'a tirée
il y a 3 heures
Je vais ranger mon home gym je pense, essayer d'en faire quelque chose de propre
L'Espion qui m'a tirée
il y a 3 heures
Dire que tu ressembles surement a Mathieu Bastaraud IRL...
C'est pas grave... nous c'est sur l'image renvoyée qu'on se branle
L'Espion qui m'a tirée
il y a 3 heures
C'est pas grave... nous c'est sur l'image renvoyée qu'on se branle
il y a 3 heures
Dire que tu ressembles surement a Mathieu Bastaraud IRL...
J'ai un ami au XV de France
il y a 3 heures
Mimimimimimimi
arrête de te moquer de moi
Ariane, ma sœur, de quel amour blessée, Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée
il y a 3 heures
je sais pas si perspectivisme ontologique est le mot, le problème c'est qu'on ne peut pas se fonder dans la perspective, parce qu'alors 1° notre perspective ne devient qu'une option et un perspectivisme fondamental ne devient qu'une perspective possible et se contredit 2° en pratique on n'a plus aucun moyen de juger de la valeur d'une perspective, donc ça devient un relativisme pratique. ce qu'il faut faire c'est d'abord donner une assise à la pensée qui montre l'insuffisance d'un rationalisme et la nécessité d'une mise en perspective tout en donnant avant la mise en perspective un fondement qui montre que les perspectives sont orientées vers un point de fuite objectif et qui permette de donner des clés de discernement intellectuel de la vraisemblance d'une perspective donnée. c'est pour ça que la phénoménologie est importante tout en étant à dépasser 1° elle est la tentative la plus radicale de formuler une critique constructive des possibilités du sens et de la connaissance, donc il faut admettre que sa méthode permet de purifier et d'assurer la construction qu'on fait 2° dans ses formulations orthodoxes, le sens "tourne en rond" parce que même si on admet qu'il est reçu par le don on refuse de parler d'un principe du don antérieur au phénomène qui ne peut pas se donner (on ne peut pas dire l'être est). ce qu'il faut c'est attester que la phénoménologie pure ne peut être qu'une méthode et pas une option fondationnelle, parce que la réduction au phénomène est contradictoire (je crois que ça a été pas mal développé dans Ingarden, Fink, Derrida, et chez les chrétiens je crois qu'on peut avoir des pistes intéressantes chez Gilson, Cornelio Fabro, Jean Borella). de cette manière je crois qu'on peut trouver un fondement extraphénoménal indubitable puisqu'il sort de lui-même de la tentative la plus radicale de clôture de la conscience sur elle-même (je crois que la clé de voûte de cette partie c'est la notion d'acte). une fois qu'on peut interpréter les phénomènes comme donnés à travers un principe "extérieur" et "antérieur" à la conscience phénoménale (donc l'Être par lequel les phénomènes sont), on peut rattacher les wagons avec les options fondationnelles les plus inébranlables de la métaphysique de l'être, en montrant que les étants ne peuvent apparaitre dans leur étantité qu'à travers les transcendantaux (en quelque sorte l'insuffisance de la réduction de la connaissance à la connaissance transcendantale ouvre à la conscience des transcendantaux), et que donc les transcendantaux doivent se prédiquer de l'Être bien qu'ils ne l'épuisent pas. les transcendantaux étant objectifs et discernables, mais se perdant dans le mystère du fait de la finitude de la capacité de discernement humaine, c'est uniquement là qu'on peut faire se jouxter des perspectives qui tout en étant toutes limitées sont toutes orientées vers le même point de fuite et capables d'en dire quelque chose de pertinent. de fait avec cette approche c'est encore difficile de parler d'infini, je crois que je ne peux encore parler que de "tellement grand pour notre finitude que ça se perd dans le mystère", c'est possible que ça implique l'infini, parce que sans doute notre finitude a tout de même une capacité de discernement qui peut s'élever à l'indéfiniment bon, et qu'il faut donc un infini pour avoir quelque chose que notre discernement ne puisse jamais épuiser, je dois y réfléchir, mais enfin méthodologiquement pour moi la perspective vient avant l'infini même si l'infini en est la justification. c'est aussi à ce niveau là qu'on doit faire intervenir la pensée herméneutique qui étudie comment les perspectives doivent être discernées, quel est le rôle de la culture de de l'histoire dans notre discernement/interprétation, etc.
une fois qu'on a tout ça, effectivement on a une fondation pour ce que tu dis de saint Augustin et pour mon fil directeur à moi qui est plutôt proche, von Balthasar, qui adopte exactement la démarche de montrer que la religion est reçue pour l'intelligence à travers l'harmonie (ou plutôt la gloire chez lui) de sa figure objective et de sa figure subjective. ce qu'il faut voir c'est qu'une fois qu'on a la construction précédente, on est capable d'avoir la structure de l'analogia entis qui fonde cette connaissance harmonique, mais qui garde la conscience de la limitation intrinsèque de l'activité mentale de l'analogie dont on ne peut pas vérifier avec certitude la véracité quand elle porte sur des structures métaphysiques (mais qui est nécessaire pour penser l'être sans le réifier ou l'immanentiser contre la critique heideggerienne d'onto-théologie). l'analogie protège le mystère au prix d'une certaine indétermination rationnelle qui est le lieu de l'harmonie. ça permet de réfuter le rationalisme et fonder une pensée qui soit une pensée de la sagesse, une philosophie sapientielle et contemplative, et donc ouverte à la spiritualité (et c'est dans ce cadre qu'on peut réintroduire la méthode phénoménologique purifiée de ses tensions internes)
ça a l'air trop bien Edith elle a l'air passionnante et pertinente pour mon projet philosophique, en plus c'est une sainte, je vais regarder de plus près ça m'intéresse beaucoup. j'ai le même problème avec les traductions, dans les noms que j'ai glanés qui doivent être importants, j'ai de l'anglais, de l'allemand, de l'italien, du polonais. l'anglais ça va je lis bien, mais pour le reste je sais pas si j'ai le niveau pour lire des choses aussi compliquées, et tout a pas été traduit en anglais ou français
une fois qu'on a tout ça, effectivement on a une fondation pour ce que tu dis de saint Augustin et pour mon fil directeur à moi qui est plutôt proche, von Balthasar, qui adopte exactement la démarche de montrer que la religion est reçue pour l'intelligence à travers l'harmonie (ou plutôt la gloire chez lui) de sa figure objective et de sa figure subjective. ce qu'il faut voir c'est qu'une fois qu'on a la construction précédente, on est capable d'avoir la structure de l'analogia entis qui fonde cette connaissance harmonique, mais qui garde la conscience de la limitation intrinsèque de l'activité mentale de l'analogie dont on ne peut pas vérifier avec certitude la véracité quand elle porte sur des structures métaphysiques (mais qui est nécessaire pour penser l'être sans le réifier ou l'immanentiser contre la critique heideggerienne d'onto-théologie). l'analogie protège le mystère au prix d'une certaine indétermination rationnelle qui est le lieu de l'harmonie. ça permet de réfuter le rationalisme et fonder une pensée qui soit une pensée de la sagesse, une philosophie sapientielle et contemplative, et donc ouverte à la spiritualité (et c'est dans ce cadre qu'on peut réintroduire la méthode phénoménologique purifiée de ses tensions internes)
ça a l'air trop bien Edith elle a l'air passionnante et pertinente pour mon projet philosophique, en plus c'est une sainte, je vais regarder de plus près ça m'intéresse beaucoup. j'ai le même problème avec les traductions, dans les noms que j'ai glanés qui doivent être importants, j'ai de l'anglais, de l'allemand, de l'italien, du polonais. l'anglais ça va je lis bien, mais pour le reste je sais pas si j'ai le niveau pour lire des choses aussi compliquées, et tout a pas été traduit en anglais ou français
Oui l'expression de perspectivisme est sûrement inadéquate, mais il me semble que nous saisissons bien la même idée, en atteste ton image du point de fuite objectif (bien trouvée)
Mais je rebondis sur l'infini, corrige-moi si je fais fausse route ou si le saut est trop anticipé : de la même manière que le phénomène contraint à reconnaître un principe indubitable extérieur et antérieur (l'être), l'expérience de la finitude contraint à reconnaître un principe indubitable extrafinitaire. Dans la réduction au fini et le refus de la préséance de l'infini, on retrouve la même contradiction que tu décris. Enft qu'est-ce qui m'empêche de tenir le même raisonnement dès lors où la finitude est une structure de l'apparaitre. Mutadis mutandis, les rapports sont similaires, non ? Donnant-donné / acte-phénomène / infini-fini. La raison du fini est l'infini, celui-là n'est intelligible qu'à partir d'un principe qui excède la finitude. En ce sens, l'infinité absolue est le fondement et la mesure la plus adéquate de tout ce qui est. On ne peut reconnaître le fini que par contact avec l'infinité, dans l'infinité et par l'infinité. Dès lors, le fond extra- est tout autant l'être que l'infini, et a fortiori, le principe d'actualité de toute apparition est l'être infini, lequel devient dans l'ordre logique la condition préalable à la connaissance et la définition complète de tout être créé
Sur un ton moins péremptoire, je comprends que, phénoménologiquement, la limite ne pose pas l'infini en acte, mais seulement un indéfini (ou un hors-limite). Dès lors, l'apparition n'exige pas formellement l'infini contrairement à l'être. Mais j'ai envie de faire ce saut
Au reste, c'est très bien, j'aime beaucoup l'approche
Mais je rebondis sur l'infini, corrige-moi si je fais fausse route ou si le saut est trop anticipé : de la même manière que le phénomène contraint à reconnaître un principe indubitable extérieur et antérieur (l'être), l'expérience de la finitude contraint à reconnaître un principe indubitable extrafinitaire. Dans la réduction au fini et le refus de la préséance de l'infini, on retrouve la même contradiction que tu décris. Enft qu'est-ce qui m'empêche de tenir le même raisonnement dès lors où la finitude est une structure de l'apparaitre. Mutadis mutandis, les rapports sont similaires, non ? Donnant-donné / acte-phénomène / infini-fini. La raison du fini est l'infini, celui-là n'est intelligible qu'à partir d'un principe qui excède la finitude. En ce sens, l'infinité absolue est le fondement et la mesure la plus adéquate de tout ce qui est. On ne peut reconnaître le fini que par contact avec l'infinité, dans l'infinité et par l'infinité. Dès lors, le fond extra- est tout autant l'être que l'infini, et a fortiori, le principe d'actualité de toute apparition est l'être infini, lequel devient dans l'ordre logique la condition préalable à la connaissance et la définition complète de tout être créé
Sur un ton moins péremptoire, je comprends que, phénoménologiquement, la limite ne pose pas l'infini en acte, mais seulement un indéfini (ou un hors-limite). Dès lors, l'apparition n'exige pas formellement l'infini contrairement à l'être. Mais j'ai envie de faire ce saut
Au reste, c'est très bien, j'aime beaucoup l'approche
il y a 3 heures
sisyphe ça fait 1 mois qu'il vient juste pour répondre des pavés de merde à sainte c'est quel niveau de manque de respect envers le blabla ça ?
il y a 3 heures
Oui l'expression de perspectivisme est sûrement inadéquate, mais il me semble que nous saisissons bien la même idée, en atteste ton image du point de fuite objectif (bien trouvée)
Mais je rebondis sur l'infini, corrige-moi si je fais fausse route ou si le saut est trop anticipé : de la même manière que le phénomène contraint à reconnaître un principe indubitable extérieur et antérieur (l'être), l'expérience de la finitude contraint à reconnaître un principe indubitable extrafinitaire. Dans la réduction au fini et le refus de la préséance de l'infini, on retrouve la même contradiction que tu décris. Enft qu'est-ce qui m'empêche de tenir le même raisonnement dès lors où la finitude est une structure de l'apparaitre. Mutadis mutandis, les rapports sont similaires, non ? Donnant-donné / acte-phénomène / infini-fini. La raison du fini est l'infini, celui-là n'est intelligible qu'à partir d'un principe qui excède la finitude. En ce sens, l'infinité absolue est le fondement et la mesure la plus adéquate de tout ce qui est. On ne peut reconnaître le fini que par contact avec l'infinité, dans l'infinité et par l'infinité. Dès lors, le fond extra- est tout autant l'être que l'infini, et a fortiori, le principe d'actualité de toute apparition est l'être infini, lequel devient dans l'ordre logique la condition préalable à la connaissance et la définition complète de tout être créé
Sur un ton moins péremptoire, je comprends que, phénoménologiquement, la limite ne pose pas l'infini en acte, mais seulement un indéfini (ou un hors-limite). Dès lors, l'apparition n'exige pas formellement l'infini contrairement à l'être. Mais j'ai envie de faire ce saut
Au reste, c'est très bien, j'aime beaucoup l'approche
Mais je rebondis sur l'infini, corrige-moi si je fais fausse route ou si le saut est trop anticipé : de la même manière que le phénomène contraint à reconnaître un principe indubitable extérieur et antérieur (l'être), l'expérience de la finitude contraint à reconnaître un principe indubitable extrafinitaire. Dans la réduction au fini et le refus de la préséance de l'infini, on retrouve la même contradiction que tu décris. Enft qu'est-ce qui m'empêche de tenir le même raisonnement dès lors où la finitude est une structure de l'apparaitre. Mutadis mutandis, les rapports sont similaires, non ? Donnant-donné / acte-phénomène / infini-fini. La raison du fini est l'infini, celui-là n'est intelligible qu'à partir d'un principe qui excède la finitude. En ce sens, l'infinité absolue est le fondement et la mesure la plus adéquate de tout ce qui est. On ne peut reconnaître le fini que par contact avec l'infinité, dans l'infinité et par l'infinité. Dès lors, le fond extra- est tout autant l'être que l'infini, et a fortiori, le principe d'actualité de toute apparition est l'être infini, lequel devient dans l'ordre logique la condition préalable à la connaissance et la définition complète de tout être créé
Sur un ton moins péremptoire, je comprends que, phénoménologiquement, la limite ne pose pas l'infini en acte, mais seulement un indéfini (ou un hors-limite). Dès lors, l'apparition n'exige pas formellement l'infini contrairement à l'être. Mais j'ai envie de faire ce saut
Au reste, c'est très bien, j'aime beaucoup l'approche
il y a 3 heures
J'ai un ami au XV de France
= je me fais gang bang par des gros noirs
Bref ... TOUTES
Bref ... TOUTES
L'Espion qui m'a tirée
il y a 3 heures
x0x0
3h
sisyphe ça fait 1 mois qu'il vient juste pour répondre des pavés de merde à sainte c'est quel niveau de manque de respect envers le blabla ça ?
il y a 3 heures












