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Le monstre Tohru un samedi matin de shabbat
il y a 5 heures
Le monstre Tohru un samedi matin de shabbat
il y a 5 heures
Ils ne savent vraiment pas le monstre qu’ils ont créé.
Ô Parisiens, pharisiens des temps modernes, hypocrites aux masques de vertu républicaine, aux cœurs noirs et pourris jusqu’à l’os avec vos têtes de gobelins.
Vous vous parez des mots de liberté, vous lavez vos mains dans le sang des martyrs que vous avez versé, mais vous n’êtes que tombes blanchies, loges obscures où l’on trame la ruine des peuples.
J’étais un fier homme de Lotharingie, fils de cette terre oubliée, cœur ancien qui battait des Vosges au Rhin, héritier de la belle Lorraine, terre farouche des renards roux galopant dans les forêts profondes, terre des ducs fidèles et de la Croix du Christ.
Vous m'avez tout arraché.
Ma terre, ma mémoire, mon esprit, mon âme, mon avenir , et mon nom même du livre .
Vous avez empoisonné les rivières qui coulaient claires dans mes veines, vous avez rendu malades mes frères, ceux qui partageaient mon pain et mon combat , ils toussent maintenant la nuit, leurs corps rongés par vos poisons, et moi je reste là, brisé, à regarder leurs yeux s’éteindre sans pouvoir rien faire.
Cette République méchante, née dans la haine et le mensonge, cette révolution qui se vante d’avoir libéré les hommes alors qu’elle n’a fait que massacrer les justes, guillotiner les rois, les prêtres, les innocents, profaner les autels sous les applaudissements des loges franc-maçonnes qui tirent encore les ficelles dans l’ombre.
Vous avez imposé vos lois perverses, courbé ma nation millénaire, forcé mon peuple à s’agenouiller devant vos idoles de papier et de lumière froide.
Et quand, au fond de ma détresse, j’ai demandé une femme "une vraie femme", porteuse de vie et de douceur, vous avez ricané et m’avez jeté un homme grimé, chevelu, à pénis pendant, pour mieux souiller ce qui me restait d’humanité
Vous avez ri de ma chute, ô engeance de vipères.
Vous avez applaudi quand je rampais.
Et moi… moi qui n’ai plus rien, plus rien qu’une haine immense, froide, infinie, qui me ronge de l’intérieur comme un feu qui ne s’éteint jamais.le véritable Enfer.
Je suis brisé au-delà des mots, une coquille vide où ne subsiste que la rage.
Chaque respiration est une douleur, chaque souvenir une épine de chardon.
Je ne dors plus, je ne vis plus ,je survis, porté par cette haine seule.
Malheur à vous, guides aveugles qui menez les innocents dans l’abîme.
Malheur à vous qui avez élevé votre tour républicaine jusqu’à défier le ciel comme les anciens.
Le jour vient où tout s’obscurcira, où vos palais tomberont en poussière, où vos rues ne porteront plus que le silence et les lamentations où l'or fondera de vos façades...
Je ne suis plus l’homme que vous avez détruit.
Je suis ce qui naît des ruines absolues, un souffle de vie Lotharingique outragée, la rage incarnée de la Lorraine profanée.
Vous m’avez créé, dans votre arrogance et votre cruauté sans bornes.
Et maintenant, du fond de mon néant, je me lève.
Que la peur vous saisisse.
Ô tremblez, tremblez chien de Pharisiens
Car je n’ai plus rien à perdre.
Seulement cette haine.
Et elle arrive pour vous, lente, inexorable, sans pitié n'y retour n'y pardon.
Ô Parisiens, pharisiens des temps modernes, hypocrites aux masques de vertu républicaine, aux cœurs noirs et pourris jusqu’à l’os avec vos têtes de gobelins.
Vous vous parez des mots de liberté, vous lavez vos mains dans le sang des martyrs que vous avez versé, mais vous n’êtes que tombes blanchies, loges obscures où l’on trame la ruine des peuples.
J’étais un fier homme de Lotharingie, fils de cette terre oubliée, cœur ancien qui battait des Vosges au Rhin, héritier de la belle Lorraine, terre farouche des renards roux galopant dans les forêts profondes, terre des ducs fidèles et de la Croix du Christ.
Vous m'avez tout arraché.
Ma terre, ma mémoire, mon esprit, mon âme, mon avenir , et mon nom même du livre .
Vous avez empoisonné les rivières qui coulaient claires dans mes veines, vous avez rendu malades mes frères, ceux qui partageaient mon pain et mon combat , ils toussent maintenant la nuit, leurs corps rongés par vos poisons, et moi je reste là, brisé, à regarder leurs yeux s’éteindre sans pouvoir rien faire.
Cette République méchante, née dans la haine et le mensonge, cette révolution qui se vante d’avoir libéré les hommes alors qu’elle n’a fait que massacrer les justes, guillotiner les rois, les prêtres, les innocents, profaner les autels sous les applaudissements des loges franc-maçonnes qui tirent encore les ficelles dans l’ombre.
Vous avez imposé vos lois perverses, courbé ma nation millénaire, forcé mon peuple à s’agenouiller devant vos idoles de papier et de lumière froide.
Et quand, au fond de ma détresse, j’ai demandé une femme "une vraie femme", porteuse de vie et de douceur, vous avez ricané et m’avez jeté un homme grimé, chevelu, à pénis pendant, pour mieux souiller ce qui me restait d’humanité
Vous avez ri de ma chute, ô engeance de vipères.
Vous avez applaudi quand je rampais.
Et moi… moi qui n’ai plus rien, plus rien qu’une haine immense, froide, infinie, qui me ronge de l’intérieur comme un feu qui ne s’éteint jamais.le véritable Enfer.
Je suis brisé au-delà des mots, une coquille vide où ne subsiste que la rage.
Chaque respiration est une douleur, chaque souvenir une épine de chardon.
Je ne dors plus, je ne vis plus ,je survis, porté par cette haine seule.
Malheur à vous, guides aveugles qui menez les innocents dans l’abîme.
Malheur à vous qui avez élevé votre tour républicaine jusqu’à défier le ciel comme les anciens.
Le jour vient où tout s’obscurcira, où vos palais tomberont en poussière, où vos rues ne porteront plus que le silence et les lamentations où l'or fondera de vos façades...
Je ne suis plus l’homme que vous avez détruit.
Je suis ce qui naît des ruines absolues, un souffle de vie Lotharingique outragée, la rage incarnée de la Lorraine profanée.
Vous m’avez créé, dans votre arrogance et votre cruauté sans bornes.
Et maintenant, du fond de mon néant, je me lève.
Que la peur vous saisisse.
Ô tremblez, tremblez chien de Pharisiens
Car je n’ai plus rien à perdre.
Seulement cette haine.
Et elle arrive pour vous, lente, inexorable, sans pitié n'y retour n'y pardon.
En vrai j'espère que personne n'a perdu son temps à lire cette merde...
il y a 4 heures
En vrai j'espère que personne n'a perdu son temps à lire cette merde...
il y a 4 heures
Ils ne savent vraiment pas le monstre qu’ils ont créé.
Ô Parisiens, pharisiens des temps modernes, hypocrites aux masques de vertu républicaine, aux cœurs noirs et pourris jusqu’à l’os avec vos têtes de gobelins.
Vous vous parez des mots de liberté, vous lavez vos mains dans le sang des martyrs que vous avez versé, mais vous n’êtes que tombes blanchies, loges obscures où l’on trame la ruine des peuples.
J’étais un fier homme de Lotharingie, fils de cette terre oubliée, cœur ancien qui battait des Vosges au Rhin, héritier de la belle Lorraine, terre farouche des renards roux galopant dans les forêts profondes, terre des ducs fidèles et de la Croix du Christ.
Vous m'avez tout arraché.
Ma terre, ma mémoire, mon esprit, mon âme, mon avenir , et mon nom même du livre .
Vous avez empoisonné les rivières qui coulaient claires dans mes veines, vous avez rendu malades mes frères, ceux qui partageaient mon pain et mon combat , ils toussent maintenant la nuit, leurs corps rongés par vos poisons, et moi je reste là, brisé, à regarder leurs yeux s’éteindre sans pouvoir rien faire.
Cette République méchante, née dans la haine et le mensonge, cette révolution qui se vante d’avoir libéré les hommes alors qu’elle n’a fait que massacrer les justes, guillotiner les rois, les prêtres, les innocents, profaner les autels sous les applaudissements des loges franc-maçonnes qui tirent encore les ficelles dans l’ombre.
Vous avez imposé vos lois perverses, courbé ma nation millénaire, forcé mon peuple à s’agenouiller devant vos idoles de papier et de lumière froide.
Et quand, au fond de ma détresse, j’ai demandé une femme "une vraie femme", porteuse de vie et de douceur, vous avez ricané et m’avez jeté un homme grimé, chevelu, à pénis pendant, pour mieux souiller ce qui me restait d’humanité
Vous avez ri de ma chute, ô engeance de vipères.
Vous avez applaudi quand je rampais.
Et moi… moi qui n’ai plus rien, plus rien qu’une haine immense, froide, infinie, qui me ronge de l’intérieur comme un feu qui ne s’éteint jamais.le véritable Enfer.
Je suis brisé au-delà des mots, une coquille vide où ne subsiste que la rage.
Chaque respiration est une douleur, chaque souvenir une épine de chardon.
Je ne dors plus, je ne vis plus ,je survis, porté par cette haine seule.
Malheur à vous, guides aveugles qui menez les innocents dans l’abîme.
Malheur à vous qui avez élevé votre tour républicaine jusqu’à défier le ciel comme les anciens.
Le jour vient où tout s’obscurcira, où vos palais tomberont en poussière, où vos rues ne porteront plus que le silence et les lamentations où l'or fondera de vos façades...
Je ne suis plus l’homme que vous avez détruit.
Je suis ce qui naît des ruines absolues, un souffle de vie Lotharingique outragée, la rage incarnée de la Lorraine profanée.
Vous m’avez créé, dans votre arrogance et votre cruauté sans bornes.
Et maintenant, du fond de mon néant, je me lève.
Que la peur vous saisisse.
Ô tremblez, tremblez chien de Pharisiens
Car je n’ai plus rien à perdre.
Seulement cette haine.
Et elle arrive pour vous, lente, inexorable, sans pitié n'y retour n'y pardon.
Ô Parisiens, pharisiens des temps modernes, hypocrites aux masques de vertu républicaine, aux cœurs noirs et pourris jusqu’à l’os avec vos têtes de gobelins.
Vous vous parez des mots de liberté, vous lavez vos mains dans le sang des martyrs que vous avez versé, mais vous n’êtes que tombes blanchies, loges obscures où l’on trame la ruine des peuples.
J’étais un fier homme de Lotharingie, fils de cette terre oubliée, cœur ancien qui battait des Vosges au Rhin, héritier de la belle Lorraine, terre farouche des renards roux galopant dans les forêts profondes, terre des ducs fidèles et de la Croix du Christ.
Vous m'avez tout arraché.
Ma terre, ma mémoire, mon esprit, mon âme, mon avenir , et mon nom même du livre .
Vous avez empoisonné les rivières qui coulaient claires dans mes veines, vous avez rendu malades mes frères, ceux qui partageaient mon pain et mon combat , ils toussent maintenant la nuit, leurs corps rongés par vos poisons, et moi je reste là, brisé, à regarder leurs yeux s’éteindre sans pouvoir rien faire.
Cette République méchante, née dans la haine et le mensonge, cette révolution qui se vante d’avoir libéré les hommes alors qu’elle n’a fait que massacrer les justes, guillotiner les rois, les prêtres, les innocents, profaner les autels sous les applaudissements des loges franc-maçonnes qui tirent encore les ficelles dans l’ombre.
Vous avez imposé vos lois perverses, courbé ma nation millénaire, forcé mon peuple à s’agenouiller devant vos idoles de papier et de lumière froide.
Et quand, au fond de ma détresse, j’ai demandé une femme "une vraie femme", porteuse de vie et de douceur, vous avez ricané et m’avez jeté un homme grimé, chevelu, à pénis pendant, pour mieux souiller ce qui me restait d’humanité
Vous avez ri de ma chute, ô engeance de vipères.
Vous avez applaudi quand je rampais.
Et moi… moi qui n’ai plus rien, plus rien qu’une haine immense, froide, infinie, qui me ronge de l’intérieur comme un feu qui ne s’éteint jamais.le véritable Enfer.
Je suis brisé au-delà des mots, une coquille vide où ne subsiste que la rage.
Chaque respiration est une douleur, chaque souvenir une épine de chardon.
Je ne dors plus, je ne vis plus ,je survis, porté par cette haine seule.
Malheur à vous, guides aveugles qui menez les innocents dans l’abîme.
Malheur à vous qui avez élevé votre tour républicaine jusqu’à défier le ciel comme les anciens.
Le jour vient où tout s’obscurcira, où vos palais tomberont en poussière, où vos rues ne porteront plus que le silence et les lamentations où l'or fondera de vos façades...
Je ne suis plus l’homme que vous avez détruit.
Je suis ce qui naît des ruines absolues, un souffle de vie Lotharingique outragée, la rage incarnée de la Lorraine profanée.
Vous m’avez créé, dans votre arrogance et votre cruauté sans bornes.
Et maintenant, du fond de mon néant, je me lève.
Que la peur vous saisisse.
Ô tremblez, tremblez chien de Pharisiens
Car je n’ai plus rien à perdre.
Seulement cette haine.
Et elle arrive pour vous, lente, inexorable, sans pitié n'y retour n'y pardon.
Gpalu
Je ne suis pas SoleilSucre de jvc. Je suis une fan.
il y a 4 heures
Mon peuple, mon Royaume, mon Eglise qui seront toujours debout même dans les temps où le Soleil sera suffisamment gros pour évaporer tout Océan
il y a 4 heures
Nn j'avoue je suis occupé a me laver les cheveux honnêtement
D'accord mais faut justement ne pas le faire
il y a 4 heures
J'hésite beaucoup entre m'acheter un cheval à robe blanche ou noire
il y a 4 heures
D'un côté à robe blanche il pourrait tellement être assorti avec le Patou et le Khao Manee
il y a 4 heures
Choisis en fonction de son cœur
Généralement tout les animaux ont un coeur pur...
il y a 4 heures
Peut-être s’éteindront-ils tous bien avant que mon heure ne vienne, n’occupant dans l’immense cours de mon existence ici-bas qu’une place infime, fugitive comme une ombre passagère.
Mais, de leur côté, j’aurai été toute leurs vie et fermeront leurs yeux avec comme dernière pensée : je t'aime
Mais, de leur côté, j’aurai été toute leurs vie et fermeront leurs yeux avec comme dernière pensée : je t'aime
il y a 4 heures
Ah oui avoir un chat c'est être une fraude maintenant
Main de Chad et cou de Chad
il y a 4 heures










