Ce sujet a été résolu
Tohru
3h
Surtout que la NAC a bien plus d'effet que seulement rendre la peau plus belle....
La NAC commence à être petit à petit adopté dans le monde de la psychiatrie/ schizophrénie/ trouble compulsif ect... Et les addictions.
Donc même pour le mental c'est un énorme +
La NAC commence à être petit à petit adopté dans le monde de la psychiatrie/ schizophrénie/ trouble compulsif ect... Et les addictions.
Donc même pour le mental c'est un énorme +
Si ça pouvait rendre mon cerveau tout lisse et me rendre heureux
il y a 2 heures
Non le premier mois est le moins cher justement car juste glycine+ NAC
ah okay
Maybe I just want to maybe...
il y a 2 heures
En étant plus insensé, ça dépend de la construction toute artificielle dans ma tête, de ma folie du moment, de qui est l'objet de ma vaine obsession amoureuse du moment. Je crois que je le donnerais à la mort ou à sa soeur la misère pour que nous batifolions ensemble une fois qu'elle viendra me chercher, et que l'humanité ait quelque répit, que je serve à quelque chose
Il était une fois une vieille femme qui ne possédait rien, hormis une petite cabane et un poirier.
Son nom était Madame Misère.
Toute sa famille se nourrissait de misère, et parfois il n’y avait même pas assez de misère pour tout le monde.
Un jour, un mendiant affamé frappa à sa porte et lui demanda si elle avait un peu de nourriture à lui donner.
Elle n’en avait pas, mais c’était une femme d’une grande générosité.
Elle lui servit donc quelques lampées de l’insipide bouillon qu’elle faisait mijoter, et l’invita à cueillir quelques poires.
Le mendiant enleva alors sa cape, révélant qu’il était en réalité une divinité.
Il s’était déguisé en mendiant pour voir s’il restait de la bonté en ce bas monde.
Touché par la générosité de Madame Misère, il lui promit d’exaucer un vœu de son choix.
Elle lui confia que beaucoup de gens lui volait des poires, ce qui l’empêchait de se nourrir chaque jour.
Son vœu était simple : ensorceler son poirier, afin qu’il piège quiconque tenterait de voler ses fruits, jusqu’à ce qu’elle décide de le libérer.
Le divin visiteur exauça son vœu et prit congé.
Les semaines passèrent et elle piègea de nombreux voleurs, mais réalisa bien vite que nombre d’entre eux étaient des enfants qui mourraient de faim.
Pleine de compassion, elle les nourrit et les instruisit des années durant, offrant ainsi a une génération perdue un avenir prometteur.
Sans jamais se départir de sa joie de vivre et de sa générosité, Madame Misère vécut jusqu’à l’âge avancé où l’on peut comparer les rides d’un visage à celles du genou d’un éléphant.
Un jour, pourtant, la mort vint la chercher.
Selon l’usage, la Mort lui demanda quelle était sa dernière volonté.
« J’aimerais manger une dernière poire de mon poirier », répondit-elle. « Auriez-vous la gentillesse d’en cueillir une pour moi ? »
La Mort grimpa dans l’arbre ensorcelé, se retrouva ainsi prise au piège.
La vieille dame décida de ne jamais libérer la Mort et c’est ainsi que persiste encore aujourd’hui la Misère dans le monde.
Son nom était Madame Misère.
Toute sa famille se nourrissait de misère, et parfois il n’y avait même pas assez de misère pour tout le monde.
Un jour, un mendiant affamé frappa à sa porte et lui demanda si elle avait un peu de nourriture à lui donner.
Elle n’en avait pas, mais c’était une femme d’une grande générosité.
Elle lui servit donc quelques lampées de l’insipide bouillon qu’elle faisait mijoter, et l’invita à cueillir quelques poires.
Le mendiant enleva alors sa cape, révélant qu’il était en réalité une divinité.
Il s’était déguisé en mendiant pour voir s’il restait de la bonté en ce bas monde.
Touché par la générosité de Madame Misère, il lui promit d’exaucer un vœu de son choix.
Elle lui confia que beaucoup de gens lui volait des poires, ce qui l’empêchait de se nourrir chaque jour.
Son vœu était simple : ensorceler son poirier, afin qu’il piège quiconque tenterait de voler ses fruits, jusqu’à ce qu’elle décide de le libérer.
Le divin visiteur exauça son vœu et prit congé.
Les semaines passèrent et elle piègea de nombreux voleurs, mais réalisa bien vite que nombre d’entre eux étaient des enfants qui mourraient de faim.
Pleine de compassion, elle les nourrit et les instruisit des années durant, offrant ainsi a une génération perdue un avenir prometteur.
Sans jamais se départir de sa joie de vivre et de sa générosité, Madame Misère vécut jusqu’à l’âge avancé où l’on peut comparer les rides d’un visage à celles du genou d’un éléphant.
Un jour, pourtant, la mort vint la chercher.
Selon l’usage, la Mort lui demanda quelle était sa dernière volonté.
« J’aimerais manger une dernière poire de mon poirier », répondit-elle. « Auriez-vous la gentillesse d’en cueillir une pour moi ? »
La Mort grimpa dans l’arbre ensorcelé, se retrouva ainsi prise au piège.
La vieille dame décida de ne jamais libérer la Mort et c’est ainsi que persiste encore aujourd’hui la Misère dans le monde.
il y a 2 heures
Si ça pouvait rendre mon cerveau tout lisse et me rendre heureux
La dépression c'est encore en étude mais ça reste prometteur tu peux essayer
il y a 2 heures
Il était une fois une vieille femme qui ne possédait rien, hormis une petite cabane et un poirier.
Son nom était Madame Misère.
Toute sa famille se nourrissait de misère, et parfois il n’y avait même pas assez de misère pour tout le monde.
Un jour, un mendiant affamé frappa à sa porte et lui demanda si elle avait un peu de nourriture à lui donner.
Elle n’en avait pas, mais c’était une femme d’une grande générosité.
Elle lui servit donc quelques lampées de l’insipide bouillon qu’elle faisait mijoter, et l’invita à cueillir quelques poires.
Le mendiant enleva alors sa cape, révélant qu’il était en réalité une divinité.
Il s’était déguisé en mendiant pour voir s’il restait de la bonté en ce bas monde.
Touché par la générosité de Madame Misère, il lui promit d’exaucer un vœu de son choix.
Elle lui confia que beaucoup de gens lui volait des poires, ce qui l’empêchait de se nourrir chaque jour.
Son vœu était simple : ensorceler son poirier, afin qu’il piège quiconque tenterait de voler ses fruits, jusqu’à ce qu’elle décide de le libérer.
Le divin visiteur exauça son vœu et prit congé.
Les semaines passèrent et elle piègea de nombreux voleurs, mais réalisa bien vite que nombre d’entre eux étaient des enfants qui mourraient de faim.
Pleine de compassion, elle les nourrit et les instruisit des années durant, offrant ainsi a une génération perdue un avenir prometteur.
Sans jamais se départir de sa joie de vivre et de sa générosité, Madame Misère vécut jusqu’à l’âge avancé où l’on peut comparer les rides d’un visage à celles du genou d’un éléphant.
Un jour, pourtant, la mort vint la chercher.
Selon l’usage, la Mort lui demanda quelle était sa dernière volonté.
« J’aimerais manger une dernière poire de mon poirier », répondit-elle. « Auriez-vous la gentillesse d’en cueillir une pour moi ? »
La Mort grimpa dans l’arbre ensorcelé, se retrouva ainsi prise au piège.
La vieille dame décida de ne jamais libérer la Mort et c’est ainsi que persiste encore aujourd’hui la Misère dans le monde.
Son nom était Madame Misère.
Toute sa famille se nourrissait de misère, et parfois il n’y avait même pas assez de misère pour tout le monde.
Un jour, un mendiant affamé frappa à sa porte et lui demanda si elle avait un peu de nourriture à lui donner.
Elle n’en avait pas, mais c’était une femme d’une grande générosité.
Elle lui servit donc quelques lampées de l’insipide bouillon qu’elle faisait mijoter, et l’invita à cueillir quelques poires.
Le mendiant enleva alors sa cape, révélant qu’il était en réalité une divinité.
Il s’était déguisé en mendiant pour voir s’il restait de la bonté en ce bas monde.
Touché par la générosité de Madame Misère, il lui promit d’exaucer un vœu de son choix.
Elle lui confia que beaucoup de gens lui volait des poires, ce qui l’empêchait de se nourrir chaque jour.
Son vœu était simple : ensorceler son poirier, afin qu’il piège quiconque tenterait de voler ses fruits, jusqu’à ce qu’elle décide de le libérer.
Le divin visiteur exauça son vœu et prit congé.
Les semaines passèrent et elle piègea de nombreux voleurs, mais réalisa bien vite que nombre d’entre eux étaient des enfants qui mourraient de faim.
Pleine de compassion, elle les nourrit et les instruisit des années durant, offrant ainsi a une génération perdue un avenir prometteur.
Sans jamais se départir de sa joie de vivre et de sa générosité, Madame Misère vécut jusqu’à l’âge avancé où l’on peut comparer les rides d’un visage à celles du genou d’un éléphant.
Un jour, pourtant, la mort vint la chercher.
Selon l’usage, la Mort lui demanda quelle était sa dernière volonté.
« J’aimerais manger une dernière poire de mon poirier », répondit-elle. « Auriez-vous la gentillesse d’en cueillir une pour moi ? »
La Mort grimpa dans l’arbre ensorcelé, se retrouva ainsi prise au piège.
La vieille dame décida de ne jamais libérer la Mort et c’est ainsi que persiste encore aujourd’hui la Misère dans le monde.
Toujours plein d'inventivité et de sagesse ces contes africains
il y a 2 heures
La dépression c'est encore en étude mais ça reste prometteur tu peux essayer
Je suis déjà assez avancé dans l'étude prometteuse de la dépression
il y a 2 heures
Je suis déjà assez avancé dans l'étude prometteuse de la dépression
Mais
il y a 2 heures
Bah non du coup
Il est tellement radical qu'on ne vient plus en témoigner
il y a 2 heures
Toujours plein d'inventivité et de sagesse ces contes africains
Il était une fois un domestique qui ne savait pas lire.
Un jour, son maître lui demanda de lui lire quelque chose et il lui répondit : « Mes excuses Monsieur, mais je ne sais pas lire. »
Cet aveu lui valut d’être licencié.
Il se mit alors en quête d’une maison de thé pour s’y reposer et se lamenter sur son infortune.
N’en trouvant aucune, il se dit qu’il n’était probablement pas le seul à souhaiter qu’il y ait une maison de thé dans sa petite ville, et décida d’en ouvrir une.
Le succès fut immédiat. Il en ouvrit d’autres un peu partout, et fit ainsi fortune.
Un jour, son comptable lui demanda de jeter un œil à un document, ce à quoi il répondit qu’il ne savait pas lire.
Son comptable, qui n’en revenait pas, déclara : « Si vous êtes devenu millionnaire en étant analphabète, imaginez où vous seriez si vous saviez lire. »
« Je sais exactement où je serais », répondit l’homme riche. « Je serais un domestique ».
Un jour, son maître lui demanda de lui lire quelque chose et il lui répondit : « Mes excuses Monsieur, mais je ne sais pas lire. »
Cet aveu lui valut d’être licencié.
Il se mit alors en quête d’une maison de thé pour s’y reposer et se lamenter sur son infortune.
N’en trouvant aucune, il se dit qu’il n’était probablement pas le seul à souhaiter qu’il y ait une maison de thé dans sa petite ville, et décida d’en ouvrir une.
Le succès fut immédiat. Il en ouvrit d’autres un peu partout, et fit ainsi fortune.
Un jour, son comptable lui demanda de jeter un œil à un document, ce à quoi il répondit qu’il ne savait pas lire.
Son comptable, qui n’en revenait pas, déclara : « Si vous êtes devenu millionnaire en étant analphabète, imaginez où vous seriez si vous saviez lire. »
« Je sais exactement où je serais », répondit l’homme riche. « Je serais un domestique ».
il y a 2 heures
Il est tellement radical qu'on ne vient plus en témoigner
Ça dépend de sa volonté ça...
Mais du coup non
Mais du coup non
il y a 2 heures
Ça dépend de sa volonté ça...
Mais du coup non
Mais du coup non
C'est que je ne suis pas encore assez désespéré
il y a 2 heures
Il était une fois un domestique qui ne savait pas lire.
Un jour, son maître lui demanda de lui lire quelque chose et il lui répondit : « Mes excuses Monsieur, mais je ne sais pas lire. »
Cet aveu lui valut d’être licencié.
Il se mit alors en quête d’une maison de thé pour s’y reposer et se lamenter sur son infortune.
N’en trouvant aucune, il se dit qu’il n’était probablement pas le seul à souhaiter qu’il y ait une maison de thé dans sa petite ville, et décida d’en ouvrir une.
Le succès fut immédiat. Il en ouvrit d’autres un peu partout, et fit ainsi fortune.
Un jour, son comptable lui demanda de jeter un œil à un document, ce à quoi il répondit qu’il ne savait pas lire.
Son comptable, qui n’en revenait pas, déclara : « Si vous êtes devenu millionnaire en étant analphabète, imaginez où vous seriez si vous saviez lire. »
« Je sais exactement où je serais », répondit l’homme riche. « Je serais un domestique ».
Un jour, son maître lui demanda de lui lire quelque chose et il lui répondit : « Mes excuses Monsieur, mais je ne sais pas lire. »
Cet aveu lui valut d’être licencié.
Il se mit alors en quête d’une maison de thé pour s’y reposer et se lamenter sur son infortune.
N’en trouvant aucune, il se dit qu’il n’était probablement pas le seul à souhaiter qu’il y ait une maison de thé dans sa petite ville, et décida d’en ouvrir une.
Le succès fut immédiat. Il en ouvrit d’autres un peu partout, et fit ainsi fortune.
Un jour, son comptable lui demanda de jeter un œil à un document, ce à quoi il répondit qu’il ne savait pas lire.
Son comptable, qui n’en revenait pas, déclara : « Si vous êtes devenu millionnaire en étant analphabète, imaginez où vous seriez si vous saviez lire. »
« Je sais exactement où je serais », répondit l’homme riche. « Je serais un domestique ».
Désopilant et confondant à la fois eqa, merci
il y a 2 heures
Je fais ce que je veux le pâtissier
Si j'étais une tomate je te donnerais mes antioxydants... Et si j'étais un légume je te donnerais mes nutriments
il y a 2 heures
Si j'étais une tomate je te donnerais mes antioxydants... Et si j'étais un légume je te donnerais mes nutriments
Moi j'ai envie d'être oblitéré de la suface de la Terre et qu'on oublie très vite toute trace de mon passage ici-bas
il y a 2 heures
En attendant je vais aller me divertir en lisant le prochain texte d'eqa et en allant lire mes divertissements japonais
il y a 2 heures