Ce sujet a été résolu
Est-ce que ça te rendrait un peu plus heureux ?
Il veut juste des amis
il y a 6 heures
Si ton mari n'est pas végétarien tu pourras quand même lui cuisiner de la viande ?
non impossible déjà que j'aime pas cuisiner si en plus il faut mettre la main dans des cadavres d'animaux mignons, ne comptez pas sur moi
il y a 6 heures
non impossible déjà que j'aime pas cuisiner si en plus il faut mettre la main dans des cadavres d'animaux mignons, ne comptez pas sur moi
C'est noté . . .
Arrêt non desservi
il y a 6 heures
non impossible déjà que j'aime pas cuisiner si en plus il faut mettre la main dans des cadavres d'animaux mignons, ne comptez pas sur moi
Mais les poissons sont mignons aussi
Enfin certains
Enfin certains
il y a 6 heures
non impossible déjà que j'aime pas cuisiner si en plus il faut mettre la main dans des cadavres d'animaux mignons, ne comptez pas sur moi
il y a 6 heures
si t'as deux minutes je viens de me rappeler du début d'une réflexion de chesterton sur la folie qui ne manque pas de charme
Commençons donc par la maison de fous ; partons de cette auberge fantastique et mal famée pour entreprendre notre voyage intellectuel. Or, si nous voulons jeter un regard sur la philosophie des gens de bon sens, la première chose à faire est de rejeter définitivement une erreur aussi énorme que répandue. Selon une très courante, l’imagination, et surtout l’imagination mystique, met en danger l’équilibre mental de l’homme. On dit communément des poètes qu’ils sont psychologiquement instables et il s’établit un vague rapprochement entre les lauriers qui couronnent la tête du poète et les brins de paille piqués dans les cheveux de l’idiot du village. Les faits, l’histoire s’inscrivent en faux contre cette opinion. La plupart des authentiques grands poètes bénéficiaient non seulement d’un esprit sain mais encore d’un sens pratique éprouvé ; si Shakespeare a jamais réellement gardé les chevaux à la porte des auberges, c’est qu’il était reconnu très compétent en la matière. Ce n’est pas l’imagination qui engendre la folie, mais bien plutôt la raison. Les poètes ne deviennent pas fous, les joueurs d’échecs le deviennent. Les mathématiciens deviennent fous, les caissiers deviennent fous, les artistes créateurs très rarement. Je n’entends pas du tout – et m’en justifierai – attaquer la logique ; je dis seulement que le danger réside dans la logique, pas dans l’imagination. La paternité artistique est aussi saine que la paternité physique. Bien plus, lorsqu’un poète a en lui quelque chose de morbide c’est, généralement, parce qu’il a un point faible dans la cervelle : un brin de rationalisme. Poe, par exemple, était réellement morbide ; non parce qu’il était poète mais parce qu’il avait un esprit purement analytique. Même le jeu d’échecs était trop poétique pour lui ; il détestait ce jeu parce qu’il était plein de cavaliers et de tours, comme un poème. Il ne cachait pas sa préférence pour les disques noirs du jeu de dames, plus proches des marques posées sur un diagramme. Le cas le plus étrange est peut-être celui du seul grand poète anglais devenu fou : Cowper. Cowper fut très précisément conduit à la folie par la logique, par l’affreuse, aliénante, logique de la prédestination. La poésie n’était pas le mal, mais le remède ; c’est elle qui le maintint en relative santé. Devant les larges étendues et les blancs nénuphars de la rivière Ouse il pouvait parfois oublier l’enfer de soif et de sang où le menait son hideux nécessitarisme. Damné par Jean Calvin, il fut presque sauvé par John Gilpin. De toutes parts nous voyons que ce n’est pas le rêve qui rend les hommes fous. Les critiques sont beaucoup plus fous que les poètes. Homère est un homme complet et plutôt posé ; ce sont ses critiques qui le revêtent d’incohérences. Shakespeare est tout à fait lui-même ; ce sont ses critiques qui ont découvert qu’il était quelqu’un d’autre. Et si saint Jean l’Evangéliste a vu apparaître dans ses visions beaucoup de monstres étranges, il n’a jamais vu de créatures aussi sauvages que l’un de ses commentateurs. Le fait général est simple. La poésie est saine parce qu’elle flotte avec aisance sur une mer sans limite ; la raison prétend traverser cette mer sans limite et, ainsi, la limiter. D’où un épuisement mental semblable à l’épuisement physique de M. Holbein. Tout accepter est un exercice, tout comprendre un effort constant. Le poète ne désire que l’exaltation, l’expansion, un monde dans lequel il puisse s’étendre. Le poète ne demande qu’à dresser sa tête dans les cieux. Le logicien, lui, cherche à enfermer le ciel dans sa tête. Et sa tête éclate.
Commençons donc par la maison de fous ; partons de cette auberge fantastique et mal famée pour entreprendre notre voyage intellectuel. Or, si nous voulons jeter un regard sur la philosophie des gens de bon sens, la première chose à faire est de rejeter définitivement une erreur aussi énorme que répandue. Selon une très courante, l’imagination, et surtout l’imagination mystique, met en danger l’équilibre mental de l’homme. On dit communément des poètes qu’ils sont psychologiquement instables et il s’établit un vague rapprochement entre les lauriers qui couronnent la tête du poète et les brins de paille piqués dans les cheveux de l’idiot du village. Les faits, l’histoire s’inscrivent en faux contre cette opinion. La plupart des authentiques grands poètes bénéficiaient non seulement d’un esprit sain mais encore d’un sens pratique éprouvé ; si Shakespeare a jamais réellement gardé les chevaux à la porte des auberges, c’est qu’il était reconnu très compétent en la matière. Ce n’est pas l’imagination qui engendre la folie, mais bien plutôt la raison. Les poètes ne deviennent pas fous, les joueurs d’échecs le deviennent. Les mathématiciens deviennent fous, les caissiers deviennent fous, les artistes créateurs très rarement. Je n’entends pas du tout – et m’en justifierai – attaquer la logique ; je dis seulement que le danger réside dans la logique, pas dans l’imagination. La paternité artistique est aussi saine que la paternité physique. Bien plus, lorsqu’un poète a en lui quelque chose de morbide c’est, généralement, parce qu’il a un point faible dans la cervelle : un brin de rationalisme. Poe, par exemple, était réellement morbide ; non parce qu’il était poète mais parce qu’il avait un esprit purement analytique. Même le jeu d’échecs était trop poétique pour lui ; il détestait ce jeu parce qu’il était plein de cavaliers et de tours, comme un poème. Il ne cachait pas sa préférence pour les disques noirs du jeu de dames, plus proches des marques posées sur un diagramme. Le cas le plus étrange est peut-être celui du seul grand poète anglais devenu fou : Cowper. Cowper fut très précisément conduit à la folie par la logique, par l’affreuse, aliénante, logique de la prédestination. La poésie n’était pas le mal, mais le remède ; c’est elle qui le maintint en relative santé. Devant les larges étendues et les blancs nénuphars de la rivière Ouse il pouvait parfois oublier l’enfer de soif et de sang où le menait son hideux nécessitarisme. Damné par Jean Calvin, il fut presque sauvé par John Gilpin. De toutes parts nous voyons que ce n’est pas le rêve qui rend les hommes fous. Les critiques sont beaucoup plus fous que les poètes. Homère est un homme complet et plutôt posé ; ce sont ses critiques qui le revêtent d’incohérences. Shakespeare est tout à fait lui-même ; ce sont ses critiques qui ont découvert qu’il était quelqu’un d’autre. Et si saint Jean l’Evangéliste a vu apparaître dans ses visions beaucoup de monstres étranges, il n’a jamais vu de créatures aussi sauvages que l’un de ses commentateurs. Le fait général est simple. La poésie est saine parce qu’elle flotte avec aisance sur une mer sans limite ; la raison prétend traverser cette mer sans limite et, ainsi, la limiter. D’où un épuisement mental semblable à l’épuisement physique de M. Holbein. Tout accepter est un exercice, tout comprendre un effort constant. Le poète ne désire que l’exaltation, l’expansion, un monde dans lequel il puisse s’étendre. Le poète ne demande qu’à dresser sa tête dans les cieux. Le logicien, lui, cherche à enfermer le ciel dans sa tête. Et sa tête éclate.
basé, les vrais poètes de coeur ont perçu la folie dans la logique et suivent la logique de la folie
il y a 6 heures-PEMT
ce que tu n’as pas compris c’est que j’avais cette moyenne parce que je savais comment fonctionnait l’université dans laquelle j’etais et que je savais comment passer facilement sans rien branler
tout comme il est logique qu’en prepa ce qui compte c’est les concours blancs et non les DS toutes les semaines… il suffit juste de s’adapter
tout comme il est logique qu’en prepa ce qui compte c’est les concours blancs et non les DS toutes les semaines… il suffit juste de s’adapter
Il était à la fac de la L2 à la L3 il me parle de sa prépa de merde qu'il a raté comme une merde ayaaaaaaaaaaa
Oui tu as bien sucé le directeur du master le yes life de merde
Oui tu as bien sucé le directeur du master le yes life de merde
il y a 6 heures-PEMT
ce que tu n’as pas compris c’est que j’avais cette moyenne parce que je savais comment fonctionnait l’université dans laquelle j’etais et que je savais comment passer facilement sans rien branler
tout comme il est logique qu’en prepa ce qui compte c’est les concours blancs et non les DS toutes les semaines… il suffit juste de s’adapter
tout comme il est logique qu’en prepa ce qui compte c’est les concours blancs et non les DS toutes les semaines… il suffit juste de s’adapter
Il était à la fac de la L2 à la L3 il me parle de sa prépa de merde qu'il a raté comme une merde ayaaaaaaaaaaa
Oui tu as bien sucé le directeur du master le yes life de merde
Oui tu as bien sucé le directeur du master le yes life de merde
il y a 6 heures
C'est noté . . .
il y a 6 heures
non impossible déjà que j'aime pas cuisiner si en plus il faut mettre la main dans des cadavres d'animaux mignons, ne comptez pas sur moi
mais je vais mourir de faim !!!
il y a 6 heures
t'as raison je vais arrêter là tu te rabaisse suffisamment bien tout seul
Bah oui le débile 0 tout ou rien ayaaaaaa
il y a 6 heures
Mais les poissons sont mignons aussi
Enfin certains
Enfin certains
je ne mange ni poisson rouge ni poisson clown ni poisson mignon en général
il y a 6 heures
mais je vais mourir de faim !!!
Elle va te nourrir avec sa recette des oeuf prêt en 1m au micro-onde
il y a 6 heures
je pense pas que t'as lu le texte, ça ne parle clairement pas d'hallucinations, et précisément l'auteur explique que c'est la raison mise obsessivement dans l'approfondissement et la justification d'une idée fixe et limitative qui fait la folie dont il parle, le fou qui croit que les pingouins gouvernent le monde saura le justifier rationnellement et de manière cohérente
bah les hallucinations ont un impacte direct sur comment un zinzin justifie un délire (une idée fixe)
The epitome of human trash!
Zawa zawa...
il y a 6 heures
Tu me donnes la viande qu'il reste dans ton congèle du coup ?
Le 22 du mois j'ai qu'des œufs . . .
Arrêt non desservi
il y a 6 heures