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En hommage Ă Jean-Marie Le Pen, Charles Pasqua et Marie-France Garraud
Palais de l’Elysée, Paris, le lundi 5 mai 2025
C’est un séisme politique qui secoue la France ce matin. Emmanuel Macron, Président de la République depuis 2017, a annoncé sa démission hier soir lors d’une allocution solennelle depuis l’Élysée. En 2024, la France a connu une crise politique inédite sous la Cinquième République qui survient sur fond de crise sociale et de forte inflation.
Après la victoire du Rassemblement National aux élections européennes, la crise débute par la dissolution de l'Assemblée nationale décidée par Emmanuel Macron en juin, aussitôt suivie par des élections législatives anticipées. Celles-ci ont pour résultat un parlement minoritaire, soit une situation où aucun des courants politiques n'a la majorité absolue. L'Assemblée nationale est ainsi inhabituellement éclatée entre trois grands ensembles et deux autres groupes plus petits (LR et Liot).
À la suite de la démission du gouvernement Attal, une période de deux mois sans gouvernement a lieu, chose inédite depuis 1832. Début septembre, le président de la République nomme Michel Barnier Premier ministre. Celui-ci forme un gouvernement minoritaire soutenu par l'ancienne majorité macroniste et Les Républicains, qui chute au bout de trois mois après avoir engagé sa responsabilité sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Le 13 décembre, dix jours après le vote de la motion de censure, François Bayrou est nommé à Matignon pour tenter de dénouer la crise politique. Au début du mois d’avril, il annonce vouloir mettre en place une TVA sociale afin d’alléger les charges sociales pour les employeurs et les salariés. La gauche crie à l’injustice. Le RN n’a pas traîné non plus: « C’est une trahison du pouvoir d’achat, une insulte aux classes moyennes et aux Français modestes. Ce n’est pas aux Français de faire des efforts. Il y a des économies à faire ailleurs avant de demander encore des efforts aux Français. », tonne Marine Le Pen au 20 heures de TF1.
Le NFP et le RN votent ensemble la motion de censure le 21 avril et fait chuter le gouvernement Bayrou. C'est la deuxième fois en moins de six mois que le gouvernement est censuré, ce qui était arrivé jusqu'à maintenant qu’une seule fois en 1962 mais Emmanuel Macron refuse la panique. Il tente de reprendre la main. Pendant deux semaines, il consulte, parlemente, négocie. Il reçoit de nouveau les socialistes, les centristes, les républicains. Comme un air de déjà vu, un jour sans fin. Il cherche à constituer un gouvernement technique, d’union ou de transition. Rien n’aboutit. Le 5 mai, Emmanuel Macron prend la parole depuis l’Élysée et annonce sa démission.
Il charge alors le Président du Sénat Gérard Larcher d’assurer l’intérim présidentiel et d’organiser de nouvelles élections présidentielles. Une élection présidentielle doit être organisée entre 20 et 35 jours après la vacance. Le premier tour est fixé au dimanche 25 mai, le second tour au 8 juin conformément à la constitution.
đź“… 1er tour: le dimanche 25 mai 2025
đź“… 2nd tour: le dimanche 8 juin 2025
⚠️ Avertissement : ceci est une fiction politique.
Parce que cette fois, ce sera la bonne. Après plusieurs faux départs, plusieurs essais, cette fois-ci, je vais au bout.
Parce que je suis fan d’Éric Zemmour depuis On n’est pas couché et que j'ai dévoré tous ses livres – et que je ne me reconnais de moins en moins dans un RN qui balance entre les « misikine » de Tanguy qui demande dans le même temps la dissolution des groupes identitaires, les prières islamiques de Rachline à Fréjus, et le programme économique socialisant de Le Pen-Bardella.
Parce que j’ai besoin de liberté pour écrire. Et que cette fois, ça va vraiment swinguer.
Bienvenue dans l’uchronie où Eric Zemmour va devenir Président.
PS: A noter que cette fiction sera appuyée par ma partie sur Geopolitical Simulator 4 (GPS4).
il y a un mois
Zemmour a TOUJOURS raison, vous pouvez screener les petites putes marxistes du fofo
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il y a un mois
Paris, le mercredi 7 mai 2025
Le paysage politique français s’apprête à vivre une élection présidentielle hors norme, convoquée en urgence après la démission d’Emmanuel Macron. Avec un calendrier réduit, 8 candidats se lancent dans une campagne éclair qui redessine les clivages traditionnels.

Marine Le Pen a été déclarée inéligible par la justice, à la suite de l'affaire des assistants parlementaires européens. Une onde de choc dans le camp national. Face à l’urgence et à la proximité du scrutin, Jordan Bardella, président du RN et dauphin désigné, a été intronisé sans primaire ni débat. À 29 ans, Bardella incarne une droite nationale lissée, moderne et ultra-médiatique. Déjà rompu aux joutes électorales, il a porté le RN à la victoire aux européennes et a confirmé la poussée aux législatives malgré la déception de ne pas obtenir la majorité à l’Assemblée nationale. Les sondages le placent à plus de 30 %, à un niveau équivalent à celui de Marine Le Pen. Mais la campagne présidentielle n’est pas une campagne comme les autres.

Gabriel Attal représente l’héritage macroniste dans cette élection à haut risque. À 35 ans, il mise sur son image moderne, dynamique et républicaine pour conserver un espace politique entre la droite et la gauche. Sa stratégie vise à incarner une « stabilité centriste » face aux extrêmes. Mais il souffre d’une usure du pouvoir et d’un effritement du bloc central.
Son passage remarqué au ministère de l’Éducation nationale lui vaut une bonne réputation: interdiction du port de l’abaya et du qamis en milieu scolaire, expérimentation de l’uniforme, discours offensif sur la restauration de l’autorité à l’école. Il a également évolué dernièrement sur la question du voile, défendant désormais son interdiction dans l’espace public pour les mineurs de moins de 15 ans. Gabriel Attal se présente ainsi comme le candidat de la laïcité intransigeante et des valeurs de la République, tentant de ressouder un électorat central menacé d’effritement.

Contre vents et marées, Jean-Luc Mélenchon se lance pour une quatrième fois dans la course présidentielle. Sous la pression de la base militante et des électeurs de gauche, les appareils du PS, du PCF et des Insoumis ont fini par céder, malgré les désaccords profonds qui avaient divisé la gauche depuis l’éclatement de la NUPES puis au sein de la coalition du NFP. Alors qu'il avait indiqué la veille ne pas souhaiter rejoindre une alliance avec Jean-Luc Mélenchon comme candidat, Raphaël Glucksmann, annonce finalement son soutien à sa candidature afin que l’extrême droite n’arrive pas au pouvoir. Il a donc finalement donné son aval à contrecœur refusant d’apparaître comme le diviseur. Mélenchon conserve la dynamique et la puissance oratoire qui avaient failli le propulser au second tour en 2017 et 2022 et reste une figure fédératrice à gauche.

Bruno Retailleau a réussi le tour de force de remettre Les Républicains au centre de l’échiquier politique. Nommé au ministère de l’Intérieur en septembre 2024, Retailleau a su tirer parti de cette exposition pour se hisser au rang de candidat sérieux à la présidence. Son passage place Beauvau a été marqué par un ton ferme sur les questions d’immigration, de sécurité et de délinquance, lui valant une popularité grandissante dans l’opinion. Mais sa marge de manœuvre est restée étroite : désavoué publiquement sur le dossier algérien et les expulsions et les OQTF par Emmanuel Macron, il a révélé les limites de son pouvoir réel. Pire encore, le président algérien Abdelmadjid Tebboune l’a humilié en le qualifiant de « ministre d’un autre siècle ». À cette crise diplomatique s’est ajoutée une déception morale majeure : la loi sur l’euthanasie, soutenue par le gouvernement auquel il appartient, qu’il a dû accepter malgré des années de combats personnels contre la légalisation de la « mort assistée ». Ce reniement pourrait lui coûter cher auprès des catholiques et conservateurs.

Il revient. Trois ans après un premier essai fracassant mais infructueux, Éric Zemmour repart à la conquête de l’Élysée porté par la conviction que ni Jordan Bardella ni Bruno Retailleau ne mèneront la bataille civilisationnelle jusqu’au bout. Cette fois, le candidat conserve le cap sur l’immigration, la remigration, la restauration de l’autorité, la refondation de l’école, et la guerre contre l’islamisme, mais le ton est plus posé, plus stratégique. Il délègue désormais une partie importante des interventions médiatiques à Sarah Knafo, sa compagne devenue actrice centrale du mouvement Reconquête et très populaire au sein des droites. Il espère mobiliser un électorat de droite radicale déçu par la mollesse de Bardella, l’inaction de Retailleau à Beauvau, sécuriser les catholiques conservateurs, séduire des classes moyennes, et s’appuyer sur un discours d’effondrement civilisationnel que seul lui ose tenir. Il reçoit de nouveau le soutien de Philippe de Villiers, plus populaire que jamais grâce à son émission du vendredi soir sur CNews.

Contre toute attente, Les Écologistes n’ont pas Mélenchon, malgré des négociations serrées jusqu’à la dernière seconde. Marine Tondelier a été investie comme candidate écologiste au détriment de Sandrine Rousseau plus radicale. Elle justifie cette décision par la nécessité d’incarner une écologie autonome, constructive et responsable, et déplore les impasses stratégiques et la personne de Jean-Luc Mélenchon sur l’Europe, l’Ukraine ou les institutions.

C’est dans la salle des fêtes de la mairie d’Yerres, où il fut maire pendant plus de 20 ans, que Nicolas Dupont-Aignan a annoncé officiellement sa candidature à l’élection présidentielle anticipée de juin 2025. Entouré de quelques fidèles et de militants souverainistes venus de tout le pays, le député de l’Essonne a pris tout le monde de court en déposant sa candidature, à 18h47, soit treize minutes avant la clôture du dépôt des parrainages. Florian Philippot et François Asselineau dans l’incapacité de présenter une candidature appellent à voter pour la candidature la plus souverainiste.

Invariable et fidèle à sa ligne, Nathalie Arthaud, professeure d’économie, porte une nouvelle fois la candidature de Lutte Ouvrière, mouvement trotskyste fidèle à la mémoire d’Arlette Laguiller. Dans cette campagne express, elle n’a aucune ambition de pouvoir, mais entend faire entendre la voix des exploités, des sans-grade, des invisibles.
il y a un mois
Springbok
1 mois
En hommage Ă Jean-Marie Le Pen, Charles Pasqua et Marie-France Garraud
Palais de l’Elysée, Paris, le lundi 5 mai 2025
C’est un séisme politique qui secoue la France ce matin. Emmanuel Macron, Président de la République depuis 2017, a annoncé sa démission hier soir lors d’une allocution solennelle depuis l’Élysée. En 2024, la France a connu une crise politique inédite sous la Cinquième République qui survient sur fond de crise sociale et de forte inflation.
Après la victoire du Rassemblement National aux élections européennes, la crise débute par la dissolution de l'Assemblée nationale décidée par Emmanuel Macron en juin, aussitôt suivie par des élections législatives anticipées. Celles-ci ont pour résultat un parlement minoritaire, soit une situation où aucun des courants politiques n'a la majorité absolue. L'Assemblée nationale est ainsi inhabituellement éclatée entre trois grands ensembles et deux autres groupes plus petits (LR et Liot).
À la suite de la démission du gouvernement Attal, une période de deux mois sans gouvernement a lieu, chose inédite depuis 1832. Début septembre, le président de la République nomme Michel Barnier Premier ministre. Celui-ci forme un gouvernement minoritaire soutenu par l'ancienne majorité macroniste et Les Républicains, qui chute au bout de trois mois après avoir engagé sa responsabilité sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Le 13 décembre, dix jours après le vote de la motion de censure, François Bayrou est nommé à Matignon pour tenter de dénouer la crise politique. Au début du mois d’avril, il annonce vouloir mettre en place une TVA sociale afin d’alléger les charges sociales pour les employeurs et les salariés. La gauche crie à l’injustice. Le RN n’a pas traîné non plus: « C’est une trahison du pouvoir d’achat, une insulte aux classes moyennes et aux Français modestes. Ce n’est pas aux Français de faire des efforts. Il y a des économies à faire ailleurs avant de demander encore des efforts aux Français. », tonne Marine Le Pen au 20 heures de TF1.
Le NFP et le RN votent ensemble la motion de censure le 21 avril et fait chuter le gouvernement Bayrou. C'est la deuxième fois en moins de six mois que le gouvernement est censuré, ce qui était arrivé jusqu'à maintenant qu’une seule fois en 1962 mais Emmanuel Macron refuse la panique. Il tente de reprendre la main. Pendant deux semaines, il consulte, parlemente, négocie. Il reçoit de nouveau les socialistes, les centristes, les républicains. Comme un air de déjà vu, un jour sans fin. Il cherche à constituer un gouvernement technique, d’union ou de transition. Rien n’aboutit. Le 5 mai, Emmanuel Macron prend la parole depuis l’Élysée et annonce sa démission.
Il charge alors le Président du Sénat Gérard Larcher d’assurer l’intérim présidentiel et d’organiser de nouvelles élections présidentielles. Une élection présidentielle doit être organisée entre 20 et 35 jours après la vacance. Le premier tour est fixé au dimanche 25 mai, le second tour au 8 juin conformément à la constitution.
đź“… 1er tour: le dimanche 25 mai 2025
đź“… 2nd tour: le dimanche 8 juin 2025
⚠️ Avertissement : ceci est une fiction politique.
Parce que cette fois, ce sera la bonne. Après plusieurs faux départs, plusieurs essais, cette fois-ci, je vais au bout.
Parce que je suis fan d’Éric Zemmour depuis On n’est pas couché et que j'ai dévoré tous ses livres – et que je ne me reconnais de moins en moins dans un RN qui balance entre les « misikine » de Tanguy qui demande dans le même temps la dissolution des groupes identitaires, les prières islamiques de Rachline à Fréjus, et le programme économique socialisant de Le Pen-Bardella.
Parce que j’ai besoin de liberté pour écrire. Et que cette fois, ça va vraiment swinguer.
Bienvenue dans l’uchronie où Eric Zemmour va devenir Président.
PS: A noter que cette fiction sera appuyée par ma partie sur Geopolitical Simulator 4 (GPS4).
il y a un mois
Springbok
1 mois
En hommage Ă Jean-Marie Le Pen, Charles Pasqua et Marie-France Garraud
Palais de l’Elysée, Paris, le lundi 5 mai 2025
C’est un séisme politique qui secoue la France ce matin. Emmanuel Macron, Président de la République depuis 2017, a annoncé sa démission hier soir lors d’une allocution solennelle depuis l’Élysée. En 2024, la France a connu une crise politique inédite sous la Cinquième République qui survient sur fond de crise sociale et de forte inflation.
Après la victoire du Rassemblement National aux élections européennes, la crise débute par la dissolution de l'Assemblée nationale décidée par Emmanuel Macron en juin, aussitôt suivie par des élections législatives anticipées. Celles-ci ont pour résultat un parlement minoritaire, soit une situation où aucun des courants politiques n'a la majorité absolue. L'Assemblée nationale est ainsi inhabituellement éclatée entre trois grands ensembles et deux autres groupes plus petits (LR et Liot).
À la suite de la démission du gouvernement Attal, une période de deux mois sans gouvernement a lieu, chose inédite depuis 1832. Début septembre, le président de la République nomme Michel Barnier Premier ministre. Celui-ci forme un gouvernement minoritaire soutenu par l'ancienne majorité macroniste et Les Républicains, qui chute au bout de trois mois après avoir engagé sa responsabilité sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Le 13 décembre, dix jours après le vote de la motion de censure, François Bayrou est nommé à Matignon pour tenter de dénouer la crise politique. Au début du mois d’avril, il annonce vouloir mettre en place une TVA sociale afin d’alléger les charges sociales pour les employeurs et les salariés. La gauche crie à l’injustice. Le RN n’a pas traîné non plus: « C’est une trahison du pouvoir d’achat, une insulte aux classes moyennes et aux Français modestes. Ce n’est pas aux Français de faire des efforts. Il y a des économies à faire ailleurs avant de demander encore des efforts aux Français. », tonne Marine Le Pen au 20 heures de TF1.
Le NFP et le RN votent ensemble la motion de censure le 21 avril et fait chuter le gouvernement Bayrou. C'est la deuxième fois en moins de six mois que le gouvernement est censuré, ce qui était arrivé jusqu'à maintenant qu’une seule fois en 1962 mais Emmanuel Macron refuse la panique. Il tente de reprendre la main. Pendant deux semaines, il consulte, parlemente, négocie. Il reçoit de nouveau les socialistes, les centristes, les républicains. Comme un air de déjà vu, un jour sans fin. Il cherche à constituer un gouvernement technique, d’union ou de transition. Rien n’aboutit. Le 5 mai, Emmanuel Macron prend la parole depuis l’Élysée et annonce sa démission.
Il charge alors le Président du Sénat Gérard Larcher d’assurer l’intérim présidentiel et d’organiser de nouvelles élections présidentielles. Une élection présidentielle doit être organisée entre 20 et 35 jours après la vacance. Le premier tour est fixé au dimanche 25 mai, le second tour au 8 juin conformément à la constitution.
đź“… 1er tour: le dimanche 25 mai 2025
đź“… 2nd tour: le dimanche 8 juin 2025
⚠️ Avertissement : ceci est une fiction politique.
Parce que cette fois, ce sera la bonne. Après plusieurs faux départs, plusieurs essais, cette fois-ci, je vais au bout.
Parce que je suis fan d’Éric Zemmour depuis On n’est pas couché et que j'ai dévoré tous ses livres – et que je ne me reconnais de moins en moins dans un RN qui balance entre les « misikine » de Tanguy qui demande dans le même temps la dissolution des groupes identitaires, les prières islamiques de Rachline à Fréjus, et le programme économique socialisant de Le Pen-Bardella.
Parce que j’ai besoin de liberté pour écrire. Et que cette fois, ça va vraiment swinguer.
Bienvenue dans l’uchronie où Eric Zemmour va devenir Président.
PS: A noter que cette fiction sera appuyée par ma partie sur Geopolitical Simulator 4 (GPS4).
Good job , l'op !
Les detracteurs sans solution qui viennent déverser leurs haines.
Cest drĂ´le Ă voir !!
Les detracteurs sans solution qui viennent déverser leurs haines.
Cest drĂ´le Ă voir !!
Français pur porc !
il y a un mois
Good job , l'op !
Les detracteurs sans solution qui viennent déverser leurs haines.
Cest drĂ´le Ă voir !!
Les detracteurs sans solution qui viennent déverser leurs haines.
Cest drĂ´le Ă voir !!
Je te remercie et j’espère bien faire durer ce récit. J’ai déjà plusieurs posts d’avance.
il y a un mois
Je te remercie et j’espère bien faire durer ce récit. J’ai déjà plusieurs posts d’avance.
Sarah a un meilleur coup de rein que Rima selon toi ?
Gros baiseur de femelles.
il y a un mois
Sarah a un meilleur coup de rein que Rima selon toi ?
il y a un mois
Ca me fendra toujours en deux de voir cette capacité sadomaso des français de souches envers les juifs et les negres
La France est un vrai labo
La France est un vrai labo
il y a un mois
Boyblue
1 mois
Ca me fendra toujours en deux de voir cette capacité sadomaso des français de souches envers les juifs et les negres
La France est un vrai labo
La France est un vrai labo
Zemmour a fait tellement plus pour les Français de souche que Louis Boyard, Raphaël Arnault, Sandrine Rousseau et Olivier Faure réunis
il y a un mois
Argonath
1 mois
Oui il faut un ministère de la réémigration et les foutre dehors
Wait & See et tu ne vas pas être déçu
il y a un mois
Paris, le vendredi 16 mai 2025, Ă 23h07
Le choc tant attendu entre les figures de la droite a tenu toutes ses promesses. Diffusé simultanément sur CNews et BFM TV mardi soir en prime time, le grand débat réunissant Éric Zemmour, Jordan Bardella et Bruno Retailleau a captivé plus de 7 millions de téléspectateurs. Si le RN est le grand leader à droite, il n'est pas seul et la concurrence semble, ici comme dans bien d'autres domaines, profitable à tous.
Ainsi, le parti d'Éric Zemmour, que l'on aurait pu croire plombé par le départ de Marion Maréchal, semble jouir d'une bonne santé. Ses deux leaders (Zemmour-Knafo) affichent une présence médiatique complémentaire, et étaient même présents pour l'investiture de Trump en janvier dernier. Quant à Marion Maréchal, elle engrange des deux côtés. De son passage à Reconquête, où elle a tout de même réussi à hisser la liste aux 5 % fatidiques aux européennes. Et de sa proximité historique et familiale avec le RN. Nul doute qu'elle comptera dans les batailles qui viennent. Les mêmes indiscrétions du Figaro montrent qu'au gouvernement, chez LR et jusqu'au centre, Retailleau fait des étincelles. Il est en tout cas incontournable, sous Macron comme après. Tout comme le parti d'Éric Ciotti, qui creuse son sillon et prépare activement les municipales.
Mais si les trois candidats ont défendu chacun leur ligne, le leader de Reconquête a largement dominé les échanges. Avec sa verve habituelle, Zemmour a dénoncé « le virage centriste du Rassemblement national », accusant Bardella de « trahir l’attente de radicalité » de son électorat. Zemmour s’est positionné comme le seul tenant d’une ligne claire, cohérente, assumée, convoquant Trump, Bukele, Orbán comme modèles d’action. Bardella, visiblement déstabilisé, s’est montré excessivement prudent tout au long du débat, donnant une image trop policée. Le président du Rassemblement national a commis plusieurs erreurs factuelles sur les chiffres et même sur le droit international. Le Président de Reconquête a frappé fort en ramenant une image du stade municipal de Fréjus, ville du Var ayant un maire RN, mis à disposition pour une prière géante pour l’Aïd. Il a également ciblé Jean-Philippe Tanguy, député RN et figure montante du parti, qu’il a accusé de parler arabe quand il censé défendre l’assimilation et l’identité française, se permet d’utiliser miskine sur les réseaux sociaux. Le parti de l’assimilation tient toutes ses promesses. Il s’assimile.
Pour Zemmour, Bardella incarne une droite paralysée par la peur de déplaire, encore soumise au cadre imposé par les médias dominants, prête à suivre les émotions du moment plutôt qu’à tenir une ligne de vérité. Le chef de Reconquête a particulièrement ciblé la réaction de Bardella à deux faits divers récents — les meurtres de Aboubakar Cissé et Hichem Miraoui — que Bardella avait publiquement commentés de manière jugée par Zemmour comme participant à une culpabilisation insupportable des Français. Aux yeux du candidat, s'aligner sur une lecture compassionnelle médiatiquement attendue, tout en restant discret, voire absent, sur les violences subies par des Français ordinaires, revient à trahir ceux que la droite prétend défendre.
Zemmour a opposé à cette stratégie qu’il juge défensive une réponse de fermeté radicale : selon lui, tant qu’aucune politique de remigration massive n’est mise en œuvre, les drames s’accumuleront. Il a dénoncé la faiblesse des réactions dans des moments où la colère populaire serait pourtant légitime, comme lors des émeutes qui ont suivi la victoire du PSG, ou encore le retard pris par Bardella pour réagir au viol et au meurtre de la jeune Philippine, événement emblématique du sentiment d’abandon sécuritaire que ressent une partie du pays. Sans jamais sombrer dans l’anathème, Zemmour a ainsi voulu marquer la différence entre une droite qui assume d’aller jusqu’au bout de ses convictions — la sienne — et une autre, celle de Bardella, qui, tout en partageant les diagnostics, refuse encore d’en tirer toutes les conséquences politiques.
C’est sans doute sur le terrain de la cohérence politique que le président de Reconquête a asséné ses coups les plus rudes à Bruno Retailleau. Évoquant le parcours du ministre de l’Intérieur depuis son entrée au gouvernement en septembre 2024, Zemmour n’a pas mâché ses mots. Prenant soin de dérouler une série d’éléments concrets, le candidat de Reconquête a méthodiquement démonté le parcours récent du ministre de l’Intérieur. Depuis plus de huit mois, Retailleau siège au gouvernement d’Emmanuel Macron, ce même pouvoir qu’il accusait encore hier de faiblesse face au communautarisme et à la violence.
Dans une logique de démontage, Éric Zemmour a également rappelé les nombreuses promesses non tenues de Retailleau. Celui qui avait juré de mettre sa démission dans la balance en cas de blocage diplomatique avec l’Algérie est resté en poste malgré l’échec de ses propres conditions. Celui qui avait brièvement soutenu les militantes identitaires du collectif Némésis s’est rétracté sous la pression médiatique. Celui qui promettait de dissoudre des associations qu’il jugeait complices des passeurs n’a, depuis sa prise de fonctions, engagé aucune procédure, laissant même les opérations de SOS Méditerranée se poursuivre sans mot dire.
Sur le fond, Zemmour l’accuse d’avoir échoué à appliquer les OQTF, d’avoir alimenté une crise diplomatique avec l’Algérie sans rien obtenir, de laisser croupir Boualem Sans dans les geôles algériennes, et d’avoir laissé l’insécurité exploser, citant l’exemple de plusieurs villes moyennes où les violences ont continué de croître. Enfin, Zemmour a mis en cause la sincérité idéologique de Retailleau, en soulignant ses déclarations récentes en faveur d’Édouard Philippe au détriment de Marine Le Pen, ce qui, pour le candidat de Reconquête, confirme le tropisme centriste de cette droite historique, incapable de rompre avec les vieux réflexes de la majorité d’hier.
À l’issue du débat, plusieurs observateurs s’accordaient à dire qu’Éric Zemmour avait frappé un grand coup, dans un contexte où la droite est fragmentée entre trois pôles : la droite sociale-populaire incarnée par Bardella, la droite républicaine représentée par Retailleau, et la droite identitaire portée par Zemmour. C’est un débat qui clarifie les lignes, mais qui montre aussi à quel point la droite peine à se rassembler. Le risque d’une dispersion fatale dès le premier tour n’est plus à exclure. A l'issue du débat, Zemmour passerait de 5 à 10%, doublant ainsi les intentions de vote en sa faveur.
il y a un mois
Paris, le dimanche 8 juin 2025, Ă 23h52
C’est une onde de choc politique comme la France en a rarement connu. Au terme d’un premier tour historique, Jean-Luc Mélenchon (23,70 %) et Éric Zemmour (23,42 %) se qualifient pour le second tour de l’élection présidentielle, reléguant Jordan Bardella (23,28 %) à la troisième place pour quelques dizaines de milliers de voix seulement.
La gauche unie autour de Mélenchon, malgré une candidature écologiste, et la spectaculaire remontada de Zemmour, crédité de 5 % en début de campagne, bouleversent tous les pronostics. Longtemps donné moribond après sa défaite de 2022, Éric Zemmour a bâti pas à pas une campagne agressive, structurée, et très droitière. Un débat décisif face à Jordan Bardella et Bruno Retailleau, suivi par près de 7 millions de téléspectateurs sur CNews et BFM, l’a propulsé dans une nouvelle dynamique. En assumant un programme de rupture totale – remigration, prisons à la Bukele, modèle Trump pour les expulsions –, Zemmour a capté une partie de l’électorat RN inquiet de la normalisation du discours de Jordan Bardella.
Trois fois candidat, plusieurs fois donné politiquement mort, Jean-Luc Mélenchon a su rassembler une gauche tétanisée par la perspective d’une victoire de l’extrême droite. L’accord conclu in extremis avec le PS et le PCF, malgré les rancunes passées, a porté ses fruits. Seuls les écologistes ont préféré faire cavalier seul avec Marine Tondelier (3,63 %), une stratégie payée au prix fort.
Ce second tour entre Jean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour constitue un saut dans l’inconnu pour la démocratie française. Jamais deux figures aussi clivantes ne s’étaient affrontées pour l’Élysée. Avec près de 50 % des suffrages exprimés pour l’extrême droite (Zemmour + Bardella + Dupont-Aignan), la gauche part avec un lourd handicap. Les prochains jours s’annoncent d’une intensité inédite. La campagne entre les deux tours sera courte, mais brutale.
il y a un mois
J'ai oublié de taguer mes fidèles lecteurs
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