Ce sujet a été résolu
Mais si ceux qui y arrivent gardent le silence, il n'y aura pas de contagion comme pour les mauvaises choses
Peu importe ce que l'ont fait pour contrevenir à la situation actuelle, on ne peut pas nier son impact sur nous, alors il faut trouver des solutions qui ne sont pas forcément agissantes sur la cause inévitable de notre époque
Paradoxalement pour me recentrer j'ai du m'exposer, le virus et la projection étant tellement ancrés en moi
Notre identité a été volée, il faut reprendre "le contrôle" par l'acceptation
En sachant vers où regarder la peur et l'incertitude ne peuvent plus nous freiner, et leur manipulation prendre effet
La partie "dure" en nous doit se débrider en reconnaissant le bon maître
Peu importe ce que l'ont fait pour contrevenir à la situation actuelle, on ne peut pas nier son impact sur nous, alors il faut trouver des solutions qui ne sont pas forcément agissantes sur la cause inévitable de notre époque
Paradoxalement pour me recentrer j'ai du m'exposer, le virus et la projection étant tellement ancrés en moi
Notre identité a été volée, il faut reprendre "le contrôle" par l'acceptation
En sachant vers où regarder la peur et l'incertitude ne peuvent plus nous freiner, et leur manipulation prendre effet
La partie "dure" en nous doit se débrider en reconnaissant le bon maître
M'ouai, ça peut marcher chez certains, tu poses justement que l’époque nous marque, que l’exposition est inévitable mais en affirmant cela, tu risques de confondre lucidité avec résignation.
L’idée de devoir passer par l’exposition pour se recentrer, pourquoi pas, mais elle pourrait aussi servir d’alibi involontaire à la compromission, si elle ne s’accompagne pas d’une vraie exigence intérieure.
Et ton appel à reconnaître le bon maître est une bonne idée en soi, mais reste vachement ambigu, qui ou quoi incarne cette figure aujourd’hui, dans un monde sans repères ?
En somme, ta pensée touche juste et chui d'accord sur le fond, mais elle gagnerait à trancher plus nettement entre ce qui doit être traversé, et ce qui doit être refusé.
L’idée de devoir passer par l’exposition pour se recentrer, pourquoi pas, mais elle pourrait aussi servir d’alibi involontaire à la compromission, si elle ne s’accompagne pas d’une vraie exigence intérieure.
Et ton appel à reconnaître le bon maître est une bonne idée en soi, mais reste vachement ambigu, qui ou quoi incarne cette figure aujourd’hui, dans un monde sans repères ?
En somme, ta pensée touche juste et chui d'accord sur le fond, mais elle gagnerait à trancher plus nettement entre ce qui doit être traversé, et ce qui doit être refusé.
il y a 2 mois
M'ouai, ça peut marcher chez certains, tu poses justement que l’époque nous marque, que l’exposition est inévitable mais en affirmant cela, tu risques de confondre lucidité avec résignation.
L’idée de devoir passer par l’exposition pour se recentrer, pourquoi pas, mais elle pourrait aussi servir d’alibi involontaire à la compromission, si elle ne s’accompagne pas d’une vraie exigence intérieure.
Et ton appel à reconnaître le bon maître est une bonne idée en soi, mais reste vachement ambigu, qui ou quoi incarne cette figure aujourd’hui, dans un monde sans repères ?
En somme, ta pensée touche juste et chui d'accord sur le fond, mais elle gagnerait à trancher plus nettement entre ce qui doit être traversé, et ce qui doit être refusé.
L’idée de devoir passer par l’exposition pour se recentrer, pourquoi pas, mais elle pourrait aussi servir d’alibi involontaire à la compromission, si elle ne s’accompagne pas d’une vraie exigence intérieure.
Et ton appel à reconnaître le bon maître est une bonne idée en soi, mais reste vachement ambigu, qui ou quoi incarne cette figure aujourd’hui, dans un monde sans repères ?
En somme, ta pensée touche juste et chui d'accord sur le fond, mais elle gagnerait à trancher plus nettement entre ce qui doit être traversé, et ce qui doit être refusé.
J'ai déjà tranché, c'est très clair dans les topics
La réponse à ta question s'y trouve aussi d'ailleurs
あそびたい~つ !
La réponse à ta question s'y trouve aussi d'ailleurs
il y a 2 mois
BlueLadyShow
2 mois
Il faut retrouver une vie intérieure, préserver son intimité et à ne pas tout livrer au regard des autres, ne plus se laisser définir par les attentes sociales ou l’image que l’on donne, mais de se recentrer sur soi, sur ce que l’on est vraiment.
Cela passe par l’acceptation des limites, du manque, et du fait que tout ne peut ni ne doit être montré ou comblé.
En retrouvant le silence, la discrétion, la réflexion personnelle et la distance face au regar social, chacun peut reprendre le contrôle de son identité et de son désir.
Cela passe par l’acceptation des limites, du manque, et du fait que tout ne peut ni ne doit être montré ou comblé.
En retrouvant le silence, la discrétion, la réflexion personnelle et la distance face au regar social, chacun peut reprendre le contrôle de son identité et de son désir.
Les choses doivent être et ne peuvent être que comme elles sont
Le "il faut" ne devrait pas exister, et il n'existe pas
Le "il faut" ne devrait pas exister, et il n'existe pas
il y a 2 mois
J'ai déjà tranché, c'est très clair dans les topics
La réponse à ta question s'y trouve aussi d'ailleurs
La réponse à ta question s'y trouve aussi d'ailleurs
L'objet de ma question n'est pas tellement d'obtenir une réponse, mais de voir ton développement, mais bon...
Et non, ce n'est pas clair
Et non, ce n'est pas clair
il y a 2 mois
L'objet de ma question n'est pas tellement d'obtenir une réponse, mais de voir ton développement, mais bon...
Et non, ce n'est pas clair
Et non, ce n'est pas clair
Je comprend mais le but de mes topics est de dire sans dévoyer alors...
C'est clair une fois qu'on s'est rendu capable de voir
あそびたい~つ !
C'est clair une fois qu'on s'est rendu capable de voir
il y a 2 mois
KJ-Anima
2 mois
- Justement, allons-nous refuser de supporter les conséquences d'être "des animaux dénaturés" ? Si, comme nous l'enseigne la psychanalyse, ce n'est pas l'objet, mais le manque d'objet qui est organisateur de la spécificité humaine, si cet objet - cette "Chose" que la mère sert le plus souvent à métaphoriser - doit être perdu pour que l'humain puisse émerger et si, comme vous le soutenez, le lieu de la limite est mis en place par cette perte, y contrevenir équivaudrait du coup à réaliser un inceste.
Est-ce que vous enténeriez, de ce fait, la formule selon laquelle nous sommes dans une société incestueuse ?
(sur lacan)
Il s'agit aujourd'hui d'exhiber. Ce qu'on appelle le goût de la proximité va si loin qu'il faut exhiber ses tripes, et l'intérieur de ses tripes, et même l'intérieur de l'intérieur. Il n'y a plus aucune limite à l'exigence de transparence. La surprise, ce sont des émissions télévisées qui réunissent un public profane pour débattre d'une question extrêmement délicate ou intime, par exemple la sexualité après soixante ans, un thème assurément passionnant : les gens se dénudent devant les caméras avec une impudeur qu'ils ne seraient pas forcément capables de manifester dans le cabinet d'un médecin.
La présence des spots et des caméras agit comme un impératif devant lequel personne ne pourrait rien refuser, comme si on faisait face à un tortionnaire à qui il convient de tout avouer, y compris ce qu'on a pas fait. et ça c'est extraordinaire.
Voilà qui participe de cette économie nouvelle. Le regard est aujourd'hui cette sorte de tortionnaire devant lequel rien ne peut être dissimulé. Notre journalisme soi-disant d'investigation se complaît fréquemment dans le fouille-merde et l'exhibition? A la grande joie, semble-t-il, du lecteur heureux d'apprendre que tel homme puissant a une maîtresse : la belle affaire ! Qu'il ait une vie privée ou qu'il n'en ait pas, en quoi est-ce que ça intéresse ou détermine son action politique et les positions qu'il a pu prendre ?
Il y a de l'infantilisme en même temps dans cette panscopie. On connait cette fameuse histoire du panopticon de Bentham.
Le panopticon de Bentham est un modèle de prison constitué par un bâtiment en anneau construit autour d'une tour centrale; celle-ci est percée de larges fenêtres et les cellules du bâtiment sont vitrées de part en part de telle sorte qu'un surveillant peut, à partir de la tour, observer l'intérieur de toutes les cellules.
Ce type génial avait parfaitement prévu le fonctionnement du monde dans lequel nous vivons : il suffit d'un regard, d'un surveillant d'être à cette place et de jouir d'une vue panoramique sur le destin de ses contemporains, comme si celui-ci présentait quelque originalité et pouvait susciter quelque intérêt.
C'est à cette place, celle du surveillant, que se mettent les téléspectateurs, ceux qui regardent sont d'office à cette place là...
L'anima, le cœur, le rien,
rien pour bloquer son propre flot.
- Qui pousse à l'inceste ? sans doute, comme on l'a déjà dit, mais un inceste qui n'a pas besoin d'une réalisation, de sa réalisation figurée classique, c'est à dire d'une liaison avec la mère, pour exister. Cette représentation là n'est plus nécessaire pour que l'inceste existe.
Sans limite, plus d'interdit ni non plus d'objet qui en devient symbolique.
- C'est vrai, c'est plus complexe, puisque, effectivement, il n'y a plus à passer par la réalisation. Voilà qui éclaire bien ce que vous dites par ailleurs du père, de la remise en question de sa légitimité. Vous rappelez, à juste titre, que la figure qu'il prend est du côté de l'interdit, de l'empêcheur, du perturbateur. Il n'est plus du tout entendu comme celui qui a la charge de nouer le désir à la loi, comme disait Lacan.
=== _SHUTTER ===
Cette fille avec sa caméra, elle est assise sur un banc dans le parc chaque fin de soirée, prend une photo et la regarde attentivement. "Vivre" cette photo comme si c'était un événement réel, au fond de l'âme - certaines personnes ont essayé de lui demander, pourquoi elle le fait, ce qui vaut la peine d'un arbre ou d'un tas de déchets au hasard. Elle ne répond à aucune question, alors les étrangers abandonnent et s'en vont.
Pour d'autres, c'est juste une photo aléatoire, mais pour Ilda, c'est une belle histoire qu'elle ne partage avec personne d'autre.
Ère du déracinement, de l'effacement du lien avec le passé, ses ancêtres, son père.
Plus de continuité, un saut dans l'espace sans combinaison et sans câble,
avec leur suggestions intéressées comme seules planètes.
Orientation consciente et distraction imposée dans le but de nourrir la machine, l'autre, l'égo malsain du monde.
Revenir à soi, au centre, est nécessaire.
Le masque de la persona étouffe,
la résistance devient vitale,
la résistance devient l'individuation.
J'ai fait de mon identité,
ce qu'ils m'ont forcé à travestir.
Tiens ça me rappelle un épisode de X-Files ayant l'inceste pour theme
S04E02
La Meute (Home en anglais)
Résumé
Dans le village de Home, en Pennsylvanie, une femme donne naissance à un bébé horriblement déformé. Trois hommes, atteints eux aussi de malformations, l'enterrent dans un champ près de leur ferme. Le corps est retrouvé par des enfants jouant au base-ball, et le shérif Taylor demande l'aide du FBI. Mulder et Scully sont envoyés sur les lieux et apprennent du shérif que la ferme près de laquelle a été retrouvé le corps appartient à la famille Peacock depuis la guerre de Sécession et qu'elle est habitée par trois frères qui vivent totalement isolés du monde extérieur. Le shérif laisse également entendre que les Peacock se reproduisent entre eux depuis plusieurs générations.
Lors de l'autopsie, Scully découvre que le bébé a été enterré vivant. Elle émet l'idée que ses malformations sont génétiques et que, comme seuls les trois frères sont censés habiter la ferme, ceux-ci ont enlevé et violé une femme. Mulder et Scully se rendent chez les Peacock et trouvent la maison vidée de ses occupants. Ils découvrent toutefois des indices suffisants pour accuser les Peacock du meurtre du bébé. À leur insu, leur conversation est entendue par une femme cachée sous le plancher. Le shérif Taylor dresse des mandats d'arrêt contre les Peacock. Pendant la nuit, ces derniers s'introduisent chez les Taylor et tuent le shérif et sa femme.
Accompagnés par l'adjoint Barney Paster, Mulder et Scully retournent chez les Peacock. Paster est tué par un piège dès son entrée dans la maison, et Mulder et Scully libèrent alors les cochons de la ferme pour attirer les Peacock hors de chez eux. Les deux agents pénètrent dans la maison et trouvent une femme amputée des quatre membres cachée sous le lit. Ils découvrent qu'il s'agit de la mère des trois Peacock et qu'elle n'est pas leur prisonnière mais, au contraire, leur complice. Les trois frères attaquent Mulder et Scully quand ils se rendent compte que des intrus sont entrés chez eux. Deux des frères sont tués dans le combat qui s'ensuit mais le troisième s'enfuit en emmenant sa mère avec lui. En cavale, les deux Peacock survivants parlent de fonder une nouvelle famille.
S04E02
La Meute (Home en anglais)
Résumé
Dans le village de Home, en Pennsylvanie, une femme donne naissance à un bébé horriblement déformé. Trois hommes, atteints eux aussi de malformations, l'enterrent dans un champ près de leur ferme. Le corps est retrouvé par des enfants jouant au base-ball, et le shérif Taylor demande l'aide du FBI. Mulder et Scully sont envoyés sur les lieux et apprennent du shérif que la ferme près de laquelle a été retrouvé le corps appartient à la famille Peacock depuis la guerre de Sécession et qu'elle est habitée par trois frères qui vivent totalement isolés du monde extérieur. Le shérif laisse également entendre que les Peacock se reproduisent entre eux depuis plusieurs générations.
Lors de l'autopsie, Scully découvre que le bébé a été enterré vivant. Elle émet l'idée que ses malformations sont génétiques et que, comme seuls les trois frères sont censés habiter la ferme, ceux-ci ont enlevé et violé une femme. Mulder et Scully se rendent chez les Peacock et trouvent la maison vidée de ses occupants. Ils découvrent toutefois des indices suffisants pour accuser les Peacock du meurtre du bébé. À leur insu, leur conversation est entendue par une femme cachée sous le plancher. Le shérif Taylor dresse des mandats d'arrêt contre les Peacock. Pendant la nuit, ces derniers s'introduisent chez les Taylor et tuent le shérif et sa femme.
Accompagnés par l'adjoint Barney Paster, Mulder et Scully retournent chez les Peacock. Paster est tué par un piège dès son entrée dans la maison, et Mulder et Scully libèrent alors les cochons de la ferme pour attirer les Peacock hors de chez eux. Les deux agents pénètrent dans la maison et trouvent une femme amputée des quatre membres cachée sous le lit. Ils découvrent qu'il s'agit de la mère des trois Peacock et qu'elle n'est pas leur prisonnière mais, au contraire, leur complice. Les trois frères attaquent Mulder et Scully quand ils se rendent compte que des intrus sont entrés chez eux. Deux des frères sont tués dans le combat qui s'ensuit mais le troisième s'enfuit en emmenant sa mère avec lui. En cavale, les deux Peacock survivants parlent de fonder une nouvelle famille.
il y a 2 mois
Tiens ça me rappelle un épisode de X-Files ayant l'inceste pour theme
S04E02
La Meute (Home en anglais)
Résumé
Dans le village de Home, en Pennsylvanie, une femme donne naissance à un bébé horriblement déformé. Trois hommes, atteints eux aussi de malformations, l'enterrent dans un champ près de leur ferme. Le corps est retrouvé par des enfants jouant au base-ball, et le shérif Taylor demande l'aide du FBI. Mulder et Scully sont envoyés sur les lieux et apprennent du shérif que la ferme près de laquelle a été retrouvé le corps appartient à la famille Peacock depuis la guerre de Sécession et qu'elle est habitée par trois frères qui vivent totalement isolés du monde extérieur. Le shérif laisse également entendre que les Peacock se reproduisent entre eux depuis plusieurs générations.
Lors de l'autopsie, Scully découvre que le bébé a été enterré vivant. Elle émet l'idée que ses malformations sont génétiques et que, comme seuls les trois frères sont censés habiter la ferme, ceux-ci ont enlevé et violé une femme. Mulder et Scully se rendent chez les Peacock et trouvent la maison vidée de ses occupants. Ils découvrent toutefois des indices suffisants pour accuser les Peacock du meurtre du bébé. À leur insu, leur conversation est entendue par une femme cachée sous le plancher. Le shérif Taylor dresse des mandats d'arrêt contre les Peacock. Pendant la nuit, ces derniers s'introduisent chez les Taylor et tuent le shérif et sa femme.
Accompagnés par l'adjoint Barney Paster, Mulder et Scully retournent chez les Peacock. Paster est tué par un piège dès son entrée dans la maison, et Mulder et Scully libèrent alors les cochons de la ferme pour attirer les Peacock hors de chez eux. Les deux agents pénètrent dans la maison et trouvent une femme amputée des quatre membres cachée sous le lit. Ils découvrent qu'il s'agit de la mère des trois Peacock et qu'elle n'est pas leur prisonnière mais, au contraire, leur complice. Les trois frères attaquent Mulder et Scully quand ils se rendent compte que des intrus sont entrés chez eux. Deux des frères sont tués dans le combat qui s'ensuit mais le troisième s'enfuit en emmenant sa mère avec lui. En cavale, les deux Peacock survivants parlent de fonder une nouvelle famille.
S04E02
La Meute (Home en anglais)
Résumé
Dans le village de Home, en Pennsylvanie, une femme donne naissance à un bébé horriblement déformé. Trois hommes, atteints eux aussi de malformations, l'enterrent dans un champ près de leur ferme. Le corps est retrouvé par des enfants jouant au base-ball, et le shérif Taylor demande l'aide du FBI. Mulder et Scully sont envoyés sur les lieux et apprennent du shérif que la ferme près de laquelle a été retrouvé le corps appartient à la famille Peacock depuis la guerre de Sécession et qu'elle est habitée par trois frères qui vivent totalement isolés du monde extérieur. Le shérif laisse également entendre que les Peacock se reproduisent entre eux depuis plusieurs générations.
Lors de l'autopsie, Scully découvre que le bébé a été enterré vivant. Elle émet l'idée que ses malformations sont génétiques et que, comme seuls les trois frères sont censés habiter la ferme, ceux-ci ont enlevé et violé une femme. Mulder et Scully se rendent chez les Peacock et trouvent la maison vidée de ses occupants. Ils découvrent toutefois des indices suffisants pour accuser les Peacock du meurtre du bébé. À leur insu, leur conversation est entendue par une femme cachée sous le plancher. Le shérif Taylor dresse des mandats d'arrêt contre les Peacock. Pendant la nuit, ces derniers s'introduisent chez les Taylor et tuent le shérif et sa femme.
Accompagnés par l'adjoint Barney Paster, Mulder et Scully retournent chez les Peacock. Paster est tué par un piège dès son entrée dans la maison, et Mulder et Scully libèrent alors les cochons de la ferme pour attirer les Peacock hors de chez eux. Les deux agents pénètrent dans la maison et trouvent une femme amputée des quatre membres cachée sous le lit. Ils découvrent qu'il s'agit de la mère des trois Peacock et qu'elle n'est pas leur prisonnière mais, au contraire, leur complice. Les trois frères attaquent Mulder et Scully quand ils se rendent compte que des intrus sont entrés chez eux. Deux des frères sont tués dans le combat qui s'ensuit mais le troisième s'enfuit en emmenant sa mère avec lui. En cavale, les deux Peacock survivants parlent de fonder une nouvelle famille.
Rien compris à l'histoire
あそびたい~つ !
il y a 2 mois
Rien compris à l'histoire
« Celui qui écrit en aphorismes ne veut pas être lu, mais appris par cœur. »
il y a 2 mois
« Celui qui écrit en aphorismes ne veut pas être lu, mais appris par cœur. »
Exa
あそびたい~つ !
il y a 2 mois
L'objet de ma question n'est pas tellement d'obtenir une réponse, mais de voir ton développement, mais bon...
Et non, ce n'est pas clair
Et non, ce n'est pas clair
Khey tu peux me mp stp c'est pour te demander un truc, j'ai pas le niveau pour mp malgré mes 1 an ici, merci
il y a 2 mois
KJ-Anima
2 mois
wow trop bien comment tu fais ces topics moi aussi je veux savoir
il faut lire lacan ?
il faut lire lacan ?

il y a 2 mois
wow trop bien comment tu fais ces topics moi aussi je veux savoir
il faut lire lacan ?
il faut lire lacan ?

Je sais pas j'ai pas lu Lacan encore
Mais si ça continue comme ça je risque de le faire plus sérieusement
Pour faire ces topics il faut être alchimiste, s'entraîner à tirer des liens dans l'invisible et pouvoir lire le savoir gravé dans la pierre
あそびたい~つ !
Mais si ça continue comme ça je risque de le faire plus sérieusement
Pour faire ces topics il faut être alchimiste, s'entraîner à tirer des liens dans l'invisible et pouvoir lire le savoir gravé dans la pierre
il y a 2 mois
KJ-Anima
2 mois
- Justement, allons-nous refuser de supporter les conséquences d'être "des animaux dénaturés" ? Si, comme nous l'enseigne la psychanalyse, ce n'est pas l'objet, mais le manque d'objet qui est organisateur de la spécificité humaine, si cet objet - cette "Chose" que la mère sert le plus souvent à métaphoriser - doit être perdu pour que l'humain puisse émerger et si, comme vous le soutenez, le lieu de la limite est mis en place par cette perte, y contrevenir équivaudrait du coup à réaliser un inceste.
Est-ce que vous enténeriez, de ce fait, la formule selon laquelle nous sommes dans une société incestueuse ?
(sur lacan)
Il s'agit aujourd'hui d'exhiber. Ce qu'on appelle le goût de la proximité va si loin qu'il faut exhiber ses tripes, et l'intérieur de ses tripes, et même l'intérieur de l'intérieur. Il n'y a plus aucune limite à l'exigence de transparence. La surprise, ce sont des émissions télévisées qui réunissent un public profane pour débattre d'une question extrêmement délicate ou intime, par exemple la sexualité après soixante ans, un thème assurément passionnant : les gens se dénudent devant les caméras avec une impudeur qu'ils ne seraient pas forcément capables de manifester dans le cabinet d'un médecin.
La présence des spots et des caméras agit comme un impératif devant lequel personne ne pourrait rien refuser, comme si on faisait face à un tortionnaire à qui il convient de tout avouer, y compris ce qu'on a pas fait. et ça c'est extraordinaire.
Voilà qui participe de cette économie nouvelle. Le regard est aujourd'hui cette sorte de tortionnaire devant lequel rien ne peut être dissimulé. Notre journalisme soi-disant d'investigation se complaît fréquemment dans le fouille-merde et l'exhibition? A la grande joie, semble-t-il, du lecteur heureux d'apprendre que tel homme puissant a une maîtresse : la belle affaire ! Qu'il ait une vie privée ou qu'il n'en ait pas, en quoi est-ce que ça intéresse ou détermine son action politique et les positions qu'il a pu prendre ?
Il y a de l'infantilisme en même temps dans cette panscopie. On connait cette fameuse histoire du panopticon de Bentham.
Le panopticon de Bentham est un modèle de prison constitué par un bâtiment en anneau construit autour d'une tour centrale; celle-ci est percée de larges fenêtres et les cellules du bâtiment sont vitrées de part en part de telle sorte qu'un surveillant peut, à partir de la tour, observer l'intérieur de toutes les cellules.
Ce type génial avait parfaitement prévu le fonctionnement du monde dans lequel nous vivons : il suffit d'un regard, d'un surveillant d'être à cette place et de jouir d'une vue panoramique sur le destin de ses contemporains, comme si celui-ci présentait quelque originalité et pouvait susciter quelque intérêt.
C'est à cette place, celle du surveillant, que se mettent les téléspectateurs, ceux qui regardent sont d'office à cette place là...
L'anima, le cœur, le rien,
rien pour bloquer son propre flot.
- Qui pousse à l'inceste ? sans doute, comme on l'a déjà dit, mais un inceste qui n'a pas besoin d'une réalisation, de sa réalisation figurée classique, c'est à dire d'une liaison avec la mère, pour exister. Cette représentation là n'est plus nécessaire pour que l'inceste existe.
Sans limite, plus d'interdit ni non plus d'objet qui en devient symbolique.
- C'est vrai, c'est plus complexe, puisque, effectivement, il n'y a plus à passer par la réalisation. Voilà qui éclaire bien ce que vous dites par ailleurs du père, de la remise en question de sa légitimité. Vous rappelez, à juste titre, que la figure qu'il prend est du côté de l'interdit, de l'empêcheur, du perturbateur. Il n'est plus du tout entendu comme celui qui a la charge de nouer le désir à la loi, comme disait Lacan.
=== _SHUTTER ===
Cette fille avec sa caméra, elle est assise sur un banc dans le parc chaque fin de soirée, prend une photo et la regarde attentivement. "Vivre" cette photo comme si c'était un événement réel, au fond de l'âme - certaines personnes ont essayé de lui demander, pourquoi elle le fait, ce qui vaut la peine d'un arbre ou d'un tas de déchets au hasard. Elle ne répond à aucune question, alors les étrangers abandonnent et s'en vont.
Pour d'autres, c'est juste une photo aléatoire, mais pour Ilda, c'est une belle histoire qu'elle ne partage avec personne d'autre.
Ère du déracinement, de l'effacement du lien avec le passé, ses ancêtres, son père.
Plus de continuité, un saut dans l'espace sans combinaison et sans câble,
avec leur suggestions intéressées comme seules planètes.
Orientation consciente et distraction imposée dans le but de nourrir la machine, l'autre, l'égo malsain du monde.
Revenir à soi, au centre, est nécessaire.
Le masque de la persona étouffe,
la résistance devient vitale,
la résistance devient l'individuation.
J'ai fait de mon identité,
ce qu'ils m'ont forcé à travestir.
il y a un mois