Ce sujet a été résolu
Le trouble dissociatif de l'identité (TDI) est un mécanisme de survie qui se développe en réponse à des traumatismes précoces et répétés, généralement avant l'âge de 6 à 9 ans, une période où l'identité n'est pas encore intégrée. Pour faire face à des expériences insupportables, l'esprit compartimente les souvenirs, les émotions et les perceptions en différentes parties distinctes, chacune pouvant évoluer comme une identité autonome avec sa propre vision du monde. Ce paradoxe fondamental – fragmenter son identité pour survivre – rend la construction d’un sentiment de soi stable particulièrement complexe, oscillant entre des états de dissociation et la nécessité d’une intégration.
Si nous soumettons un tel cas à l'expérience des associations, nous découvrirons bientôt que ce sujet n'est pas maître dans sa propre maison : ses réactions sont retardées, modifiées, réprimées ou remplacées par des contenus intrus autonomes.
Un certain nombre de mots inducteurs ne trouveront pas de réponse attribuable à son intention consciente; leur réponse proviendra de certains contenus autonomes qui sont même souvent inconscients pour le sujet. Dans notre cas, nous découvrirons très certainement des réponses qui proviennent du complexe psychique, qui se trouve à la racine de l'idée du cancer.
Chaque fois qu'un mot inducteur touche à quelque chose qui est en relation avec le complexe caché, la réaction du moi conscient est troublée ou même remplacée par une réponse provenant du complexe. Tout se passe comme si le complexe était un être indépendant capable de troubler les intentions du moi.
Les complexes se comportent effectivement comme des personnalités secondaires ou parcellaires qui possèdent une vie mentale propre.
Ce journal est mon kif, mon aschisch, mon opium. Ma drogue et mon vice. Au lieu d'écrire un roman je m'allonge avec un stylo et ce cahier, je rêve, je me laisse aller aux reflets brisés...
J'ai besoin de revivre ma vie dans le rêve, le rêve est ma vraie vie. Je vois dans les échos qu'il renvoie les seules transfigurations qui gardent à l'émerveillement sa pureté.
Ailleurs tout magie se perd. Ailleurs la vie révèle ses infirmités, la simplicité se change en rouille...
Il faut que tout ce qui est matériel soit ainsi fondu dans le creuset de mon vice car sinon la rouille de la vie ralentirait mon rythme pour en faire un sanglot.
Je regrette seulement que tous veuillent me priver de mon journal, qui est mon seul ami fidèle, le seul qui me fasse supporter la vie, car le bonheur que je trouve avec les humains est si précaire, et je suis si rarement en humeur de me confier que le moindre signe de désintérêt suffit à me réduire au silence.
Dans mon journal je suis à l'aise.
Pour moi la magie ainsi que la réalisation de l'âme tiennent à ça, prendre conscience de ses personnalités autonomes figées dans l'inconscient, parfois formées à un très jeune âge, qui cherchent désespérément l'attention de la conscience pour se libérer et rejoindre l'unité.
Ils trouveront bizarre une adulte autant impliquée dans le rapport à l'enfance, l'accuseront de tous les noms par peur, incapables de comprendre l'intérêt lié à l'intention de conjuguer la fin de sa vie avec son commencement.
L'autonomie et l'amour que l'on peut offrir autour de soi passent aussi par le fait de permettre ce mécanisme naturel de défigement des mémoires passées.
Ceux qui resteront gouvernés par la peur ne se comprendront jamais eux-mêmes et ne se rendront jamais compte du cancer contagieux qu'ils représentent, des virus psychiques qui les manipule comme des marionnettes.
Etre adulte était un souhait explicable à un jeune âge, mais maintenant qu'on en est un, pour évoluer il faut se retourner et accueillir symboliquement l'enfant que l'ont était tout en gardant une position juste et bonne.
Aller vers l'unité en intégrant toutes les parties et en se délestant de toutes les protections conscientes et peurs qui nous éloignent de Laputa.
i'll gather flowers for your crown
il y a 3 mois
Avec l'intégration c'est l'unité au contraire ma destination
Ceux qui ignorent leur multiplicité par contre, se divisent jusqu'à vivre dans une minuscule parcelle de conscience
あそびたい~つ !
Ceux qui ignorent leur multiplicité par contre, se divisent jusqu'à vivre dans une minuscule parcelle de conscience
il y a 3 mois
KJ-Anima
3 mois
Le trouble dissociatif de l'identité (TDI) est un mécanisme de survie qui se développe en réponse à des traumatismes précoces et répétés, généralement avant l'âge de 6 à 9 ans, une période où l'identité n'est pas encore intégrée. Pour faire face à des expériences insupportables, l'esprit compartimente les souvenirs, les émotions et les perceptions en différentes parties distinctes, chacune pouvant évoluer comme une identité autonome avec sa propre vision du monde. Ce paradoxe fondamental – fragmenter son identité pour survivre – rend la construction d’un sentiment de soi stable particulièrement complexe, oscillant entre des états de dissociation et la nécessité d’une intégration.
Si nous soumettons un tel cas à l'expérience des associations, nous découvrirons bientôt que ce sujet n'est pas maître dans sa propre maison : ses réactions sont retardées, modifiées, réprimées ou remplacées par des contenus intrus autonomes.
Un certain nombre de mots inducteurs ne trouveront pas de réponse attribuable à son intention consciente; leur réponse proviendra de certains contenus autonomes qui sont même souvent inconscients pour le sujet. Dans notre cas, nous découvrirons très certainement des réponses qui proviennent du complexe psychique, qui se trouve à la racine de l'idée du cancer.
Chaque fois qu'un mot inducteur touche à quelque chose qui est en relation avec le complexe caché, la réaction du moi conscient est troublée ou même remplacée par une réponse provenant du complexe. Tout se passe comme si le complexe était un être indépendant capable de troubler les intentions du moi.
Les complexes se comportent effectivement comme des personnalités secondaires ou parcellaires qui possèdent une vie mentale propre.
Ce journal est mon kif, mon aschisch, mon opium. Ma drogue et mon vice. Au lieu d'écrire un roman je m'allonge avec un stylo et ce cahier, je rêve, je me laisse aller aux reflets brisés...
J'ai besoin de revivre ma vie dans le rêve, le rêve est ma vraie vie. Je vois dans les échos qu'il renvoie les seules transfigurations qui gardent à l'émerveillement sa pureté.
Ailleurs tout magie se perd. Ailleurs la vie révèle ses infirmités, la simplicité se change en rouille...
Il faut que tout ce qui est matériel soit ainsi fondu dans le creuset de mon vice car sinon la rouille de la vie ralentirait mon rythme pour en faire un sanglot.
Je regrette seulement que tous veuillent me priver de mon journal, qui est mon seul ami fidèle, le seul qui me fasse supporter la vie, car le bonheur que je trouve avec les humains est si précaire, et je suis si rarement en humeur de me confier que le moindre signe de désintérêt suffit à me réduire au silence.
Dans mon journal je suis à l'aise.
Pour moi la magie ainsi que la réalisation de l'âme tiennent à ça, prendre conscience de ses personnalités autonomes figées dans l'inconscient, parfois formées à un très jeune âge, qui cherchent désespérément l'attention de la conscience pour se libérer et rejoindre l'unité.
Ils trouveront bizarre une adulte autant impliquée dans le rapport à l'enfance, l'accuseront de tous les noms par peur, incapables de comprendre l'intérêt lié à l'intention de conjuguer la fin de sa vie avec son commencement.
L'autonomie et l'amour que l'on peut offrir autour de soi passent aussi par le fait de permettre ce mécanisme naturel de défigement des mémoires passées.
Ceux qui resteront gouvernés par la peur ne se comprendront jamais eux-mêmes et ne se rendront jamais compte du cancer contagieux qu'ils représentent, des virus psychiques qui les manipule comme des marionnettes.
Etre adulte était un souhait explicable à un jeune âge, mais maintenant qu'on en est un, pour évoluer il faut se retourner et accueillir symboliquement l'enfant que l'ont était tout en gardant une position juste et bonne.
Aller vers l'unité en intégrant toutes les parties et en se délestant de toutes les protections conscientes et peurs qui nous éloignent de Laputa.
i'll gather flowers for your crown
J'ai tout lu pour la première fois, (pas les liens), j'ai du mal à savoir quelles parties tu tiens de l'extérieur et quelles parties tu as écrit toi-même. En tout cas c'est un sujet qui m'intéresse beaucoup, et je me reconnais dans ce trouble qui m'affecte au quotidien
il y a 3 mois
KJ-Anima
3 mois
Le trouble dissociatif de l'identité (TDI) est un mécanisme de survie qui se développe en réponse à des traumatismes précoces et répétés, généralement avant l'âge de 6 à 9 ans, une période où l'identité n'est pas encore intégrée. Pour faire face à des expériences insupportables, l'esprit compartimente les souvenirs, les émotions et les perceptions en différentes parties distinctes, chacune pouvant évoluer comme une identité autonome avec sa propre vision du monde. Ce paradoxe fondamental – fragmenter son identité pour survivre – rend la construction d’un sentiment de soi stable particulièrement complexe, oscillant entre des états de dissociation et la nécessité d’une intégration.
Si nous soumettons un tel cas à l'expérience des associations, nous découvrirons bientôt que ce sujet n'est pas maître dans sa propre maison : ses réactions sont retardées, modifiées, réprimées ou remplacées par des contenus intrus autonomes.
Un certain nombre de mots inducteurs ne trouveront pas de réponse attribuable à son intention consciente; leur réponse proviendra de certains contenus autonomes qui sont même souvent inconscients pour le sujet. Dans notre cas, nous découvrirons très certainement des réponses qui proviennent du complexe psychique, qui se trouve à la racine de l'idée du cancer.
Chaque fois qu'un mot inducteur touche à quelque chose qui est en relation avec le complexe caché, la réaction du moi conscient est troublée ou même remplacée par une réponse provenant du complexe. Tout se passe comme si le complexe était un être indépendant capable de troubler les intentions du moi.
Les complexes se comportent effectivement comme des personnalités secondaires ou parcellaires qui possèdent une vie mentale propre.
Ce journal est mon kif, mon aschisch, mon opium. Ma drogue et mon vice. Au lieu d'écrire un roman je m'allonge avec un stylo et ce cahier, je rêve, je me laisse aller aux reflets brisés...
J'ai besoin de revivre ma vie dans le rêve, le rêve est ma vraie vie. Je vois dans les échos qu'il renvoie les seules transfigurations qui gardent à l'émerveillement sa pureté.
Ailleurs tout magie se perd. Ailleurs la vie révèle ses infirmités, la simplicité se change en rouille...
Il faut que tout ce qui est matériel soit ainsi fondu dans le creuset de mon vice car sinon la rouille de la vie ralentirait mon rythme pour en faire un sanglot.
Je regrette seulement que tous veuillent me priver de mon journal, qui est mon seul ami fidèle, le seul qui me fasse supporter la vie, car le bonheur que je trouve avec les humains est si précaire, et je suis si rarement en humeur de me confier que le moindre signe de désintérêt suffit à me réduire au silence.
Dans mon journal je suis à l'aise.
Pour moi la magie ainsi que la réalisation de l'âme tiennent à ça, prendre conscience de ses personnalités autonomes figées dans l'inconscient, parfois formées à un très jeune âge, qui cherchent désespérément l'attention de la conscience pour se libérer et rejoindre l'unité.
Ils trouveront bizarre une adulte autant impliquée dans le rapport à l'enfance, l'accuseront de tous les noms par peur, incapables de comprendre l'intérêt lié à l'intention de conjuguer la fin de sa vie avec son commencement.
L'autonomie et l'amour que l'on peut offrir autour de soi passent aussi par le fait de permettre ce mécanisme naturel de défigement des mémoires passées.
Ceux qui resteront gouvernés par la peur ne se comprendront jamais eux-mêmes et ne se rendront jamais compte du cancer contagieux qu'ils représentent, des virus psychiques qui les manipule comme des marionnettes.
Etre adulte était un souhait explicable à un jeune âge, mais maintenant qu'on en est un, pour évoluer il faut se retourner et accueillir symboliquement l'enfant que l'ont était tout en gardant une position juste et bonne.
Aller vers l'unité en intégrant toutes les parties et en se délestant de toutes les protections conscientes et peurs qui nous éloignent de Laputa.
i'll gather flowers for your crown
Moi je bande la
il y a 3 mois
LuneFacho
3 mois
écoute plutôt ca pd
Trop de distortion, j'ai les oreilles fragiles moi
あそびたい~つ !
il y a 3 mois
Non, mais le sujet de l'âme m'intéresse bien au-delà de ce genre de considérations
il y a 3 mois
J'ai tout lu pour la première fois, (pas les liens), j'ai du mal à savoir quelles parties tu tiens de l'extérieur et quelles parties tu as écrit toi-même. En tout cas c'est un sujet qui m'intéresse beaucoup, et je me reconnais dans ce trouble qui m'affecte au quotidien
Trop bien t'as lu
J'ai seulement écrit le dernier texte, qui commence par "pour moi"
Sinon c'est
1 - chat gpt
2 - Jung
3 - Anaïs Nin
La plupart de mes topics en parlent, même si c'est incompréhensible dans la forme, ça a toujours un lien avec cette problématique
Le truc que je t'avais conseillé la dernière fois est bien mais si tu veux des refs de trucs à lire sur le sujet je peux t'en donner
あそびたい~つ !
J'ai seulement écrit le dernier texte, qui commence par "pour moi"
Sinon c'est
1 - chat gpt
2 - Jung
3 - Anaïs Nin
La plupart de mes topics en parlent, même si c'est incompréhensible dans la forme, ça a toujours un lien avec cette problématique
Le truc que je t'avais conseillé la dernière fois est bien mais si tu veux des refs de trucs à lire sur le sujet je peux t'en donner
il y a 3 mois
C'est vrai ?
Oui j'ai le zizi qui gonfle
il y a 3 mois
Très éxagéré comme théorie, on a qu'un seul cerveau, on ne peut pas être deux personnes différentes
La notion à retenir c'est surtout que les traumatismes infantiles rendent les gens tarax
La notion à retenir c'est surtout que les traumatismes infantiles rendent les gens tarax
il y a 3 mois
Oui j'ai le zizi qui gonfle
C'est noté, les documents sont à jour à ton sujet
あそびたい~つ !
il y a 3 mois
C'est noté, les documents sont à jour à ton sujet
Stylé
il y a 3 mois
DechetUltime
3 mois
Très éxagéré comme théorie, on a qu'un seul cerveau, on ne peut pas être deux personnes différentes
La notion à retenir c'est surtout que les traumatismes infantiles rendent les gens tarax
La notion à retenir c'est surtout que les traumatismes infantiles rendent les gens tarax
Oui on peut se dire que c'est exagéré et camper ses positions effectivement
Quel intérêt de se comprendre soi-même après tout
Evidement que les traumas rendent zinzin, et je dis pas que tout le monde est tdi, mais tout le monde a des traumas et des raisons de s'en débarrasser pour guérir collectivement
あそびたい~つ !
Quel intérêt de se comprendre soi-même après tout
Evidement que les traumas rendent zinzin, et je dis pas que tout le monde est tdi, mais tout le monde a des traumas et des raisons de s'en débarrasser pour guérir collectivement
il y a 3 mois
Si je veux pouvoir retrouver ton message plus tard, c'est bien de te connaître toi qui le porte
il y a 3 mois