Ce sujet a été résolu
Non...
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
En vrai sans te mentir après la validation de mon mémoire j'aimerais partir me défoncer la gueule dans un métier très phyisque pour bosser de mes MAINS comme un humain est censé le faire, mais il faut des diplomes de deux ans pour n'importe quel métier putain
MEME POUR BOSSER EN TANT QU'ESCLAVE SUR UN CHALUTIER OU A LA MINE FAUT UNE FORMATION DE DEUX ANS
MEME POUR BOSSER EN TANT QU'ESCLAVE SUR UN CHALUTIER OU A LA MINE FAUT UNE FORMATION DE DEUX ANS
Ca doit pouvoir se faire sans avec de la volonté mon druidouni
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
Ca se voit qu'elle t'aime
Je vis dans une société
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
Je vis dans une société
Le vrai joker du blabla
Je suis la reine des mouches
il y a 5 mois
Le vrai joker du blabla
Mon swippity little munchy crunchy twitty kinddlely touchy paddy
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
AAYYYAAAAA LE MEC QUI SENTRAINE EN VR SUR KINGDOM COME DELIVERANCE II
LE MEC QUI ARRIVE DEVANT LE RUISSEAU : RUISSEAU DU RUISSEAU
LE VIEIL ARBRE TOUCHE PAR LA FOUDRE : PLACE PUBLIQUE
LA CABANE EN BOIS FAITE AVEC DES BRANCHES ET DES FEUILLES POUR LE TOIT : MAIRIE DE SAINTE-FORET-SUR-GENEVIEVE
LE MEC QUI ARRIVE DEVANT LE RUISSEAU : RUISSEAU DU RUISSEAU
LE VIEIL ARBRE TOUCHE PAR LA FOUDRE : PLACE PUBLIQUE
LA CABANE EN BOIS FAITE AVEC DES BRANCHES ET DES FEUILLES POUR LE TOIT : MAIRIE DE SAINTE-FORET-SUR-GENEVIEVE
LE MEC A LEAK MON ADRESSE COMME CA ENFT
il y a 5 mois
Anti-amour...
Le film Joker de 2019 a changé ma vie . . .
Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
Image Image
Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
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Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
Ca doit pouvoir se faire sans avec de la volonté mon druidouni
Bah vraiment si quelqu'un connait un secteur un peu original je suis prenneur, parce qu'a part le btp . . .
il y a 5 mois
LE MEC A LEAK MON ADRESSE COMME CA ENFT
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
Le film Joker de 2019 a changé ma vie . . .
Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
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Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
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Gto ne t'avais pas changé la vie
VS
=
Jhon Wayne Gacy Win
il y a 5 mois
Bah vraiment si quelqu'un connait un secteur un peu original je suis prenneur, parce qu'a part le btp . . .
Ebeniste . . .
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
Le film Joker de 2019 a changé ma vie . . .
Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
Image Image
Depuis mon regard sur la société a complétement changé, je sens que je peux déraper a tout moment.
Cette société me rend malade, je suis accro a la cigarette, il m'arrive de me regarder plusieurs heures dans la glace en faisant des grimaces pour oublier ce monde désaxée.
Le Joker c'est la réalité avec un masque de clown, le Joker c'est quelqu'un qui a toujours subit le mépris des autres, le Joker c'est nous.
Aujourd'hui je ne peux plus me cacher derrière les barreaux de la HP, ce monde a besoin de changement, ce monde a besoin du Joker.
preuve du nofake :
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Image Image, je te crois alors
le GOAT
il y a 5 mois
Gto ne t'avais pas changé la vie
Musique d'ambiance :
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.
Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.
L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.
Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.
Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.
Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.
Et mon coeur se meurt.
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.

Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.

L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.

Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.

Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.

Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.

Et mon coeur se meurt.

Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
Image Image, je te crois alors
. . . je peux tout expliquer . . .
https://onche.org/topic/7[...]r-de-2019-a-change-ma-vie
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
Musique d'ambiance :
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.
Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.
L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.
Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.
Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.
Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.
Et mon coeur se meurt.
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.

Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.

L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.

Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.

Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.

Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.

Et mon coeur se meurt.


Je suis la reine des mouches
il y a 5 mois

Toi t'as toujours les bon gifs
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 5 mois
. . . je peux tout expliquer . . .
https://onche.org/topic/7[...]r-de-2019-a-change-ma-vie
Ca ne crédite pas ses sources ? On peut m'expliquer ?
le GOAT
il y a 5 mois