Ce sujet a été résolu
Iel m'a beaucoup oublié
Y'a pas de tuto
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois
Je suis la bergine je répond vos question
il y a 7 mois
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois
(je suis juste autiste
)
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois
Musique d'ambiance :
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.
Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.
L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.
Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.
Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.
Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.
Et mon coeur se meurt.
Quel week-end... Je n'ai pas décollé de GTO, et atteindre la fin de Great Teacher Onizuka, c’est comme refermer un livre qu’on n’était pas prêt à finir. Une immense vague de tristesse m’envahit, un sentiment de vide, de mélancolie qui s’accroche à moi comme un souvenir trop précieux pour être laissé derrière. C’est une douleur douce, presque apaisante, mêlée d’une étrange sérénité. Car si l’histoire s’arrête, son esprit, lui, continue de vivre en moi.

Mais ce qui me brise le plus... ce n’est pas seulement de devoir dire adieu à Onizuka et à ses leçons de vie. C’est de savoir qu’un anime comme GTO ne pourra jamais être recréé. Même s’ils osaient faire une suite, même s’ils tentaient d’en capturer l’essence, ce ne serait jamais pareil.

L’animation avait cette patte unique, ce grain légèrement rugueux qui donnait du caractère à chaque scène, cette palette de couleurs qui vibrait d’une chaleur presque nostalgique. La définition imparfaite, loin de la froide netteté des productions modernes, rendait chaque moment plus humain, plus vivant. Et surtout... la liberté de ton.

Ce franc-parler, ce mélange d’humour, d’irrévérence et de profondeur... Aujourd’hui, tout est aseptisé, calibré, filtré pour ne froisser personne. Mais GTO, lui, osait. Il osait taper là où ça fait mal, rire quand il ne fallait pas, émouvoir sans prévenir.

Et puis... il y avait le doublage français. Ce doublage incroyable. L’interprétation, le ton, les voix qui résonnent encore dans ma tête... Ils n’étaient pas juste bons, ils étaient les personnages. Ils donnaient à chaque scène cette intensité qui transcendait les dialogues.

Tout cela est perdu à jamais. Je peux revoir GTO, encore et encore, me replonger dans ses épisodes, mais je sais que jamais je ne retrouverai cette première fois. Cette magie brute, ce moment suspendu dans le temps où l’on se dit : cet anime... il est différent.

Et mon coeur se meurt.

Ayaa ce pavé, tu m'as donné envie d'aller le voir
VS
=
Jhon Wayne Gacy Win
il y a 7 mois
Ayaa ce pavé, tu m'as donné envie d'aller le voir
Attends d'avoir vu le 2ème
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois
Un petit peu mais pas tout, je viens de finir dragon ball, dragon ball z et gt en peu de temps
D'ailleurs j'aime bien t'as pdp avec krilin dans les premiers dragon ball
VS
=
Jhon Wayne Gacy Win
D'ailleurs j'aime bien t'as pdp avec krilin dans les premiers dragon ball
il y a 7 mois
Attends d'avoir vu le 2ème
Un deuxième pavé ayaa tarax
VS
=
Jhon Wayne Gacy Win
il y a 7 mois
Un deuxième pavé ayaa tarax
Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois
Aujourd’hui, je ne peux plus me cacher derrière les règles absurdes et les attentes des autres. Ce monde a besoin de changement. Ce monde a besoin d’un Great Teacher. 

Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois
Comme tu le demandais, pour rigoler je t'ai fait la musique de stranger things tout a l'heure @Jouhn_Ingroum

Maybe I just want to maybe...
il y a 7 mois
Roi de rien du tout
(timer)
aucun message caché, j'aime juste l'intonation
aucun message caché, j'aime juste l'intonation
quand les cœurs s'embrasent
il y a 7 mois
Lysaelia
7 mois
Comme tu le demandais, pour rigoler je t'ai fait la musique de stranger things tout a l'heure @Jouhn_Ingroum

Ultra stylé mais je reconnais pas
On parlais de
en parlant de la musique de stranger things . . .
Mais j'aime bien celle que t'as faite
On parlais de
Mais j'aime bien celle que t'as faite

Gardez mémoire de moi, non point tel que j’ai failli, mais tel que j’étais.
il y a 7 mois















