Erdogan qui pouffe de rire
En HP aussi, suffit d'être fou pour avoir un lit, du chauffage, 3 repas par jour, des gentilles infirmières qui viennent te demander comment tu te sens et tu te fais même pas violer
J'suis le mééchaaaaant.
Road to PRISON DREAM les kheyax vous êtes WHERE ?
Ca à l'air bien mieux que le FRENCH DREAM en tout cas.
Ca à l'air bien mieux que le FRENCH DREAM en tout cas.
Dream uniquement pour une certaine communauté
Être gwer en prison c'est un coup à se donner la mort avant la fin de sa peine
Être gwer en prison c'est un coup à se donner la mort avant la fin de sa peine
Petit, laid
En HP aussi, suffit d'être fou pour avoir un lit, du chauffage, 3 repas par jour, des gentilles infirmières qui viennent te demander comment tu te sens et tu te fais même pas violer
peut être mais tu ne sort pas de ta prison psychologique.
Peuple faible mérite sa sodomie. Rien de nouveau sous le Soleil.
Oulà, on se calme sur le peuple français. Je te signale que sous la monarchie, on condamnait bien plus à mort et on ne traitait pas les prisonniers comme des princesses. Ce qui n'est pas une apologie de la monarchie, mais un rappel de ce que ça n'a pas toujours été comme ça. 
Au plaisir ~
Quand est-ce qu’on fait comme au Salvador !
peut être mais tu ne sort pas de ta prison psychologique.
C'est à dire ? Quasiment tout le monde dans le monde libre est psychologiquement prisonnier de boucles usantes jusqu'à la mort
J'suis le mééchaaaaant.
-> [ 
https://nypost.com/2024/1[...]fetishize-luigi-mangione/ ]
Les femmes de gauche jettent virtuellement leurs soutiens-gorge sur le tueur présumé du PDG de United Healthcare, Luigi Mangione, dans un accès d'hystérie sexuelle de masse qui envahit les médias sociaux.
Après son arrestation en décembre dans un McDonald's de Pennsylvanie, Luigi Mangione est instantanément devenu un sex-symbol progressiste, qualifié de « plus beau Jésus » et de « trop beau pour être condamné à la peine de mort », au milieu d'un discours beaucoup plus explicite. Son adresse postale à la prison de Brooklyn est même devenue virale.
Lorsqu'il a plaidé non coupable de meurtre au premier degré dans une salle d'audience de New York lundi, les sièges réservés au public étaient presque entièrement occupés par des jeunes femmes venues, semble-t-il, soutenir le jeune homme de 26 ans. D'autres encore ont fait la queue à l'extérieur avec des affiches sur lesquelles on pouvait lire « Free Luigi » (Libérez Luigi).
Certes, dans le passé, certaines femmes se sont inexplicablement pâmées devant des tueurs comme Ted Bundy et Richard Ramirez. Mais l'ampleur et l'intensité de la folie de Mangione sont inégalées.
C'est parce qu'il a puisé dans une frustration sexuelle de masse qui attendait d'exploser.
Après des années de harcèlement sur la masculinité toxique, la honte des hommes et la chevalerie rigide, certaines femmes de gauche semblent avoir fait une fixation sur Mangione parce qu'il représente une sorte de masculinité qu'elles sont enfin autorisées à célébrer - une masculinité qui est codée comme politiquement acceptable.
Assassiner quelqu'un de sang-froid est la forme la plus « toxique » d'agression masculine que l'on puisse imaginer... à moins, apparemment, que cela ne soit fait au nom de la lutte contre les entreprises et le capitalisme.
Bien sûr, c'est hypocrite, mais c'est logique d'un point de vue psychologique.
On a appris à une génération de jeunes femmes à diaboliser les hommes et à étouffer leur désir naturel d'une dichotomie homme-femme dans leur vie.
Luigi est le summum de la masculinité, tant en termes d'esthétique que d'actions : un étudiant hétéro-normé avec une forte mâchoire qui aurait commis un meurtre de sang-froid de la manière la plus effrontée qui soit.
Il est la proie des goules anticapitalistes refoulées qui peuvent se cacher derrière leurs critiques du secteur de l'assurance - et derrière leurs masques de l'ère Covid, si l'on ne cherche pas à savoir qui étaient ses fans au palais de justice.
Tout cela est l'expression d'un désespoir féroce pour une force masculine, un fantasme sexuel si tordu que ces femmes ont presque oublié que l'ennemi tué n'est pas un dragon, mais plutôt un père qui laisse derrière lui deux fils.
Après avoir dénigré la masculinité des hommes qui les entourent, les ultra-féministes n'ont d'autre choix que de s'accrocher à un fantasme exagéré de galanterie sous la forme de Mangione, car, lorsque les expressions saines de la masculinité et de la féminité sont supprimées, les extrêmes malsains sont fétichisés.
Il ne s'agit pas d'une simple théorie.
En privé, elles demandent en masse à leurs partenaires sexuels de les étouffer pendant les rapports. En fait, deux tiers des étudiantes - peut-être l'échantillon le plus progressiste qui soit - déclarent avoir été étranglées pendant un rapport sexuel.
Les jeunes femmes insistent sur le fait qu'elles sont aussi puissantes que les hommes dans la vie de tous les jours et pourtant, dans la chambre à coucher, elles sont excitées par le fait de donner à leur partenaire sexuel le pouvoir de les tuer.
Parce que, lorsque les femmes sont conditionnées à croire que tenir une porte et offrir un siège dans le métro sont des insultes misogynes, un désir refoulé de dynamique naturelle des genres s'exprimera d'une autre manière.
Il est clair que le féminisme de la troisième vague a laissé aux femmes une relation déformée avec la masculinité : Il s'agit d'une chose à dénigrer dans ses formes saines et à fétichiser dans ses extrêmes dépravés.
Alors que les jeunes femmes d'aujourd'hui sont ouvertement progressistes en matière de dynamique des genres en public, une histoire très différente se joue derrière les portes closes.
C'est parce qu'on a appris aux jeunes femmes à nier la nature en émasculant leurs partenaires et en supprimant leur désir de trouver le yin de leur yang féminin. Elles ont chassé la masculinité de leur vie, et maintenant elle leur manque, qu'elles en soient conscientes ou non.
Si l'on ajoute un tueur présumé séduisant dont le mobile est en accord avec ses idées politiques, on obtient une sensation sexuelle.
À notre époque où la masculinité est toxique, le vigilantisme est fétichisé.
Les femmes de gauche jettent virtuellement leurs soutiens-gorge sur le tueur présumé du PDG de United Healthcare, Luigi Mangione, dans un accès d'hystérie sexuelle de masse qui envahit les médias sociaux.
Après son arrestation en décembre dans un McDonald's de Pennsylvanie, Luigi Mangione est instantanément devenu un sex-symbol progressiste, qualifié de « plus beau Jésus » et de « trop beau pour être condamné à la peine de mort », au milieu d'un discours beaucoup plus explicite. Son adresse postale à la prison de Brooklyn est même devenue virale.
Lorsqu'il a plaidé non coupable de meurtre au premier degré dans une salle d'audience de New York lundi, les sièges réservés au public étaient presque entièrement occupés par des jeunes femmes venues, semble-t-il, soutenir le jeune homme de 26 ans. D'autres encore ont fait la queue à l'extérieur avec des affiches sur lesquelles on pouvait lire « Free Luigi » (Libérez Luigi).
Certes, dans le passé, certaines femmes se sont inexplicablement pâmées devant des tueurs comme Ted Bundy et Richard Ramirez. Mais l'ampleur et l'intensité de la folie de Mangione sont inégalées.
C'est parce qu'il a puisé dans une frustration sexuelle de masse qui attendait d'exploser.
Après des années de harcèlement sur la masculinité toxique, la honte des hommes et la chevalerie rigide, certaines femmes de gauche semblent avoir fait une fixation sur Mangione parce qu'il représente une sorte de masculinité qu'elles sont enfin autorisées à célébrer - une masculinité qui est codée comme politiquement acceptable.
Assassiner quelqu'un de sang-froid est la forme la plus « toxique » d'agression masculine que l'on puisse imaginer... à moins, apparemment, que cela ne soit fait au nom de la lutte contre les entreprises et le capitalisme.
Bien sûr, c'est hypocrite, mais c'est logique d'un point de vue psychologique.
On a appris à une génération de jeunes femmes à diaboliser les hommes et à étouffer leur désir naturel d'une dichotomie homme-femme dans leur vie.
Luigi est le summum de la masculinité, tant en termes d'esthétique que d'actions : un étudiant hétéro-normé avec une forte mâchoire qui aurait commis un meurtre de sang-froid de la manière la plus effrontée qui soit.
Il est la proie des goules anticapitalistes refoulées qui peuvent se cacher derrière leurs critiques du secteur de l'assurance - et derrière leurs masques de l'ère Covid, si l'on ne cherche pas à savoir qui étaient ses fans au palais de justice.
Tout cela est l'expression d'un désespoir féroce pour une force masculine, un fantasme sexuel si tordu que ces femmes ont presque oublié que l'ennemi tué n'est pas un dragon, mais plutôt un père qui laisse derrière lui deux fils.
Après avoir dénigré la masculinité des hommes qui les entourent, les ultra-féministes n'ont d'autre choix que de s'accrocher à un fantasme exagéré de galanterie sous la forme de Mangione, car, lorsque les expressions saines de la masculinité et de la féminité sont supprimées, les extrêmes malsains sont fétichisés.
Il ne s'agit pas d'une simple théorie.
En privé, elles demandent en masse à leurs partenaires sexuels de les étouffer pendant les rapports. En fait, deux tiers des étudiantes - peut-être l'échantillon le plus progressiste qui soit - déclarent avoir été étranglées pendant un rapport sexuel.
Les jeunes femmes insistent sur le fait qu'elles sont aussi puissantes que les hommes dans la vie de tous les jours et pourtant, dans la chambre à coucher, elles sont excitées par le fait de donner à leur partenaire sexuel le pouvoir de les tuer.
Parce que, lorsque les femmes sont conditionnées à croire que tenir une porte et offrir un siège dans le métro sont des insultes misogynes, un désir refoulé de dynamique naturelle des genres s'exprimera d'une autre manière.
Il est clair que le féminisme de la troisième vague a laissé aux femmes une relation déformée avec la masculinité : Il s'agit d'une chose à dénigrer dans ses formes saines et à fétichiser dans ses extrêmes dépravés.
Alors que les jeunes femmes d'aujourd'hui sont ouvertement progressistes en matière de dynamique des genres en public, une histoire très différente se joue derrière les portes closes.
C'est parce qu'on a appris aux jeunes femmes à nier la nature en émasculant leurs partenaires et en supprimant leur désir de trouver le yin de leur yang féminin. Elles ont chassé la masculinité de leur vie, et maintenant elle leur manque, qu'elles en soient conscientes ou non.
Si l'on ajoute un tueur présumé séduisant dont le mobile est en accord avec ses idées politiques, on obtient une sensation sexuelle.
À notre époque où la masculinité est toxique, le vigilantisme est fétichisé.
Grand ami des LGBT, voici mon drapeau : 
C'est à dire ? Quasiment tout le monde dans le monde libre est psychologiquement prisonnier de boucles usantes jusqu'à la mort
oui mais dans si tu te fais enfermé dans un hôpital tu ne sort pas sent autorisation.
moi je le peut. je ne demande pas l'autorisation a un médecin, je ne suis pas surveillé par une infirmiére.
moi je le peut. je ne demande pas l'autorisation a un médecin, je ne suis pas surveillé par une infirmiére.
non merci je préfère resté sdf
Dommage tu pourrais être au chaud ; nourri logé et blanchi par les cucks bon français travailleurs.
Grand ami des LGBT, voici mon drapeau :
En HP aussi, suffit d'être fou pour avoir un lit, du chauffage, 3 repas par jour, des gentilles infirmières qui viennent te demander comment tu te sens et tu te fais même pas violer
Stylé.
Hésitez pas à partager vos bonnes astuces mes crayons, moi pendant mes études j'habitais dans une cage à rat 9m² avec un seul repas par jour.
Hésitez pas à partager vos bonnes astuces mes crayons, moi pendant mes études j'habitais dans une cage à rat 9m² avec un seul repas par jour.
Grand ami des LGBT, voici mon drapeau :
oui mais dans si tu te fais enfermé dans un hôpital tu ne sort pas sent autorisation.
moi je le peut. je ne demande pas l'autorisation a un médecin, je ne suis pas surveillé par une infirmiére.
moi je le peut. je ne demande pas l'autorisation a un médecin, je ne suis pas surveillé par une infirmiére.
Tu connais très mal le monde de la psychiatrie et pour reprendre le parallèle avec le sujet du topic c'est 1000x pire d'aller en prison
J'suis le mééchaaaaant.
Ca fait beaucoup de mots pour dire que tu vas enfin t'expatrier de ce shithole.
Même pas une expatriation.
Plutôt pour l'acquisition d'une maison de campagne, sans emprunt bancaire ni même d'héritage quelconque.
Et cela avance particulièrement bien.
Plutôt pour l'acquisition d'une maison de campagne, sans emprunt bancaire ni même d'héritage quelconque.
Et cela avance particulièrement bien.
Stylé.
Hésitez pas à partager vos bonnes astuces mes crayons, moi pendant mes études j'habitais dans une cage à rat 9m² avec un seul repas par jour.
Hésitez pas à partager vos bonnes astuces mes crayons, moi pendant mes études j'habitais dans une cage à rat 9m² avec un seul repas par jour.
Bah oui c'est ça c'est qu'est ouf dans ce putain de pays
Après une des différences majeures à retenir c'est que sur le long terme, l'étudiant galérien a des moyens de se projeter que le taré à l'AAH n'a pas
Après une des différences majeures à retenir c'est que sur le long terme, l'étudiant galérien a des moyens de se projeter que le taré à l'AAH n'a pas
J'suis le mééchaaaaant.
Dommage tu pourrais être au chaud ; nourri logé et blanchi par les cucks bon français travailleurs.
et violé tout les soirs
Les étudiants vous êtes WHERE ?
Pourquoi aller à la FAC alors que vous pouvez aller en PRISON ?
La cage à souris 9m² puante du CROUS avec repas à 2€ au R-U signé « poulet » alors que c'est de la viande de rat ; ou vivre en prison comme un SULTAN nourri, logé et blanchi par le cuck-tribuable français ?
Pourquoi aller à la FAC alors que vous pouvez aller en PRISON ?
La cage à souris 9m² puante du CROUS avec repas à 2€ au R-U signé « poulet » alors que c'est de la viande de rat ; ou vivre en prison comme un SULTAN nourri, logé et blanchi par le cuck-tribuable français ?
Grand ami des LGBT, voici mon drapeau :
la chance
J'en peux plus de ce pays
Tuto pour vivre longtemps et en bonne santé (physique et mentale) : https://onche.org/topic/832673/
J'en peux plus de ce pays