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6 mois
Les invasions barbares ne sont pas un accident de l’histoire, elles en sont une constante. Chaque fois que l’ordre méditerranéen s’est affirmé, il a été remis en question par des forces qui ne comprenaient pas sa valeur. Déjà, les Germains avaient ruiné Rome, non par supériorité, mais par incapacité à maintenir ce qu’ils avaient détruit. Ce fut encore le cas lorsque le Moyen Âge, dominé par une féodalité fruste et arriérée, enterra les avancées antiques sous des siècles d’obscurantisme.
Puis, lorsque la Renaissance, impulsée par les penseurs italiens, redonna un souffle de grandeur au monde, ce sont encore les peuples du Nord, protestants austères et marchands avides, qui ont tordu cet élan vers leur propre matérialisme.
L’époque moderne n’est pas une victoire du progrès, mais une reddition face à la médiocrité. La culture anglo-saxonne, synthèse dévoyée des tendances nordiques et de résidus africains importés par la traite, a imposé un modèle de société fondé sur l’utile au détriment du sublime. Le raffinement méditerranéen a laissé place à la standardisation industrielle, la contemplation a cédé sous la tyrannie du divertissement.
Aujourd’hui, nous vivons dans un monde où l’on méprise l’élégance intellectuelle au profit d’une vulgarité assumée, où l’on érige en modèle la productivité brute plutôt que l’élévation spirituelle. La philosophie grecque est remplacée par la publicité, la grandeur romaine par la bureaucratie, l’art méditerranéen par le consumérisme anglo-saxon.
L’histoire nous enseigne que rien ne dure éternellement. De même que Rome est tombée sous le poids de sa propre complaisance, la domination nordique moderne finira par s’effondrer sous son vide existentiel. La seule question qui demeure est la suivante : l’idéal méditerranéen, porteur de sens et d’harmonie, saura-t-il renaître, ou serons-nous condamnés à l’oubli, entraînés dans la dissolution générale d’une humanité qui a renié son propre héritage ?
Il appartient à ceux qui voient, à ceux qui comprennent, de ne pas se laisser engloutir.
Puis, lorsque la Renaissance, impulsée par les penseurs italiens, redonna un souffle de grandeur au monde, ce sont encore les peuples du Nord, protestants austères et marchands avides, qui ont tordu cet élan vers leur propre matérialisme.
L’époque moderne n’est pas une victoire du progrès, mais une reddition face à la médiocrité. La culture anglo-saxonne, synthèse dévoyée des tendances nordiques et de résidus africains importés par la traite, a imposé un modèle de société fondé sur l’utile au détriment du sublime. Le raffinement méditerranéen a laissé place à la standardisation industrielle, la contemplation a cédé sous la tyrannie du divertissement.
Aujourd’hui, nous vivons dans un monde où l’on méprise l’élégance intellectuelle au profit d’une vulgarité assumée, où l’on érige en modèle la productivité brute plutôt que l’élévation spirituelle. La philosophie grecque est remplacée par la publicité, la grandeur romaine par la bureaucratie, l’art méditerranéen par le consumérisme anglo-saxon.
L’histoire nous enseigne que rien ne dure éternellement. De même que Rome est tombée sous le poids de sa propre complaisance, la domination nordique moderne finira par s’effondrer sous son vide existentiel. La seule question qui demeure est la suivante : l’idéal méditerranéen, porteur de sens et d’harmonie, saura-t-il renaître, ou serons-nous condamnés à l’oubli, entraînés dans la dissolution générale d’une humanité qui a renié son propre héritage ?
Il appartient à ceux qui voient, à ceux qui comprennent, de ne pas se laisser engloutir.

arrêtez de faire des fanfics sainte, ça ne ressemble ni à ce que je pense (ou alors très vaguement) ni à comment j'écris
il y a 6 mois
Pas assez à mon goût et toi ?
moi ça va même si ça pourrait aller mieux, n'oublie pas de faire une sieste
il y a 6 mois