Ce sujet a été résolu
ChrisField
1 an
Lien de l'article :
https://www.journaldugeek[...]ur-la-physique-quantique/
Avant propos pour comprendre les implication possible :
L'hypothèse selon laquelle la conscience pourrait fonctionner sous des interactions quantiques :
1. Nature de la conscience : Si la conscience est liée à des phénomènes quantiques, cela suggérerait que notre conscience est plus fondamentale et potentiellement interconnectée avec l'univers à un niveau plus profond que ce que les modèles classiques de la neuroscience ne suggèrent. Cela pourrait impliquer que la conscience est non locale, c'est-à-dire qu'elle ne serait pas limitée par les frontières physiques du cerveau.
2. Libre arbitre et déterminisme : Les phénomènes quantiques, tels que l'indétermination et le hasard, pourraient fournir un modèle dans lequel le libre arbitre a une place réelle, contrairement au déterminisme strict des systèmes classiques. Cela pourrait transformer notre compréhension de la responsabilité personnelle et de l'éthique.
3. Perception de la réalité : Une conscience quantique pourrait signifier que notre perception de la réalité est en partie co-créée par notre propre conscience, suggérant que la réalité est plus subjective et moins fixe qu'elle n'est traditionnellement perçue.
4. Mémoire et traitement de l'information : Les propriétés quantiques comme la superposition ou l'enchevêtrement pourraient permettre à la conscience de traiter l'information de manière plus complexe, peut-être en accédant à des informations non localisées ou en opérant sur plusieurs niveaux de réalité simultanément.
5. Implications spirituelles : L'idée que la conscience pourrait avoir une base quantique pourrait rapprocher la science de certaines conceptions spirituelles qui voient la conscience comme une force primordiale ou universelle. Cela pourrait potentiellement réconcilier certaines approches mystiques avec la science moderne.
Maintenant voici l'article pour ceux qui ne veulent pas cliquer sur le liens :
" Par Antoine Gautherie le 10 août 2024 à 8h04
Une équipe de chercheurs chinois pense avoir identifié un phénomène quantique dans les neurones qui, s’il est vérifié, pourrait enfin nous permettre de commencer à comprendre les mécanismes de la conscience.
Quantum Consciousness
© Journal du Geek - MidjourneyAI
L’origine de la conscience est un mystère qui fascine les humains depuis des siècles. Certains des plus grands penseurs de l’Antiquité, comme Platon, Aristote ou Marc Aurèle, cherchaient déjà à déterminer pourquoi notre espèce dispose de cette sensibilité en apparence rare à ses propres pensées et émotions. Et même si la méthodologie a radicalement changé, cette quête continue aujourd’hui ; des tas de chercheurs essaient tant bien que mal de définir un cadre rigoureux pour l’étude de la conscience — avec des résultats assez mitigés, il faut bien l’admettre. Aucun consensus n’a jamais émergé ; même les plus grands spécialistes sont incapables d’affirmer en quoi consiste exactement cette conscience et sur quels mécanismes elle repose.
Récemment, une équipe chinoise composée de chercheurs des universités de Shanghai et du Sichuan a encore apporté de l’eau à ce moulin avec une nouvelle proposition assez exotique, mais fascinante repérée par ScienceAlert. Selon eux, la réponse pourrait se cacher dans le domaine de la physique quantique.
Plus spécifiquement, leur théorie repose sur l’intrication quantique. C’est un phénomène à travers lequel deux ou plusieurs particules se retrouvent corrélées de telle manière que leurs états quantiques sont interdépendants, quelle que soit la distance qui les sépare. Mesurer l’état d’une de ces particules revient aussi à déterminer instantanément l’état des autres, quelle que soit la distance qui les sépare — d’où la célèbre phrase d’Einstein qui parlait de « spooky action at a distance » (« action effrayante à distance »).
Même si cela peut sembler extrêmement contre-intuitif, c’est un phénomène aujourd’hui plutôt bien documenté qui joue un rôle important en physique théorique, mais aussi dans des applications concrètes comme l’informatique quantique… et la neuropsychologie, si l’on en croit les auteurs Zefei Liu, Yong-Cong Chen et Ping Ao.
La “conscience quantique“, une idée déjà explorée
Les bases de ces travaux ont été posées il y a quelques mois, quand une autre équipe de chercheurs a découvert que certaines structures cellulaires pouvaient être sujettes à la superradiance. C’est un phénomène quantique où un groupe d’atomes ou de molécules dans un état excité peuvent émettre collectivement un rayonnement extrêmement cohérent. Jusqu’à présent, c e phénomène a surtout été étudié dans des domaines comme l’optique ou l’astrophysique ; le fait d’en retrouver la trace dans des structures biologiques a beaucoup inspiré certains chercheurs, qui se sont mis à chercher des liens entre la superradiance et certains phénomènes physiologiques encore inexpliqués… comme la conscience.
Rapidement, ces discussions se sont recentrées autour d’une théorie proposée par Stuart Hameroff et surtout Roger Penrose. Ce dernier est un titan de la physique moderne qui a notamment reçu un Prix Nobel en 2020 pour ses travaux sur les singularités et la formation des trous noirs.
Ensemble, ils ont accouché d’un modèle dit de la réduction objective orchestrée (ou Orch-OR). L’idée centrale, c’est que des éléments structuraux des cellules appelés microtubules pourraient être le siège d’un autre phénomène quantique : la superposition, où une même particule peut exister simultanément dans différents états quantiques. En d’autres termes, le squelette de nos neurones se comporterait comme une sorte de minuscule ordinateur quantique dont le fonctionnement serait à l’origine de la conscience.
Une réconcilliation progressive de la biologie et de la physique quantique
Il faut admettre qu’il s’agit d’une expérience de pensée assez séduisante. Intuitivement, on peut facilement dresser certains parallèles entre la conscience et la physique quantique. Mais en dépit du pedigree de ses auteurs, cette théorie exotique reste malgré tout très controversée.
Les physiciens ont déjà toutes les peines du monde à maintenir des atomes en interaction et en superposition dans des ordinateurs quantiques, car il s’agit de phénomènes très délicats que l’on ne sait reproduire que dans des conditions extrêmement précises et contrôlées. Traditionnellement, ils ont donc toujours considéré que la biologie est par nature trop instable et chaotique pour servir de support à ces phénomènes quantiques.
Mais petit à petit, au fur et à mesure que la physique quantique progresse, cet état de fait est de plus en plus remis en question. Par exemple, un nombre croissant d’études suggère désormais que certains animaux migrateurs s’appuieraient sur une sorte de « boussole quantique » pour retrouver leur chemin sur de très longues distances. L’année dernière, des chercheurs américains ont aussi prouvé que les plantes vertes utilisent un tour de passe-passe quantique dans le cadre de la photosynthèse.
La photosynthèse des plantes utilise un tour de passe-passe quantique
L’idée que des pans entiers de la biologie pourraient reposer sur des phénomènes quantiques n’est donc plus aussi absurde qu’elle ne l’était autrefois. Et des tas de chercheurs commencent à s’engouffrer dans la brèche. C’est justement le cas de Liu et ses collègues, qui estiment en avoir trouvé un nouvel exemple potentiel dans le cerveau.
Une communication quantique entre les neurones
Leurs travaux portent sur la myéline, une gaine isolante qui entoure les axones (les “bras” des neurones). Son rôle est de protéger les signaux qui voyagent dans le système nerveux et d’en augmenter la vitesse.
Myéline
Un schéma de la structure d’un neurone, avec la gaine de myéline en jaune. © Dhp1080 / US National Cancer Institute’s Surveillance, Epidemiology and End Results via Wikimedia Commons
Mais elle pourrait aussi être le siège d’un autre phénomène jamais documenté à ce jour. Selon les chercheurs chinois, la cavité cylindrique formée par la gaine de myéline pourrait favoriser l’apparition d’une sorte de résonance dans les liaisons entre les innombrables atomes de carbone et d’hydrogène au sein des neurones (on parle de liaisons C-H). Ces vibrations conduiraient à l’émission spontanée de photons, les particules qui servent de vecteur à la lumière, par ces liaisons C-H. Parfois, ces photons se retrouveraient dans l’état d’intrication décrit plus haut. Ces ensembles de particules liées au niveau quantique pourraient donc servir de vecteurs d’information, un peu comme les qbits des ordinateurs quantiques.
Myelin Quantum Entanglement
© Liu et al., Physical Review E, 2024
Les signaux ainsi créés seraient interconnectés et, grâce à l’intrication, voyageraient immensément plus vite que les décharges électriques traditionnellement associées au système nerveux. Cela pourrait permettre d’expliquer comment différentes parties de notre cerveau synchronisent leurs activités respectives de manière si efficace, et en extrapolant, comment fonctionne la conscience.
Une piste encore balbutiante, mais fascinante
Ces travaux sont encore extrêmement exploratoires, et largement insuffisants pour parvenir à une conclusion rigoureuse. Pour en arriver là, il faudra déjà commencer par vérifier expérimentalement le phénomène décrit par Liu et ses collègues, ce qui ne sera pas une mince affaire. Et même si d’autres chercheurs réussissent à prouver que de tels phénomènes quantiques ont bel et bien lieu dans les neurones, il sera tout sauf évident de relier ces observations aux mécanismes de la conscience. "
Avant propos pour comprendre les implication possible :
L'hypothèse selon laquelle la conscience pourrait fonctionner sous des interactions quantiques :
1. Nature de la conscience : Si la conscience est liée à des phénomènes quantiques, cela suggérerait que notre conscience est plus fondamentale et potentiellement interconnectée avec l'univers à un niveau plus profond que ce que les modèles classiques de la neuroscience ne suggèrent. Cela pourrait impliquer que la conscience est non locale, c'est-à-dire qu'elle ne serait pas limitée par les frontières physiques du cerveau.
2. Libre arbitre et déterminisme : Les phénomènes quantiques, tels que l'indétermination et le hasard, pourraient fournir un modèle dans lequel le libre arbitre a une place réelle, contrairement au déterminisme strict des systèmes classiques. Cela pourrait transformer notre compréhension de la responsabilité personnelle et de l'éthique.
3. Perception de la réalité : Une conscience quantique pourrait signifier que notre perception de la réalité est en partie co-créée par notre propre conscience, suggérant que la réalité est plus subjective et moins fixe qu'elle n'est traditionnellement perçue.
4. Mémoire et traitement de l'information : Les propriétés quantiques comme la superposition ou l'enchevêtrement pourraient permettre à la conscience de traiter l'information de manière plus complexe, peut-être en accédant à des informations non localisées ou en opérant sur plusieurs niveaux de réalité simultanément.
5. Implications spirituelles : L'idée que la conscience pourrait avoir une base quantique pourrait rapprocher la science de certaines conceptions spirituelles qui voient la conscience comme une force primordiale ou universelle. Cela pourrait potentiellement réconcilier certaines approches mystiques avec la science moderne.
Maintenant voici l'article pour ceux qui ne veulent pas cliquer sur le liens :
" Par Antoine Gautherie le 10 août 2024 à 8h04
Une équipe de chercheurs chinois pense avoir identifié un phénomène quantique dans les neurones qui, s’il est vérifié, pourrait enfin nous permettre de commencer à comprendre les mécanismes de la conscience.
Quantum Consciousness
© Journal du Geek - MidjourneyAI
L’origine de la conscience est un mystère qui fascine les humains depuis des siècles. Certains des plus grands penseurs de l’Antiquité, comme Platon, Aristote ou Marc Aurèle, cherchaient déjà à déterminer pourquoi notre espèce dispose de cette sensibilité en apparence rare à ses propres pensées et émotions. Et même si la méthodologie a radicalement changé, cette quête continue aujourd’hui ; des tas de chercheurs essaient tant bien que mal de définir un cadre rigoureux pour l’étude de la conscience — avec des résultats assez mitigés, il faut bien l’admettre. Aucun consensus n’a jamais émergé ; même les plus grands spécialistes sont incapables d’affirmer en quoi consiste exactement cette conscience et sur quels mécanismes elle repose.
Récemment, une équipe chinoise composée de chercheurs des universités de Shanghai et du Sichuan a encore apporté de l’eau à ce moulin avec une nouvelle proposition assez exotique, mais fascinante repérée par ScienceAlert. Selon eux, la réponse pourrait se cacher dans le domaine de la physique quantique.
Plus spécifiquement, leur théorie repose sur l’intrication quantique. C’est un phénomène à travers lequel deux ou plusieurs particules se retrouvent corrélées de telle manière que leurs états quantiques sont interdépendants, quelle que soit la distance qui les sépare. Mesurer l’état d’une de ces particules revient aussi à déterminer instantanément l’état des autres, quelle que soit la distance qui les sépare — d’où la célèbre phrase d’Einstein qui parlait de « spooky action at a distance » (« action effrayante à distance »).
Même si cela peut sembler extrêmement contre-intuitif, c’est un phénomène aujourd’hui plutôt bien documenté qui joue un rôle important en physique théorique, mais aussi dans des applications concrètes comme l’informatique quantique… et la neuropsychologie, si l’on en croit les auteurs Zefei Liu, Yong-Cong Chen et Ping Ao.
La “conscience quantique“, une idée déjà explorée
Les bases de ces travaux ont été posées il y a quelques mois, quand une autre équipe de chercheurs a découvert que certaines structures cellulaires pouvaient être sujettes à la superradiance. C’est un phénomène quantique où un groupe d’atomes ou de molécules dans un état excité peuvent émettre collectivement un rayonnement extrêmement cohérent. Jusqu’à présent, c e phénomène a surtout été étudié dans des domaines comme l’optique ou l’astrophysique ; le fait d’en retrouver la trace dans des structures biologiques a beaucoup inspiré certains chercheurs, qui se sont mis à chercher des liens entre la superradiance et certains phénomènes physiologiques encore inexpliqués… comme la conscience.
Rapidement, ces discussions se sont recentrées autour d’une théorie proposée par Stuart Hameroff et surtout Roger Penrose. Ce dernier est un titan de la physique moderne qui a notamment reçu un Prix Nobel en 2020 pour ses travaux sur les singularités et la formation des trous noirs.
Ensemble, ils ont accouché d’un modèle dit de la réduction objective orchestrée (ou Orch-OR). L’idée centrale, c’est que des éléments structuraux des cellules appelés microtubules pourraient être le siège d’un autre phénomène quantique : la superposition, où une même particule peut exister simultanément dans différents états quantiques. En d’autres termes, le squelette de nos neurones se comporterait comme une sorte de minuscule ordinateur quantique dont le fonctionnement serait à l’origine de la conscience.
Une réconcilliation progressive de la biologie et de la physique quantique
Il faut admettre qu’il s’agit d’une expérience de pensée assez séduisante. Intuitivement, on peut facilement dresser certains parallèles entre la conscience et la physique quantique. Mais en dépit du pedigree de ses auteurs, cette théorie exotique reste malgré tout très controversée.
Les physiciens ont déjà toutes les peines du monde à maintenir des atomes en interaction et en superposition dans des ordinateurs quantiques, car il s’agit de phénomènes très délicats que l’on ne sait reproduire que dans des conditions extrêmement précises et contrôlées. Traditionnellement, ils ont donc toujours considéré que la biologie est par nature trop instable et chaotique pour servir de support à ces phénomènes quantiques.
Mais petit à petit, au fur et à mesure que la physique quantique progresse, cet état de fait est de plus en plus remis en question. Par exemple, un nombre croissant d’études suggère désormais que certains animaux migrateurs s’appuieraient sur une sorte de « boussole quantique » pour retrouver leur chemin sur de très longues distances. L’année dernière, des chercheurs américains ont aussi prouvé que les plantes vertes utilisent un tour de passe-passe quantique dans le cadre de la photosynthèse.
La photosynthèse des plantes utilise un tour de passe-passe quantique
L’idée que des pans entiers de la biologie pourraient reposer sur des phénomènes quantiques n’est donc plus aussi absurde qu’elle ne l’était autrefois. Et des tas de chercheurs commencent à s’engouffrer dans la brèche. C’est justement le cas de Liu et ses collègues, qui estiment en avoir trouvé un nouvel exemple potentiel dans le cerveau.
Une communication quantique entre les neurones
Leurs travaux portent sur la myéline, une gaine isolante qui entoure les axones (les “bras” des neurones). Son rôle est de protéger les signaux qui voyagent dans le système nerveux et d’en augmenter la vitesse.
Myéline
Un schéma de la structure d’un neurone, avec la gaine de myéline en jaune. © Dhp1080 / US National Cancer Institute’s Surveillance, Epidemiology and End Results via Wikimedia Commons
Mais elle pourrait aussi être le siège d’un autre phénomène jamais documenté à ce jour. Selon les chercheurs chinois, la cavité cylindrique formée par la gaine de myéline pourrait favoriser l’apparition d’une sorte de résonance dans les liaisons entre les innombrables atomes de carbone et d’hydrogène au sein des neurones (on parle de liaisons C-H). Ces vibrations conduiraient à l’émission spontanée de photons, les particules qui servent de vecteur à la lumière, par ces liaisons C-H. Parfois, ces photons se retrouveraient dans l’état d’intrication décrit plus haut. Ces ensembles de particules liées au niveau quantique pourraient donc servir de vecteurs d’information, un peu comme les qbits des ordinateurs quantiques.
Myelin Quantum Entanglement
© Liu et al., Physical Review E, 2024
Les signaux ainsi créés seraient interconnectés et, grâce à l’intrication, voyageraient immensément plus vite que les décharges électriques traditionnellement associées au système nerveux. Cela pourrait permettre d’expliquer comment différentes parties de notre cerveau synchronisent leurs activités respectives de manière si efficace, et en extrapolant, comment fonctionne la conscience.
Une piste encore balbutiante, mais fascinante
Ces travaux sont encore extrêmement exploratoires, et largement insuffisants pour parvenir à une conclusion rigoureuse. Pour en arriver là, il faudra déjà commencer par vérifier expérimentalement le phénomène décrit par Liu et ses collègues, ce qui ne sera pas une mince affaire. Et même si d’autres chercheurs réussissent à prouver que de tels phénomènes quantiques ont bel et bien lieu dans les neurones, il sera tout sauf évident de relier ces observations aux mécanismes de la conscience. "
C'était déjà connu depuis un bail que des phénomènes quantiques ont probablement lieu dans le cerveau (depuis Penrose)
Dire que pour cette raison, les phénomènes quantiques sont à l'origine de la conscience c'est faire une extrapolation catastrophique
Combien même ça serait vrai, toutes les implications donnés en préambule de ton topax sont des assertions de low QI qui comprennent rien à la physique quantique mais qui adorent lâcher du blablabla scientifique sans aucun sens pour justifier de la merde spirituelle New age
Dire que pour cette raison, les phénomènes quantiques sont à l'origine de la conscience c'est faire une extrapolation catastrophique
Combien même ça serait vrai, toutes les implications donnés en préambule de ton topax sont des assertions de low QI qui comprennent rien à la physique quantique mais qui adorent lâcher du blablabla scientifique sans aucun sens pour justifier de la merde spirituelle New age
il y a un an
C'était déjà connu depuis un bail que des phénomènes quantiques ont probablement lieu dans le cerveau (depuis Penrose)
Dire que pour cette raison, les phénomènes quantiques sont à l'origine de la conscience c'est faire une extrapolation catastrophique
Combien même ça serait vrai, toutes les implications donnés en préambule de ton topax sont des assertions de low QI qui comprennent rien à la physique quantique mais qui adorent lâcher du blablabla scientifique sans aucun sens pour justifier de la merde spirituelle New age
Dire que pour cette raison, les phénomènes quantiques sont à l'origine de la conscience c'est faire une extrapolation catastrophique
Combien même ça serait vrai, toutes les implications donnés en préambule de ton topax sont des assertions de low QI qui comprennent rien à la physique quantique mais qui adorent lâcher du blablabla scientifique sans aucun sens pour justifier de la merde spirituelle New age
Merci de ta contribution, tu aura une place de choix dans ma secte religion
il y a un an
Faut quand même avouer que les médias de vulgarisation survendent très souvent les articles scientifiques
Et que bcp de scientifiques sont du coté obscur et survendent des découvertes pour faire du bif
Luc Montagné et Jean-Pierre Petit sont passé du coté obscur
Luc Montagné et Jean-Pierre Petit sont passé du coté obscur
il y a un an
Et que bcp de scientifiques sont du coté obscur et survendent des découvertes pour faire du bif
Luc Montagné et Jean-Pierre Petit sont passé du coté obscur
Luc Montagné et Jean-Pierre Petit sont passé du coté obscur
Faut bien manger après-tout.
il y a un an
les particules quantiques sont dans un état certain que quand un être vivant les observes, la question est qu'est ce qui fait la difference entre un capteur et un être vivant
J'adore parler avec les descos
Non pas forcément un être vivant, juste lorsqu'il y interaction avec un autre système qui peut provoquer l'effondrement de la fonction d'onde, ça peut être n'importe quoi, essaie encore
il y a un an
J'adore parler avec les descos
Non pas forcément un être vivant, juste lorsqu'il y interaction avec un autre système qui peut provoquer l'effondrement de la fonction d'onde, ça peut être n'importe quoi, essaie encore
n'importe quoi comme quoi?
il y a un an
J'adore parler avec les descos
Non pas forcément un être vivant, juste lorsqu'il y interaction avec un autre système qui peut provoquer l'effondrement de la fonction d'onde, ça peut être n'importe quoi, essaie encore
Il y aurait des interractions entre la myélynes des neurones et me semble-t-il que la décohérence quantique n'a lieux qu'avec des interractions sur une durée et une plus grosse échelle, non ?
il y a un an
J'adore parler avec les descos
Non pas forcément un être vivant, juste lorsqu'il y interaction avec un autre système qui peut provoquer l'effondrement de la fonction d'onde, ça peut être n'importe quoi, essaie encore
n'importe quoi comme quoi?
tu peux utiliser autant de mots jargonneux que tu ne maîtrise pas pour definir un etre vivant que tu veux
tu peux utiliser autant de mots jargonneux que tu ne maîtrise pas pour definir un etre vivant que tu veux
il y a un an
ChrisField
1 an
Lien de l'article :
https://www.journaldugeek[...]ur-la-physique-quantique/
Avant propos pour comprendre les implication possible :
L'hypothèse selon laquelle la conscience pourrait fonctionner sous des interactions quantiques :
1. Nature de la conscience : Si la conscience est liée à des phénomènes quantiques, cela suggérerait que notre conscience est plus fondamentale et potentiellement interconnectée avec l'univers à un niveau plus profond que ce que les modèles classiques de la neuroscience ne suggèrent. Cela pourrait impliquer que la conscience est non locale, c'est-à-dire qu'elle ne serait pas limitée par les frontières physiques du cerveau.
2. Libre arbitre et déterminisme : Les phénomènes quantiques, tels que l'indétermination et le hasard, pourraient fournir un modèle dans lequel le libre arbitre a une place réelle, contrairement au déterminisme strict des systèmes classiques. Cela pourrait transformer notre compréhension de la responsabilité personnelle et de l'éthique.
3. Perception de la réalité : Une conscience quantique pourrait signifier que notre perception de la réalité est en partie co-créée par notre propre conscience, suggérant que la réalité est plus subjective et moins fixe qu'elle n'est traditionnellement perçue.
4. Mémoire et traitement de l'information : Les propriétés quantiques comme la superposition ou l'enchevêtrement pourraient permettre à la conscience de traiter l'information de manière plus complexe, peut-être en accédant à des informations non localisées ou en opérant sur plusieurs niveaux de réalité simultanément.
5. Implications spirituelles : L'idée que la conscience pourrait avoir une base quantique pourrait rapprocher la science de certaines conceptions spirituelles qui voient la conscience comme une force primordiale ou universelle. Cela pourrait potentiellement réconcilier certaines approches mystiques avec la science moderne.
Maintenant voici l'article pour ceux qui ne veulent pas cliquer sur le liens :
" Par Antoine Gautherie le 10 août 2024 à 8h04
Une équipe de chercheurs chinois pense avoir identifié un phénomène quantique dans les neurones qui, s’il est vérifié, pourrait enfin nous permettre de commencer à comprendre les mécanismes de la conscience.
Quantum Consciousness
© Journal du Geek - MidjourneyAI
L’origine de la conscience est un mystère qui fascine les humains depuis des siècles. Certains des plus grands penseurs de l’Antiquité, comme Platon, Aristote ou Marc Aurèle, cherchaient déjà à déterminer pourquoi notre espèce dispose de cette sensibilité en apparence rare à ses propres pensées et émotions. Et même si la méthodologie a radicalement changé, cette quête continue aujourd’hui ; des tas de chercheurs essaient tant bien que mal de définir un cadre rigoureux pour l’étude de la conscience — avec des résultats assez mitigés, il faut bien l’admettre. Aucun consensus n’a jamais émergé ; même les plus grands spécialistes sont incapables d’affirmer en quoi consiste exactement cette conscience et sur quels mécanismes elle repose.
Récemment, une équipe chinoise composée de chercheurs des universités de Shanghai et du Sichuan a encore apporté de l’eau à ce moulin avec une nouvelle proposition assez exotique, mais fascinante repérée par ScienceAlert. Selon eux, la réponse pourrait se cacher dans le domaine de la physique quantique.
Plus spécifiquement, leur théorie repose sur l’intrication quantique. C’est un phénomène à travers lequel deux ou plusieurs particules se retrouvent corrélées de telle manière que leurs états quantiques sont interdépendants, quelle que soit la distance qui les sépare. Mesurer l’état d’une de ces particules revient aussi à déterminer instantanément l’état des autres, quelle que soit la distance qui les sépare — d’où la célèbre phrase d’Einstein qui parlait de « spooky action at a distance » (« action effrayante à distance »).
Même si cela peut sembler extrêmement contre-intuitif, c’est un phénomène aujourd’hui plutôt bien documenté qui joue un rôle important en physique théorique, mais aussi dans des applications concrètes comme l’informatique quantique… et la neuropsychologie, si l’on en croit les auteurs Zefei Liu, Yong-Cong Chen et Ping Ao.
La “conscience quantique“, une idée déjà explorée
Les bases de ces travaux ont été posées il y a quelques mois, quand une autre équipe de chercheurs a découvert que certaines structures cellulaires pouvaient être sujettes à la superradiance. C’est un phénomène quantique où un groupe d’atomes ou de molécules dans un état excité peuvent émettre collectivement un rayonnement extrêmement cohérent. Jusqu’à présent, c e phénomène a surtout été étudié dans des domaines comme l’optique ou l’astrophysique ; le fait d’en retrouver la trace dans des structures biologiques a beaucoup inspiré certains chercheurs, qui se sont mis à chercher des liens entre la superradiance et certains phénomènes physiologiques encore inexpliqués… comme la conscience.
Rapidement, ces discussions se sont recentrées autour d’une théorie proposée par Stuart Hameroff et surtout Roger Penrose. Ce dernier est un titan de la physique moderne qui a notamment reçu un Prix Nobel en 2020 pour ses travaux sur les singularités et la formation des trous noirs.
Ensemble, ils ont accouché d’un modèle dit de la réduction objective orchestrée (ou Orch-OR). L’idée centrale, c’est que des éléments structuraux des cellules appelés microtubules pourraient être le siège d’un autre phénomène quantique : la superposition, où une même particule peut exister simultanément dans différents états quantiques. En d’autres termes, le squelette de nos neurones se comporterait comme une sorte de minuscule ordinateur quantique dont le fonctionnement serait à l’origine de la conscience.
Une réconcilliation progressive de la biologie et de la physique quantique
Il faut admettre qu’il s’agit d’une expérience de pensée assez séduisante. Intuitivement, on peut facilement dresser certains parallèles entre la conscience et la physique quantique. Mais en dépit du pedigree de ses auteurs, cette théorie exotique reste malgré tout très controversée.
Les physiciens ont déjà toutes les peines du monde à maintenir des atomes en interaction et en superposition dans des ordinateurs quantiques, car il s’agit de phénomènes très délicats que l’on ne sait reproduire que dans des conditions extrêmement précises et contrôlées. Traditionnellement, ils ont donc toujours considéré que la biologie est par nature trop instable et chaotique pour servir de support à ces phénomènes quantiques.
Mais petit à petit, au fur et à mesure que la physique quantique progresse, cet état de fait est de plus en plus remis en question. Par exemple, un nombre croissant d’études suggère désormais que certains animaux migrateurs s’appuieraient sur une sorte de « boussole quantique » pour retrouver leur chemin sur de très longues distances. L’année dernière, des chercheurs américains ont aussi prouvé que les plantes vertes utilisent un tour de passe-passe quantique dans le cadre de la photosynthèse.
La photosynthèse des plantes utilise un tour de passe-passe quantique
L’idée que des pans entiers de la biologie pourraient reposer sur des phénomènes quantiques n’est donc plus aussi absurde qu’elle ne l’était autrefois. Et des tas de chercheurs commencent à s’engouffrer dans la brèche. C’est justement le cas de Liu et ses collègues, qui estiment en avoir trouvé un nouvel exemple potentiel dans le cerveau.
Une communication quantique entre les neurones
Leurs travaux portent sur la myéline, une gaine isolante qui entoure les axones (les “bras” des neurones). Son rôle est de protéger les signaux qui voyagent dans le système nerveux et d’en augmenter la vitesse.
Myéline
Un schéma de la structure d’un neurone, avec la gaine de myéline en jaune. © Dhp1080 / US National Cancer Institute’s Surveillance, Epidemiology and End Results via Wikimedia Commons
Mais elle pourrait aussi être le siège d’un autre phénomène jamais documenté à ce jour. Selon les chercheurs chinois, la cavité cylindrique formée par la gaine de myéline pourrait favoriser l’apparition d’une sorte de résonance dans les liaisons entre les innombrables atomes de carbone et d’hydrogène au sein des neurones (on parle de liaisons C-H). Ces vibrations conduiraient à l’émission spontanée de photons, les particules qui servent de vecteur à la lumière, par ces liaisons C-H. Parfois, ces photons se retrouveraient dans l’état d’intrication décrit plus haut. Ces ensembles de particules liées au niveau quantique pourraient donc servir de vecteurs d’information, un peu comme les qbits des ordinateurs quantiques.
Myelin Quantum Entanglement
© Liu et al., Physical Review E, 2024
Les signaux ainsi créés seraient interconnectés et, grâce à l’intrication, voyageraient immensément plus vite que les décharges électriques traditionnellement associées au système nerveux. Cela pourrait permettre d’expliquer comment différentes parties de notre cerveau synchronisent leurs activités respectives de manière si efficace, et en extrapolant, comment fonctionne la conscience.
Une piste encore balbutiante, mais fascinante
Ces travaux sont encore extrêmement exploratoires, et largement insuffisants pour parvenir à une conclusion rigoureuse. Pour en arriver là, il faudra déjà commencer par vérifier expérimentalement le phénomène décrit par Liu et ses collègues, ce qui ne sera pas une mince affaire. Et même si d’autres chercheurs réussissent à prouver que de tels phénomènes quantiques ont bel et bien lieu dans les neurones, il sera tout sauf évident de relier ces observations aux mécanismes de la conscience. "
Avant propos pour comprendre les implication possible :
L'hypothèse selon laquelle la conscience pourrait fonctionner sous des interactions quantiques :
1. Nature de la conscience : Si la conscience est liée à des phénomènes quantiques, cela suggérerait que notre conscience est plus fondamentale et potentiellement interconnectée avec l'univers à un niveau plus profond que ce que les modèles classiques de la neuroscience ne suggèrent. Cela pourrait impliquer que la conscience est non locale, c'est-à-dire qu'elle ne serait pas limitée par les frontières physiques du cerveau.
2. Libre arbitre et déterminisme : Les phénomènes quantiques, tels que l'indétermination et le hasard, pourraient fournir un modèle dans lequel le libre arbitre a une place réelle, contrairement au déterminisme strict des systèmes classiques. Cela pourrait transformer notre compréhension de la responsabilité personnelle et de l'éthique.
3. Perception de la réalité : Une conscience quantique pourrait signifier que notre perception de la réalité est en partie co-créée par notre propre conscience, suggérant que la réalité est plus subjective et moins fixe qu'elle n'est traditionnellement perçue.
4. Mémoire et traitement de l'information : Les propriétés quantiques comme la superposition ou l'enchevêtrement pourraient permettre à la conscience de traiter l'information de manière plus complexe, peut-être en accédant à des informations non localisées ou en opérant sur plusieurs niveaux de réalité simultanément.
5. Implications spirituelles : L'idée que la conscience pourrait avoir une base quantique pourrait rapprocher la science de certaines conceptions spirituelles qui voient la conscience comme une force primordiale ou universelle. Cela pourrait potentiellement réconcilier certaines approches mystiques avec la science moderne.
Maintenant voici l'article pour ceux qui ne veulent pas cliquer sur le liens :
" Par Antoine Gautherie le 10 août 2024 à 8h04
Une équipe de chercheurs chinois pense avoir identifié un phénomène quantique dans les neurones qui, s’il est vérifié, pourrait enfin nous permettre de commencer à comprendre les mécanismes de la conscience.
Quantum Consciousness
© Journal du Geek - MidjourneyAI
L’origine de la conscience est un mystère qui fascine les humains depuis des siècles. Certains des plus grands penseurs de l’Antiquité, comme Platon, Aristote ou Marc Aurèle, cherchaient déjà à déterminer pourquoi notre espèce dispose de cette sensibilité en apparence rare à ses propres pensées et émotions. Et même si la méthodologie a radicalement changé, cette quête continue aujourd’hui ; des tas de chercheurs essaient tant bien que mal de définir un cadre rigoureux pour l’étude de la conscience — avec des résultats assez mitigés, il faut bien l’admettre. Aucun consensus n’a jamais émergé ; même les plus grands spécialistes sont incapables d’affirmer en quoi consiste exactement cette conscience et sur quels mécanismes elle repose.
Récemment, une équipe chinoise composée de chercheurs des universités de Shanghai et du Sichuan a encore apporté de l’eau à ce moulin avec une nouvelle proposition assez exotique, mais fascinante repérée par ScienceAlert. Selon eux, la réponse pourrait se cacher dans le domaine de la physique quantique.
Plus spécifiquement, leur théorie repose sur l’intrication quantique. C’est un phénomène à travers lequel deux ou plusieurs particules se retrouvent corrélées de telle manière que leurs états quantiques sont interdépendants, quelle que soit la distance qui les sépare. Mesurer l’état d’une de ces particules revient aussi à déterminer instantanément l’état des autres, quelle que soit la distance qui les sépare — d’où la célèbre phrase d’Einstein qui parlait de « spooky action at a distance » (« action effrayante à distance »).
Même si cela peut sembler extrêmement contre-intuitif, c’est un phénomène aujourd’hui plutôt bien documenté qui joue un rôle important en physique théorique, mais aussi dans des applications concrètes comme l’informatique quantique… et la neuropsychologie, si l’on en croit les auteurs Zefei Liu, Yong-Cong Chen et Ping Ao.
La “conscience quantique“, une idée déjà explorée
Les bases de ces travaux ont été posées il y a quelques mois, quand une autre équipe de chercheurs a découvert que certaines structures cellulaires pouvaient être sujettes à la superradiance. C’est un phénomène quantique où un groupe d’atomes ou de molécules dans un état excité peuvent émettre collectivement un rayonnement extrêmement cohérent. Jusqu’à présent, c e phénomène a surtout été étudié dans des domaines comme l’optique ou l’astrophysique ; le fait d’en retrouver la trace dans des structures biologiques a beaucoup inspiré certains chercheurs, qui se sont mis à chercher des liens entre la superradiance et certains phénomènes physiologiques encore inexpliqués… comme la conscience.
Rapidement, ces discussions se sont recentrées autour d’une théorie proposée par Stuart Hameroff et surtout Roger Penrose. Ce dernier est un titan de la physique moderne qui a notamment reçu un Prix Nobel en 2020 pour ses travaux sur les singularités et la formation des trous noirs.
Ensemble, ils ont accouché d’un modèle dit de la réduction objective orchestrée (ou Orch-OR). L’idée centrale, c’est que des éléments structuraux des cellules appelés microtubules pourraient être le siège d’un autre phénomène quantique : la superposition, où une même particule peut exister simultanément dans différents états quantiques. En d’autres termes, le squelette de nos neurones se comporterait comme une sorte de minuscule ordinateur quantique dont le fonctionnement serait à l’origine de la conscience.
Une réconcilliation progressive de la biologie et de la physique quantique
Il faut admettre qu’il s’agit d’une expérience de pensée assez séduisante. Intuitivement, on peut facilement dresser certains parallèles entre la conscience et la physique quantique. Mais en dépit du pedigree de ses auteurs, cette théorie exotique reste malgré tout très controversée.
Les physiciens ont déjà toutes les peines du monde à maintenir des atomes en interaction et en superposition dans des ordinateurs quantiques, car il s’agit de phénomènes très délicats que l’on ne sait reproduire que dans des conditions extrêmement précises et contrôlées. Traditionnellement, ils ont donc toujours considéré que la biologie est par nature trop instable et chaotique pour servir de support à ces phénomènes quantiques.
Mais petit à petit, au fur et à mesure que la physique quantique progresse, cet état de fait est de plus en plus remis en question. Par exemple, un nombre croissant d’études suggère désormais que certains animaux migrateurs s’appuieraient sur une sorte de « boussole quantique » pour retrouver leur chemin sur de très longues distances. L’année dernière, des chercheurs américains ont aussi prouvé que les plantes vertes utilisent un tour de passe-passe quantique dans le cadre de la photosynthèse.
La photosynthèse des plantes utilise un tour de passe-passe quantique
L’idée que des pans entiers de la biologie pourraient reposer sur des phénomènes quantiques n’est donc plus aussi absurde qu’elle ne l’était autrefois. Et des tas de chercheurs commencent à s’engouffrer dans la brèche. C’est justement le cas de Liu et ses collègues, qui estiment en avoir trouvé un nouvel exemple potentiel dans le cerveau.
Une communication quantique entre les neurones
Leurs travaux portent sur la myéline, une gaine isolante qui entoure les axones (les “bras” des neurones). Son rôle est de protéger les signaux qui voyagent dans le système nerveux et d’en augmenter la vitesse.
Myéline
Un schéma de la structure d’un neurone, avec la gaine de myéline en jaune. © Dhp1080 / US National Cancer Institute’s Surveillance, Epidemiology and End Results via Wikimedia Commons
Mais elle pourrait aussi être le siège d’un autre phénomène jamais documenté à ce jour. Selon les chercheurs chinois, la cavité cylindrique formée par la gaine de myéline pourrait favoriser l’apparition d’une sorte de résonance dans les liaisons entre les innombrables atomes de carbone et d’hydrogène au sein des neurones (on parle de liaisons C-H). Ces vibrations conduiraient à l’émission spontanée de photons, les particules qui servent de vecteur à la lumière, par ces liaisons C-H. Parfois, ces photons se retrouveraient dans l’état d’intrication décrit plus haut. Ces ensembles de particules liées au niveau quantique pourraient donc servir de vecteurs d’information, un peu comme les qbits des ordinateurs quantiques.
Myelin Quantum Entanglement
© Liu et al., Physical Review E, 2024
Les signaux ainsi créés seraient interconnectés et, grâce à l’intrication, voyageraient immensément plus vite que les décharges électriques traditionnellement associées au système nerveux. Cela pourrait permettre d’expliquer comment différentes parties de notre cerveau synchronisent leurs activités respectives de manière si efficace, et en extrapolant, comment fonctionne la conscience.
Une piste encore balbutiante, mais fascinante
Ces travaux sont encore extrêmement exploratoires, et largement insuffisants pour parvenir à une conclusion rigoureuse. Pour en arriver là, il faudra déjà commencer par vérifier expérimentalement le phénomène décrit par Liu et ses collègues, ce qui ne sera pas une mince affaire. Et même si d’autres chercheurs réussissent à prouver que de tels phénomènes quantiques ont bel et bien lieu dans les neurones, il sera tout sauf évident de relier ces observations aux mécanismes de la conscience. "
L'article qui hypothétise la loi d'assomption et la conscience collective.
Nous sommes un.
il y a un an
L'article qui hypothétise la loi d'assomption et la conscience collective.
Enfin un érudit qui apporte sa pierre.
il y a un an
L'existence c'est observable.
L'etre, on ne sait pas si ca existe
L'essence et la substance pour moi ca voulait dire la meme chose.
L'etre, on ne sait pas si ca existe
L'essence et la substance pour moi ca voulait dire la meme chose.
il y a un an
Enfin un érudit qui apporte sa pierre.
Pour ceux qui ne suivent pas, la loi d'assomption c'est une LOI de l'univers selon laquelle tu peux modéliser dans le monde physique ce que tu imagines et que tu CROIS.
Forcément, j'imagine un T-Rex devant chez moi, il va pas apparaitre comme par magie.
Par contre quand tu te répètes en boucle que t'es une merde incapable, ton subconscient fini par l'intégré et tu en deviens une.
De même, l'une des solutions pour assomptionner quelque chose c'est de se répéter en boucle quelque chose jusqu'à que ton subconscient finisse par l'intégrer et que, par essence, tu y crois.
Forcément, j'imagine un T-Rex devant chez moi, il va pas apparaitre comme par magie.
Par contre quand tu te répètes en boucle que t'es une merde incapable, ton subconscient fini par l'intégré et tu en deviens une.
De même, l'une des solutions pour assomptionner quelque chose c'est de se répéter en boucle quelque chose jusqu'à que ton subconscient finisse par l'intégrer et que, par essence, tu y crois.
Nous sommes un.
il y a un an
Je dis d habitude qu as mois d avoir l equivalent d un bac +8 sur la question on y comprendra rien mais la c est juste tellement un game changer si c est vrai
il y a un an
n'importe quoi comme quoi?
tu peux utiliser autant de mots jargonneux que tu ne maîtrise pas pour definir un etre vivant que tu veux
tu peux utiliser autant de mots jargonneux que tu ne maîtrise pas pour definir un etre vivant que tu veux
N'importe quel système macroscopique
il y a un an
@seumtheologique ca pourrait t'interesser
L'univers non observable existe t il ?
La question de l'existence de l'univers non observable est une problématique complexe qui touche à la fois la cosmologie, la physique théorique, et la philosophie des sciences.
**L'univers observable** désigne la portion de l'univers que nous pouvons observer directement ou indirectement, c'est-à-dire tout ce qui se trouve à une distance maximale de nous d'environ 46,5 milliards d'années-lumière. Cette limite est due à la vitesse de la lumière et à l'expansion de l'univers.
**L'univers non observable** se réfère, quant à lui, aux régions de l'univers qui se trouvent au-delà de cette limite, et que nous ne pourrons jamais observer, quelle que soit la technologie employée. Cela inclut les parties de l'univers dont la lumière n'a pas encore eu le temps de nous atteindre et ne nous atteindra peut-être jamais en raison de l'expansion accélérée de l'univers.
Sur la question de son existence :
1. **Point de vue scientifique** : La plupart des cosmologistes considèrent qu'il est très probable que l'univers s'étend bien au-delà de ce que nous pouvons observer. L'idée est que ce que nous voyons est une petite partie d'un tout beaucoup plus grand, voire infini. Cela repose sur des modèles cosmologiques qui supposent que l'univers est homogène et isotrope à grande échelle (principe cosmologique), ce qui implique que les lois de la physique sont les mêmes partout.
2. **Point de vue philosophique** : L'existence de l'univers non observable pose des questions épistémologiques. Si nous ne pouvons jamais observer ou interagir avec cette partie de l'univers, pouvons-nous vraiment affirmer qu'elle existe ? Certains philosophes des sciences pourraient argumenter que sans possibilité de vérification empirique, l'existence de l'univers non observable reste une hypothèse.
En résumé, d'un point de vue scientifique, il est raisonnable de penser que l'univers non observable existe, mais cette existence reste, par définition, hors de notre portée empirique. Cela nous laisse face à une question plus philosophique que scientifique : qu'est-ce que cela signifie d'affirmer l'existence de quelque chose que nous ne pourrons jamais observer ou tester ?
ChatGPT
L'univers non observable existe t il ?
La question de l'existence de l'univers non observable est une problématique complexe qui touche à la fois la cosmologie, la physique théorique, et la philosophie des sciences.
**L'univers observable** désigne la portion de l'univers que nous pouvons observer directement ou indirectement, c'est-à-dire tout ce qui se trouve à une distance maximale de nous d'environ 46,5 milliards d'années-lumière. Cette limite est due à la vitesse de la lumière et à l'expansion de l'univers.
**L'univers non observable** se réfère, quant à lui, aux régions de l'univers qui se trouvent au-delà de cette limite, et que nous ne pourrons jamais observer, quelle que soit la technologie employée. Cela inclut les parties de l'univers dont la lumière n'a pas encore eu le temps de nous atteindre et ne nous atteindra peut-être jamais en raison de l'expansion accélérée de l'univers.
Sur la question de son existence :
1. **Point de vue scientifique** : La plupart des cosmologistes considèrent qu'il est très probable que l'univers s'étend bien au-delà de ce que nous pouvons observer. L'idée est que ce que nous voyons est une petite partie d'un tout beaucoup plus grand, voire infini. Cela repose sur des modèles cosmologiques qui supposent que l'univers est homogène et isotrope à grande échelle (principe cosmologique), ce qui implique que les lois de la physique sont les mêmes partout.
2. **Point de vue philosophique** : L'existence de l'univers non observable pose des questions épistémologiques. Si nous ne pouvons jamais observer ou interagir avec cette partie de l'univers, pouvons-nous vraiment affirmer qu'elle existe ? Certains philosophes des sciences pourraient argumenter que sans possibilité de vérification empirique, l'existence de l'univers non observable reste une hypothèse.
En résumé, d'un point de vue scientifique, il est raisonnable de penser que l'univers non observable existe, mais cette existence reste, par définition, hors de notre portée empirique. Cela nous laisse face à une question plus philosophique que scientifique : qu'est-ce que cela signifie d'affirmer l'existence de quelque chose que nous ne pourrons jamais observer ou tester ?
ChatGPT
il y a un an
Feuquimouille
1 an
Je dis d habitude qu as mois d avoir l equivalent d un bac +8 sur la question on y comprendra rien mais la c est juste tellement un game changer si c est vrai
Oui, n'écoute pas les déclarations des personnes qui par idéologie essaient de me faire taire.
il y a un an